Somebody that I used to know •

Je ne suis pas du genre à parler pour ne rien dire, j'aime les actes nets et spontanés et ce soir j'avais peut-être une poussée de romantisme mais il était vrai que je voulais prendre le temps et faire cela bien. Le jeune homme à mes côtés avait l'air autant absorbé que moi par notre étreinte, je sentais cette osmose à travers ma peau et une série de frisson vint à m'envahir. Une sensation que j'avais eu peu de fois mais plus rien ne me surprenait maintenant j'était bien trop attentif à chaque mouvement du beau brun. Celui-ci avait répondu à mon appel, il s'était avancé et avait fait le premier pas pour m'embrasser, ce qui ne me dérangeait en aucun cas. Cependant, je voulais le faire frémir, attendre, lui donner envie d'aller plus loin et j'avais assez de self-control pour ne pas lui sauter dessus tout de suite. Je sentis ses lèvres contre les miennes, nos langues se lier enfin doucement. Je finissais notre baiser par lui mordiller la lèvre inférieur délicatement, mon visage affichait un sourire envieux et charmeur, tous était bon pour faire sentir cette envie. Ses mains me passionnaient, j'imaginais déjà de multiples actions les mettant en scène mais pour le moment. Ma main était toujours posé sur son torse, celle-ci commenca à le caresser m'attardant sur les zones du bas-ventre. Mes lèvres s'étaient posé contre son cou, mon souffle le caressait en même temps.

Je n’étais pas le mec qui était le plus lent lorsqu’il s’agissait de flirter et de s’aventurer sur un chemin dangereux. Au contraire, j’étais surement le premier arrivé. Je le désirais, cette attirance que l’on pouvait croire naissante pour Maxwell ne l’était pas réellement, il y avait toujours eu cette tension sexuelle entre nous, elle avait juste été discrète. Le fait de ne pas être allé trop vite m’avait d’ailleurs été bénéfique, le petit brun était un garçon qui prenait chaque jour un peu plus d’importance à mes yeux, il était fondamental que je puisse lui envoyer un ou deux sms au moins deux fois par semaine histoire de prendre de ses nouvelles, généralement nous commencions sur du basique et partions sur des délires pas possible. C’était comme ça et cette relation me plaisait… Avais-je envie d’autre chose ? Ce n’était pas impossible, rêver d’une relation sérieuse saine était ma bête noire, j’en avais trop souffert la première et unique fois malheureusement on n’oubliait jamais ce petit désir qui te taquine comme une envie de baiser de temps à autres. J’étais complètement sous le charme ce soir et pourtant l’alcool n’avait rien à voir là-dedans, il m’avait laissé une opportunité que j’avais immédiatement saisie. Je m’étais approché pour l’embrasser et il y avait répondu positivement en prolongeant pendant quelques petites secondes hélas bien trop rapides à mon goût. J’avais pu pendant quelques secondes communier avec sa langue, la petite morsure sur ma lèvre inférieure me faisait sourire. Ses mains chaudes et excitantes venaient me caresser le bas-ventre alors qu’il s’occupait de mon cou bouillant à l’aide de ses lèvres, de sa langue… Mon corps tout entier se mettait à frissonner, je fermais les yeux soupirant de manière à peine audible de plaisir. Le sang dans la veine principale de ma gorge était plus que bouillant. Le repoussant quelques secondes je captais son regard retirant lentement et sensuellement mon débardeur me retrouvant torse nu face à lui. Je passais un doigt contre mes pecs descendant jusqu’à ma ceinture sur laquelle je m’arrêtais en me mordillant la lèvre.

J'avoue que notre position était déjà idéale, allongés sur son lit, nous étions si proche que c'était obsédant. Plus rien n'avait d'importance autour de moi, dehors le soleil s'était enfuit, la pénombre était présence depuis un bout de temps et les lumières extérieures éclairaient la pièce, sa chambre. Je me demandais encore avec quelle chance j'avais pu me retrouver dans ses draps ce soir, me remémorant la journée et l'instant où il m'avait invité. A y repenser tout cela n'avait rien d'anondin. C'était certain qu'on était fait pour s'entendre, il se passait quelque chose c'était évident, surtout depuis cette ambiance tortueuse et sensuelle. Je le sentis frissoner sous mes lèvres mais il s'écarta bien trop rapidement pour enlever son débardeur, le moment me paru s'éterniser, je ne le touchait plus depuis quelques secondes, le regardant passionément se dévêtir ainsi. Mon adrénaline de ces instants montaient dans mes veines, je me sentais viril et plein d'entrain, je le regardais se caresser ce qui me fit sourire et réagir. Je me surpris à rêver de le posséder, entièrement, cette pensée me fit me rapprocher de nouveau des lèvres du jeune homme que j'embrassa fougeusement et sans retenu, maintenant plus rien n'était tabou et c'était le moment de se laisser porter dans l'action, quoi de meilleur ?

Mon esprit était accaparé par Maxwell, il était impossible que je puisse penser pendant ne serais-ce qu’une seconde à autre chose que nos deux corps entrant en communion, je frissonnais rien qu’à l’idée que cette action se produise et je devais me faire violence pour ne pas le déshabiller en vingt secondes histoire qu’on puisse passer à la suite. J’avais toujours su qu’il y aurait quelque chose de fort entre nous j’avais juste été plus lent que d’habitude pour comprendre qu’une simple amitié ne me plaisait pas. J’en désirais davantage et le petit brun semblait être du même avis que moi. Prêt à devenir le petit diable sensuel que je pouvais très régulièrement camper je repoussais mon camarade, la lumière était inexistante, il devait être quelque chose comme vingt-trois heures, peut-être plus et je m’en foutais. Maxwell allait dormir dans ce lit cette nuit, dans mes bras, contre mon corps entièrement dénudé. Je le regardais avec un petit sourire coquin retirant mon débardeur pour me prodiguer des caresses qui atteignaient rapidement leur but, il se rapprochait pour m’embrasser fougueusement. Ma langue venait bien vite rejoindre celle du beau brun qui m’excitait de plus en plus, je lui souriais m’approchant de son oreille que je mordillais sensuellement en profitant pour laisser mes mains dévaler chaque parcelle du corps encore trop vêtu à mon goût de Maxwell. Je m’arrêtais à sa braguette que je caressais en reprenant possession de ses lèvres d’une manière sauvage et fougueuse à la fois.

En effet, par rapport au jeune homme devant moi, je portais encore tous mes vêtements, non pas que j'avais froid, au contraire, la température ambiante venait de monter progressivement, l'idée n'allait plus tarder. Ses mains venaient se promener sur moi, ce qui me hérissait, nos lèvres se rencontraient de nouveau et ce serait certainement pas la dernière fois. Je le regardais sourire, sentant son parfum m'envahir, son pou et son souffle qui s'accélérait, ce qui faisait monter de plus belle cette envie de lui déchirer le reste de ses vêtements et lui prouver à quelle point je tenais à lui. Cette relation n'était pas dès plus longue, on ne se connaissait que depuis peu, mais quelque chose c'était passé bien avant que cet évènement qui se déroulait. Une attirance, encore indescriptible mais elle était bien présente et cela se ressentais dans nos gestes, enfin c'est ce que je pensais et ce que je voulais bien croire.

Mon tee-shirt fut enfin enlevé en moins de temps que l'on pouvait le dire, ma main se promenait toujours sur la bas ventre du beau brun, ne me lassant pas de caresser sa peau. Mais je me décida sans grand mal à ouvrir lentement sa ceinture ainsi que sa braguette, me relevant. Sentant les effets de l'excitation qui devenait pesante et agréable à la fois, cette pression basse que je ressentais pleinement.

Cette situation je l’attendais inconsciemment depuis un certain temps déjà, j’avais toujours ressenti comme un sentiment d’attirance à l’égard de Maxwell, j’avais été discret et très lent à m’en rendre compte mais il n’y avait plus de doute là-dessus. Ce soir je n’étais de toute manière plus capable de revenir en arrière et au petit matin je n’aurais pas de regrets, il était bien rare que je regrette quelque chose de toute manière parce qu’on apprenait de ses expériences et puis… De vous à moi, l’idée de faire l’amour à Maxwell était loin d’être désagréable, il y avait un détail qui m’attirait comme un aimant et je me devais de trouver qu’est-ce que c’était pour me sentir moins influencé et avoir l’impression de contrôler la situation. En attendant j’allais tout simplement me faire plaisir. Mes lèvres ne quittaient pas les siennes, je fermais les yeux pour apprécier davantage toutes les caresses qu’il me prodiguait m’occupant de lui ôter son t-shirt et de lui caresser sa braguette d’une manière intéressée. Je sentais bien rapidement ses mains enfin venir se poser sur mon jean qu’il détachait complètement, histoire de l’aider je me relevais pour le faire glisser sur mes jambes et le laisser s’écraser sur le sol. Quelle chance, j’avais mis mon plus beau boxer ce soir, du moins l’un des plus sexy. Un boxer rose très moulant qui d’ailleurs, à l’aide d’une érection comme il m’arrivait parfois d’en avoir le rendait très attirant. Je lui adressais un petit regard amusé le poussant pour qu’il tombe sur le lit et qu’il s’allonge entièrement, je ne perdais pas une seconde pour lui retirer son pantalon caressant son boxer avec sensualité alors que ma langue se baladait sur son torse descendant lentement, je me retrouvais à son nombril que j’embrassais lui adressant un nouveau regard qui en disait long sur mes intentions. Sans le prévenir je baissais légèrement le boxer du beau brun un sourire s’emparant tout de suite de mes douces lèvres que je déposais sur l’attribut masculin fort généreux de Maxwell pour y débuter une série de vas et viens laissant ma langue entrer en contact avec le pénis de mon camarade.

Les sensations s'intensifiaient et les langues se déliaient, c'est le cas de le dire. Dans ces instants là c'est presque magique que deux personnes fusionnent ainsi, l'échange et l'attachement. J'étais envahit par ce désir d'assouvir ses désirs et les miens et la nuit ne faisait que commencer. Après m'avoir aidé à retirer son pantalon, ma main se placa délicatement sur son boxer, rose pourquoi pas c'était plutôt avantageux finalement et ça faisait de l'effet je dois l'avouer. La forme viril que je voyais à travers ne le rendait que plus désirable et mon attention fut porter par les caresses que je lui procurait.

Mais bien vite il me poussa et je me retrouvais complètement allongé sur son lit, sentant venir ses idées, je fixais Soliman en me mordant la lèvre déduisant ses intentions, l'un de mes instants préférés il est vrai. J'idolâtrais ma bisexuelité tous les jours, j'avais l'impression de ne jamais être frustré de ne pas pouvoir ressentir un de ces plaisirs sexuels et ce n'était évidemment jamais pareil, encore plus avec un garçon ou une fille. Les mouvements étaient différents, les moments et l'ordre des choses et cela dépendait évidemment du caractère de la personne en face de sois. Je sentais qu'il était expérimenté, moi j'étais plutôt un sauvage, ne souhaitant que mon plaisir. A cet instant c'était autre chose peut-être, mais ma réflexion fut vite arrêté par le léger gémissement que je lâchais instinctivement lorsque sa bouche vint à la rencontre de mon membre, commençant les vas et viens. C'était le plaisir que j'attendais et il n'avait pas été long à me l'offrir, ce qui me faisait déborder d'excitation.

D’un point de vue purement sexuel je m’étais toujours montré sensuel et sauvage. Je m’exécutais à l’instinct et mon humeur avait donc une très grande influence sur les gestes que j’allais avoir, il suffisait que je sois en forme, de bonne humeur pour que cette partie de jambe en l’air que je m’offrais soit mémorable. Ce soir j’étais comme ça, la seule chose différente c’est la sensation d’obtenir enfin quelque chose que j’attendais depuis un temps bien trop long à mon goût, étrange n’est-ce pas puisque je n’avais jamais eu l’impression de désirer Maxwell à un tel point. Mon premier objectif était de lui faire du bien, je savais comment m’y prendre et ses râles de plaisir ne pouvaient que m’exciter davantage, j’avais envie qu’il fasse de moi son objet et pourtant je n’étais pas trop dans ce genre de délires en temps normal. Passant ma langue sur chaque parcelle de son intimité me rendant compte qu’il n’avait pas à rougir de ses attributs je lui adressais des petits regards coquins laissant mes mains se balader sur son torse musclé comme il le fallait.

L’excitation montait en moi, mon boxer était tendu et j’avais hâte d’être libéré de ce petit morceau de tissus pour pouvoir également m’exprimer. Le masturbant lorsque ma langue ne s’aventurait pas sur ses formes je ne prêtais même plus attention au film qui poursuivait son avancée, le stress que me procurait cette production hollywoodienne était bien loin, ce soir j’avais un autre scénario en tête. Remontant lentement jusqu’à ses lèvres je l’embrassais le mordillant jusqu’au sang bien que ce soit plus excitant que douloureux pour le moment. « J’ai été très vilain aujourd’hui… J’ai besoin d’une petite correction. » Lui susurrais-je avec sensualité laissant ma main s’aventurer sur la verge de mon amant.

Malgré le fait d’être très optimiste à l’idée de faire partie d’une confrérie aussi connue que celle des Winthrop j’avais souvent droit à quelques petites blagues qui arrivaient au mauvais moment. Oui, le genre de situations dans lesquelles tu ne voulais surtout pas recevoir de visite. Prenons un exemple, la dernière fois que j’avais été surpris par un ami en train de me faire sucer par une petite blondinette qui était d’ailleurs la petite sœur de cet ami m’avait appris à ne plus laisser ma porte ouverte, j’avais besoin d’être dans les meilleures conditions pour assouvir mes pulsions et être le plus efficace possible. Ce soir j’avais hélas laissé ma porte ouverte, si quelqu’un voulait ramener sa fraise au mauvais moment et bien qu’il en soit ainsi, au pire il pourrait se joindre à nous et on en parlerait plus… « Continue alors » Un petit sourire amusé se dessinait sur mes lèvres qu’il embrassait régulièrement depuis quelques minutes, ma main continuait de s’aventurer sur la verge de Maxwell que je masturbais tout en lui léchant le torse m’approchant dangereusement du pénis de ce dernier. « A moins que tu ne veuilles passer à la partie supérieur » Je le regarde un instant puis je me met à rire m’approchant de son oreille pour lui susurrer avec sensualité tout en venant m’asseoir à califourchon sur son corps pour me frotter contre son intimité malgré mon boxer qui nous empêchait encore de pouvoir communier en toute liberté. « Tu sais… Ne me demande pas ce que l’on doit faire, exécutes-toi simplement ! » Je lui mordillais le lobe de l’oreille me décidant à tenter une nouvelle expérience un peu particulière. J’en avais entendu parler il y a quelques jours et puisque je n’avais jamais eu à faire une telle chose j’allais y remédier ce soir, m’aventurant dans mon frigo/congélateur je sortais une plaquette de glaçons, il paraissait que l’effet chaud/froid pendant un tel acte procurait un plaisir intense à son partenaire. Enfonçant un glaçon dans ma bouche je m’approchais de mon camarade m’occupant une nouvelle fois de son petit Soldat définitivement réveillé et prêt à l’usage.