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Val & Nat ♥
Je me baladais tranquillement dans la bibliothèque de l'université à la recherche d'un livre sur la guerre de sécession. Dans moins d'une semaine je devais rendre une dissertation à ce sujet et çà me soûlait d'avance. Mais bon on devient bien s'y coller un jour et le plutôt sera le mieux. C'est en feuilletant un livre que je reçu une petite alerte mail sur mon téléphone. En effet , c'était un autre épisode du Cambridge's secrets. Un mec ou une fille qui publié que son site tous les ragots des étudiants. Par réflexe, et parce que je trouvais cela plus distrayant sur la guerre .. je m'étais mise à lire. Des les premières lignes mon visage s'était décomposé puisque cela parlait de Rosalia et Valentin , ensemble , proche , dans les bras de Valentin. Mais c'est quoi ce bordel là ? Qu'est ce qu'ils foutent ensembles ceux là ? Sérieux c'est pas possible de pouvoir lire ce genre de truc. Je ne pris même pas la peine de lire la suite que je rangeais mon téléphone dans mon sac. La disserte attendra un moment parce que pour le moment j'avais un truc plus urgent à régler. Je quittais la bibliothèque en direction du dortoir des Winthrops. Je fus en moins de deux secondes devant la porte de Val et j'essayais d'ouvrir mais c'était fermé. Il avait intérêt à être dans sa chambre celui là. Je ne l'avais pas revue depuis le Summer Camp , et je ne l'avais eut qu'une seule fois par texto et ce n'était certainement pas la meilleur façon de reprendre le contact ; mais je m'en fou. Je tambourinais contre sa porte comme marteau piqueur. Si tout le palier sors de sa chambre , bah' je m'en fou aussi.
(Invité)
*BAM BAM BAM* Putain mais c'est quoi ce boucan ?! Je me redresse en sursaut de mon lit, réveillant par la même occasion la belle jeune femme dont je ne connais pas le nom qui est à mes côtés. Je la regarde un instant me rappelant de notre soirée ensemble et un sourire satisfait et légèrement pervers apparu sur mon visage. Mais les tambourinage sur ma porte me ramena à la réalité et sortis de mon lit nu comme un ver pour changer. J'enfilais un caleçon et alla ouvrir la porte, me demandant qui ça pouvait bien être et surtout l'heure qu'il était en fait, parce que je n'avais même pas pris le temps de regarder ça. Bouge pas. Avais-je dit à ma charmante compagnie avec un clin d’œil rempli de sens. Elle me fit son plus beau sourire pour retourner sous les draps. Bon, à nous deux toi qui est derrière la porte. Je l'ouvris, légèrement sur les nerfs et Putain mais c'est quoi ce ... Nat' ? Qu'est-ce que tu fais là ?! Dis-je d'un ton bien plus doux d'un coup. Alors là, de toutes les visites auxquelles j'aurais pu m'attendre, c'était bel et bien la dernière.