ALEX - Que me veux tu ?

Je remarqua qu'Alex se sentait mal de me parler de ses soucis personnels alors que je venais de lui dire que cela ne me dérangeait pas du tout au contraire. Ecouter les autres m'aidait un peu à relativiser sur mes propres problèmes du moins c'est ce que je pensais. Puis il me confirma que le coup de foudre existait vraiment car il l'avait vécu un an plus tôt en Irlande en vacances pour Julia. Alors peut-être allait je ressentir pareil pour Este si je le revois un jour ? Seul l'avenir et le destin pourrait me le dire. Alors je lui répondit.

Ne t'en fais pas, tu ne me déranges pas du tout, j'adore écouter les autres, cela me permet d'analyser ma propre vie au passage souvent. Et j'espère que je ressentirais cette sensation que tu as connu avec Julia un jour moi et pourquoi pas avec un ami perdu de vue depuis 10 ans ?

Je lui souria tout en buvant mon deuxième chocolat, aujourd'hui j'étais en demande de chocolat chaud, il fallait croire.

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Mon café était presque terminé et mon muffin aussi. J'adorais Léonor même si je l'a connaissais à peine. Elle était comme ma petite sœur et je serais prêt à tout pour elle. Léonor s'adressait à moi en disant de ne pas m'en faire que je ne la dérangeais pas du tout. Qu'elle aimait écouter les autres et que cela lui permettait d'analyser sa propre vie. Elle terminait par me dire qu'elle espérait ressentir cette sensation comme j'avais connu avec Julia un jour. Elle terminait par me dire pourquoi pas avec un ami perdu de vue depuis 10 ans. Je l'a regardais et je m'adressais à elle en souriant :

- Je te le souhaite Léonor c'est tellement une sensation incroyable. Oui pourquoi pas peut-être que cette personne va revenir vers toi sans que tu t'en rendre compte. Je suis sûre que si cette personne revient vers toi tu sauras heureuse de lui laisser sa chance.

Je ne savais pas de qui elle parlait, mais j'aurais bien aimé savoir qui c'était. Léonor n'était pas quelqu'un qui parlait de ses problèmes et si un jour elle avait envie d'en parler et bien je serais là pour elle. Léonor méritait d'être heureuse croire en l'amour était la chose la plus belle.

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