Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(+ Anna) On a mis mon cœur en quarantaine - Page 2
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(+ Anna) On a mis mon cœur en quarantaine

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« Menteuse.. tu dis ça pour me faire plaisir » murmurais-je en posant mon front contre la vitre qui me tenait éloigné de la femme que j’aimais. Cette situation était grotesque, je voulais la rejoindre mais je ne pouvais pas trahir une promesse. Malheureusement pour moi, j’étais criblé de défaut mais je n’avais pas celui de rompre ou de ne pas tenir mes engagements. Hors, Moïra comptait sur moi-même si j’aimais à me dire que la situation était temporaire, que tout finirait par rentrer dans l’ordre. Les larmes d’Anna me meurtrissaient le cœur alors, j’essayais de la faire rire, de faire le clown comme à mon habitude et je réussis, un peu – à moins qu’elle se forçait pour me faire plaisir. « Que veux-tu, je suis un mufle, c’est bien connu et puis, il faut bien que je marque le coup. Je te prépare une soirée aux petits oignons et toi, tu t’enfermes avec des malades pour t’y soustraire. Un peu que j’espère que tu te sens coupable » rigolais-je faiblement même si nous savions l’un comme l’autre que je me foutais de cette soirée, l’important était qu’elle me revienne saine et sauve. « Tu crois que je peux réussir à te faire passer un objet ? » lui demandais-je en désespoir de cause.


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« Qui te dis que je ne le pense pas ? » reprit Anna en essayant d’y croire autant que possible mais aussi d’être convaincante car Samuel en avait autant besoin qu’elle. La jolie russe déposa à son tour son front contre la vitre, se maudissant de ne pas pouvoir le toucher, le prendre dans ses bras pour le rassurer et lui dire qu’elle ne comptait pas le quitter de sitôt… mais hélas, il n’était rien qu’elle puisse faire en la matière. « Mais je suis sûre que tu seras capable d’avoir une idée encore meilleure pour quand je sortirais, c’est juste pour voir si jamais tu es en mesure de m’attendre » reprit-elle en tâchant de le suivre sur le chemin de l’humour mais la difficulté s’avérait trapue. « Tu peux demander aux infirmières aux alentours de le désinfecter pour me le passer, mais qu’est-ce que c’est chéri ? »
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« Je sais pas… tu le penses peut-être mais tu ne sembles pas y croire totalement » rétorquais-je avec un léger sourire avant qu’on soupire ne fasse affaisser mes épaules. Je n’arrivais pas à croire que nous vivions cette épreuve, j’avais l’impression de cauchemarder. « Ah ouais le plan en fait, c’est de voir jusqu’où je peux placer la barre ?! Je t’inviterai bien à Vegas mais j’y suis interdit de séjour pour encore hummm cinq ans ! Venise… Je t’amènerai à Venise où je ferais venir un prêtre pour qu’il nous marie sur une gondole.. Alors, ça te donne envie de sortir ? » lui demandais-je avec un léger sourire bien que mon regard était à la fois amoureux et triste. J’étais prêt à n’importe quelle folie pour être sûr que cette femme ne me serait pas arrachée. « Attends, je reviens ! » ajoutais-je suite à ses propos avant de m’éclipser cinq minutes. Je revenais vers elle avec cette fois-ci, un sourire canaille avant que l’infirmière n’arrive et lui tende une bague. « J’ai eu envie de respecter la tradition ! »

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« J’essaye pourtant… pour toi j’essaye » avoua-t-elle sans se cacher derrière des excuses n’ayant pas lieu d’être. Anna avait bien trop besoin de rationaliser les choses pour se mettre à prier les dieux quels qu’ils soient de la sortir d’affaire. Elle ne serait jamais ce genre de patient à se réfugier dans la religion par nécessité ou intérêt… il arriverait ce qu’il arriverait, point barre. « Je ne suis pas sûre de vouloir savoir ce que tu as bien pu trafiquer à Vegas parce que te connaissant cela ne doit pas être triste, je vais donc opter pour le voyage plus romantique à Venise… mais tu oublies un menu détail mon chéri : je ne peux tout de même pas prendre l’avion… » Cette fois-ci, ce n’était pas une question de raison mais de logique, bien que celle-ci fut fortement mise à mal une fois que l’infirmière lui eut donné la bague qu’il avait choisie. « Tu n’as même pas eu besoin de mon aide… tu acceptes que je la mette moi-même ? »
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« Je sais petit cœur… Je sais » soupirais-je le cœur au bord du gouffre tant la voir dans cet état me faisait mal. Je n’avais jamais vraiment craint pour quelqu’un en dehors de Thaïs mais là, je savais que si jamais elle venait à m’être enlevée, je ne m’en relèverai jamais. « Tu as raison, il ne vaut mieux pas savoir… Tu connais l’adage, ce qui est à Vegas, reste à Vegas… En tout cas, tu as décidé de me compliquer la vie ! Et bien Venise viendra à toi petit cœur, fais-moi confiance, je déborde d’imagination » lui souriais-je cette fois-ci avec plus de tendresse que de tristesse car je voulais lui donner l’espoir, l’envie même de me revenir quitte à lui promettre monts et merveille pour lui donner l’eau à la bouche et comme pour appuyer mes dires, je lui fis apporter sa bague de fiançailles. « Je crains fort qu’on ne puisse faire autrement… J’espère qu’elle te plait » lui demandais-je avec une certaine appréhension dans la voix. J’avais mis tellement de temps à la choisir.
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Anna n’était pas du genre à promettre des choses à quelqu’un pour la simple et bonne raison que la plupart des promesses s’avéraient difficiles à tenir. Mais dans ce cas précis, elle ne pouvait décemment pas laisser Samuel tout seul, pas alors que les choses s’arrangeaient enfin dans sa vie et qu’il reprenait le dessus. Il avait besoin d’elle autant qu’elle pouvait avoir besoin de lui. « Je suis sûre que tu adores cet adage tout particulièrement, je me trompe ? Mais je connais ton imagination chéri, j’ai juste peur que tu sois capable de ramener une gondole dans notre salon… » Et cette fois, Anna éclata légèrement de rire rien qu’à imaginer la chose, tout en sachant qu’au passage, elle était sûrement en train de lui donner des idées. Cela n’aurait pas été la première fois ! « Elle est magnifique Sam… j’étais sûre que tu aurais terriblement bon goût en la matière. Comment me va-t-elle ? »
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J’arquais un sourcil surpris. Je n’avais pas du tout pensé à amener une gondole dans notre maison mais pourquoi pas. Humm c’était même très tentant ! « Je savais que je pouvais compter sur toi petit cœur pour me donner plein d’idées. Tu es la muse de toutes les muses mais surtout la mienne, la source continuelle de mon imagination débridée et sans limite » lui dis-je d’une voix où perçait la malice. J’avais cruellement besoin de penser à autre chose qu’à sa pâleur, qu’à ses traits tirés. Je voulais garder espoir mais même ma connerie habituelle semblait manquer d’allant. En tous les cas, il était bon d’entendre son rire même à travers d’une vitre. « Elle n’est pas aussi belle que toi mais elle fera l’affaire… Elle te va à merveille, tout te va même cette affreuse tenue d’hôpital » la complimentais-je tandis que je fermais les yeux un instant. « Dis-moi… qu’est-ce qui va se passer par la suite ? Est-ce que c’est la dernière fois que je peux te parler ? »

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Anna arqua un sourcil surprit tout en ouvrant la bouche avant de finalement se raviser et hocher négativement la tête. « Tu ne penses pas sérieusement à ramener une gondole dans notre salon rassure-moi ? Il faudrait que tu m’expliques où tu veux la mettre ! Je veux bien être ta muse aussi souvent que tu veux mais là ce n’est pas un poil extrême mon amour ? » La jolie russe était sincèrement touchée que Samuel se soit rendu dans une bijouterie tout seul, allant à l’encontre de ce qu’il avait bien pu lui demander auparavant, à savoir de l’accompagner vu qu’il ne connaissait pas ses goûts. Elle admirait d’ailleurs le bijou à son annulaire gauche, se surprenant à avoir hâte qu’une alliance ne vienne s’y greffer également. « Elle est sublime Samuel ne dit pas de bêtises… la suite je ne sais pas. Tout dépend si les symptômes continuent de s’aggraver ou non. Pour le moment je peux rester debout et donc venir te parler face à cette vitre mais je ne puis te garantir que demain, ce sera la même chose. Je me sens très faible… »
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« Extrême tu trouves ? Je trouvais ça romantique ! Je prévoyais de nous faire livrer une piscine gonflable pour y mettre la gondole, des musiciens et nous faire livrer un menu typiquement italien… Tu trouves que c’est trop ?! Rien n’est jamais trop beau pour la femme que j’aime et manque de bol pour toi, c’est sur toi que ça tombe » plaisantais-je. Anna allait de voir s’y faire, j’avais la folie des grandeurs, j’aimais les choses tape à l’œil, magnifique, époustouflante. Je ne savais pas faire dans la demi-mesure même dans le romantisme. La vie était bien trop courte pour se contenter de peu de choses et je voulais qu’elle se sente comme une reine. La reine de mon cœur. « Tout va bien aller, tu vas voir » répétais-je inlassablement comme si je voulais lui lobotomiser le cerveau. Tout irait bien. Elle ne pouvait pas mourir, ce n’était pas dans le script et puis hors de question que je la perde. C’était tout bonnement impossible. « Tu dois te reposer et surtout ne t’inquiète pas pour Moïra, je prendrais soin d’elle… Si tu savais combien je me sens impuissant Anna...Cette séparation me rend dingue, j’ai envie de te serrer dans mes bras, de prendre cette maladie en moi pour qu’elle t’épargne » murmurais-je d’un ton mortellement sérieux.

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« Tu es au courant que si tu n’existais pas, il faudrait t’inventer amour de ma vie ? Je n’ai jamais dit que je me plaignais, ta folie est justement ce qui m’a plu en premier » avoua-t-elle bien qu’Anna ne soit guère portée sur la confidence de nature. Mais là les évènements récents la poussaient à ne s’ouvrir que davantage dans l’hypothèse où les choses pourraient mal tourner, afin que Samuel ait conscience de certaines choses qu’elle n’avait encore jamais pris le temps de lui dire. « J’ai toujours adoré ton optimisme, aussi » reprit-elle non sans caresser la vitre comme si se faisant elle pouvait toucher la joue de son fiancé. « Mais moi je ne voudrais pas m’inquiéter et me sentir impuissante à risquer de te perdre, hors de question. Ça me tue de ne pouvoir ni te toucher ni t’embrasser… c’est insupportable ! Chéri change-moi les idées… je voudrais que l’on trouve des prénoms potentiels pour les jumeaux, je fais appel à ton imagination débordante… »
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