[HOT] VALIA ♡ La vie n'est PAS un long fleuve tranquille

En venant à elle ce soir, j'étais loin de me douter que j'allais déconner franchement, mais elle me rend barjo et j'ai vraiment toujours envie d'elle. C'est même un peu trop bestial selon moi, tellement que j'arrive pas à déterminer si c'est parce que je l'aime toujours ou si c'est simplement physique. Puis alors que je l'avais de nouveau renversé parce qu'elle me rendait fou voilà qu'elle venait de me dire les deux petits mots qui explosent tout. Soit d'une bonne manière, soit l'inverse, alors là, ça m'avait foutu un coup c'est clair mais tout est tellement compliqué que je ne savais pas comment je l'avais pris. Etais-je content ? Déçu ? Non, un truc entre les deux je crois bien. Je m'étais légèrement arrêté alors qu'elle avait repris son mouvement et je ne pouvais que l'accompagner, bien que je m'étais mis à la fixer de façon interrogative. Je finis alors par loger mes lèvres dans son cou et continuer de nous donner du plaisir pour oublier la complication qu'elle venait de nous offrir.

Rosalia n'avait pas eu l'intention de faire en sorte que Valentin trompe sa copine, elle voulait surtout lui péter un cable, mais elle était faible et dès qu'il la touchait, elle ne savait pas comment résister, il la rendait dingue, elle l'aimait sincèrement et elle voulait avoir au moins un peu de lui, même si ce n'était pas lui complètement. Il lui manquait, en fait, elle s'ennuyait d'eux, du vrai eux qui pouvait aller prendre un café, sortir en publique et elle savait qu'elle finirait pas se frustrer d'être caché, mais là, maintenant, elle aimait Val et elle avait décidé de lui dire, tant pis s'il ne répondait pas, tant pis si ça le dérangeait, à ce point, elle s'en fichait éperdument, elle avait le droit de l'aimer. Elle it rapidement le regard interrogatif de Val et décida de ne pas le regarde directement, elle n'avait pas envie de ce regard, il finit par reprendre avec elle, ce qui la fit sourire, elle frissonnait sous les baisers dans son cou qui la faisait chavirer à tout coup et elle se donna encore plus avec ses hanches, alors qu'elle aggripait ses jambes autour de sa taille, ses doigts sur ses épaules et qu'elle poussait ses plus grand gémissement que tout à l'heure avec le désir qui ne faisait que monter, encore et encore.

Toute cette histoire allait me rendre dingue. Voilà qu'elle m'annonçait clairement qu'elle m'aimait et je m'en étais douté évidemment, mais je ne devrais pas jouer avec ses sentiments de la sorte, c'est vraiment pas sympa de ma part. Va vraiment falloir qu'on en parle. Mais pour l'instant j'étais bien trop lancé, bien trop excité pour m'arrêter en si bon chemin. En soit, cela ne me dérangeait pas qu'elle me fasse une telle déclaration, ça me plaisait quelque part, et ça me donnait sûrement bien plus d'entrain pour nos ébats, tellement que je me suis laissé emporté et j'ai fait un dernier sprint, un sprint assez long pour tout avouer, avant de finalement me soulager en poussant un cri bien plus rauque et fort que ceux que j'avais bien pu pousser. Je restais en elle tout en venant l'embrasser sur ses douces lèvres et lui annoncer Tu m'as tué ... Disais-je en riant légèrement alors que j'avais du mal à respirer.

Pour la première fois Rosalia se fichait de ne pas avoir une réponse, ce n'était pas un je t'aime qui demandait une réponse, c'était un fait, juste quelque chose qu'elle devait sortir d'elle. Elle ne demandait pas à Val de lui répondre, ce n'était pas ce qu'elle voulait, elle ne voulait pas un je t'aime un peu faux qui n'était qu'une réponse. Elle voulait juste qu'il sache, parce que c'était vrai, mais aussi elle ne voulait pas se faire avoir et qu'il lui dise un beau jour mais je savais pas que tu avais des sentiments, sait-on jamais si ça lui prenait de se retourner sur un dix sous. Enfin, ça semblait quand même lui faire un effet parce qu'il donnait encore plus d'effort et qu'il lui donnait tout un plaisir et elle aussi. Il finit par pousser un cri qui la fit sourire, ca la faisait toujours un peu sourire en fait de le rendre dingue. Elle eut même un petit rire à sa remarque et lui tappa doucement les fesses. « c'était bien le but! » Fallait bien qu'elle laisse un peu sa marque dans son cerveau non ?

Elle s'était mise à rire quand je lui avais fait savoir qu'elle m'avait tué et je n'en avais pas attendu plus de sa part, je m'y étais attendu quoi, parce que j'aurais réagi de la même façon. On est les mêmes, c'est sûrement pour ça que ça explose facilement entre nous, et dans tous les sens du terme. Après avoir bien repris mon souffle je lui répondais Ouais je suis un pauvre homme-objet quoi. Dis-je en riant à mon tour, pour finalement me retirer d'elle et retirer la capote qui me serrait un peu trop pour aller la nouer et la jeter dans une petite poubelle. Je remettais ensuite mon caleçon et revint à ses côtés pour lui annoncer une nouvelle qui n'allait sûrement pas lui plaire Je vais pas pouvoir rester cette nuit ce serait trop ... suspect. Déjà qu'on m'avait posé pas de questions, alors si en plus je restais la nuit entière, c'était foutu pour moi.

Rosalia avait passer une belle soirée, mais tranquillement elle descendait plutôt violement de son petit nuage, elle réussissait toujours à rire, surtout quand il dit qu'il était un homme objet, alors que bon, clairement Rosa le voyait autrement. « T'as tout compris! » Elle souriait encore, elle n'était pas completement redescendu et elle arrivait à trouver le moment encore plutôt agréable, mais elle savait ce qui s'en venait et comme de fait, alors que Rosa venait de s'enrouler dans ses couertures, Val lui précisa qu'il ne pouvait pas rester et elle toucha bien fort le plancher, elle le savait, mais elle ne voulait pas vraiment l'entendre. « Je sais... » Elle avait perdu sa joie, sa fougue et même sa colère, elle était simplement déçue de ne pas pouvoir avoir ce qu'elle voulait au complet, elle n'avait qu'une partie de Val, elle ferait avec pour le moment, mais elle n'en était pas particulièrement heureuse. Elle était aussi déçue d'elle-même d'être une maitresse, mais ce qui était fait était fait.

Clairement je n'avais pas envie de partir, mais je n'avais pas le choix. C'était ça ou je perdais Amy et mes proches. Bien que c'était plus perdre Amy qui m'effrayait et je ne comprenais pas toujours pourquoi Rosa ne se défendait pas plus. Sûrement qu'elle voulait m'avoir à la loyale cette fois-ci et ne pas tout ruiner avant de revenir ensemble. Mais je n'allais pas me plaindre, pour l'instant cette situation me convenait, donc je me suis rhabillé et une fois prêt à partir je me suis de nouveau allongé sur elle après l'avoir faite retourné vers moi, lui ai pris le visage et l'ais embrassé longuement, sensuellement, passionnément avant de rompre le baisé, de rajouter simplement A très vite et de partir tel un voleur super discret (a). Je ne préférais pas traîner, sinon jamais je ne réussirais à partir, alors autant faire ça le plus rapidement possible.