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i said hey, what's going on ? ~ joan

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Joan, cette fille est … Exceptionnelle. Cody le pensait vraiment. Elle était typiquement le genre de meuf à pousser un soupir de soulagement en apprenant que son ex vivait de nouveau chez môman après avoir été littéralement viré par son ex. D'autres le plaindraient mais pas Joan, non, Joan était contente. Tu rates ta vie, elle sourit. Ahlalala. Quelle amie. En plus de cela, elle arrivait à prendre comme référence la saison 5 de Pretty Little Liars – saison qui, je le rappelle, n'est pas encore sortie – mais on lui pardonne car elle a une frange de poney et rien n'est plus beau qu'un poney. Sauf peut-être un poney avec des ailes mais c'est plus rare. Muni de son bouclier à turbo-réflecteurs (je sais pas ce que c'est mais je l'ai entendu dans le jeu de mon frère) invisible, Cody se paraît face aux remarques désobligeantes de Joan qui critiquait maintenant sa préférence pour le riz à poêler de Lustucru plutôt que les grains tendres d'Uncle Bens. Excuuuuuse madame-je-m'appelle-France-donc-je-prétends-m'y-connaître-en-gastronomie. « Non c'est faux, j'apprécie juste le croustillant du riz cuit à la poêle. » Voyant sa mine incrédule, Cody conclut avec un sourire hautain et une voix digne d'une pseudo bourgeoisie à la Blair Waldorf ; « Apparemment nous n'avons juste pas les mêmes valeurs. » Honnêtement, monsieur l'arbitre, qui cherche le plus la petites bêtes deux deux personnes ici présentes ? Si Joan rime avec Zlatan, c'est pas par coïncidence. Sous sa queue de cheval de petite fille parfaite se cachait une battante qui dribblait les piques aussi vite qu'un Pikachu au combat pour viser pile là où ça fait mouche. Donc oui, elle avait l'habitude de se moquer de lui. Satan. « Bientôt je serais imperméable à tes conneries. » soupira-t-il en levant les yeux vers la boule à facettes. Rester ? Elle ? Oui, elle devait rester, mais Bleeker ne devait pas faire le mec en manque de son ex, ne pas réclamer sa présence, ne pas être faible. « Ben … Tu fais ce que tu veux, t'es une femme libérée. » Dans sa tête, Cody entendait les mêmes muses que dans Hercule chanter à tue-tête 'ne la laisse pas tomber, elle est si fragileee être une femme libérée tu sais c'est pas si facile' mais ce n'était pas le moment de faire un instant fleur bleue, lui qui venait lui-même de se dézinguer en avouant vivre chez sa mère. On avait vu mieux en matière d'homme puissant et viril. « Si tu restes j'vais pas te rejeter. » Ah, y avait du progrès.
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Non il n'y avait commentaire à faire, elle s'était pas trompée, elle avait juste confondue avec Vampire Diaries. Tss. Sa franche était parfaite, merci de le rappeler, elle avait au moins la bonne idée de la faire couper par une coiffeuse expérimentée, par comme la petite sœur d'une personne que je ne citerai pas. Bref puisqu'elle était incapable de faire des références à des séries sans échanger les titres – pas se tromper – elle allait se contenter de savourer le riz de Cody ses petites victoires. La jeune femme sentait une nette amélioration dans leurs rapports vers... Vers quoi ? Déjà peut-être qu'ils arrêteraient un jour de s'envoyer des piques comme des gamins, bien que dans le genre gaminerie il y ait plus fort qu'eux, ils s'en sortaient pas trop mal. Et puis, peut-être qu'un jour il arrêterait de lui en vouloir de l'avoir laissé tomber, enfin ça c'était pas fini. Joan allait être gentille. « Tu gagnerais du temps si tu le faisais pas cuire du tout, je suis sure qu'il est parfaitement croustillant quand il sort du paquet. » Décidément, ça tournait autour de la bouffe cette conversation. Car comme vous le rappelle l'étudiante en cinquième année d'astrophysique, au cerveau sur-développé, on a pu entendre « nous n'avons pas les mêmes valeurs » dans la pub Bordeaux Chesnel. Et puis peut-être qu'elle était mauvaise actrice, mais Bleeker était plutôt mauvais en Queen B. Déjà il était trop poilu, et puis avec sa voix d'homme des cavernes, ça en devenait ridicule. « C'est ça, les mêmes valeurs, c'est pour ça que je vais obtenir une maîtrise puis un doctorat d'astrophysique et que je risque de sauver l'humanité d'une collision avec une astéroïdes et que le serai un Maître Yoda plus sexy pendant que tu seras un vendeur ambulant déguisé en hot-dog. » Oui un jour, ces deux personnes se sont aimées, un jour ils étaient inséparables – enfin pas tant que ça, ils ont bien fini par se séparer. La brunette se rendait compte que ce n'était pas que l'amant qui lui avait manqué, mais aussi l'ami. Enfin l'ami à qui elle balançait des vannes, de toute manière elle marchait comme ça, plus elle aimait, plus elle était méchante. Idiot ? Non très intelligent. Elle ne voulait pas laisser croire à ceux qu'elle aimait qu'elle leur était toute entière dévouée. C'était trop simple, du moment où ils comprennent que vous les aimerez quoiqu'ils fassent, ils se permettaient tout. Pas qu'elle aime Cody plus que ça, c'était un ex. Enfin pas tout à fait un. Pas un parmi tant d'autres. De toute façon c'est pas comme si elle en avait eu beaucoup. Frances afficha un grand sourire et commanda un verre afin d'accompagner Bleeker. « Alors je reste. » Sit and drink Pennyroyal Tea. Ah Nirvana. Il y avait toujours eu une connexion spéciale entre Joan et Kurt Cobain. C'est pas pour rien qu'il avait prénommé sa fille Frances Bean, c'est grâce à Joan-Frances ça. (Joan-Frances = 24 ans, Frances Bean = 21 ans => Cobain s'est inspiré des Lindley et pas l'inverse. CQFD. J'aime les maths. )
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Cody n'appréciait pas trop la manière que Joan avait de le voir. Surtout qu'il était en pleine croissance là, il essayait de progresser, de grandir, de faire n'importe quoi  tant que ça lui permettait de retrouver sa petite Jessica que son ex copine lui avait prise. Il détestait sa rupture avec Joan mais ce n'était rien par rapport au départ de Maggie avec leur fille. Donc oui, Cody avait eu une période de régression, mais ça allait mieux ; monsieur savait cuisiner les pâtes. « ça fait mal aux dents ... » soupira-t-il de tristesse. Oui, sa flemme l'avait déjà conduit à prendre un paquet de riz, à piocher dedans devant la télé comme il le ferait avec un pot de pop-corn. Fidèle à elle-même, Joan activa le mode je-sais-tout-sur-tout-surtout-sur-ce-que-je-sais-pas et vendit ses supers études qui lui seront certainement très utiles quand elle ira pointer à Pôle Emploi. Pas peu fier de ses études bien qu'il n'y comprenait strictement rien, il renchérit pour ne pas se laisser démonter par Joan car elle n'avait visiblement pas capté que monsieur étudiant à Harvard lui-aussi. Ben ouiii, apparemment ça semblait sur-humain qu'il puisse suivre des cours. « Très utile. Moi j'vais devenir un magnat de la finance, je vais contrôler le monde car j'aurais en ma possession tous les capitaux des plus grands de ce monde, Bill Gates, Montgomery Burns et Picsou. Je pourrais ruiner n'importe qui en un claquement de doigts. J'inspirerais la peur, contrairement à toi avec ton astéroïde pourri. On va tous y passer t'façon, si tu crois qu'on a plus peur d'un caillou géant que de finir à la rue. » Cody oui, il avait plus peur du caillou parce qu'il savait très que s'il finissait à la rue, il irait chez sa maman comme il l'avait fait quand Maggie l'a jeté à la porte. Etrange de se retrouver face à Joan, encore plus de rester avec elle, boire un verre comme s'il n'était qu'avec une amie. Sauf que non, malgré tous les efforts que pourraient réaliser Cody, jamais il ne la considérerait comme une amie. Au début de leur relation, oui, mais ils étaient sortis ensemble, avaient rompu et il mentirait s'il prétendait qu'il ne ressentait absolument plus rien pour elle. Oh, bien sûr, il se voilait la face, n'oublions pas qu'il était de race masculine, poil au menton, saucisson entre les pattes et handicap des sentiments. Tout ce qui le classifiait parmi les hominem (je fais du latin (merci wikipedia) :hum:) et qui le rendait si peu supportable par moment. Se tournant vers le bar, il tapota du bout des doigts le marbre, observant la liste de boissons proposées par ce club. « Tu veux boire quelque chose ? Y a la gayquila sunrise qui a l'air pas mal, ou la margayrita, le boyz lagoon … » Quels noms étranges pour des cocktails quand même, Cody fronça un sourcil en parcourant le reste des yeux le reste de la liste. Machinalement et le plus discrètement possible, il toisa par-dessus son épaule l'assemblée derrière lui à droite … Et à gauche (oui à GAUCHE sale raciste des gauchers, ces gens si parfaits, si intelligents, si rapides du cerveau), constatant avec effroi que la densité de femmes au mètre carré était proche de zéro. Un petit coup de coude à Joan, il lui murmura ; « Pssst, j'crois qu'on est dans un bar gay. » Mieux vaut tard que jamais.
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Cody grandir ? Déjà ce n'était pas possible, parce que si Bleeker devenait totalement adulte, ce ne serait plus lui, et il perdrait tout son charme. Manquerait plus qu'il devienne un vieux chiant de vingt-quatre ans. Personne n'aime les gens ennuyeux. Et puis justement, il ne pouvait pas devenir comme ça, parce qu'il n'en avait pas la volonté. Chassez le naturel il revient au galop de poney. Qu'il prenne un peu de maturité pour gérer les affaire importantes, elle disait pas, mais le jour où il deviendrait adulte, l'humanité perdrait l'un des meilleurs grands enfants, et la jeune femme était même persuadée que ça allait mener à la fin d'une race déjà en danger. Elle ne s'empêcha pas de se foutre de sa gueule quand il évoqua un mal de dents. « Oui il faudra d'ailleurs penser à ta visite chez le dentiste pour soigner les centaines de caries que tu dois avoir à force de bouffer des bonbons sur ton canapé. » Il faudrait qu'elle voit avec sa mère pour savoir s'il y était allé cette année. Il fallait pas qu'il perde son rythme d'y aller tous les ans, sinon il aurait bientôt le même sourire que Rumpelstilskin, et si Rumpel était arrivé à pécho Belle, elle ne croyait pas franchement aux chances de Cody avec les femmes s'il se lavait pas les dents trois fois par jours. A coup sur il trouverait un moyen de se vanter d'avoir des dents pourries. Pas sexy. Et puis l'astrophysique c'était parfait comme sujet d'étude. Joan était hyper canon en astrophysicienne, elle avait un air de Britney Spears dans le clip de Oops, I did it again. En brune. Avec une frange. « Oh oh pour que tu égales Bill Gates et ... Picsou, il faudrait que tu fasses des études, non ? » Attendez cinq minutes. Il était toujours à Cambridge, et quelle université il y a à Cambridge ? « Attends, attends ! Tu es à Harvard ? » Ça ne lui semblait pas si impossible que ça, il n'avait pas son QI, mais il était suffisamment intelligent pour entrer dans cette université. C'était pire qu'elle le croyait. Il était à quelques mètres, centaines de mètres d'elle, et elle ne l'avait pas vu pendant un an. Non non non, Laurence répétez la question, je vais pas faire un tout ou rien sans être vraiment sûre. Réponse A : Bleeker était dans la même université que Joan et ils ne s'étaient pas croisés pendant un an. Le destin est bien fait ou le contraire ? Et d'ailleurs monsieur destin, c'était à ce moment-là qu'elle était censée dire un truc con comme « j'espère qu'on restera amis » ou « tu sais on devrait plus souvent boire un verre entre amis comme ça ». Non, elle était trop intelligente pour ça. Puis devenir amis, ça impliquait savoir la vie amoureuse de l'autre sans broncher. Alors ok, ça faisait un an qu'ils n'étaient plus ensemble et ils avaient bien le droit de voir qui ils voulaient, mais elle se sentait pas de rencontrer la prochaine dulcinée de Blee et de faire l'hypocrite avec des « je vous souhaite plein de bonheur et une longue vie ensemble ». Beurk, caca. Puis elle le regarda un instant comme les gens avaient du regarder Christophe Colomb quand il leur a dit que la Terre était ronde. « Tu crois ? J'avais pas remarqué tiens ! Je suis la seule personne de cette pièce à l'allure féminine qui ne soit pas un travestie Bleeker et tu le remarques que maintenant ? » Elle ricana. « Ou alors, tu te demandes si je suis pas un travesti. »
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Parler de riz, de pâtes, de rupture, d'astrophysique … ça tenait de la conversation à peu près normale qu'on pourrait avoir avec une ex. Et après ? Evoquer la buccodentaire de Cody ? Non. La prochaine question serait quoi ? 'As-tu dernièrement fait un examen de ta prostate ? C'est à ton âge qu'il faut s'en inquiéter.' Non, non, non. Désirant éviter toute dérive de ce type, avec la sécheresse d'un pain rassi depuis une semaine, il objecta ; « Je pense que ma dentition n'entre plus dans ta juridiction. » Juridiction, ou le mec qui a passé trop de temps devant des séries B et qui est trop fier de se la jouer incisif avocat-dentiste dans un croc tribunal. Des jeux de mots se sont glissés dans ma phrase, j'offre un appareil dentaire à la personne qui les trouvera. Comme il s'y attendait, l'annonce de Cody comme futur magnat de la finance éveilla une grande question chez Joan ; était-il à Harvard ? Il laissa quelques secondes de suspense avant que la sentence irrévocable ne claque dans l'air comme un vieux coup de revolver. « Je ne sais pas ce qui est le plus vexant entre le fait que tu n'aies pas compris que j'étais à Harvard ou que ça te surprenne à ce point que je puisse y être ... » Joan était toisée par l'oeil inquisiteur de Bleeker, avant que celui-ci expire bruyamment comme pour signifier toute son exaspération. Sur Terre, il était le premier à se prendre pour un con, mais aussi le seul qui en avait le droit. Heureusement que la conversation gagna en légèreté quand ils parlèrent de travesti. C'est toujours un sujet qui fait des émules, en soirée ça claque de parler de LGBT et compagnie. Et c'est très sérieusement que Cody s'engagea sur son terrain, embrayant directement sur Joan elle-même qui avait posé une presque-colle à l'étudiant. Heureusement, sa force oratoire surplombait tous les foutages de gueule du monde. « Non, non, toi je sais que tu n'es pas un travesti. Sauf si tu es allée au Brésil dernièrement pour une opération en vue de changer de sexe. Dans ce cas, je ne comprendrais pas pourquoi tu persisterais à t'habiller en femme. À moins que ... » Big silence. Regard rivé dans le vague, d'abord presque fougueux, ses yeux s'exorbitèrent petit à petit, comme un vieux ralenti de cartoon. Vous savez, comme quand Grominet voit Titi au loin, ou le coyote avec Bip-Bip, ou la moufette avec Pépé le putois ou Bugs Bunny avec Lola Bunny ou ... Je pourrais continuer longtemps comme ça, histoire de dire 'ouaissss j'ai fait un rp de 1000 mots en citant tous les tunes que je connais'. Mais I'm not going to be the person I'm expected to be anymore. « À moins que l'opération ait raté, dans ce cas je suis vraiment désolé que tu te retrouves avec Pompei entre les jambes. Un câlin pour te consoler ? » Pompei oui, la ville ensevelie sous les cendres. Cody laissait planer une vision tellement glamour de Joan à présent. Il ouvrit les bras, épaules légèrement en arrière comme un Sims enlaçant amicalement un autre Sims. Oui, il y tenait vraiment à cette étreinte, il n'avait juste pas trouvé de manière moins maladroite de le quémander qu'en faisant passer Joan pour une transsexuelle pas finie. Ce n'était pas aussi romantique que Daisy et Gatsby, mais rien ne leur interdisait d'écrire leur propre histoire à base de Joany et Cody.  
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Wahou, tant de virilité, viril. Lindley était fière de lui, il s'était entraîné à faire le méchant.Oui sauf que quand elle le regardait faire elle avait plus l'impression de voir un remake de la Belle et la Bête – où il serait la Bête évidemment, à tout moment elle peut se transformer en prince charmant. Elle fit mine d'être vexée, mais en réalité elle avait du mal à le prendre au sérieux. C'était pas franchement méchant, vous voyez Barbapapa méchant ? Non ? Et bien Joan ne voyait pas Bleeker méchant. « Ok ok pas la peine de faire ton Agent Gibbs, j'aurais compris si tu m'avait parlé normalement ! » Puisqu'on est dans le droit, selon l'article L-134 alinéa 7 du code des exs chiantes : « toute ex a le droit de faire chier son ex sur tous les sujets qu'elle veut. » Et puis c'était pas marqué sur sa tête qu'il était à Harvard. Il y avait des gens qu'elle voyait bien venir à Harvard et d'autres non. Cody à Harvard, ça ne lui avait pas traversé l'esprit. Encore moi en économie. Vu comment il gérait son propre argent, c'était plutôt dangereux de le laisser gérer le coffre fort de l'oncle Picsou, mais bon, il avait toujours réussi à la surprendre. En fait non. Non, non, il pouvait pas faire des études aussi sérieuses. « Le plus vexant ? Laisse-moi rire cinq minutes. J'ai le droit d'être étonnée de savoir que tu es depuis un an dans la même université que moi et que je n'étais pas au courant. Pourtant t'es pas le genre à passer inaperçu d'habitude. » Elle ne précisa pas dans quel sens il était remarquable, il avait qu'à réfléchir un peu. C'était trop simple de lui mâcher le travail à chaque fois. C'était dingue le genre de théories qu'il pouvait pondre en un quart de temps. Le Brésil ? « Non en fait je suis allée au Brésil pour me faire gonfler les fesses. Tu trouves pas que je ressemble à Beyoncé comme ça ? » En fait, la brunette ressemblait à Beyoncé mais en plus canon. Joan n'avait pas besoin qu'on lui modifie le corps avec photoshop pour sa campagne de pub pour H&M. D'ailleurs elle était sure qu'elle avait été étudiante en mannequinat dans une vie antérieure. Qui n'aime pas faire un câlin tout à fait amical à un mannequin. Il n'y a pas à dire, on a connu mieux comme technique d'approche. Elle se retint de lui dire un truc du genre « wesh bro' serre-moi la main ! » Il lui offrait un câlin, tous frais payés, et elle avait besoin d'un câlin, d'un serrage de bras comme on dit dans le langage soutenu. Rectification : Joan Lindley avait besoin que ce serrage dans les bras vienne de Cody Bleeker. Voilà. C'était un bon début, on s'éloignait un peu plus du déni. Depuis qu'elle avait reçu le cancer du cœur en quittant Cody ( face), elle s'était pas mal enfoncée dans dans gadoue. Vous savez le genre de boue qu'il y a devant les fermes dans l'Amour est dans le pré, un merveilleux mélange entre la terre et la bouse. Elle ouvrit donc les bras, et serra Bleeker, un peu trop fort peut-être. D'ailleurs combien devait durer une étreinte entre deux exs ? Ah oui, les exs normaux ne faisaient pas des câlins pleins de nostalgie. Houston on a un problème.Ce fut un petit pas pour les autres, un grand pas pour eux.
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« J'ai besoin d'être autoritaire avec toi, du style Christian Grey quoi. » Non, pas du style Christian Grey. Ceinturon en cuir, combinaison latex et string panthère ne correspondaient pas tout à fait au genre de relation que Cody souhaitait entretenir avec Joan. Ou avait souhaité entretenir … Merde, on parle comment d'eux ? Au passé, au présent, au futur ? Définitivement au passé, au plus grand regret de Cody … Non, pourquoi je parle de regret ? Non rien de rien, non il ne regrettait rien. Ou si. Dans sa tête, c'était autant le bordel que dans ce rp mais tout va bien, la vie est belle, lalala. Dommage que les nerfs semblaient s'échauffer, car Joan était hot de ouf quand elle haussait le ton de sa voix et de ce fait, Cody ne put s'empêcher de la regarder avec les yeux de l'amour fascinés d'un chat sur sa pâté Whiskas au thon / petits pois. Toutefois, il resta sur la défensive tant le sujet était sérieux ; « Depuis quelques mois déjà, pas un an, madameeee. Et je te signale que je n'ai pas décidé de faire des études pour me faire remarquer, j'ai d'autres préoccupations dans la vie. » Trouver un travail, un appartement, une femme, une petite famille … Non, tout ça n'entrait même pas dans ses plans. Tout ce qu'il voulait ? Prouver à son ex qu'il savait se montrer responsable, qu'il pouvait grandir, élever un enfant sans que Maggie soit toujours là à craindre qu'il mette le feu à la casbah en faisant chauffer du lait pour bébé. Certes, il pourrait évoquer cette partie de l'histoire avec Joan puisqu'elle connaissait Maggie – ou le Maggosaure dans le jargon Codyen – mais visiblement parler de ses fesses la passionnait plus … Et Cody le comprenait. D'ailleurs, il n'hésita pas à laisser divaguer son regard sur la proéminence postérieure inexistante de Lindley et haussa les épaules ; « C'est vrai que tu as pris des couleurs depuis qu'on s'est quitté, mais à part ça ... » On sentait le mec un peu blasé dans le son de sa voix tout de même. Non franchement, Beyoncé étaient aux antipodes et Joan et inversement. RIEN A VOIR. Mais peut-être que chez elle, elle utilisait un genre de miroir déformant qui la transformait en diva black en une fraction de seconde. Il crut un instant qu'elle s'énerverait, qu'il se prendrait un vent, le genre d'ouragan qui ne laisse rien sur son passage à part peut-être un petit palmier esseulé … Et voilà, Cody pensait qu'il serait ce palmier, attendant des jours et des jours qu'on vienne goûter à ses noix de coco. Mais Joan fit moins de dégâts que Dirk ou Xynthia, ne réfutant pas son étreinte. Ses bras trouvèrent refuge dans son dos, ses mains contre ses omoplates, son corps contre le sien … Bref, un câlin. Mais la tête au creux du coup fut moins innocente, pas plus que ce souffle qu'il retenait sans s'en rendre compte malgré les secondes qui défilaient. Cette chaleur, cette odeur, cette présence … Il se rendait compte combien il avait été con de n'avoir jamais cherché à retrouver Joan. À présent, il était trop tard, elle était sûrement casée, heureuse, avec un homme qui lui a offert tout ce qu'elle méritait et tout ce dont elle rêvait. Lui, à part l'intégrale de Star Wars, il avait quoi à donner ? Le moment tant redouté arriva, la séparation. Bleeker fit retomber doucement ses bras, agrandit leur distance de sécurité très très très très lentement et bien évidemment, il arriva un moment où leurs visages étaient si proches qu'ils auraient pu s'embrasser. Ils auraient dû. C'était ni la fougue, ni l'envie qu'il manquait. Mais Cody tourna la tête, reprit son souffle et fixa un couple gay à quelques mètres d'eux. Quel moment gênant.
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Christian et Anastasia, Daisy et Gatsby, Donald et re-Daisy, Mario et Peach. C'était bien trop classique tout ça, trop commun, du déjà vu. Ils n'étaient pas un replay, ils étaient un film bien à eux. C'était tordu, pleins de vannes pourries, il y avait bien quelques références d’œuvres cinématographiques et littéraires qui montraient toute l'étendue de leur savoir, pourtant Joan ne reconnaissait en aucune d'elles sa relation avec Cody. Maintenant qu'ils étaient là à parler presque calmement de leurs études – d'une point de vue Joanien c'était très calme là – elle s'imaginait le revoir, ils pourraient peut-être passer du temps ensemble pendant la pause déjeuner, manger une pizza en jouant à Mario Bros pour Wii s'il voulait... Comme deux ans auparavant quand ils avaient commencé à sortir ensemble. C'était une très mauvaise idée. Non : très très très (…) très mauvaise idée. « Je te parle pas de te faire remarquer, tu comprends tout de travers. Si moi je t'avais remarqué, ça t'aurais tant embêter que ça, monsieur je-fais-des-études-sérieuses ? » Il y avait probablement un tas de sujets qu'il n'abordait pas avec elle là maintenant, elle comprenait, elle aurait voulu savoir mais ce n'était pas le moment. Il y avait déjà trop de sujets tabous et sujets qui fâchent d'abordés pour une soirée, Frances n'avait pas les nerfs assez solides pour supporter une autre remarque. Il y aurait probablement un temps pour ça. La prochaine fois qu'ils se croiseraient dans un bar gay. « Un peu ? Attends les coups de soleil que j'ai prit dans cet hôpital brésilien insupportable, j'ai du faire appel à une de ces femmes qui calment la douleur là... » Au Brésil elle avait rencontré les sœurs Halliwell, Sabrina, et Bonnie – de Vampire Diaries ignare. Elle avait songé à devenir danseuse dans un cabaret comme Liza Minelli dans le film du même nom – Cabaret pas Liza Minelli. La Joan brésilienne avait une chouette vie. Parce que la vie de Joan l'Américaine, elle était plutôt mal barrée. Si elle demandait un autre câlin, histoire d'analyser ce qu'il venait de se passer, il dirait oui ou pas ? Parce que là, elle était perdue comme Alice au Pays des Merveilles. Quelques minutes plus tôt, le revoir lui avait semblé être une bonne alternative, une occupation agréable le samedi après-midi. Mais ce câlin signifiait trop de choses, puis elle avait cru – espéré – un instant... Elle ne pouvait plus le revoir, ça semblait anodin de l'extérieur mais au fond d'elle c'était une vraie machine à laver 1200 tours par minutes. Ce petit truc de rien du tout avait creusé une fosse plus profonde que la mine de Germinal, avant il lui manquait, maintenant elle avait envie de lui. De le serrer dans ses bras sans avoir à se demander si c'était bien ou mal, de l'embrasser si elle en avait envie, de pouvoir l'appeler sans passer pour l'ex en manque, puis aller manger des nuggets à McDo, regarder Friends en boucle même si les épisodes ont dix ans et qu'on les a déjà vu quinze fois, mangé du pop-corn trop cuit qu'il aura voulu faire par galanterie. Mais elle connaissait le Cody d'avant, il était à Harvard, il avait probablement des amis, des filles autour de lui, peut-être même une fille en particulier. Joan ne pouvait pas re-débarquer dans sa vie et tout changer de nouveau. Pourtant elle allait faire une chose très égoïste, juste pour se prouver qu'elle ne pouvait pas s'imposer. La brunette le serra une autre fois dans ses bras, elle ne demanda pas la permission. « Serre-moi très très fort, et après je te laisse tranquille... » Elle étouffa un micro sanglot sur l'épaule de Bleeker, c'est beau l'amour la jeunesse. Un infime partie d'elle espérait que Cody lui dise de partir, et l'autre nettement plus importante espérait qu'il la retiendrait, ou du moins qu'il lui promette qu'ils pourraient se revoir sans se faire bobo au cœur.
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Croiser Joan à Harvard ? Ça aurait paru tellement bizarre. Elle n'aurait certainement pas posé le même type de questions que ce soir puisqu'ils étaient actuellement dans une ambiance bien plus décontractée qu'à l'université. Puis de toute façon, Cody était pragmatique ; elle n'aurait jamais pu le voir car ils n'étaient visiblement pas dans le même cursus, ni la même année, ni la même confrérie, ni dans le même cercle d'amis. « Non, mais tu ne m'aurais jamais remarqué à Harvard. J'imagine que quand tu es avec toute ta clique, tu n'as guère à secouer de moi ou de n'importe qui d'ailleurs. » La clique, il l'avait inventé. Mais il imaginait bien Joan entourée d'un groupe de mecs, de deux-trois filles, sûrement des gens de sa confrérie. Remarquez, lui, il n'était pas le dernier à traîner avec ses potes sauf quand il se trouvait entre les quatre murs de Harvard ; dans ce cas, il privilégiait boulot boulot boulot. Studieux le mec, à une paire de lunettes près on aurait dit Harry Potter. Ou Mimi Geignarde. À voir qui a le plus de poils au menton. « Des prostituées ?! » s'exclama Cody. Honnêtement, il s'agissait du premier truc qui lui avait traversé l'esprit, à mille lieues des sorcières-vaudou ou des guérisseuses fringuées comme Pocahontas. « Voilà donc ce que tu es devenue ... » Il hocha négativement la tête, décontenancé par la mauvaise pente sur laquelle coulait lascivement Miss Lindley 2014. Elle filait un mauvais train, c'est moi qui vous le dis. Est-ce la mauvaise influence des Quincy ? Heureusement que Cody avait été accepté chez les Lowell, alors. Mais la fraternité entre confréries existaient bien. Pour preuve, ils scellaient ce soir leur union par une accolade de la paix, ou du réconfort, ou du manque, ou de l'amour. Merde mais, mais, mais … Merde. Pourquoi ? Pourquoi s'était-il risqué à enlacer Joan, comme ça ? Il aurait mieux fait des câliner un requin blanc, ça aurait fait beaucoup moins de dégâts. Le requin blanc l'aurait bouffé tout cru, à plus Cody, bonjour argent assurance-vie pour sa fille.  Voilà, la prochaine, il câline le monstre des Dents de la mer, tout le monde en tirerait profit. Alors que Joan … Oui, sur le coup, ça faisait du bien mais … Après ? Qu'est-ce qu'ils devaient faire ? Tchecker ? Yo ma sœur tape m'en cinq ! Pas l'embrasser en tout cas. Beurk beurk. Cody n'allait quand même pas embrasser le croisement entre Bugs Bunny et un poney. Bugs Ponny in da place. Qu'est-ce qu'il avait appris au code lors du passage de son permis de conduire ? Ne jamais s'engager dans une intersection qu'on n'est pas sûr de pouvoir franchir. Ici, aucun risque qu'il se prenne un tramway dans la gueule ou qu'il bloque le passage à une seconde voiture. Seulement, il craignait de ne plus pouvoir s'en passer. Ce qu'il avait vécu avec Joan n'avait rien d'une amourette, rien d'une histoire qui ne vaut pas un clou. Ils avaient fêté leurs noces de coton ensemble tout de même, certes ce n'était pas les noces de corail, muguet ou émeraude mais tout de même il ne fallait pas le négliger. L'intersection, il ne la maîtrisait pas et sous la voix presque suppliante de Joan, il rabattit de nouveau ses bras dans son dos sans réfléchir davantage. Inutile de disserter, les plans thèse/antithèse/synthèse étaient une perte de temps. Joan lui avait manqué, point. La conclusion, par contre, il aurait aimé la connaître d'avance, mais en vain. Il enfouit sa tête dans son cou, humant ce parfum qu'il avait tant galéré à retrouver ne serait-ce que l'essence ces derniers longs mois. Maintenant que cette sensation était retrouvée, il ignorait comme en décrocher et, de ce fait, joua la carte de la sincérité. Au pire, il avait déjà suffisamment passé pour un con ce soir. « J'ai aucune idée de quoi faire quand je te lâcherais. Aide-moi, parce que là je ne sais pas. Mais j'pourrais te montrer comment on dit bonjour en Russie si tu veux. » Il s'esclaffa, n'apportant aucune précision sur le bonjour russe. Joan aurait sûrement bien mieux à proposer.
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Clique ? Joan n'était même pas sure que deux de ses amis ce soient déjà rencontrés. Elle avait plutôt du mal avec les mélanges, si par exemple, une de ses amies n'en n'aimait pas une autre, Joan allait se sentir obligée de faire un choix. Moins elle mélangeait, mieux elle se portait. « Parce que tu croyais quoi que j'allais rester toute seule dans mon coin ? » La jeune femme était en pleine période de socialisation secondaire qui intervenait au moment où l'individu quitte ses parents, devient adulte, et apprends à se socialiser tout seul. Enfin elle s'était socialisée tardivement, il avait fallu le temps qu'elle fasse son deuil amoureux, pendant cette période là elle n'avait fait que pleurer sans les jupes de sa cousine et ses amies. Frances le regarda, incrédule. « Oh mais bien sur, enfin je préfère que tu dises courtisane, ça fait mieux. » Elle lui fit un sourire éblouissant, elle était éblouissante, ils étaient éblouissants. Non en fait ils étaient dans le noir complet, le décor penché dans Vendredi tout est permis avec Arthur. Ce soir ils s'étaient tout permis ça c'est sur, et maintenant ? La brunette était plus perdue que quand elle l'avait quitté, bien plus que quand elle était avec lui. Ils allaient devoir se lâcher, et après ? Bleeker posait une excellente question, qu'est-ce qu'il devait faire ? Joan aurait aimé que la Fée Bleue descende de l'étoile pour lui expliquer quoi faire. Soit un bon p'tit garçon. Ça servait à rien de faire dans la guimauve c'était pas leur genre de toute façon. Lui faire une belle déclaration ou un plaidoyer digne des plus grands avocats, ça servait à rien, elle n'en avait pas envie elle-même. Quelques jours plus tôt elle batifolait avec Joshua et maintenant elle était en pleine phase de IlnyaqueBleekerdansmavie. Ah oui d'ailleurs elle allait en faire quoi de Dwight ? Et Konrad l'espèce de pot de colle qui lui avait servi à combler ses appétits sexuels ? Non en fait elle s'en foutait d'eux, il n'y avait que lui pour lui faire ressentir ce qu'elle ressentait, pour qu'elle se sente vraiment à sa place. On sombre dans le kitch là. Mais un an plus tôt, ils n'avaient pas fini leur histoire, non Joan était juste partie comme une voleuse. Si seulement elle avait cessé d'aimer Cody en même temps qu'elle l'avait quitté, elle lui aurait simplement affirmé qu'il pouvait la lâcher et qu'ils n'avaient qu'à reprendre leur conversation sur Joan, la prostitution et le Brésil. Peut-être qu'ils avaient simplement besoin de ce gros câlin plein de nostalgie et d'amour pour finir cette histoire correctement et pouvoir mener leurs vies tranquillement. Peut-être bien que si elle le lâchait, ce serait définitivement fini. La prochaine fois ils pourraient se revoir sans aucun ressentiment, ou sentiment tout court. Mais avait-elle envie que ça se finisse ? C'était peut-être un câlin magique qui allait les libérer. Beurk. Premièrement c'était niais comme image, deuxièmement, elle n'était pas sure de vouloir être libérée de Cody non plus. Elle prit donc une longue inspiration, et débita les diverses solutions qui s'offraient à eux, avec une voix aussi pressante et stressante que la fille qui fait les pubs pour Leclerc. « Soit on arrête ça, on se dit aurevoir, et on se revoit dans un an, au risque de recommencer et de reposer la même question. Soit on arrête ça, on se revoit, demain, la semaine prochaine, ou pour ton anniversaire. En amis, enfin un truc comme ça quoi. Soit on ne se revoit plus jamais, je te cherche pas, tu me cherches pas, et on coupe définitivement les ponts, soit on continue, au risque de s'embrasser et de replonger. » Elle avait l'impression de parler à un alcoolique. Petit un : on se donne un an d'abstinence, petit deux : on arrête progressivement, petit trois : on stop net ce qui risque de créer une période de manque plutôt difficile à supporter, petit quatre : on s'arrête pas, c'est tellement bon d'être défoncé à longueur de temps, et même si ça fait mal, ça fait du bien. « Je veux pas passer un an à t'attendre, je veux pas être ton amie, j'ai aucune envie de ne plus te revoir, et replonger me semble un peu précipité, parce que j'ai raté pas mal de trucs dans ta vie pour qu'on reprenne comme ça. Tu es d'accord jusque là ? » Elle cala sa tête dans le cou de Cody, profitant encore un peu avant qu'il ne lui dise de partir et de sortir de sa vie.
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