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(flashback) Just gonna stand there and watch me burn ► Walter&Camille

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Lorsqu'elle lui retourna sa remarque pour les donuts, Walter sourit en lui demandant si elle n'était pas un peu susceptible. Elle sourit à son tour en faisant un signe de dénégation, pourtant il arrivait qu'elle soit susceptible. Surtout avec ceux qu'elle aimait, et qui la faisaient de ce fait tourner en bourrique. Walter prit une nouvelle gorgée de son café, et elle l'observa longuement, profitant de ce moment de complicité de d'échange simple. La sensation qu'être épiée qu'elle avait ressenti dans sa chambre n'était plus là. Ici, dans ce café désert au beau milieu de la nuit, elle avait l'impression de trouver son premier bol d'air frais depuis des jours. Faith aurait-elle souhaité ça ? Qu'ils se soutiennent l'un l'autre, d'une certaine manière ? Elle était trop perdue pour trouver une réponse à cette question, ne parvenant pas encore à oublier ce sentiment amer de l'avoir trahie. Pourtant en cet instant, sans pouvoir dire pourquoi, elle eut l'espoir tangible qu'un jour la culpabilité ne serait plus là. Lorsqu'elle s'intéressa un peu plus à sa famille, Walter ne sembla pas gênée, ce qui la rassura. Elle n'avait pas envie de le mettre mal à l'aise ou d'être indiscrète. Il se confiait peu, elle le savait. Mais à son grand plaisir il lui répondit tout de même avec naturel: Oui, c'est le président de cette .. confrérie. Camille esquissa un sourire en voyant avec quel dégoût il parlait de la Mather House. C'est mon frère adoptif, c'est pour ça ... tu sais les cheveux ... t'as bien vu qu'on se ressemble pas. Mais je le considère vraiment comme mon frère de sang, on sait qu'on peut compter les uns sur les autres. Et puis tu sais, avec lui en président, j'ai rien à craindre des Mathers, c'est plutôt rassurant pour un Eliot. On est souvent sur le qui-vive avec le nombre crasses qu'ils préparent ! Elle sourit quand il parla de ses cheveux, et à y réfléchir, c'est vrai qu'ils ne se ressemblaient pas vraiment tous les deux. A les voir côtes à côtes, on ne dirait pas "tiens ce sont des frangins eux !". A première vue, ils n'avaient aucun traits en commun, physiquement ou non. Enfin, c'était à première vue, elle ne les connaissait pas assez pour en juger, surtout Alexander. Me dit pas que vous leur faites pas des crasses vous aussi dit-elle avec un petit sourire malicieux. Elle avait toujours trouvé cette petite guerre amusante, du moins quand ça ne partait pas en baston. Mais c'est sur que ça a des avantages d'avoir un frère président Mather quand t'es Eliot. C'est cool que vous vous entendiez bien ajouta-t'elle en brisant un bout de muffin avec ses doigts, avant de le mettre en bouche. En ce moment, Camille aurait elle aussi aimé avoir un frère ou une soeur, des vrais, à qui elle aurait pu se confier sur le merdier dans lequel elle était fourrée. Tout naturellement, Walter lui demanda en retour si elle avait des frères et soeurs. Sa gorge se noua quelque peu, bien qu'elle s'était attendue à cette question. Elle avala son muffin et pris une gorgée de café avant de répondre. Oui... enfin, j'ai un demi-frère, Demyan. C'est le fils du mec de ma mère. Sinon je suis fille unique.  
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La guerre Eliot et Mather, un débat sans fin ! Elle n'y croyait pas quand il disait que c'était uniquement les Mather qui les cherchaient, et Walter confirma en riant qu'eux aussi leur cherchaient des noises, mais que c'était tout de même eux les plus malfaisants. Lorsqu'il lui avoua à quel point il ne pouvait pas se les voir en peinture, Camille fut à la fois amusée et assez impressionnée devant cette hargne qu'il y avait entre les deux confrérie. Les Cabot elles s'entendaient relativement bien avec tout le monde, et il n'y avait pas de conflit avec d'autres maisons. Peut-être simplement une petite rivalité avec les Winthrop, mais rien de méchant. Cependant en entendant les paroles de Walter, elle se garda bien de lui dire que la Mather House avait été son second choix de confrérie. Elle qui aimait tellement la fête et côtoyer le danger c'était sentie attirée par cette maison. Mais son désir pour la Cabot House avait prit le dessus, et aujourd'hui elle ne le regrettait nullement. Oui, je suis content de l'avoir comme frère, je sais que je peux compter sur lui. Il est un peu spécial mais il est cool. Je te le présenterai, je suis persuadé que vous pourriez bien vous entendre dit-il en parlant d'Alexander. Assez surprise, Camille fit un petit sourire gêné. Il parlait sérieusement ? Elle se sentit soudain bien plus proche de lui qu'elle ne l'avait jamais été, et pourtant ils l'avaient souvent été... mais pas de cette manière. Elle avait envie de découvrir cette part inconnue de Walter, de partager et d'échanger de choses avec lui... mais tout cela allait totalement à l'encontre de ce qu'ils avaient convenu au départ de leur relation. Pas d'attache, pas de sentiments. Et elle savait qu'en apprenant plus sur lui, elle allait irrévocablement s'attacher. J'adorerai le rencontrer dit-elle néanmoins, choisissant en quelque sorte de faire fi de tout ce qu'ils avaient pu se dire par le passé. Avec ma soeur et lui, on est inséparables, c'est cool d'avoir une famille unie. Une famille unie, elle en avait toujours rêvé. C'était en quelque sorte la chose qu'elle désirait le plus dans sa vie. Mais ça faisait longtemps qu'elle y avait renoncé. Oui, tu as de la chance dit-elle avec un sourire. Il lui demanda alors à son tour si elle avait des frères et soeurs, et elle avait répondu positivement en parlant de Demyan. Demyan, ça me dit un truc comme nom. J'crois qu'y'a une eliot qui le kiffe ou qui sort avec c'est ça ? Et paf la réalité qui vous rattrape en quelques secondes. Alors c'était donc ça la réputation de Dem ? Le mec qui se faisait courser par cette pétasse ? Elle avait cru qu'elle était la seule à se rendre compte de cette situation, mais de toute évidence, elle avait surtout été la seule à les capter aussi tard. Ouais, Roxanna dit-elle en avalant une longue gorgée de café. Je peux pas me la voir dit-elle finalement, se confiant davantage. Peut-être un peu trop.  
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Roxanna. Quand Camille pensait à elle, c'est limite si elle n'avait pas des envie de meurtres. Cette fille représentait tout ce qu'elle détestait, puisque apparemment il ne s'agissait que d'une simple histoire de cul entre elle et Dem, sinon quand elle le lui avait demandé il lui aurait dit qu'il ne c'était rien passé entre eux. Non il y avait plus et ça... ça la rendait malade. Walter sembla comprendre qu'il s'agissait d'un terrain glissant, lui disant qu'on ne pouvait pas aimer tout le monde. Elle leva les yeux vers lui avec un sourire, reconnaissante de voir qu'il ne la jugeait pas pour les paroles un peu dures qu'elle avait pu dire. Il rit même légèrement, certainement pour ne pas qu'elle se morfonde. Elle se demanda alors si il connaissait Roxanna, étant donné qu'ils étaient dans la même maison. Mais cette pensée fut vite chassée par ce qu'il lui dit ensuite. Tu sais, ça me fait plaisir qu'on soit là. Je ne pensais pas qu'on aurait des petits moments de ce genre tous les deux, honnêtement. Elle aurait pu se dire qu'il sortait certainement cette phrase à toutes les nanas qu'il draguait, mais étrangement, elle avait dépassé ce stade de suspicion pour ne se concentrer que sur l'instant présent, décidant de le croire. Et son "honnêtement" raisonna en elle comme un gage de bonne foi. Oui c'est vrai, elle non plus n'aurait pas imaginé qu'un jour elle se retrouverait en pleine nuit dans un café avec lui, à discuter de leur familles autour d'un muffin et d'un donut. Ca faisait limite scénario de série familiale. Mais ses paroles la réconfortaient, découvrant qu'elle aussi était heureuse d'être ici, et que tout ça était partagé. Honnêtement, moi non plus dit-elle avec un sourire, en reprenant ses paroles. Se retrouver ainsi, en savoir plus sur toi... je crois que ça me fait du bien dit-elle en se dévoilant un peu plus. Elle ajouta alors après un instant d'hésitation. J'ai l'impression de pouvoir te faire confiance Walter... dis moi si je me trompe. Peut-être qu'elle en avait trop dit, qu'à présent il allait se servir d'elle comme il le faisait avec tant de filles... mais tant pis. Il lui dit alors qu'elle ferait mieux de faire attention à sa réputation comme à présent on les avait vus ensemble. Elle rit en se disant qu'il n'avait peut-être pas tout à fait tord mais... elle s'en foutait de tout ça. Je me fiche de ce qu'on peut penser. Il y a ce que pensent les gens, et ce qu'on en pense nous. Et moi je pense avoir le droit d'aller boire un café avec qui je veux quand j'en ai envie dit-elle en lui faisant un sourire, finissant la dernière goutte de son café.    
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Walter savait vraiment manier les mots. En quelques phrase la situation devint plus légère, bien que le poids de ses paroles n'en était pas moins lourd. Chaque mot semblait s'inscrire dans sa tête au feutre indélébile, perçant un peu plus la carapace qu'il s'évertuait à revêtir. Il souhaitait qu'elle puisse lui faire confiance, qu'elle puisse compter sur lui. Je t'apprécie autrement qu'au lit, chérie. Cette phrase lui décrocha un nouveau sourire, mais la rassura aussi. Longtemps elle avait pensé que Walter la prenait pour une sorte de distraction, un jouet, même si il ne lui avait jamais manqué de respect. Et cette situation lui convenait à l'époque. L'époque où il ne sortait pas encore avec Faith, ou simplement celle où celle-ci était encore en vie. Ce temps où elle avait besoin de lui pour se sentir désirée, alors que Demyan lui ne lui accordait pas un regard. C'était fou de voir à quel point les choses pouvaient changer rapidement. Les paroles de Walter étaient sincères, et trouvèrent écho en elle. Elle voulait le croire, non. Elle le croyait. Elle savait maintenant qu'elle avait une épaule sur laquelle s'appuyer, et qu'il l'appréciait elle, et pas seulement ce qu'elle pouvait lui donner au lit. J'aime bien comment tu raisonnes Dickens, tu rends un peu de prestige aux Cabots. La plupart sont tellement cruches. Je sais que ma cousine se donne du mal en tant que présidente, mais vous avez décidément cette étiquette qui vous colle à la peau dit-il l'air taquin. Il essayait de la provoquer là non ? Je ne peux décemment pas te laisser dire ça Reynolds. Si tu nous entendais parler de vous... crois-moi tu serais bien surpris. Elle se tut alors, souhaitant laisser planer un peu de mystère tout en mangeant le reste de son muffin. Il lui confia alors que ça lui faisait plaisir qu'elle se fiche de l'avis des gens, mais aussi qu'ils apprennent ainsi à mieux se connaître. Qu'elle n'était pas du genre à juger les gens sur des ragots. C'était vrai, et en cet instant elle ne regrettait pas une seconde d'agir ainsi. La réputation de Walter était si limitée comparé à ce qu'il était réellement. Les gens avaient tendance à se nourrir des pires crasses qu'on pouvait trouver sur les autres, leur collant alors une image qu'ils ne pourraient plus jamais effacer. Walter serait toujours le mec qui a trompé sa copine et qui s'est suicidée par sa faute. Comme elle même serait peut-être un jour la fille stupide qui couche avec Walter, ou encore celle qui pratique l'inceste avec son demi-frère. J'aime beaucoup quand tu es honnête dit-elle légèrement, essayant de le faire rire. Moi aussi, j'aime beaucoup apprendre à te connaître, et surtout j'aime ce que je découvre dit-elle en évitant son regard, pour finalement plonger son regard sincère dans le sien. Ca faisait tellement bizarre de lui dire tout ça. Elle avait l'impression d'être dans un film. Pourtant elle avait l'impression que c'était important de prononcer ces mots, et que ce soir, là dans ce café miteux, ils pouvaient tout se dire.    
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Lorsqu'il l'avait taquinée sur les Cabot, elle n'avait pu s'empêcher de rispoter même si au fond, elle savait qu'il avait raison: on leur collait facilement l'étiquette de filles un peu bêcasses, et facile à embobiner. Les Winthrop passaient d'ailleurs un malin plaisir à confirmer cette rumeur en les attirant dans leur lits... mais quand même ! Elle se devait de les défendre. Elle l'avait alors taquiné à son tour sur sa maison, mais Walter ne s'était pas laissé impressionné. Non tu sais, j'entends tellement d'énormités que je ne pense pas être surpris sur ce que vous pensez de nous ... C'est pas beau la jalousie ! dit-il en souriant, se pinçant légèrement les lèvres. Camille leva les yeux au ciel, faisant semblant d'être agacée mais son sourire devait certainement la trahir. Un court silence s'installa entre eux, durant lequel elle le scruta derrière son café, quelque peu fascinée par ce personnage qu'était Walter. Combien de fois allait-il la surprendre encore ? En une nuit, elle avait l'impression d'en découvrir bien plus sur lui que pendant tout ces mois où ils s'étaient vu en cachette. Lorsqu'elle lui avoua qu'elle aimait apprendre à le connaître, mais surtout ce qu'elle découvrait, il lui dit qu'il en serait presque gêné, un grand sourire étirant ses lèvres. Quoi, sérieusement ? Elle avait réussit à gêner Walter ? Et en effet maintenant qu'elle le fixait, elle remarquait qu'il devenait écarlate.    Un petit sourire apparut sur ses lèvres mais avant qu'elle n'ait pu dire quoi que se soit, il attrapa ses jambes avec les siennes sous la table. Arrête de me dire des trucs comme ça, je vais être mal à l'aise. Surprise, Camille sursauta avant de commencer à rire. Hé mais j'ai rien fait moi ! dit-elle avec un sourire, amusée de la situation. Se prenant au jeu, elle remua alors les jambes comme pour se libérer, mais Walter ne se laissait pas faire. Qu'est-ce qui lui prenait tout d'un coup à agir comme ça ? Apparemment il était vraiment gêné. J'ai réussi à faire rougir Walter dit-elle l'air rêveur, comme si elle avait accompli un exploit.    
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