Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityDEON&MARLO - « Parce qu'il n'y a rien de pire que de voir son homme dans les bras d'une autre. » - Page 4
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DEON&MARLO - « Parce qu'il n'y a rien de pire que de voir son homme dans les bras d'une autre. »

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« Parce qu'il n'y a rien de pire que de voir son homme dans les bras d'une autre. »


T'as été conne, ouais t'as été pire que conne, tu le regarde s’éloigner de toi, il t'en veux vraiment en fait, tu n'imaginais pas ça. Tu baisse les yeux, tu ne bouges pas t'as encore l'espoir qu'il va se retourner et revenir vers toi, parce que tout le monde sait que l'espoir fait vivre, alors oui tu espère. T'y crois, t'y crois, pitié qu'il se retourne, qu'il revienne vers toi, qu'il te dise un truc, tu sais pas quoi mais qu'au moins il réponde. T'as toujours les yeux baissés vers le sol et t'attends et t’espère. T'en a tellement marre de cette situation, sûrement autant que lui, remonter le temps, tout effacer, ça serait trop beau, mais c'est impossible, faut arrêter de rêver ! T'y crois presque plus et pourtant il arrive vers toi, il s'arrête tu le regarde, t'ose pas sourire parce que tout n'est pas encore gagné mais t'en à envie, il se baisse devant toi et t'attrapes par la taille, ni une ni deux tu te retrouve sur son épaule. Tu souris, la tête à l'envers, t'es heureuse parce que pour une fois vous ne vous crachez pas dessus, vous avez l'air cons, comme depuis que vous êtes dehors d'ailleurs. Arrivés devant la voiture il te pose au sol et tu grimpes dans la voiture. Tu tournes la tête vers lui, t'ouvres à peine les lèvres, tu veux lui parler sauf que t'es devancée « Oui, t’as été très conne » tu tournes la tête regardant à travers le pare-brise, puis tu le regarde à nouveau « Mais je crois que je suis prêt à te pardonner pour cette fois ». Il s'approche de toi et pose ses lèvres sur ta joue, t'as envie de l'embrasser et puis merde ! Tu te tourne complètement vers lui et attrape sa tête entre tes deux mains, tu plonges ton regard dans le sien, tu sais pas si tu arrivera à oublier ce qu'il s'est passé à Cancùn mais tant pis, tu l'embrasse tu sais pas si il est d'accord pour échanger ce baiser et à vrai dire t'en à rien à foutre s'il veut te repousser qu'il te repousse..
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Et non il ne t'a pas repoussé, tu continue de l'embrasser, ça te fais tellement du bien. L'espace d'un instant tu oublie toute cette peine, toute cette haine, qui vous a tellement détruit. Tu passe tes mains dans ses cheveux prolongeant toujours le baiser, tu sens sa main dans le bas de ton dos qui te rapproches de lui, tu te sens bien, l'impression que cette douleur que tu as au fond de toi s'évapore peu à peu. Ses lèvres quittent les tiennes et descendent vers ton cou, tu sens qu'il est entrain de te laisser une trace de vos retrouvailles et tu ne peux t'empêcher de décrocher un sourire, quelle joie ! « J’aime pas quand on se dispute » personne n'aime les disputes, surtout lorsqu'elles impliquent l'être que l'on aime au plus profond de soit. Il reprend possession de tes lèvres avant que tu n'es eu l'occasion de lui dire que toi non plus tu n'aime pas ça, tu lui répond alors en prolongeant le baiser. Il fait reculer son siège et te tiens la main « Allez … Viens contre moi ». Tu acquiesce, tu es heureuse et ton regard en dit long sur l'état de joie dans lequel tu te trouve, tu t'approches de lui et t'installe sur ses genoux. Tu avais presque perdu espoir sur cette réconciliation, fallait juste que tu prennes sur toi, que tu enfouisse ta rancœur et ta peine au plus profond de ton être. Tu sens sa tête se poser sur ton épaule, rien ne te rend plus heureuse et ça se voit, ton sourire s'est figé sur tes lèvres depuis que vous avez échangé ce dernier baiser et tu ne peux t'empêcher de l'effacer, tu n'en a tellement pas envie aussi ! Tu n'a envie de rien dire pourtant tu voudrais crier au monde que tu l'aimes plus que n'importe qui sur cette putain de planète, putain de monde de brute dans lequel un peu d'amour n'est jamais de trop. Tu passe ta main autour de son cou, déposant un baiser sur son front « Je suis vraiment désolée pour tout ce que j'ai pu te balancer … vraiment ... » après tout si tu ne lui dis pas qui sait ce qu'il pourrait penser, les hommes aussi ont droit à un minimum de respect.
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Seul les réverbères éclairent, la chaleur de son corps contre le tien tu voudrais que le temps s'arrête l'espace d'un instant histoire de profiter de cette tranquillité. Ras le bol de ces disputes, ras le bol de te prendre la tête, de te morfondre avec ta bouteille de rhum. Il redresse la tête vers toi, tu le regarde, t'es bien et pourtant t'as cette inquiétude dans le regard « Bah … De toute manière … » quelques secondes de silence tu le regarde toujours attendant la suite « Moi j’suis désolé de t’avoir baisée comme ça dehors. » tu baisse les yeux, tu hausses les épaules, t'as rien à dire, lors de cette soirée vous avez tout les deux déconné, mais t'es vraiment allée fort alors non t'as rien à dire. Tu relèves la tête vers lui esquissant un léger sourire sur tes lèvres. Son bras dans ton dos te rapproche de lui, tu te loges contre lui, ton corps tout contre le sien tu t'y sens juste bien. Il capture tes lèvres et tu prolonges le baiser, il se fait tard, t'es crevée mais t'es tellement bien contre lui que tu ne bouges pas, que tu ne montre aucun signe de fatigue. Il te prend par la taille et t'installe face à lui « Allez, tu m’pardonnes … ? » bien sûr que oui que tu le pardonne, t'en peux plus de cette situation t'as juste envie que le calme s'installe à nouveau dans votre relation. Ses lèvres dans ton cou, t'es pas en mesure de répondre, ses lèvres descendent vers ta poitrine et il te retire le haut tant bien que mal « S’t’euplait pardonne moi pour tout à l’heure» dit-il en relevant les yeux vers toi tu passe tes bras autour de son cou « J'en ai marre qu'on s'engueule comme ça, c'est pas nous … même si mon cerveau me disait de ne pas le faire je te pardonnerais quand même ! » tu descend tes mains et les passe sous son t-shirt pendant que tes lèvres reviennent pour l'embrasser.
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Tu pensais que jamais plus t’entendrais ces mots sortir de sa bouche « Moi aussi je t’aime » tu étais heureuse mais tu ne sautais pas de joie, tu te contentais de relever la tête vers lui et de lui répondre par un sourire, tout petit mais qui voulait dire tellement de chose, tu l'aimais, tu ferais tout pour revenir en arrière si tu en avais l'occasion sauf que la vie c'est pas ça, il ne suffit pas d'appuyer sur effacer pour que ça sorte de ta tête et qu'on fasse comme si il ne se passait rien, c'est tellement plus compliqué. Cette attraction de ton corps vers le sien tu la sentais grandir en toi, mais elle était aussi valable pour ton cœur, en essayant de t'en éloigner tu t'en rapprochais encore plus. C'est vrai à la base t'étais venue pour des explications, vous vous étiez engueulés et maintenant vous vous retrouviez dans cette voiture à vous dire que vous vous aimiez, mais si ce n'était que ça. Le désir immense dû à ce manque que vous éprouviez l'un envers l'autre était plus que présent, le plaisir de sentir sa peau sous tes doigts, de sentir ses mains contre toi, sa respiration entre-mêlée à la tienne, tu profitais cherchant à apprecier chaque instant te disant que tu ne pouvais pas faire comme si de rien n'était, que tu ne pouvais pas oublier mais qu'il fallait que tu mette cette tête et que prenne le temps d'être avec lui, de vous retrouver, vous en aviez vraiment besoin. Ton soutien-gorge volais à l'arrière de la voiture pendant que tu continuais avec tes caresses toujours pleines de tendresse. Sa bouche contre la tienne, tu l'embrassait savourant la douceur des ses lèvres, il entreprenait un chemin de baiser sur ton corps, descendant le long de ton cou, puis sur le haut de ta poitrine, tu relevais les yeux vers le toit de la voiture, ta main caressant ses cheveux, des frissons parcouraient ton corps, petite chose devenue fragile, dans ses bras tu reprenais toute force en toi. Plus ses caresses descendaient vers le bas de ton dos, plus tu te sentais attirée par lui, sensation étrange, les frissons s'accentuaient quand tu sentais ton pantalon glisser le long de tes jambes. Il retirait son pantalon, tu riais un peu le voyant galérer de la sorte puis reprenais ton sérieux de suite après, glissant ta tête dans son coup tu y déposais des baiser puis éloignais ton visage, tu plongeais ton regard dans le sien quelques secondes puis il approchais son visage de toi, cherchant à capturer une nouvelle fois ta bouche. Vos lèvres à nouveau l'une contre l'autre tu prolongeais le baiser, tes mains se glissaient à nouveau sous son t-shirt et le remontait en caressant son torse, tu le lui retirais.
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