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"They say a few drinks, will help me to forget her."
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -Denzel s'était levé ce matin relativement de bonne humeur. Relativement parce qu'il avait encore agit comme un idiot ces derniers jours. Alors qu'il avait « promit » à Valentina de faire des efforts pour s'ouvrir un peu, il avait fait tout le contraire. Depuis le jour ou elle était venu chez lui il n'avait pas donné de nouvelles. Quel exemple il était pour Hope si il ne tenait même pas ses promesses. Il n'avait pas répondu à ses SMS depuis plus de une semaine maintenant. Chassez le naturel il revient au galop !
Sûrement à cause de sa culpabilité grandissante, il avait peint un tableau : un portrait de Valentina. Pourtant ce n'était pas son genre de peindre les portraits des gens, c'était la première fois qu'il le faisait. L'image de Valentina le poursuivait ou qu'il aille, quoi qu'il fasse il ne parvenait pas à s'en détacher.
Denzel avait assisté passivement à ses cours. On était Jeudi et il était pressé d'être en week-end pour qu'il puisse se mettre bien mal au Lord Hobo, comme à son habitude. Il en ressentait tellement l'envie qu'il se demandait si il allait pouvoir tenir jusque demain soir.
Le jeune homme n'assista pas à son dernier cours de l'après midi, il alla faire un tour en voiture croyant naïvement que cela l'aiderait à se calmer et à passer à autre chose. Il passa une heure à errer de routes en routes sans vraiment arriver à se vider la tête. Elle était toujours la dans le coin de ses pensées : la culpabilité de ne pas avoir tenu sa promesse, le remord, le regret et la déception de ne pas savoir ; malgré tout ses efforts ; être un modèle pour sa petite sœur. Il voulait changer, il voulait devenir l'homme qui pourrait être le grand frère, le fils et le petit amis parfait … Mais il n'y arrivait pas. C'était comme si ses années de douleurs, cet amour pour la solitude et son deuil qui se prolongeait ne voulaient pas le quitter. Non tout ça le retenaient malgré lui et ça … Personne ne pouvait le comprendre, ni même l'imaginer...
Denzel s'engagea sur une route qui menait chez lui, il voulait rentrer dans son appartement. Une fois arrivé il essaya, en vint, de trouver le sommeil. Mais depuis que Valentina avait mit les pieds ici tout les coins de son appartement lui faisait penser à elle. Il resta la pendant prêt de quatre heures à fixer le plafond. Ce n'est qu'a vingt deux heures qu'il entreprit d'aller au Lord Hobo : parce que s'en était trop et qu'il avait besoin de sa drogue pour l'anesthésier. Il enchaîna les verres sans s'arrêter. Sa y était il était complètement insensible à tout, son esprit était vidé... Puis il entendit un nom . Celui de Valentina. C'était un des garçons assit prêt de lui qui l'avait prononcé. Au début, il n'était pas sur de l'avoir vraiment entendu, il se pensait devenu paranoïaque...
« Valentina tu dis ? ; disait le premier garçon.
- Oui c'est ça . Valentina Lorenzo c'est une Dunster. Je me l'a ferait bien celle la !»
Les deux garçons eurent à peine le temps de rirent que Denzel avait déjà son poing dans le visage du deuxième garçons. Denzel ne s'était même pas vu agir, il avait eu comme un reflex. Comment pouvait-il parler d'elle comme ça ? Comment il pouvait se permettre de parler d'elle tout court ! Le garçon qui avait été surpris par ce coups de poing mit un moment avant de riposter d'un coup de poing lui aussi. Puis la bagarre s'enchaîna : un coup de boule, un coup de poing au ventre, une tête contre un mur... Le chef de l'établissement mit un temps avant d'intervenir et de pousser Denzel dehors. Le jeune homme s'était retrouvé dehors tout seul, la rage au ventre de ne pas avoir pue terminer le travail. Il avait l'oeil droit tuméfié, la lèvre ouverte et le haut de la joue gauche couverte d'un bleu. Denzel shoota dans une canette qui se trouvait au sol pour faire passer sa colère, mais en vint. Il entreprit de rentrer chez lui à pied. Il faisait un froid glaciale et une fois chez lui il remercia le ciel d'avoir un chauffage. Il s'allongea sur son lit et fixa le portrait qu'il avait fait de Valentina. Il le fixa pendant un moment avant de le prendre et de sortir de chez lui. C'était un peu l'effet de l'alcool mais aussi de sa propre volonté, il se dirigeait déterminé vers la maison de Valentina. Il était une heure du matin (on était officiellement Vendredi donc), c'était sa fête aujourd'hui, il y avait pensé toute la semaine. Denzel avait besoin d’extérioriser tout ce qui le bouffait de l'intérieur. Il avait besoin de tout sortir une bonne fois pour toute pour clarifier les choses. Denzel n'était pas du genre à s'exprimer mais la s'était de trop, il était déjà ronger par ses propres démons, il n'avait pas besoin que d'autres viennes se rajouter. Une fois arrivé en face de la grande demeure, il toqua et sonna. Valentina lui avait dit qu'elle était seule la plupart du temps, il espérait que s'était le cas ce soir . Lorsqu'elle apparut sur le seuil de la porte il eu un moment d'absence avant de pouvoir enfin lâcher son flot de paroles.
« Je sais que je suis sûrement la dernière personne que tu veux voir la maintenant mais sache le si je ne t'ai pas donné de nouvelles ce n'etait pas volontaire. Tout ce que je fais et parfois ce que je dis je ne le contrôle pas même si j'aimerais vraiment. Si je viens ici ce soir c'est parce que je me suis rendu compte que malgré tout, malgré tout mes défauts et toutes les fois ou mon naturel reviens au galop tu restes dans ma tête et je sais pas comment ça se fait et je veux pas le savoir... Valentina. je veux pas commettre les mêmes erreurs que j'ai commises dans le passé, je veux pas te perdre et me rendre compte que y'a des millions de choses que je t'ai pas dites alors je préfère les dires maintenant. Tu es le seul repère que j'ai. Tu arrive à me faire sourire alors que personne n'y arrive. T'es celle que je veux tout le temps prêt de moi même si je me hais de vouloir ça , c'est comme ça et .. Et j'y peut rien. Je suis qu'un pauvres cons parmi une ribambelle d'autre con qui te veulent. Mais je peux te juré que je suis le seuls qui souffres autant de ton absence. »
Denzel lui tandis le tableau la tête basse. Portrait de Valentina en train de sourire, pour une fois il avait peint avec des couleur vives. Ces couleurs signifiait beaucoup : surement que Valentina était son seul espoir.
Fiche by Lavender J. Trevena
Crédits gif : TUMBLR
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