Konrad&Lyvia | cela fait un moment

cela fait un moment

Konrad m'avoua que c'était comme je voulais pour la sortie en boîte de nuit et qu'il s'en fichait, "hum d'accord, on devrait peut être reporté dans ce cas" lançais je naturellement, il s'en fichait donc j'allais pas l'obliger à venir avec moi. Oui j'avais assez mal pris le fait qu'il s'en fichait. Je me plaça devant lui pour lui demander pourquoi il avait fais ce regard en parlant de mon petit ami qui ne l'était plus vraiment depuis un mois. Konrad me confia que c'était parce que c'était un enfoiré me demandant par la même ocassion si je me mettais à le défendre. "Non je ne le défends pas loin de là même justement si je veux lui parler c'est pour lui dire d'aller se faire voir. Même si cela fait cinq mois que je suis avec et bien je ne mérite pas autant d'humiliation et surtout je mérite d'être heureuse" me contentais je de lui dire en le regardant. Je n'allais pas le défendre alors qu'il passait son temps à me repousser puis de toute façon à quoi ça servait de le forcer ? De plus je l'avais trompé cela voulait bien drie que j'étais à bout de notre relation et qu'il fallait que je tourne la page sachant qu'il n'allait rien faire pour moi.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

† cela fait un moment. †

lyviad † Comme tu veux. j'étais un peu énervé en repensant à l'histoire avec son mec, que je traitais d'enfoiré sans une once de remords, j'avais un regard qui était dans la logique et ça l'avait intriguée, elle quittait le mur pour se placer face à moi et me demander pourquoi ce regard, c'était simple, jamais pas ce qu'il lui faisait vivre point et alors que je lui demandai si elle le défendait, elle me prouvait le contraire, je souriais faiblement tirant une latte de plus sur ma clope Tu lis dans mes pensées bébé. je caressais sa joue du bout des doigts Si jamais la discussion dérape, appelle-moi. Lyvia et moi c'était pas qu'une relation portée sur le cul, elle comptait pour moi, je voulais la protéger et m'assurer qu'elle soit heureuse tout simplement, je n'étais pas que attiré par elle, j'étais aussi touché par elle.

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cela fait un moment

Je ne savais pas vraiment sur quel pied danser pour le coup car je vis parfaitement que cela l'énervait, "c'est pas comme je veux c'est juste que tu as dis que tu t'en fichais..." murmurais je alors qu'il était en train de fumer. Il n'entendrait peut être pas ce que je venais de dire mais en tout cas je l'avais dis même tout bas. On parla de mon petit ami si je pouvais l'appeler ainsi à qui j'allais remettre les idées en place et surtout à qui j'allais dire que tout cela ne pouvait plus durer. Alors que j'eus terminé de parler Konrad me caressa la joue ajoutant que je lisais dans ses pensées, je savais parfaitement ce qu'il pensait de mon petit ami. Il reprit en disant que si jamais la discussion dérapait je pouvais toujours l'appeler, "hum.. je pense pas car je te connais tu vas te battre, t'énerver et j'ai pas envie qu'il t'arrive quelque chose ou pire que tu te retrouves à l'hôpital à cause de moi" avouais je à Konrad alors qu'il était toujours en face de moi. Je tenais vraiment à lui c'était une évidence alors je n'allais pas le mette dans une situation qui le mettrait en danger ce n'était pas mon genre de toute façon.

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lyviad † Je m'en fiche, tu choisis tu sais, je veux aller en boite avec toi, comme je veux te laisser discuté avec l'autre. j'vais quand même les nerfs, ma voix et mon regard me trahissait et c'est pour ça qu'elle venait me demander pourquoi j'avais ce regard, c'était un enfoiré et alors que je pensais qu'elle le défendait, elle me prouvait le contraire avec des arguments influencés par mes conseils, je caressais sa joue lui disant qu'elle lisait dans mes pensées puis je voulais qu'elle m'appelle si jamais la discussion dérapait mais non, c'était ce qu'elle me disait, elle savait comment j'étais, elle n'avait pas tort Tu peux m'appeler pour venir chez moi si jamais ça dérape, je vais pas venir envenimer les choses alors que c'est déjà assez la merde comme ça. je souriais, c'était mignon qu'elle s'inquiète pour moi et qu'elle prenait soin de moi.

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"Dans ce cas... je vais avoir cette discussion et on verra comment cela se passera" lui dis je en grimaçant, je le sentais vraiment énervé par cette situation ou était ce après moi ? Par la suite je tenta de le rassurer sur le fait que je ne prenais pas la défense de mon petit ami mais que je comptais bien mettre les points sur les "i" avec lui. Konrad me proposa de l'appeler au cas où les choses tourneraient mal mais je lui répondis non, je savais parfaitement qu'il était capable de venir se battre avec mon petit ami. Je n'avais pas envie de lui cause d'autres soucis, mais il me proposa de l'appeler en cas de soucis pour venir chez lui "d'accord dans ce cas je t'appellerais si cela dérape, tu auras donc une sans domicile fixe pour une soirée" ajoutais je en le regardant. C'était gentil de sa part de vouloir m'aider si j'avais des soucis, en tout cas la conversation que j'allais avoir me faisait vraiment peur mais j'allais me montrer plus forte que tout cela. Je n'avais pas le choix de toute façon je ne pouvais pas continuer à souffrir comme cela, je méritais bien mieux que cela.

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† cela fait un moment. †

lyviad † elle voulait discuter, elle verrait après pour la boite, je ne répondais rien, j'étais énervé pour l'histoire avec son mec, elle l'avait vu et comprit, c''était un enfoiré et elle me montrait bien qu'elle ne prenait pas sa défense, puis alors que je caressais sa joue en lui disant qu'elle lisait dans mes pensées puis je voulais être sur que rien ne dégénère alors je lui disais de m'appeler si c'était le cas. Elle ne voulait pas que je sois blesser vu qu'elle savait que j'allais me battre, je souriais lui disant qu'il fallait qu'elle m'appelle pour venir ce soir, j'allais pas me battre Pas que pour une soirée. lui dis-je finissant ma clope. J'allais pas la laisser dans la merde, hors de question, je tenais à elle et je voulais tout faire pour qu'elle se sente bien, j'étais un connard mais avec ceux qui comptait pour moi, je m’ouvrais et le connard disparaissait.

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Le seul moyen pour régler mes soucis c'était la discussion et je comptais bien affronter mon petit ami en rentrant chez moi. Je savais parfaitement qu'il y serait assis devant la télé à attendre que la journée passe ou alors il serait en train de boire dans le bar d'en bas de chez nous. Il broyait du noir en s'en prenant à moi quand il était ivre. Je tenta de rassurer Konrad sur le fait que je n'essayais pas de le défendre, après tout il ne le méritait pas vu la manière dont il se comportait avec moi. Il proposa que je l'appelle sur les choses tournaient mal ajoutant que j'allais pouvoir rester chez lui et pas que pour une soirée. "Je vois déjà les bruits de couloir, Mlle Suarez qui dort chez son élève, t'as pas peur" lui dis je en riant légèrement, il fallait bien prendre tout cela avec le ton de la rigolade. Je savais que je pouvais compter sur lui en cas de besoin Konrad était vraiment un mec bien même si parfois il pouvait en douter. "En tout cas, c'est adorable..." lançais je par la suite en le regardant avec un léger sourire, peu de personne aurait fait cela alors bien sur cela me touchait vraiment de pouvoir autant compter sur lui peu importe les situations.

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lyviad † Elle allait discuter avec son mec ce soir, c'est ce qu'elle avait de mieux à faire, on pouvait reporter d'aller en boite ensemble, c'était pas urgent, par contre son histoire avec son mec, l'était. J ene me gênais pas pour le traiter d'enfoiré, il avait pas le droit de la traiter comme ça, c'est pour ça que je lui disais de m'appeler si tout allait de travers, je pouvais l’accueillir à mon appart et plus qu'une simple soirée lui dis-je avant d'entendre sa remarque. J'men bas les couilles de ce qu'il peuvent penser, tellement. si ça les gênaient qu'ils se barre, moi si je le voulais je pourrais le crier au et fort, j'avais pas peur mais ça la conçernait elle aussi et les répercussions étaient beaucoup plus importante pour elle quoi donc j'allais respecter sa parole Juste une soirée alors pour éviter ce genre de merde. je souriais faiblement reprenant mon sac Tu m'accompagnes jusqu’au parking bébé ? lui demandais-je.

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cela fait un moment

Après lui avoir dis que j'allais avoir une conversation avec mon petit il me proposa de venir chez lui après au cas où la situation dégénérait. J'accepta la proposition en disant que si cela se savait les bruits de couloirs n'allaient pas s'arrêter, j'avais à perdre dans cette histoire cela serait sans doute mal vu ce genre de chose entre une professeur et un élève. Mais Konrad en avait rien à faire de ce que pouvait penser les gens ce qui ne m'étonna pas du tout, il me proposa de venir juste une soirée pour m'éviter des soucis. "D'accord j'accepte dans ce cas, puis t'en fais pas pour moi je trouverais bien une amie fille qui acceptera de m'héberger durant quelques jours le temps que mon petit ami quitte l'appartement" lui dis je en le regardant. Je prévoyais déjà des plans sur la comète alors que je n'avais même pas encore parler à mon petit ami, je ne savais pas comment la situation allait tourner, une chose est sur il fallait que cela change. J'étais malheureuse alors fallait agir. Konrad me demanda si je voulais bien l'accompagner au parking, "c'est partit allons y dans ce cas" me contentais je de dire en marchant à côté de lui. On arriva ensuite au parking devant sa voiture, c'était bientôt le moment d'avoir la conversation en rentrant chez moi alors ça me perturbait un peu pour le coup.

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† cela fait un moment. †

lyviad † Elle pouvait venir chez moi ce soir si jamais la situation dérapait, elle avait juste à m'appeler. Je pourrais la faire rester plus longtemps chez moi mais même si je m'en foutais, elle restait une prof d'ici et plus elle évitait les ennuis, mieux cétait, des ennuis comme apprendre qu'elle dort chez un de ses étudiant, fin bref. J'm'en fais pas t'inquiète. un petit sourire alors que je venais de finri ma clope, je prenais mon sac et elle acceptait de venir avec moi jusqu'au parking, on y étaient en moins de 10 minutes, s'arrêtant devant cette vielle mustang que j'ai gagné lors d'une course de rue où je courrais pour Mayre il y a de ça quelques mois, un vrai bolide derrière la carrosserie mais passons. Bon on se quitte là je crois. lui répondais-je ouvrant le coffre de ma caisse pour y mettre mon sac de sport.

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