Thélia ❥ All I want for Christmas is you.

« Tu ne me connais...rien qu'un peu ? » Je fis un sourire face à sa question. Oh que non j’en connaissais bien plus qu’un peu sur lui et encore plus à ce niveau là. Je savais combien il pouvait être joueur et sadique à me laisser sur ma fin, j’avais pu en faire les frais plusieurs fois comme durant l’avion pour aller en Italie ou bien dans la piscine dans la maison de sa mère et j’en passe. C’est pourquoi que je lui précisais ceci, que c’était hors de question qu’il joue, c’était où il allait au bout ou il arrêtait maintenant, sinon il allait voir ce que c’est que les foudres de Elia Kovalevski. Bien plus qu’un peu, c’est justement pour ça que je clarifie les choses. C’était mieux pour lui comme pour moi car si lui allait se marrer à me laisser sur ma fin, il rirait moins par la suite s’il osait me faire ça. & je sentis sa main descendre de là où elle était, il préférait donc arrêter ce qu’il commençait, c’est ce que j’en concluais par son geste. « Mais bien...si tu ne veux pas que je te touche. » Je levais un sourcil, comment ça je ne veux pas ? Non non c’est pas ce que j’avais dit du tout, je voulais au contraire mais je voulais pas qu’il fasse ça juste pour arrêter. C’était totalement sadique de m’allumer pour me refroidir et il faisait assez froid comme ça en cette période de l’année, j’avais vraiment pas besoin d’être refroidi. Sa simple présence aussi proche de moi suffisait pour me faire bouillir à petit feu. Tu plaisantes lui dis je comme si je l’engueulais presque parce qu’il venait de faire une bêtise. A croire que ma petite menace lui avait fait comprendre les choses puisqu’il remonta aussitôt sa main pour la faire monter encore plus loin que ce qu’elle n’avait pu être peu avant. « En même temps, j'crois que tu n'as pas encore compris que je ne voulais plus jouer. » Je le regardais prête à répliquer mais ses baisers qui descendaient dans mon cou m’arrêtèrent complètement. Je sentais qu’il s’amusait avec sa langue sur moi et je le sentais aspirer ma chair, ce qui ne faisait que me faire bouillir un peu plus. Il était proche, si proche de moi et ses lèvres sur ma peau, comment étais je censée résister à ça ? Impossible, j’avais la sensation que les papillons que je ressentais dans mon ventre prenaient leur envole pour se balader dans tout mon corps. Allant de ma poitrine, à mon ventre, à de partout ainsi que mon intimité. Je suis pas contre certains jeux lui dis je entre deux respirations. Stop, il fallait qu’il se calme là, enfin non, mais ça allait plus du tout, j’étais faible et fallait que moi aussi j’extériorise tout ça. Mettant mes mains sur son torse je le fis tourner pour qu’il soit à nouveau contre le mur. Commençant à défaire les boutons de sa chemise, je lui aurais bien tout arracher d’un coup et d’ailleurs c’est ce que je fis quand je vis que j’étais en galère total et que j’avais du mal à ouvrir les boutons tellement je tremblais sous l’excitation. Je te rendrais celle que j’ai chez moi si tu veux lui dis je alors que j’avais commencé à casser les premiers boutons de la chemise. Ou j’en rachèterais une, je m’en moque. Je terminais à déchirer les derniers boutons alors que j’étais venue poser mes lèvres dans son cou. Déposant des baisers sensuels tout en y mêlant ma langue de temps en temps je descendais jusqu’à ses pectoraux, venant déposer encore et encore des baisers. Mes mains glissaient sur son torse, descendant vers le bas alors que mes baisers suivaient le même chemin. Mon dieu on était quand même dans la cage d’escalier là. Je remontais alors à ses lèvres, on pouvait pas faire ça ici, même que des préliminaires c’étaient pas possible, il suffisait que mon frère me cherche ou pire Matys et tombe sur moi ainsi, bonjour la galère. Les voisins ça serait tout aussi gênant. Mon appart c’était hors de question, va expliquer ça à Matys quand il viendrait me chercher à son réveil. Toujours sur ses lèvres je l’attirais contre moi pour l’incitait à me suivre alors que je montais les marches une par une pour nous faire arriver sur le palier. On pouvait pas mon appart et je coupais le baiser un court instant pour regarder rapidement autour et voir l’ascenseur. Regardant Théo puis l’ascenseur, j’appuyais sur le bouton pour appeler l’objet à monter. & quand il arriva, j’ouvris la porte poussant le jeune homme en ma compagnie à rentrer dedans. Il devait pas tout comprendre, enfin si il allait bien se douter quand même. Une fois à l’intérieur j’appuyais sur le bouton qui allait nous permettre de ne pas être dérangé puis façon qui allait sortir de chez lui ou rentrer à cette heure ci ? Au pire les escaliers c’est très bien, ça fait faire du sport (a) Le bouton enclenché, je me rapprochais de Théo, venant coller mon corps contre le sien alors que je poser encore mes lèvres aux siennes, laissant ma langue rejoindre la sienne et que je posais mes mains sur ses épaules, venant les faire glisser pour lui faire glisser sa chemise avec son manteau également.



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