prise entre deux, trois, quatre feux pv Aidan + Leo

Ce genre de situation m’échappait totalement. Je n’étais pas le genre de personne à afficher au grand jour mes problèmes. J’étais mystérieuse et secrète. Tout ce que je n’étais pas actuellement. La fuite aurait été la meilleure des solutions mais la phrase de Léo m’interpella. Je lâchais Aidan et retourna vers Léo. Je savais me défendre, j’avais l’habitude. « J’ai peut-être chercher les emmerdes… mais tu m’excuseras-tu aurais réellement eu les sentiments que tu te vantais d’avoir tu ne m’aurais pas planté un couteau dans le dos… Mais je ne sais même pas pourquoi je me prends la tête tu ne veux rien entendre, rien remettre en cause… après tout tu es tellement parfaite ! » bien sûr que j’étais énervée, gêner par cette situation. Je me mis à souffler et regarda le plafond exténuer par tout cela. « Tu sais quoi ? J’en ai vraiment ma claque ! » dis-je énervé. Je regardais Léo qui semblait trop occuper à regarder Aidan qui se trouvait derrière moi. Je connaissais ce regard et je savais qu’au fond Léo ne souhaitait qu’une chose. Je m’avançais vers Léo et le pointa du doigt. « Arrête ! Arrête de le regarder comme ça. Il n’a rien à voir dans cette histoire alors je te préviens tout de suite, ne l’implique pas la dedans ! »

La tension était de plus en plus palpable, comme si un rien pouvait finir par lui faire péter un cable cela bien aidé tout de même avec quelques verres déjà bu. Ses potes avaient fini par partir pour reprendre goût à la fête, peut être avaient ils compris qu'elle n'était pas une fille fréquentable et que jouer avec elle comme ils avaient l'habitude de le faire avec d'autre ne serait pas possible et pour cause, je ne l'aurais surement pas permis, après tout on n'avait pas de limite habituellement. T'inquiètes pas pour lui va je ne voudrais surtout pas abîmer son visage d'ange ... même si au final on m'a toujours dis que ce qui se déployé tant d'effort pour paraître quelqu'un de bien était les pires ... mais comment dire que tu le sais déjà. Comme si c'était mon habitude de "soulever" d'autres nanas, il avait l'air de leur apporté encore plus de considération que moi, ou pas ... Mais il avait rappliqué en mode bulldog. Finissant par tourner les talons pour me diriger de nouveau vers le bar, je commandais encore un verre en essayant de m'asseoir en face du tabouret et pas à côté.

Cette situation était délicate. Je me retournais vers Aidan en entendant le son de sa voix. Il venait me prêter main forte. « Je ne sais pas qui tu es et quel histoire tu as avec mon amie, mais ce que je sais c’est que ce n’est pas la place, ni l’endroit, et que tu impliques une foule entière dans quelque chose qui ne regarde que vous. Alors retourne à tes verres et va donc soulever d’autres nanas pour calmer tes nerfs ». Son implication me rassura. Aidan était un grand ami même si je passais le plus clair de mon temps à l’embêter. Léo me ramena à cette triste réalité. « T’inquiètes pas pour lui va je ne voudrais surtout pas abîmer son visage d’ange… même si au final on m’a toujours dis que ce qui se déployé tant d’effort pour paraitre quelqu’un de bien était les pires… mais comment dire tu le sais déjà ». Léo semblait énervé, très énervé. J’avais beau le hair, je le connaissais très bien. Il ne répondit rien à Aidan, il regarda méchamment et décida de rejoindre le bar en me laissant avec Aidan. Je me mis à souffler, mes mains rejoignaient le haut de ma tête. Je me tournais vers Aidan. Je le regardais et finis par lui dire en affichant une petite grimace : « excuse moi pour tout ça… » dis-je en me rapprochant. Je n’attendais pas vraiment de réponse de sa part. Je m’avançais encore et finis par me blottir dans ses bras. Mon visage se posa sur son épaule et mes mains se rejoignaient derrière le dos d’Aidan.

Cette journée était surement à oublier un peu comme toutes les autres ces derniers temps, ma tête était en train d'exploser entre l'alcool, les embrouilles et la musique qui résonnait comme un boomerang dans ma tête. Un autre verre, puis mes potes vinrent pour me chercher, je me devais de faire semblant que tout allait bien après tout j'avais toujours été un pro dans l'art de la dissimulation. Ne prêtant même plus un oeil à mes camarades d'embrouilles, je finis par rejoindre la piste de danse, je n'étais un pas un pro de la danse c'était une certitude mais je pouvais me débrouiller, merci Thaïs !

Mon comportement était excessif et injuste. Je ne m'en rendais peut-être pas compte mais je m'attaquais à la mauvaise personne. Aidan était un des rares garçons à prendre encore partie pour moi malgré toute les conneries que je pouvais faire. J'étais énervée, à bout. Après tout cela faisait une semaine que Léo hantait les moindres de mes pensées. Je n'étais plus habituée à tout ceci. La liberté, le calme était quelque chose que j'aimais. Cette semaine m'avait paru horrible tout comme cette soirée. Je m’apprêtais à rejoindre la sortie avant qu'Aidan ne dise : " Jackie ?! " en prenant mon bras pour que je me retourne vers lui. " Tu vois pas que tu lui donnes ce qu'il veut ? " fit-il sincèrement et calmement. Aidan n'avait pas faux, je jetais un coup d'oeil à Léo qui était sur la piste et qui semblait boire nos paroles. Il était fière et content. Je le savais son sourire me le prouvait. Je le regardais dans les yeux et finis alors par lui dire en essayant d'être calme : " Quoiiiii ? tu veux que je face quoi ? que je te roule une galoche pour lui montrer qu'il a perdu ? " je le regardais dans les yeux et finis par lui dire : " nooooooon parce que j'aimerais bien avoir la réponse. Vraiment. ". Je voulais avoir cette réponse, ouiiiiiiiiii. Mon regard s'intensifiait. Je ne rigolais pas, et pour une fois j'étais sérieuse. Je finis par lui dire : " Va rejoindre June... je me débrouillerais Après tout j'ai toujours été seul, je saurais quoi faire " mes mots pouvaient paraître cru, je le repoussais même si l'envie n'y était pas. La culpabilité n'allait pas tarder à pointer le bout de son nez.

Apparemment les deux pseudo amants, joueurs ou je ne sais quoi étaient en train de passer un assez mauvais moment, un sourire se dessinait sur mon visage après tout si elle pouvait comprendre qu'il était pire que moi ça pourrait peut être la faire avancer. Toujours en train de danser dans la foule, je jetais des petits regards de temps en temps à nos chers camarades qui pouvaient apparemment passer du chaud au très froid. Dansant avec une jeune femme plutôt collé-serré comme dans ce genre de lieu, on enfile pas des perles vous croyez quoi ... le ton montait et ça me faisait doucement rigoler. Ils avaient l'air encore plus ridicule que tout à l'autre à dire vrai.

Mon comportement était excessif et injuste. Je ne m'en rendais peut-être pas compte mais je m'attaquais à la mauvaise personne. Aidan était un des rares garçons à prendre encore partie pour moi malgré toute les conneries que je pouvais faire. J'étais énervée, à bout. Après tout cela faisait une semaine que Léo hantait les moindres de mes pensées. Je n'étais plus habituée à tout ceci. La liberté, le calme était quelque chose que j'aimais. Cette semaine m'avait paru horrible tout comme cette soirée. Je m’apprêtais à rejoindre la sortie avant qu'Aidan ne dise : " Jackie ?! " en prenant mon bras pour que je me retourne vers lui. " Tu vois pas que tu lui donnes ce qu'il veut ? " fit-il sincèrement et calmement. Aidan n'avait pas faux, je jetais un coup d'oeil à Léo qui était sur la piste et qui semblait boire nos paroles. Il était fière et content. Je le savais son sourire me le prouvait. Je le regardais dans les yeux et finis alors par lui dire en essayant d'être calme : " Quoiiiii ? tu veux que je face quoi ? que je te roule une galoche pour lui montrer qu'il a perdu ? " je le regardais dans les yeux et finis par lui dire : " nooooooon parce que j'aimerais bien avoir la réponse. Vraiment. ". Je voulais avoir cette réponse, ouiiiiiiiiii. Mon regard s'intensifiait. Je ne rigolais pas, et pour une fois j'étais sérieuse. Je finis par lui dire : " Va rejoindre June... je me débrouillerais Après tout j'ai toujours été seul, je saurais quoi faire " mes mots pouvaient paraître cru, je le repoussais même si l'envie n'y était pas. La culpabilité n'allait pas tarder à pointer le bout de son nez.