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i said hey, what's going on ? ~ joan

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I know you want it  :loukas:  :loukas: 

Joan la courtisane, justicière qui lutte contre la panne. Ça lui allait bien, dommage qu'on parlait de prostitution, de Lindley qui vend son corps au Brésil en échange de fesses à la Beyonce. Il fallait quand même être sacrément tordue pour bâtir ce projet professionnel mais soit, chacun est libre de faire ce qu'il veut, même Joan. Enfin Cody se gardait tout de même un droit de veto sur ses activités, mais il préférait garder encore quelques distances avec elle … à moins que ce soit elle qui les franchisse. Oui, il avait cherché à savoir la suite logique de cette soirée, du moins, ce qu'en pensait la Quincy. Mais là … Cody se sentait aussi paumé que dans un QCM à points négatifs. L'ultime question ; qu'allait-il advenir d'eux dès lorsqu'ils cesseraient de jouer à la petite fille et son Teddy Bear ? Salut, au revoir, content de t'avoir revu ? Les propositions de Joan n'aidaient aucunement Cody, elles ne le satisfaisaient pas. Ou si, dans un sens, mais quoiqu'ils fassent, quoiqu'ils choisissent, jamais rien ne semblerait naturel. Quelle case cocher ? Quelle case ne pas cocher ? Faut-il cocher quelque chose ? Cody ne connaissait pas la réponse et avec le bol qu'il avait, il ferait le mauvais choix et raterait son examen. Ou si un petit farfadet irlandais passait dans le coin, il jetterait un sort à Bleeker pour le guider vers la voie de la réussite ! Dans ce cas, il réussirait haut-la-main son épreuve, il serait diplômé de sa relation avec Joan et partirait à la conquête de la vie sexuelle active. Parfait. Sauf que les farfadets n'existent que dans les contes, Harry Potter et dans la Nouvelle Star. Nulle part ailleurs, malheureusement pour Cody. Il fallait choisir, on ne l'aiderait pas, même pas Joan. Enfin si, elle l'aidait un peu par l'effervescence engendrée par sa simple chaleur dans son cou, elle en éveillait tous les neurones à dopamine du jeune homme, d'ailleurs ses connexions interneurones ne s'étaient jamais autant activées à provoquer ces sensations en ébullition … Oui, le système nerveux m'avait passionné en première. Mais tout cela, aussi bon soit-il, effrayait l'éternel gamin qui sommeillait en Bleeker. Jessica. Voilà son objectif, voilà comment s'appelait la mission qu'il menait d'une hargne de fer. Et pas sûr qu'une distraction comme Joan serait une bonne chose. Oh bien sûr, il s'agissait d'une agréable distraction, ce n'était pas péjoratif, juste qu'il ne fallait pas qu'il oublie pourquoi il était à Harvard car Joan entrerait de nouveau dans sa vie. « Attends, attends, attends ... » Il recula d'un pas, rompant sèchement tout contact et échange de tête-à-cou avec elle sous peine d'être déconcentré immédiatement et éloigné de ses intérêts principaux. « En fait tu suggères quoi, là ? Car tu me paumes avec tes phrases dont on ne voit pas le point. Je … Quoi ? Tu ne veux pas être mon amie ? Mais tu ne veux pas être séparé de moi et en même temps tu ne veux pas m'embrasser. Là, il va falloir ce que tu veux, que tu fixes des règles, que tu … Je ne sais pas. J'ai envie de me sentir avec toi comme dans Léa passion cheval, pas comme dans Grand Theft Auto où le danger est partout et où il n'y a aucune autre règle que la loi du plus fort. » Ou au pire, ils se laissaient vivre, tous les deux, sans se poser de questions, sans rien, sans se dire qu'ils étaient un couple, sans se dire qu'ils étaient amis, oubliant les éventuels sentiments … Eventuels ? Non, ils étaient clairement là. Ouais, qu'importe ce que dicterait Joan, Cody n'obéirait qu'à la loi de son pénis cœur.
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quand tu veux on fait une battle de gif :loukas:
Le froid est pour moi le prix de la liberté i said hey, what's going on ? ~ joan - Page 4 1116103942 Avant toute chose, Joan se racla la gorge et s'éloigna un peu pour reprendre un peu de contenance et pas ressembler à une gamine à qui on vient d'arracher sa poupée préférée. Alors Cody avait peut-être le droit d'être perdu, mais selon les lois de parité homme-femme, la jeune femme exigeait de pouvoir ne pas savoir où elle en était. Si elle avait envie de l'embrasser? Est-ce que Amber Heard est blonde ? Réponse aux deux précédentes questions : oui. Elle aurait tout autant aimer que Bleeker ce qui allait se passer après. C'était pour ça qu'il y avait l'horoscope, l'astrologie, les lignes dans les mains. Seulement il n'y avait pas de voyante à la Whoopy Goldberg dans le coin. Alors oui, ils allaient devoir faire sans. Il voulait des règles ? Quel genre de règles elle pouvait lui proposer ? Se retenir de pas se sauter dessus, ne plus partager d'éléments intimes style une fille ou un animal de compagnie en cas de rupture, ne pas parler de futur ça porte la poisse, ou alors, ne rien se confier sur leurs sentiments si jamais ça marchait pas, ne pas parler de ce qu'ils ont fait pendant un an et avec qui. « Même si je te proposais des règles, on les suivrait pas, on a jamais suivi aucune règle. Tu crois vraiment que ça marcherait si je te disais par exemple qu'on ne mélange pas nos vies, que tu fasses ton truc de ton côté, et moi pareil ? » Il voulait quoi au juste ? Une proposition du genre « bah écoute si ce soir on dérape c'est pas grave, puis on recommence quand on veut, ça n'engage à rien, on a qu'à pas sortir ensemble mais se revoir officieusement ? » C'était peut-être ce qu'il fallait faire oui. Dans l'état second où elle était, où elle se demandait à chaque instant si Bleeker ressentait ce qu'elle ressentait, elle aurait même accepter de n'être que sa femme de ménage en attendant mieux. La brunette voulait clairement faire partie de l'horizon qui entourait Cody. Elle voulait que ce soir soit le commencement de quelque chose, ce que L'impression soleil levant avait été à l’Impressionnisme pour prendre un exemple qui fasse bien. Le début de qui, de quoi ? Elle aurait bien voulu savoir. Alors peut-être que la solution de la relation libre, du quand tu veux où tu veux allait rencontrer un grand succès auprès du jeune homme, mais Joan hésitait. Au début ce serait merveilleux, régulièrement, elle reverrait Cody, aurait l'impression d'être comblée, ça serait entre eux, elle serait heureuse de l'avoir retrouvé, ce serait génial. Ca aurait génial. Si Frances avait été sure de son degrés d'amouritude pour lui. Seulement elle ne savait pas si elle l'aimait parce qu'il lui avait manqué ou si ça allait aller en empirant – pas que ce soit mal au contraire – ou si la flamme allait lentement s'éteindre et mourir. Dans le dernier cas ce n'était pas un soucis, dans le premier non plus. Mais si ça allait crescendo – dirait-on dans le jargon musical – elle ne supporterait pas cette situation longtemps. Au bout de quelques mois elle commencerait à être jalouse, et elle voulait à tout prix éviter les scènes de ménage, même si avec de l'expérience elle voyait bien qu'un bon coup de gueulante valait mieux que partir en courant. « Ou alors, on part en roue libre, on lâche le frein à main, le frein moteur, on se voit quand on veut, si on veut, tu continues à mener ta vie de ton côté et moi la mienne du mien. Même si dans six mois on risque de se taper dessus. Sérieux Cody je sais pas, je sais même pas ce qui se passe dans ta vie depuis un an, tout ce que je remarque c'est que tu es à Harvard, tu n'y es pas arrivé comme ça et tu n'as pas fais qu'étudier pendant un an. » Elle inspira, expira, essaya en bref de se rappeler comment on respire. « Je sais pas ce qui se passe dans ta tête, et je veux pas décider pour toi, je veux surtout pas qu'on fasse un choix par défaut parce qu'on est deux ex trop désespérés et que... tu me manques. »
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Non mais forcément tu sors THE baiser fougueux de Nick Miller, c'est de la triche ! Je peux pas rivaliser :no:


Parfois, les règles ont du bon. Les règles de l'organisation mondiale du commerce permettaient une libéralisation des échanges par la chute des barrières douanières et, de ce fait, l'enrichissement des nations. Malheureusement, cela se faisait en dépit de l'appauvrissement des pays les plus pauvres, ou PED pour les intimes. Donc il est vrai que Cody était perplexe. Devait-il se considérer comme une nation riche style les USA ou le Canada ou comme le Senegal ou le Laos ? Sortirait-il enrichi des institutions fixées par Joan ou, au contraire, dépérirait-il dans d'atroces souffrances comme lorsqu'elle l'avait quitté la première fois ? Non, toujours se rappeler du passé, de l'expérience. C'est l'expérience qui permet de mieux avancer dans la vie et là, Cody allait écouter son cœur et refuser toute règle. C'est le mieux à faire, même Joan le disait. Attendez … Depuis quand il écoutait Joan ? Non, il ne fallait pas. Règle numéro 2 ; ne jamais obéir à un poney, même s'il a de jolis yeux et des sabots vernis. « ça n'a pas beaucoup marché lorsque nos vies étaient liées tu sais ... » En effet ; dès lors que Cody avait offert une place au premier rang dans sa vie à Joan, cette dernière avait pris la fuite à cause d'une ex un peu trop déglinguée et terriblement possessive à l'égard de sa fille et du père de sa fille. Maintenant le problème de l'ex et de la fille ne se posait malheureusement plus mais là n'est pas le sujet. Puis Lindley parlait, parlait, parlait … Sans pause, sans rien, sa voix disait 'je sais pas, je veux pas' mais son corps criait 'de l'air, de l'air, de l'air' comme dans la chanson Jalouse de Mademoiselle K. Trop d'information à assimiler pour son petit cerveau, à décrypter. Au final, elle le perdait plus qu'elle ne guidait Cody, lui qui aurait bien aimé être muni de petits cailloux blancs se retrouver ou d'un Power Point pour synthétiser ce surplus de théories indigestes. Il en avait marre, il avait l'impression que son cerveau allait exploser en milles parcelles, un truc tellement gore que ça ferait les gros titres dans tous les tabloïds du monde entier. Et au final, lui aussi lâcha prise mais contrairement à Joan, il n'eut pas besoin de s'user les cordes vocales. Non, il se révélait footballeur qui n'avait que pour objectif d'aller droit au but. « Bordel, tais-toi, tu me saoules. » BAM. Un élan de folie suffit pour qu'il prenne possession des lèvres de Joan, dépeignant de ses doigts sa chevelure, se souciant nullement des répercussions que ça pourrait avoir. Si un battement d'ailes d'un papillon quelque part au Cambodge déclenche sur un autre continent le plus violent des orages, qu'en est-il d'un baiser entre deux ex dont l'histoire n'est visiblement pas tout à fait finie ? Hein ? On sous-estime souvent la force de ces gestes irréfléchis, n'obéissant qu'à des pulsions refoulées pendant une année entière. Un an. Douze mois. Trois cent soixante-cinq jours à inhiber des envies qui, finalement, n'aurait jamais dû être inhibée. Comme secouer une bouteille de Coca-Cola. Ce n'est pas parce que tu attends avant de l'ouvrir qu'elle ne va pas exploser dans tes mains. Et ce baiser maladroit, imprécis, tellement fougueux pourtant et régi par un défaut de résistance et de volonté de la part du jeune homme, donna naissance à une gêne intense dès qu'il fut question de regarder Joan dans les yeux. De son index, il pointa la commissure de sa lèvre et murmura ; « T'avais quelque chose sur … Je sais pas, un truc blanc qui coulait … Après c'est pas mes affaires, tu fais ce que tu veux mais ça me démangeait depuis le début de la soirée. » Elue excuse la plus bidon de l'année 2014. Il laissa retomber son poing contre le bar avant de choisir de s'éclipser, pensant qu'il s'agissait du mieux à faire. « J'ai un rendez-vous. » Tête baissée, il s'enfonça dans la foule, même pas certain d'aller dans la direction de la sortie.
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C'était une vraie scientifique, elle cherchait à expliquer ce qui était inexplicable. Pourquoi se poser la question pendant dix ans, à force de réfléchir, Joan raterait sans doute pleins d'occasions dans sa vie, et à force de fuir Cody connaîtrait le même destin. Ses lèvres n'avaient pas le goût du gloss à la cerise qui plaît tellement à Katy Perry, en même temps ça aurait été inquiétant si le jeune homme se maquillait. Non c'était le goût de Bleeker, inimitable depuis 1989. La jeune femme aurait voulu s'impliquer plus dans le baiser, mais elle était trop surprise, c'était comme quand une certaine seconde avait découvert le sujet de son contrôle sur les moles, elle se demandait ce qui lui arrivait. Battements précipités du cœur qui s'enfuit au galop vers une contrée lointaine appelée le Désir. Personnification et transposition animalière. Deux figures de style dans la même phrase, deux personnes dans le brouillard breton qu'ils montrent à la télévision. La brunette essaye de connecter son cerveau deux secondes, juste à temps pour se rendre compte à quel point ça lui faisait plaisir, mais aussi l'envie de recommencer encore et encore et encore. Puis elle fit un micro AVC quand il se détacha d'elle. Elle avait vu un fantôme, le fantôme d'un passé pas si passé. Elle avait eu peur de ce qui se passerait, mais ce baiser lui offrait un tout nouveau truc à rajouter dans la succession d'émotions traversées ce soir-là : l'espoir. Prince Baiser réveillait princesse Je crois que je suis encore amoureuse. Frances aurait bien voulu lui demander, lui demander quoi ? Si... Mais pendant que Lindley était perdue dans ses songes merveilleux pleins de petits papillons dans le ventre et d'étoiles dans les yeux – sans télescope cette fois – le Lowell prenait la fuite. Quand se rendit compte qu'elle était face à rien, à personne juste toute seule, elle paniqua. Pourquoi il la laissait toute seule ? Il pouvait pas l'abandonner comme ça, la laisser dans cet état second, comment elle allait vivre normalement maintenant ? Elle avait l'impression d'avoir de nouveau rompu avec lui, elle allait repasser de longues semaines à croire le voir un peu partout. Elle jeta un regard autour d'elle, aperçut le haut de sa tête, l'avantage d'être grand – ou l'inconvénient ça dépend du point de vue et de la situation – c'est qu'on est facilement visible. Allez, bouge ! Premier pas, elle trébucha, avant de se lancer à la suite de Bleeker. « CODY ! » Elle bouscula de trois personnes au passage, Oh ça va, elle était en pleine course au ralenti comme au début de Twilight 2. Puis un couple lui boucha la vue, et le temps qu'elle les pousse de son chemin, elle avait perdu de vue le jeune homme. Elle aira encore un peu, on sait jamais, elle aurait voulu se réfugier dans les toilettes des dames, mais il n'y en avait pas. Elle finit par retrouver la sortie, après avoir déranger une dizaine de personnes en pleines séances de léchouillage. Elle voulut mettre ses mains dans ses poches, mais il n'y en avait pas sur cette foutue robe. Elle faillit se mettre à pleurer en plein milieu de la rue à cause d'un manque de poches. Que de ça ? Pas vraiment non.
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