[HOT] VALIA ♡ La vie n'est PAS un long fleuve tranquille

Notre relation ne se faisait pas normalement, pas sainement et à un moment donné j'allais évidemment regretter tout ça, mais pour l'instant j'étais pris dans l'adrénaline de mon ex, de mon envie pour elle, de son odeur qui m'enivre totalement et qui me rend dingue. On me dirait là tout de suite de me lever et de me séparer d'elle, je n'y arriverais clairement pas. Je restais à l'embrasser, contre elle, la caressant, sentant son corps chaud et nu sous le mien alors qu'elle accrochait ses jambes autour de ses hanches. Quelques secondes ou quelques minutes à rester coller l'un à l'autre alors que le désir montait à grande vitesse, avant que je ne décide de céder et de retirer le reste de vêtement qui me restait pour finalement me retrouver bien vite nu comme un ver tout comme elle, prêt à l'emploi. Mais même si je n'avais plus toute ma tête en sa présence, j'eus la bonne présence d'esprit de choper une capote avant de balancer mon pantalon par dessus le lit.

Elle se souvenait d'une relation saine, elle se souvenait d'une relation belle et normal avec Valentin et elle se demandait, pourquoi elle n'y arrivait plus maintenant, pourquoi elle n'arrivait pas à remettre tout ça en place, ils avaient réussi avant, pourquoi pas maintenant ? Mais le désir montait et les pensées tombaient, s'oubliaient dans son esprit sans que rien ne l'arrête. Elle était nue, elle avait ce qu'elle voulait, lui, pour elle, juste à elle. Il se mit nu alors qu'elle n'eut rien à dire et elle mordit sa lèvres doucement en le regardant le faire, en voyant son désir et il eu la présence d'idée de prendre une capote, ce qui était une bien bonne idée d'ailleurs. Elle l'attira directement sur elle et remit ses jambes là où elle les avait mise avant. Elle l'embrassa, à pleine bouche, Rosalia était clair, c'était pas les préléminaires qui l'intéressait et elle avait vraiment attendu trop longtemps pour ce moment là

Vu comment elle m'avait attiré vers elle à peine avais-je eu le temps de retirer mes bas, je pouvais imaginer que pour elle aussi l'attente était déjà bien trop longue. En même temps je l'avais cherché la dernière fois sous la douche à nous titiller de la sorte pour que finalement je me barre. J'avais déjà tellement envie d'elle cette fois-là, que ce soir plus rien ne pourrait m'arrêter, j'avais bien trop envie d'elle et lui rendais son baisé à sa juste valeur. J'avais encore plus envie de la bouffer comme si c'était possible et ne tardais pas à enfiler la capote, du mieux que je pouvais vu que mon visage était pris en otage, tout autant que mon corps. Mais j'ai assez d'expérience pour y arriver les yeux bandés et une fois fait, je me recollais encore plus à elle pour reprendre le contrôle et la caresser tellement mes mains étaient avides de son corps pour ne pas tarder à enfin rentrer en elle, délicatement doucement, tout en ayant le souffle qui s'accélérer de plus en plus et de façon saccadée.

Rosalia avait attendu dieu sait combien de temps pour retourner avec Valentin, ça lui trottait dans la tête alors qu'elle était encore en Italie, elle le voulait encore avec elle, pour elle et clairement, elle n'était pas la seule avec cette envie, parce que Valentin était bien prêt pour elle. Il la rendait dingue, il finit par metre une capote pour se coller à elle, alors qu'elle souriait doucement en le regardant dans les yeux. Elle le sentit, entrer doucement en elle et ça lui faisait tellement de bien, pas seulement parce que ca faisait toujours du bien se genre de chose, mais parce que c'était Val, parce qu'elle le voulait doucement. Elle se tenait, cambrer, en tenant Val avec ses jambes douce autour de sa taille. Elle l'embrassait encore, doucement tranquillement, mais franchement. Elle avait le souffle coupé et elle eut même un petit gémissement alors qu'il était en elle, ça lui avait manquer, ils, eux ensemble, lui avait manqué.

C'était fou comment je me sentais bien sur elle, en elle, en l'embrassant, comme lorsque je suis avec Amy, et ça me faisait un peu peur pour le coup. Je voulais vraiment que ça soit juste parce qu'elle était devenue encore plus sexy et que c'était simplement mes hormones masculines qui parlaient et qui avaient envie d'elle. Mais comment je l'embrassais, comment je lui faisais déjà l'amour, ça ne présageait rien de bon. Mais pour l'instant je ne me focalisais plus là-dessus, bien trop occupé à nous faire du bien, de façon un peu trop acharnée tellement j'avais envie d'elle depuis des mois. Je me calmais tout de même un peu de temps en temps histoire de ne pas finir trop vite, baladant mes lèvres dans son coup, sur sa poitrine, allant moins vite au niveau du déhanché mais pas forcément plus doucement. Fallait que je calme un peu mes ardeurs surtout que je respirais vraiment mal et que je commençais à être un peu trop essoufflé.

C'était comme avant, comme quand ils étaient en Italie et qu'ils faisaient l'amour sans se prendre la tête, parce qu'ils n'avaient aucune raison de s'en faire et cette passion qui avait entre eux permettait à Rosalia de ne pas penser à autre chose. Les mains de Val sur son corps et elle s'amusait à passer les siennes sur ses fesses, son dos, alors qu'elle l'embrassait dans son cou. Elle le sentit se calmer et embrasser son corps, ça la faisait frissonner, ça la faisait sourire. Même si c'était plus doux, ça faisait autant de bien à la jeune femme qui s'exprimait doucement par des gémissements. Rosalia décida qu'elle voulait bouger un peu et elle tenta de balancer Val pour pouvoir se retrouver sur lui, mais elle était pas vraiment assez forte pour la chose, mais il devait bien comprendre ce qu'elle voulait faire non ? Elle l'embrassa doucement en bougeant ses hanches à son rythme, elle faisait l'amour, elle était bien.

Après avoir repris un peu mon souffle tout en la couvrant partout de baisés, elle bougea un peu sur le côté, me faisant comprendre qu'elle voulait aller sur moi. J'effectuais donc une rotation pour me retrouver sur le dos, la prenant dans mon élan et la plaçant sur moi, sans pour autant la lâcher, et venant embrasser ses belles petites lèvres de nouveau, la laissant continuer à bouger sur moi pour l'instant, aussi pour récupérer un peu. Je plaçais mes mains sur ses douces jambes pour les caresser et remonter doucement le long de ses cuisses pour agripper ses fesses et l'aider dans son mouvement de va-et-viens, pour al faire aller un peu plus vite et un peu plus fort, me donnant par la même occasion encore plus envie d'elle et des frissons me parcourir le long de mon échine.

Rosalia elle aimait bien pouvoir contrôler un peu et donner du plaisir à Valentin, dessous elle y arrive aussi, elle fait pas l'étoile, mais par dessus elle a l'impression d'être réellement utile au plaisir de son ex et ça lui plaisait. Il l'embrassait et elle passa doucement sa langue sur ses lèvres avant de bouger ses hanches sur lui pour lui donner du désir, doucement, pour le torturer un peu, elle en souriait presque. Ses mains sur ses cuisses lui donnait plus d'envie, ça la faisait frissonner, ça lui donnait un petit plaisir de plus. Valentin la fit accélérer et elle intensifia son mouvement, sa rapidité la force avec laquelle elle l'exécutait, elle sentait que ça lui donnait encore plus de plaisir et bon, ça lui en donnait pas mal aussi et ses gémissements la trahissait. Elle passait ses mains sur son torse, elle l'aimait, dieu qu'elle l'aimait et il était juste a elle là maintenant, c'est ce qui comptait.

Alors que j'étais avec elle, contre elle, en elle, j'oubliais même que j'étais en couple et qu'il y avait une autre femme dans ma vie. Mais une fois le plaisir terminé, sûrement que tout redeviendrait comme avant et Rosa allait en souffrir. C'est pourquoi je lui donnais le maximum de plaisir et d'amour que je pouvais pour ainsi compenser toute la peine que je pouvais lui faire. Je me sens tellement coupable, de la blesser, mais aussi d'en aimer deux à la fois et de ne même pas savoir laquelle je veux vraiment, laquelle est faite pour moi. Elle me vendait du rêve à se déhancher ainsi sur moi, à pousser ses petits gémissements qui me faisaient encore plus monter le plaisir et l'envie de l'avoir encore plus. Mes mains s'agrippaient un peu partout mais préférant bien plus l'accompagner dans son mouvement pour donner bien plus d'intensité, avant de la renverser de nouveau pour me retrouver sur elle et de venir de nouveau l'embrasser.

C'Était fou comme Rosalia retrouvait son attitude d'antan avec Val, elle se sentait aussi à l'aise qu'elle l'avait toujours été avec lui, alors qu'elle était nue et pourtant brûlante sur Val pour le rendre aussi dingue qu'elle le puisse, c'était bien elle, ça avait toujours été elle de vouloir le rendre dingue, mais aujourd'hui encore plus, pour qu'il pense un eu plus à elle. Elle ne pouvait s'empêcher de pousser des petit gémissement, c'était pas nouveau non plus, enfin, elle aimait avoir les mains de val sur elle et il se donnait pour elle, ça la rendait vraiment heureusement, surtout qu'elle pensait pas au pourquoi il serait aussi intense pour elle. Enfin, il la refit basculer sur le dos pour être sur elle. Elle l'embrassa avec beaucoup d'intensité et alors qu'elle se détacha, qu'elle se sentait aussi à l'aise que quand elle était une jeune adolescente elle ouvrit la bouche et sortit une petite bombe. « Je t'aime. » Elle aurait voulu rattraper ses mots, ne pas lui donner cette satisfaction, mais elle ne laissa rien paraitre et continua son mouvement de hanches pour le rendre encore plus fou, les jambes serrées autour de sa taille, comme si elle n'avait jamais rien dit.