Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility[Flashforward] Natalina&Morgan : I think … I think I miss you.
Le Deal du moment : -29%
DYSON V8 Origin – Aspirateur balai sans fil
Voir le deal
269.99 €


[Flashforward] Natalina&Morgan : I think … I think I miss you.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité



Natargan ∆ I think I miss you.
Février 2014

Enfin sorti. Après plusieurs semaines passé en quarantaine à cause de cette fichue maladie, j'étais enfin libre. J'avais l'impression d'avoir été emprisonné, alors qu'au fond, j'avais pas grand chose à me reprocher. On pouvait rien faire en quarantaine, on avait pas de telephone, et j'avais pas pu fumer une seule clope, au grand damne de mes colocataires de misère qui avaient du subir mes foudres de gars en manque. Mais tout ça, tout ça c'était maintenant terminé.

J'étais directement parti sur New-York le temps d'un week-end pour y retrouver ma fille. Elle avait fait la connaissance de Lia, et je voulais voir avec ses parents comment ça s'était passé. Revenu sur Cambridge, j'avais reprit mes vieilles habitudes, boire, fumer, sortir beaucoup trop. Mais au fond de moi, quelque chose avait changé. Avoir passé tout ce temps à l'hôpital m'avait fait cogiter sur quelqu'un, Natalina. Natalina et moi, on se connait depuis septembre, elle fait parti de ces filles que j'ai essayé d'emballer avec qui je me suis prit un gros râteau. On était devenu amis par la suite … "Amis". J'y croyais pas beaucoup à cette amitié, parce que plus je passais de temps avec elle, puis ma carapace se fissurait. J'étais plus cet odieux connard que tout le monde connaissait. J'avais pas besoin de cette image avec elle, j'étais juste … Juste moi. Alors par ce matin froid de février, j'étais là, devant sa porte, frappant deux coups, et attendant qu'elle ouvre.


© charney

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ce fut une fin d'année merdique et un début d'année merdique. Honnêtement il fallait le faire : d'abord toutes les histoires avec Val , Idylle etc..Et ensuite un début d'année ou nous sommes tous coincés dans un gymnase à cause d'une avalanche et juste après nous sommes mis en quarantaine pour une sorte de maladie contagieuse. Alors oui en sortant de ce foutu endroit je m'étais précipité pour aller cuisiner. Ouaip c'est vraiment la seule chose qui peut me remonter le moral assez rapidement. Surtout qu'en étant enfermé le visage d'une personne revenait sans cesse : Morgan.  Moi qui sort d'une histoire assez mouvementée il faut que je m'attache encore à quelqu'un. Je  l'avais un peu évité depuis l'histoire de la grippe . Bref , en ce moment je me trouvais chez , dans ma chambre et devinez à faire quoi ? Des cookies ! Mais je fis très vite interrompus par l'arrivée de quelqu'un. Je me dirigeais très rapidement vers la porte pour beugait carrément en m’apercevant qu'il s'agissait de Morgan. «- Hey le tombeur de ces dames , qu'est ce que tu fous là ? » lui dis je en reprenant mes esprits et en affichant un grand sourire et en l'embrassant sur sa joue. N'empêche j'étais heureuse de le voir.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité



Natargan ∆ I think I miss you.
Février 2014

«- Hey le tombeur de ces dames , qu'est ce que tu fous là ? » Je lui souris. Pour elle, je n'étais que le tombeur de ces dames, et elle avait raison, je passais mon temps à essayer de coucher avec tout ce qui bouge. J'aimais les femmes. J'arrivais pas à aimer la femme. Ou l'homme d'ailleurs. C'était pareil avec les deux sexes. J'avais toujours besoin de nouveau. Il n'y avait que Lia, la mère de mon enfant à qui j'étais resté fidèle. Mais Natalina, c'était différent. Elle avait jamais voulu de moi. Ça m'attirait, profondément, peu être par défis, ou peu être parce que j'avais passé les dernières semaines à avoir son visage collé dans mes pensées.

"Je me baladais dans le coin et je me suis dit que ça faisait longtemps qu'on ne s'était pas vu."

Premier mensonge. Je suis pas un menteur. J'ai l'habitude de toujours tout dire de ce qui passe dans mes pensées, ce qui m'a valu bien des poings dans la gueule, mais là, j'y arrive pas. J'vais quand même pas lui sortir "eh bah écoute, j'passe mon temps à penser à toi, j'peux t'embrasser la genre maintenant qu'on est plus contagieux." N'importe quoi.


© charney

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
C'est fou à quel point je pouvais avoir un grand sourire à chaque fois que je le voyais. Surtout que je ne m'attendais pas à ce qu'il soit juste sur le palier de ma porte. Je le questionnais sur la raison de sa présence et sa réponse me fit sourire : «- Mouai dit plutôt que je t'ai manqué » lui dis je en souriant légèrement et en le tirant doucement par le bras pour le faire entrer. Je m'étais dirigée vers la cuisine pour mélanger doucement ma préparation en ajoutant mes pépites de chocolat. Morgan savait qu'il pouvait faire comme chez lui ici. « - Tu sais que tu as de la chance , tu pourras me dire ce que tu penses de mes cookies » m'exclamais je en enfournant mon plateau dans le four. «Alors qu'est ce que sa fait d'être plus malade ?! » lui demandais je en le regardant. Oui une vrai pipelette et je l'étais souvent quand j'étais nerveuse.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité



Natargan ∆ I think I miss you.
Février 2014
 «- Mouai dit plutôt que je t'ai manqué » Je souris en coin en entrant dans son appartement. Elle n'avait pas tout à fait tort sur le fond. Je lui répondit sur le ton de la rigolade en faisant un petit geste de la même pour montrer la façon dont elle m'avait manqué.

"Bon j'avoue, tu m'as un petit peu manqué."

Elle agrippait mon bras et nous nous dirigions vers la cuisine. Elle avait l'air d'être en train de préparer à manger, cool.« - Tu sais que tu as de la chance , tu pourras me dire ce que tu penses de mes cookies » Je lui souris d'avantage en regardant le plat. J'adorai les cookies, et après les dix kilos que j'avais perdu pendant l'hospitalisation, je pouvais me faire plaisir.

"Cool, j'ai fait une surdose de bouffe diététique spéciale malades."

La bouffe de l'hôpital, c'était dégueulasse, des trucs sans gouts, des compotes pas sucrées, des plats sans sel, et tous les jours la même chose. Moi qui étais habitué aux plus luxueux des restaurant, j'avais eu vraiment du mal à ingurgité toute cette nourriture trop fade. Je m'assis sur une chaise la regardant mettre son plat dans le four. «Alors qu'est ce que sa fait d'être plus malade ?! »

"C'est comme sortir de prison, je revis, sérieusement. Et toi ?"



© charney

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je l'avais évidemment fait entrer alors que j'enfournais mes préparations dans le petit four que j'avais , l'instrument indispensable pour moi. Il m'avoua ensuite que je lui avais manqué ce qui me fit beaucoup rire : «- Juste un peu ? T'es nul ! » m'exclamais je pour l'embêter. Puis il me parla de la cantine de l'hosto et je ne pu qu'être d'accord avec son jugement. En plus de passer son temps sur un lit , on avait le droit a de la bouffe dégueulasse ! «- Ne m'en parle pas , c'était une horreur. J'ai essayé de m'infiltrer plusieurs fois sans succès malheureusement ..En tout cas je suis bien contente d'être dehors c'est sur ! » lui dis je en me rapprochant de lui et en m'asseyant près de lui. J'étais ses paroles concernant notre libération et j' hochais la tête : «- Sérieux sa fait bizarre , a l'hosto je m'ennuyais à mourir et j'étais forcer de penser , je pensais vraiment trop.. Et là je me reprends la vie en pleine gueule.. Donc bizarre le retour pour moi »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité



Natargan ∆ I think I miss you.
Février 2014

Elle me signifiait qu'à l'hôpital, elle n'avait pas arrêté de penser. Je pense qu'on était tous pareil. On avait tous cogité pendant de longs moments, à force de rien foutre. Nos journée rythmées entre perfusions, cachetons, et autre prise de sang et aérosols. C'était pour le moins … Passionnant. J'aime pas les hôpitaux. J'suis un gars en mouvement, j'ai besoin de bouger, d'être libre. Là, je pouvais rien faire, ça me rendait dingue. J'avais même pas de guitare, même pas de PC pour composer. J'étais seul face à moi-même, avec une vague d'étudiants que je connaissais même pas. Et en bon asocial, j'ai pas prit le temps de les connaitre.

"Et tu pensais à quoi ?"

J'avais beaucoup réfléchis à ma façon de vivre vis à vis des femmes. Mais aussi vis à vis de ma fille. J'avais permis à Lia d'aller la voir, et je savais que tout changerait maintenant qu'elle l'avait fait. Je savais qu'elle allait par tous les moyens prouver qu'elle n'était pas d'accord pour abandonner l'enfant. Si seulement elle pouvait comprendre que j'ai tout fait pour ma fille.



© charney

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Penser à quoi ? C'était vraiment une belle petite question piège. Qu'est ce que je devais lui répondre ? à lui ? Qu'est ce qui m'a pris de lui dire que je ne faisais que penser ?! J'avais juste l'impression de devenir rouge tout d'un coup. Je lui faisais un petit sourire de facade pour ne pas lui montrer une tête perplexe : "- Je m'en souviens plus ." lui dis je simplement. Un gros mensonge , heureusement que je m'appelais pas Pinocchio parce que je vous dit pas l'état de mon nez si sa avait été le cas. "- Au faiteTa fille va bien ? tu veux boire un truc ? Tu veux une bière ? " pleins de questions en même temps pour lui faire oublier que j'étais gêné.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité



Natargan ∆ I think I miss you.
Février 2014

Au vue de son teint virant au rouge, je pense qu'elle savait très bien à quoi elle avait songé tout ce temps. Elle ne voulait juste pas se l'avouer, me l'avouer. Peu être quelqu'un, un homme dans sa vie. On parle jamais de nos conquêtes respectives. Peu être que notre amitié est un peu trop faiblarde pour ce genre de sujet.

"Cat' va bien, elle était contente de me retrouver, "Tonton Momo" lui a manqué, à elle aussi."

À elle aussi. Je jouais sur les mots, j'espérais que j'avais manqué à Natalina. Tonton Momo, c'était ainsi que ma propre fille me voyait; avec ma famille, nous avions décidé que j'étais bien trop jeune pour avoir un enfant, il y a cinq ans, et mon oncle en mal d'enfant l'avait adopté avec sa femme. Elle était heureuse comme ça, Cat.

"Je veux bien une bière, oui, s'il te plait."



© charney

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
 C'est dingue , même avec mon frangin je deviens pas aussi rouge. Il faut que je me calme parce qu'il va me prendre pour une folle. Alors oui comme une lache j'avais préférée changer de conversation et passer à autre chose. Il me parla de sa fille et ces paroles me firent sourire. J'adore les gosses "- A elle aussi ? A qui d'autre le mini Warner peut il manquer ? Je sais pas toi mais moi je pense automatiquement à une horde de nana en chaleur haha " lui dis je pour rire . Puis je m'étais lever pour attraper deux bière dans le frigo et en lui donner une pour me remettre à ma place. "- Voila pour toi mon mignon " lui dis je en décapsulant la boisson. "- Au faite , aucune infirmière a essayer de te draguer ?! < lui demandais je. Je regrettais très vite cette question parce que bizarrement sa me faisait éprouver des sentiments que je n'avais pas habitude d'avoir : la jalousie. Putain sa ma rendu dingue l'enfermement je crois. /blockquote>
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)