MATTHEW + I am not in danger, I am the danger.

Déménager ? Déménager, moi ?! Mais c'est lui le fouteur de merde dans l'histoire ! Je n'ai aucune raison de déménager. Tu pose le problème, tu te casse. Ca me révoltais, autant que ça me fascinait en fait. Il cachait bien son gens, si il ne me ressemblait pas autant je ne l'aurait sans doute jamais su, je n'aurai même jamais mis le nez dans ses affaires. Tu crois que ça m'arrangerait d'être dans tes pattes ? J'écoute son laïus avec une attention certaine, je m'en fichais un peu au fond, mais j'étais de plus en plus curieuse. EN colère, mais curieuse, je voulais en savoir plus sur Matthew, le dealer qui cuisinait la meth la plus pure à des kilomètre. Mes parents m'ont coupé les vivres et renié parce que je voulais aller à Harvard, je ne suis pas devenu une dealeuse pour autant ! Je me suis trouvé un job, un vrai et pas une couverture ! Frustrée, et en manque je n'avais qu'une envie c'était d'en reprendre. Il avait une meth dans folie dans les mains, et je savais beaucoup de chose sur lui. J'en reprendrais, sans regret. Tu as très bien entendue, et si tu ne partage pas il se pourrait que je devienne très bavarde. Je m'approchais de lui en croisant les bras contre ma poitrine, je ne vais pas négocier; J'en voulais c'est tout et il allait m'en donner. Et gratuitement bien sûr, juste pour s'amuser.

Je n'avais pas l'intention de partir moi non plus. J'étais bien où ce que j'étais, donc elle n'aura pas le choix de m'endurer. « Désolé ma belle, je n'ai pas l'intention de partir. » Je lui fis un clin d'oeil baveux pour la frustrer d'avantage. La jeune femme avait un fort caractère comme le mien. On est comme le feu et le gaz autrement dit. « Bien parfait, parce que tu n'es vraiment pas obliger de l'être. » Elle ne voulait pas être dans mes pattes et je ne la voulais pas dans les miennes. Selon moi, c'est tant mieux. Je venais de lui conter un peu mon histoire, puis elle me raconta la sienne. « J'ai une question pour toi. Si quelqu'un viendrait te proposer de faire plusieurs milliers de dollars illégalement et sans risque, tu dirais quoi? » Probablement qu'elle dirait oui. Tout les être humains sont pareils. Ils feraient tous au moins quelque chose de pas net pour devenir millionnaire. La jeune femme voulait de ma meth alors qu'elle n'a pas arrêté une seconde de me traiter comme une merde, alors qu'elle s'était approché de moi, elle voulait que je lui en donnes gratuitement en plus. « Tu me prends vraiment pour un imbécile. tu me traites comme une merde depuis tout à l'heure et la tu me dis allé donnes moi en gratuitement. Après ça c'est moi que tu traites de camée? Si t'en veux, tu vas devoir la mériter! »

Non seulement il ne comptais pas déménager, mais il prenait j'ai l'impression un certain pied à me le dire. Alors on a un problème. Je me fiche complètement qu'il se drogue ou qu'il deal, je connais des dealers et je suis même amis avec certains mais, il ne vive pas avec moi. La question à un million de dollars; Franchement qu'est-ce que j'aurais fais ? Je n'aurais sans doute jamais pris cette argent ou même ce travail. Non, tu te trompe. Je préfère gagné ma vie honnêtement, et ne pas avoir les mains sales. Je ne comptais pas le nombre de personnes qui avait eu une overdose avec sa meth, ou même d'autre drogue qu'il vend peut-être je n'en sais rien. En prendre ? Pourquoi pas, c'est à ses risques et périls mais en vendre, en cuisiner ? C'est trop pour moi. Tu n'as quand même pas cru que j'allais te payer ? Je pouffais, c'était ridicule je n'y pensais même pas une seconde. Par le passé sûrement, mais maintenant je ne verserai même pas un sous. Soit, qu'est-ce qui te ferai le plus plaisir Matt ?

« Arrête, je suis certain que je finirais par te manquer. » Pour être honnête. j'étais loin d'être certain pour coup. J'étais même plutôt certain qu'elle serait contente que je partes, mais disons que je n'ai pas envie de la satisfaire sur ce coup. Je prends un malin plaisir à la faire chier. Écoutant alors sa réponse, je fis franchement étonné. C'est une des rares personnes que je connais qui n'aurais pas accepté. « Je vais t'apprendre un truc. On ne deviens jamais riche en étant honnête je te le garantie. » Et c'est vrai. Plus on est honnête et plus on paie, c'est comme ça que ça marche. Les gens pas honnête s'enrichisse sur le dos des gens honnêtes. La jeune femme voulait de ma meth sans la payer. Dans la vie, ça ne marche pas comme ça. « Je ne travail pas gratuitement ma petite. » Lui répondis-je alors qu'elle pensait que j'allais lui en donné comme ça pour le plaisir. C'est comme si elle me disait "hey trou du cul, tu me fais chier alors donne moi de la meth" Suis-je con à ce point? « Dit moi ce que tu peux m'offrir et on verras. »

Manquer à qui, à moi ? Je lève les yeux aux ciels. Oui bien sûr, bien sûr qui va me manquer. Je vois que tout ça l'amuse, qu'il ne prends plus du tout à au sérieux. Comment lui faire comprendre que moi je ne rigole pas ? Enfin, pas vraiment. Laisse moi donc essayer. La plupart des gens travaillent dur et honnêtement pour avoir de quoi vivre, je ne vois pas pourquoi je devrais prendre le risque de rien foutre ou presque avec le risque d'aller en prison, juste pour avoir de l'argent à ne plus en savoir quoi faire. Travailler ? Tu appelle ça travailler toi ? Cuisiner ça c'est pas vraiment un travail, c'est comme un hobbys, comme le deal, ça ne dure jamais éternellement. Rien du tout tu vois. Je ne suis pas riche, je n'ai rien de spécial à pars une certaine intelligence mais tu prétends ne pas avoir besoin d'aide pour ça donc... Je n'ai rien à te donner, mais toi tu vas me fournir quand même. N'est-ce pas ?

J'admets que je trouvais la situation bien drôle, mais voilà que je commençais vraiment à en avoir marre qu'elle me traite autant comme de la merde. Je commençais à perdre de plus en plus patience d'un coup. La jeune femme voulait que je déménage, mais moi j'en avais pas envie. Elle ne pouvait rien faire pour m'obliger à le faire. « Pas question que je te fasses plaisir. » Lui répondis-je alors. Alors que je lui avais dit que j'avais travailler fort pour ça, la jeune femme se moqua de moi. « Ah et puis tu sais quoi? Ferme ta gueule et oublie tout ça. Je fais mes trucs et c'est pas de tes putains d'affaires merdes! Es-ce que ça rentre dans ta petite tête ça? » Dis-je alors que je commençais à me frustrer. La jeune femme voulait absolument que je lui donne la meth. « Tu sais quoi? Met toi là où je pense! » Dis-je alors avant d'enfiler ma veste. de remettre mon sac dans ma poche et de sortir dehors et de m'allumer une cigarette.

Il ne voulait pas me faire plaisir, ce que je comprends très bien je pouvais être imbuvable parfois et en cet instant énormément. Par contre, que j'oublie tout ? C'est quasi-impossible, cette journée sera ancrée dans ma mémoire à jamais. Je soupirais, il était aussi têtue que je pouvais l'être, et aussi fière j'avais l'impression. Aucun de nous gagnerai à ce petit jeu, il faudrait je sais pas... Trouver un arrangement. Il peste et sans vas et moi et bien, et moi je grogne. De colère, de frustration. Dire qu'il n'y a pas de seconde j'étais prête à sortir avec se type. Ça aurait été une belle erreur, mais ça m'arrive souvent ses temps-si. Je fais des erreurs, je mens, je me drogue... Bref, je me calmais une seconde avant de le rejoindre dehors, aussi calmement que je le pouvais. Je me suis donner cinq minutes pour réfléchir. Tu fais tout tes trucs et ça me concerne en rien. J'arrête d'en parler, ton "travail" c'est ton business pas le mien. Je ne m'en mêle pas et tout reste comme avant. A condition bien sûr, que de temps en temps, par générosité bien sur, tu me file un petit sachet. Je demande qu'à m'amuser un peu moi, on est jeune; on a le droit de faire quelques conneries.

J'admets être fière de ce que je fais. Si elle savait tous ce que j'avais dû faire pour avoir tout ça. Par contre, avoir sur, j'admets que j'aurais fait un autre choix de vie. En faisant tout ça, j'étais certain que j'aurais pu profiter de mon argent et de faire la belle vie. Mais comme mon avocat me l'a expliqué, si je dépense tout, le gouvernement va se poser des questions, donc j'ai du m'acheter un bowling pour mieux blanchir mon argent, mais voilà que tout mes économies s'en vont dedans, résultat. j'ai un peu fait ça pour rien. Mais bon, ce qui est fait et fait et il est un peu trop tard pour reculer. Je me suis trop mis les pieds dedans pour arrêter. La jeune femme n'avait pas arrêter de me tomber sur la tête. J'étais donc sortie pour me calmer en allumant une cigarette. Cinq minutes se sont passés avant qu'elle ne sortes. J'écoutai alors ce qu'elle me dit, je pris une grande respiration avant de fumer le bout de la cigarette qui me restait avant de la jeter. « Ok! Mais tu ne parles jamais d tout ça à personne. Tu n'invites personnes à faire ça avec nous. » Lui répondis-je alors. C'était plus simple ainsi et j'allais pouvoir continuer à faire mes trucs tranquilles. « Tu veux qu'on fasse ça où? »

Je le regardais impatienté de savoir sa réponse alors que lui il finissait tranquillement sa cigarette. Un grand sourire s'affichait sur mon visage ensuite, il était d'accord. J'hochais la tête à chacune de ses demandes, se n'était pas trop demander de toutes façons je n'avais aucune raison de dire non, et je n'ai pas envie qu'on fouine dans mes affaires. Pratiquement personne ne savait que je prends, ou prends encore, de la drogue. Personne ne s'en doutais, avant bien sûr l'article de Cambridge Secret. Grace à elle, des gens savent à présent que je me suis droguer, au moins une fois. Pinky Swear ! J'avance mon petit doigt et l'accroche au sien. Tu peux me faire confiance. Je lui fais un clin d'œil, au moins nos n'étions plus vraiment en froid et nous étions beaucoup moins agressif. Une chambre. La tienne, toi au moins tu es seul moi j'ai trois colocs. Et ouais, je vivais avec trois mecs au chalet si ce n'est pas joyeux. Nous retournions dans sa chambre, nous n'étions pas sorti très longtemps de toute manière. A toi l'honneur, que le fournisseur nous prépare des lignes.

On avait fini par trouver un terrain d'entente. Faut dire que cette entente est loin de me plaire, mais c'est sa ou je l'ai sur le dos pour toujours. J'avoue que je pourrais très bien déménagé, mais je n'ai pas envie de tout recommencer et de me retrouver avec quelqu'un d'autre dans ma chambre. Je pourrais tombé sur pire qu'elle. Par la suite, ce serait à tout recommencer encore et encore. J'avais des conditions qu'il fallait qu'elle respecte. Je n'ai pas l'intention de fournir tout le monde gratuitement avec ma meth. La jeune femme semblait vouloir respecter mes conditions. Je lui avais alors demander où qu'elle voulait qu'on fasse ça. Dans ma chambre, ça serait mieux c'est certain. Nous retournions alors à l'intérieur. Préparer des lignes? Je n'aime pas du tout sniffer. « Je préfère la fumer moi. » Dis-je alors avant de sortir ma pipe. J'ouvris mon sac de meth, mit un cristaux dans ma pipe avant de prendre mon briquet et de faire bouillir. Je mis ensuite la pipe dans ma bouche pour ainsi la fumer. Je sentais à la meth arrivé rapidement à mon cerveau. « Ah putain c'est trop bon » J'étais maintenant complètement partie et je me sentais bien.