Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJAIDAN ✿ i love you but you hurt me so much.... - Page 2


JAIDAN ✿ i love you but you hurt me so much....

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

J’avais posé cette question à Aidan surtout parce que Jackie m’avait dit que jamais il m’aimerait, j’avais si peur qu’elle ai raison que je n’avais pas pu m’empêcher de lui demander ce qu’il en pensait. Je m’attendais à ce qu’il me dise qu’il ne savait pas, qu’il n’était pas faire pour l’engagement, enfin tout ce qu’il me disait d’habitude mais….mais là son discours me surprit beaucoup. Il me disait qu’il avait besoin de temps, j’avais tellement hâte de pouvoir vivre cela avec lui, j’étais tellement attaché à Aidan. J’étais certainement ridicule et peut être qu’Aidan avait raison finalement, je ne pouvais pas l’attendre éternellement mais j’étais consciente de l’effort qu’il venait de faire alors je lui répondis gentiment : « Je t’attendrais le plus possible d’accord… et si tu me donnes la possibilité d’être la seule à tes yeux, je ferais de mon mieux pour que tu sois comblé à tous les niveaux… ». Je pensais sincèrement ce que je disais, je ne voulais pas emprisonner Aidan le moins du monde, je voulais juste le rendre heureux et j’étais persuadée que je pouvais le faire. Aidan découvrit ensuite mon ventre afin d’y apporter quelques baisers. Mon rythme cardiaque s’accélérait, j’avais si peur. Je n’aimais pas qu’on voit mes cicatrices mais Aidan les avaient déjà vu sans certainement se poser plus de questions. Une larme coula sur ma joue et je massais ses cheveux quand il posa sa tête sur mon ventre : « Tu ne devrais pas regarder mon ventre, tu risques de prendre peur… ». Tous les souvenirs remontaient à la surface, je versais des larmes. Mais j’essayais de parler à Aidan de ce que je ressentais : « Je parle rarement de mes parents… »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Aidan sourit alors qu'il était toujours posé sur le ventre de June tandis qu'il lui fit sa réponse. Il ne se voyait pas s'engager pour le moment, mais avec le temps pourquoi pas ? C'est ce que tout le monde faisait non ? Mais le fait de se savoir ancré l'angoissait sans qu'il ne sache vraiment l'expliquer. Peut-être que cela remontait au divorce de ses parents, mais de toute manière, il n'avait jamais été féru d'analyse. Il laissait ça à ceux qui avaient envie de perdre du temps. « J'ai vu bien pire que ça ! » lui répondit-il avant de déposer un nouveau baiser sur son nombril cette fois. Il remonta ensuite à côté d'elle et la prit dans ses bras, de façon à ce qu'elle repose sur son torse. Elle lui avoua parler rarement de ses parents. Ses cicatrices avaient donc un rapport avec eux et il ignorait quelle histoire sordide se cachait derrière tout ça. Il soupira légèrement « On est deux dans ce cas. » Lui n'avait rien de spécial avec eux, hormis des parents absents. Mais sa mère avait toujours tout fait pour qu'il ne manque de rien, il ne pouvait décemment rien lui reprocher alors qu'elle enchaînait les gardes et les journées pour avoir un tant soit peu de moyens. Son père, c'était une autre histoire... « Mais tu veux changer ça ? » lui demanda-t-il en passant une main sur sa joue. « Tu sais je t'obligerai jamais à en parler, mais si tu le veux, je t'écouterai. » Simple façon de dire qu'il était prêt à l'entendre mais qu'il ne la forcerait d'aucune façon.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Aidan avait peur d’être emprisonné, je l’avais senti dès le départ mais ce n’était pas mon but, au contraire pour moi être en couple ne voulait pas dire être en prison. Je souhaitais une certaine liberté dans mon couple et j’avais toujours trouvé ridicule les jeunes femmes qui monopolisait leur petit copain pour ne pas qu’il soit tenté par d’autres filles. Je fis un petit sourire lorsqu’il me dit que ses cicatrices n’étaient pas impressionnante, c’est vrai que le temps avait fait en sorte que les choses soient moins visibles, je passais ma main dans ses cheveux : « C’est parce que ça fait plusieurs années que c’est arrivé… ». Je m’étais blottit dans les bras d’Aidan, je crois que c’était le premier moment qu’on partageait en dehors d’un petit câlin après une partie de jambe en l’air. Pour l’instant je crois que nous étions désintéressés l’un et l’autre par cela, nous savourions juste le plaisir d’être dans les bras l’un de l’autre. Je le prévins alors du caractère exceptionnel de mes confessions : « Tu sais, seul celui qui devait être le père de mon enfant était au courant pour ce qui c’est passé quand j’étais petite ainsi que mes amies les plus proches mais ce n’est pas une chose dont je me vante particulièrement… ». Je caressais doucement son torse, prête à lui avouer la vérité mais j’avais la boule au ventre et avant de parler des larmes coulaient sur mes joues. J’ajoutais alors : « Mon père est schizophrène, il est interné depuis que j’ai 9 ans parce qu’il m’a agressé, il m’a donné plusieurs coups de couteau dans un de ses délires…J’ai failli mourir à cette âge…. ». Et voilà que je pleurais comme la petite fille qui avait reçu les coups et voyait le sang coulait autour d’elle.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Là pour le coup, June lui en livrait beaucoup en une traite. Il écarquilla légèrement ses yeux lorsqu'elle commença et déglutit avec peine : « Ton enfant ? » Non parce que ça , il était pas trop au courant. Et si elle était allée si loin avec quelqu'un, il comprenait finalement qu'elle ait autant d'attentes vis à vis de lui. Il la laissa cependant continuer et accueillit ses paroles concernant son père : « ça a du être terrible pour toi. » rétorqua-t-il tout à fait sérieusement. Ce n'était déjà pas facile d'avoir des parents absents, mais un père malade, c'était bien pire. Il comprenait mieux pourquoi elle était si sensible, la vie lui avait mené la vie dure dès le départ. « Et il est où maintenant ? » demanda-t-il intrigué. Il comprenait toutefois que la tristesse qu'elle avait exprimé précédemment devait lui être lié. Aidan souhaitait vraiment l'aider mais il n'était pas forcément doué pour ça, disons qu'il faisait du mieux qu'il pouvait pour panser ses plaies. Il la serra un peu plus contre lui avant de lui embrasser le front et la garda là, prisonnier de ses bras quelques instants.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Aurais-je oublié de parler de mon semblant d’enfant que j’avais eu avec mon ex petit ami. Apparemment oui, bien dommage car je crois qu’il avait été un peu choqué sur le coup d’apprendre que j’avais porté la vie. Enfin je l’avais jamais vraiment porté mais comment expliquer ça, encore une fois, je n’avais pas eu de chance : « Oui, je pensais porter le bébé de mon ancien petit-ami, c’était sérieux entre nous, plusieurs mois de relation mais le bébé était pas du tout prévu. Je lui ai annoncé le jour où il m’a dit qu’il me plaquait pour un homme. Plus tard j’ai appris que c’était une grossesse nerveuse, j’avais un kyste sur l’utérus me provoquant les multiples symptômes d’une grossesse classique. River, qui pour info avait un magnifique labrador ne m’a jamais soutenu dans cette épreuve, il a déménagé avec son petit-ami et n’a que très rarement pris de mes nouvelles… ». J’avais été au plus bas après cette période, j’avais tellement eu mal. Je pensais tellement avoir cet enfant, je m’étais faite à l’idée de devenir mère et de perdre mon bébé et mon petit ami avait été si horrible…Alors depuis c’est vrai que j’avais voulu des relations sérieuses, pas celle que j’avais avec Aidan, j’avais besoin de plus dans ma vie, peut être aussi à cause de mon enfance. Je devais être rassuré. « Oui surtout quand ma mère est morte, elle était mon seul soutien au final… ». J’étais entrain de tout lui déballer, le pauvre allait finir par prendre peur, je répondis par la suite à sa question : « Toujours interné dans la région parisienne en hôpital psychiatrique. Aujourd’hui c’est son anniversaire alors je lui ai envoyé une lettre… ». Je serrais Aidan contre moi tandis que mes larmes continuaient de couler, j’avais tellement envie d’être avec lui, j’avais tellement besoin de lui, mon cœur battait tellement fort quand j’étais dans ses bras et je croyais même qu’il allait exploser, je posais sa main sur ma poitrine : « Tu entends ? ». Une larme coulait de nouveau sur ma joue.  
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Il ignorait ce qu'avait été la vie de June jusque là. Déjà, parce qu'il n'était pas du genre à pousser à la confession, il était tout prêt à entendre mais ne la cherchait jamais vraiment. Disons qu'il respectait le jardin secret de chacun, pour entretenir ardemment le sien. Et surtout parce que jusque là, il avait essentiellement tenu compagnie à la Lowell pour faire quelques galipettes sous la couette. Il l'écouta donc attentivement et se retrouva un peu con face à tout ce qu'elle avait déjà traversé. Lui avait l'air d'un bambin savant à peine marcher à côté d'elle. « Je comprends mieux pourquoi tu cherches quelques chose de stable. » Et pourquoi être avec moi est une si mauvaise idée, aurait-il voulu ajouter. Mais elle était si mal, il ne pouvait ajouter un poids supplémentaire. Pas quand en plus, elle avouait la mort de sa mère et le folie de son père. Tout pour l'épanouissement en somme... « Tu as toujours des contacts avec lui? » demanda-t-il. Car il se doutait que pour rendre des visites, la distance géographique compliquait un peu le tout. Elle posa ensuite sa main sur son cœur et il fit décontenancer. Elle avait tellement de poids à porter, et elle voulait pouvoir se reposer sur quelqu'un, mais avait-il seulement les épaules ? Il se sentait bien faible là maintenant. Il n'en montra rien cependant, elle avait besoin de lui, dans l'instant et c'est tout ce qui comptait. « Oui » avoua-t-il. Ses lèvres s'approchèrent de son front et glissèrent doucement jusqu'à sa bouche qu'il embrassa tendrement. Il ne disait rien, pas besoin de mots, sa seule présence suffisait.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

J’avais tout déballé à Aidan, je ne savais pas si c’était une bonne idée vu le mutisme dans lequel il était plongé mais peut être qu’il ne savait tout simplement pas quoi me répondre. Aidan n’était pas du genre à me parler beaucoup, la seule chose qu’il me dit c’est qu’il comprenait mieux mon point de vue par rapport aux garçons maintenant. Je lui répondis avec un petit sourire : « Je ne sais pas si c’est une bonne chose Aidan mais j’ai rien fait pour être enceinte, enfin je l’ai jamais été mais voilà…Après c’est vrai qu’une histoire avec des sentiments, ça me ressemble plus… ». Je savais que les relations sérieuses lui faisait peur alors j’essayais de tempérer les choses du mieux pour qu’il ne soit pas terroriser. Oui, j’avais besoin de lui mais il pouvait me soutenir sans me promettre d’être mon fiancé. Il me demanda ensuite si j’avais des contacts avec lui, je me mis à rire, c’était un rire plus nerveux qu’autre chose, pas méchant mais comment lui expliquait…J’avais tellement peur qu’il me juge, qu’il est peur de mon père, que je devienne pareille que lui. « Ben…Parfois il m’envoi des lettres, à peu près compréhensible et sinon c’est un bout de papier griffonné qui veut rien dire…Il part dans ses délires. Parfois il m’appelle et ça va, d’autres fois non. Si je retourne en France, j’irais le voir…C’est étrange d’aimer son père et de le détester en même temps… ». Mon enfance avait été divisée entre mon amour et ma haine envers lui. J’avais posé sa main sur mon torse pour qu’il ressente à quel point je l’aimais, sans lui dire bien sûr, je lui avais déjà fait peur pour ce soir mais il devait bien voir que je l’aimais, il n’était pas aveugle de toute façon. Je prolongeais le baiser qu’il m’offrait, pour la première fois avec un garçon j’avais vraiment l’impression d’être fragile, ce n’était pas habituelle chez moi, vraiment pas. Je le regardais dans les yeux avant de caresser sa joue : « T’es tellement beau Aidan… ». Je rapprochais de nouveau sa bouche de la mienne pour lui offrir un nouveau baiser.  
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Elle s'était confiée à lui et il en était touché. Il savait que ce n'était pas facile pour June. Que se révéler c'était admettre un peu cette fragilité qui faisait partie d'elle et qu'elle s'appliquait pourtant à dissimuler au quotidien. Il l'écouta donc attentivement sans trop savoir quoi dire, mais y avait-il des mots justes à prononcer ? Une oreille sincère ne valait-elle pas mieux que des mots joliment déballés ? « ça a du être très difficile pour toi, et ça doit l'être encore. » commenta-t-il tandis qu'elle expliquait sa situation sur son père. Elle lui confia qu'il était étrange d'aimer et de détester une personne à la fois. Il ne comprenait trop bien. Il ressentait la même chose vis à vis de son paternel. Bien entendu, il n'était pas fou mais il n'avait par conséquent aucune excuse à l'avoir délaissé. Les seuls contacts qu'il avait pu avoir avec lui se résumait à quelques weekend disséminés et à des poches bien remplies de fric notamment pour payer son université. On allait pas se plaindre, ça aidait quand même et il n'avait jamais manqué de rien. Aidan avait embrassé June sans arrière pensée et il était rare que ce soit le cas chez lui. Elle lui caressa doucement la joue et sa phrase lui fit clore les paupières. Il se sentait coupable. Elle lui donnait tellement et il se sentait incapable de lui donner autant. La volonté ne manquait pas, mais il avait comme l'impression de ne pas avoir les armes, les ressources pour combler cette faille en elle. Mais il s'efforçait de s'y appliquer, sachant bien que par sa compagnie, il ne faisait que retarder le moment où il briserait quelque chose en elle. Inéluctablement. C'était toujours pareil avec lui. « Détrompe-toi. » lui dit-il avec un sourire. Derrière le visage angélique, se cachait la plus tenace des noirceurs. « C'est toi qui est belle June. » Et il le pensait vraiment, elle était sincère, pure et l'aimait sincèrement. Lui aussi à sa façon, mais il savait que ce n'était pas suffisant.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Je ne racontais pas ma vie à tout le monde. La preuve j’avais couché un paquet de fois avec Aidan mais j’avais attendu qu’on soit dans cette espèce de relation malsaine, avant je lui avais rien confié de tout ça. Aidan me répondit que ma vie ne devait pas être facile à vivre, j’hochais la tête, en effet, ce n’était pas le plus simple mais c’était comme ça, je devais faire avec et surmonter tout ce que je devais surmonter. Je pris ensuite le visage d’Aidan entre mes mains : « Je fais tout pour aller bien d’accord ? Et je sais que t’es pas du genre à faire la causette, mais si tu veux me parler de ta famille, tes parents…Je t’écouterais avec plaisir, ça me plairait d’en savoir plus…En respectant ce que tu veux me dire bien sûr… ». Je ne le forçais en rien, il faisait ce qu’il voulait mais voilà, parfois ça faisait du bien de se confier. Moi j’étais là pour lui, je serais indéniablement toujours là pour lui. J’avais tellement envie de le combler, qu’il soit tout simplement heureux à mes côtés. Je voulais en aucun cas l’étouffer, le rendre prisonnier, non juste qu’il connaisse le bonheur de l’amour. Je me mis à rire quand il me répondit que c’était moi la belle et pas lui. Non, Aidan avait des yeux bleus magnifiques et un visage tellement harmonieux. Son corps aussi me plaisait beaucoup même si il n’était pas excessivement musclé, j’aimais tout chez lui physiquement et aussi au niveau de son caractère. « C’est toi qui sait pas accepté les compliments… ». Je me disais que je devais absolument changer de sujet parce qu’on allait finir par pleurer tous les deux comme des idiots, enfin moi je ferais que pleurer de nouveau et lui essuierait encore mes larmes. Je le pris alors par la taille avant de lui murmurer dans l’oreille : « Bon tu veux faire quoi maintenant, on regarde un super film ou je te montre un truc que j’ai acheté pour toi ou alors tu me peins avec le cadeau que j’ai acheté pour toi… ». Je l’embrassai dans le cou, fallait que je me montre un peu moins triste et un peu plus décontracté sinon on allait finir par être dans une ambiance enterrement.  
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Cela lui faisait bizarre de parler à cœur ouvert comme ils le faisaient actuellement. Elle se livrait à lui et il n'était pas habitué. Quelques amis recueillaient parfois sa confidence, mais il n'était pas du genre à parler de lui. Il s'appliquait à rester en surface pour ne surtout pas creuser, il était dangereux d'écailler la couche de vernis qu'il s'était patiemment construit au fil des années. « Il n'y a pas grand chose à raconter tu sais. » lui dit-il en soupirant. Pas de mère morte, pas de père fou, aurait-il été tenté d'ajouter mais ça ne se faisait pas trop de dire des choses comme ça. « Disons qu'ils ont fait ce qu'ils ont pu ! » lui dit-il en souriant. C'était vrai, sa mère avait cumulé les gardes pour pouvoir combler matériellement parlant. Son père absent avait finalement lâché l'argent quand il avait question d'Harvard, finalement le prestige ça s'achète et même pour son abruti d'artiste de fils. La seule filiation existait mais ils demeuraient au stade de l'incompréhension. Bref, il n'avait pas envie de se pencher sur la question et saisit la perche que June lui tendit pour passer à autre chose.  « Va pour la dernière option ! » lui dit-il en souriant. Il savait que June attendait ce moment depuis longtemps et dessiner était toujours salutaire pour lui. Et puis après tout, la Française était un modèle qui lui plaisait.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)