Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility- tu m'aimes ou quoi ? pv Aidan - Page 3
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- tu m'aimes ou quoi ? pv Aidan

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JACKIE-ELIE STEVENSEN & AIDAN L. NORRINGTON
TU ME SUIS OU QUOI ?



Je n’envisageais rien avec Aidan pas même une nuit de passion. Pourtant inconsciemment mon esprit n’était pas contre une bonne partit de plaisir avec lui. Mes rêves érotiques approuvaient par je ne sais qu’elle moyen un minimum d’attirance pour lui. Aidan était le genre de garçon qui pouvait provoquer en moi un tas de réaction. Il pouvait m’énervé à en devenir toute rouge et il pouvait me faire rire à en avoir mal aux joues. Pour tout vous avouez, je n’avais été jamais plus loin dans cette réflexion. Et ne préférait pas m’y engouffrer de peur de ne penser qu’à cela. « Pas très original, tu trouves pas ! » L’originalité était souvent la chose que je recherchais. J’adooorais ça. Sortir du lot me plaisait. Je n’avais pas bouger peut gêner par cette proximité presque habituelle. Je fis un petit soupire et levais les yeux au ciel. « Je pensais être une VIP. Je suis déçue » Je secouais la tête et finis par reprendre ma position de base. Mon chocolat à la main, je pris une à plusieurs gorgé de mon breuvage. « Ne compte pas sur moi Norrington, j’ai mon ticket et je passe après cette demoiselle » Susceptible ? Pas vraiment en réalité. Je ne faisais que jouer. Le téléphone d’Aidan vibra, la jolie fille à qui j’avais accorder une chance de réalisé son rêve semblait déjà accroc. Je le regardais de haut en bas et finis par lui dire : « T’es histoire ne me regarde pas Norrington »
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La piscine ça l'emballait pas plus que ça, fallait savoir ce qu'elle voulait. Il haussa les épaules : « C'est toi qui a parlé de natation, je suis pas difficile ! » lui dit-il en souriant. Allez trêve de plaisanteries sur une possible coucherie. Bien entendu, maintenant qu'elle lui avait refilé un boulet entre les pattes, elle n'allait pas en assumer une quelconque conséquence, en même temps l'inverse aurait été étonnant. Jetant un dernier coup d'oeil à son portable, il le rangea finalement dans sa poche. Ignorant par la suite les messages de détresse de la demoiselle. Elle finirait par se lasser. « Tu as raison. Intéressons-nous plutôt aux tiennes. » lui dit-il en la regardant. Un rictus étira le coin de sa bouche, lui donnant un air légèrement sournois : « Tu n'as rien à me confier ? » lui demanda-t-il en la détaillant comme elle venait de le faire. Puisque ses histoires ne l'intéressait pas, il pouvait très bien se montrer intéressé par les siennes, pourquoi pas ?
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« C’est toi qui a parlé de natation, je suis pas difficile » fit-il avec un petit sourire. Je finis par soupirer tout en levant les yeux au ciel. Malgré mes nombreuses qualités j’avais tendance à ne pas assumer mes actes ou du moins cela dépendait les circonstances. J’étais loin d’être une fille parfaite, même très loin. Je savourais les dernières gorgées de mon chocolat chaud avant d’entendre les paroles d’Aidan. « Tu as raison. Intéressons-nous plutôt aux tiennes. » je le regardais en fronçant des sourcils. Etaler ma vie privée ne faisait absolument pas partie de mes habitudes, Adan le savait. Je n’aimais pas ça, parler de moi m’ennuyait profondément et ne me m’était en aucun cas à laisse. Sous mes airs de diva lunatique et sarcastique, je cachais un grand nombre de chose. « Tu n’as rien à me confier ? ». Mes yeux se fronçaient d’avantages Je finis par lui dire « Qu’es tu veux sous entendre par là Norrington ? » d’un ton assez sérieux sans pour autant baisé les yeux. J’espérais ne pas aborder le sujet sam mais quelques choses me disaient que les choses allaient se compliqués.
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Il l'avait déstabilisé, pas si fière que ça la Blondinette quand on abordait les sujets qui interpellaient. Il lui sourit et déclara un brin amusé. « J'ai surpris quelques regards voilà tout. » lui répondit-il du même ton sérieux. En même temps, il regrettait un peu d'avoir mis ça sur le tapis, Sam attirait bon nombre de filles, il suffisait de voir son physique. Il aimait beaucoup ce mec, mais ces derniers temps il avait changé, hors le savoir dans la ligne de mire de la Cabot ne lui plaisait pas vraiment, mais en même temps il n'avait pas tellement envie de faire part de son jugement. Disons qu'il avait lancé la perche et qu'il verrait bien comment elle réagirait, ça lui permettrait de prendre la température, mais pour le moment, il ne souhait pas se mêler à tout ça. Son téléphone vibra encore. Il regarda son téléphone, c'était encore la belle Fiona... Elle n'allait plus le lâcher. Il tapota rapidement sur son clavier qu'il n'était pas intéressé, et releva ses prunelles océanes sur celles similaires de son bourreau. « T'as vraiment fait fort. Va falloir te faire pardonner. » lui dit-il sur un ton plus léger.
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J’aimais les hommes tout comme Shreck aimait être seul dans sa tanière. J’aimais plaire et séduire mais je ne recherchais en aucun cas de relation sérieuse. Sam était quelqu’un que j’appréciais beaucoup. Il semblait me faire tourner la tête mais je n’avais pas d’autre explication à accorder à cette situation. La stabilité n’était pas quelques choses que je recherchais. « J’ai surpris quelques regards voilà tout ». Mes yeux se levèrent à nouveau. J’étais cependant bien loin d’imaginer ce qu’Aidan pensait de tout cela. Mon chocolat finit. Je le regardais et je lui fis : « N’importe quoi… » dis-je en mettant ma main sur le visage d’Aidan recouvrant les yeux et la bouche de son ami. « Tu me surveilles maintenant ? C’est ça ? » continuais-je en l’empêchant de moi voir et de parler. J’aimais l’embêter et lui trifouiller le visage. Une fois mon envie de l’embêter terminé, son téléphone vibra une nouvelle fois. Elle semblait docile. Un petit sourire au coin, je fis style de ne pas le dérangé et regardais autour de moi. « T’as vraiment fait fort. Va falloir te faire pardonner. » je le regardais et finis par lui afficher un petit sourire « Et je dois faire quoi ? »
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Et dans le mille. Sa réaction ne lui fit que confirmer les doutes qu'il avait par rapport aux sentiments de Jackie à l'égard de Sam. Elle n'était pas la première et sans aucun doute la dernière, il avait l'habitude du charme que dégageait son ami. Il n'aimait pas bien ça mais il n'avait pas non plus de quoi la ramener. Il se mit à sourire cependant lorsqu'elle lui plaqua sa main sur le visage. Elle dégageait ensuite ses doigts et il attrapa son poignet au passage, le tenant fermement sans forcer pour autant. « Plus que tu ne crois. » lui dit-il plus sérieusement. « Je surveille les personnes auxquelles je tiens, d'autant plus si je redoute qu'on leur fasse mal. » aurait-il pu ajouter mais il n'était pas du style à dévoiler ce qu'il ressentait. A la place, il posa ses lèvres sur le dos de sa main et y fit un baiser comme on le pratiquait dans l'ancien temps. Il savait que ça le ferait enrager et mit fin à l'étreinte. Concernant l'Ogresse, elle demanda comment se faire pardonner. Son sourire s'élargit davantage « J'ai bien une idée, mais je ne suis pas certain qu'elle te plaise. » lui dit-il l’œil pétillant. En fait, il ne savait pas vraiment, il aimait tout bonnement la taquiner.
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Ma relation avec Sam était disons complexe, très complexe, trop complexe peut-être. Il avait un véritable pouvoir d’emprise sur moi. L’expliqué était compliquée. Aidan semblait l’avoir remarqué, j’en étais d’ailleurs surprise. Mes yeux se plissèrent avant que je ne mette mes mains sur son visage. Il m’attrapa les poignets en les tenant fermement. Je le regardais en attendant une quelconque réaction de sa part. « Plus que tu ne crois ». Il semblait sérieux. « Arrête… il n’y a rien qu’un petit jeu de séduction avec lui » dis-je sérieusement tout en masquant toute les choses compliquées auxquelles je pouvais penser. Il posa par la suite ses lèvres sur le dos de ma main. Bizarre ou pas, son geste ne m’avait pas gêner. En tant normal, je n’aurais pas manquer de le pousse et pourtant j’affichais un sourire. « Tu réalises un de mes fantasmes Norrington » dis-je en chuchotant. Après tout, il m’était arrivée de vouloir être une princesse. « J’ai bien une idée, mais je ne suis pas certain qu’elle te plaise ». J’osais les sourcils, curieuse de savoir à quoi son esprit malsain pensait. Je m’approchais alors de lui et lui déposa un tendre bisous sur sa joue. « C’est bon ça ira avec ça ? » J’étais gentille, trop gentille. Je me réinstallais sur mon tabouret et lui dis plus sérieusement cette fois ci espérant qu‘il éclaircisse ma lanterne : « et sinon c’est vrai que tu as une relation libre avec June ? »
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Elle lui assurait que ce n'était rien de plus qu'un petit jeu, pourtant son sentiment était tout autre mais il ne voyait pas de quoi polémiquer. Ils étaient grands et cela les concernait, il éprouvait cependant une drôle d'appréhension qu'il ne pouvait pas justifier vraiment. « C'est ce qu'on dit... » lui dit-il en haussant les sourcils, se voulant taquin. Il ne voulait cependant pas lui peser et décida de rebondir vite sur la suite. « Si j'avais su que c'était aussi simple My Lady. » Ses traits se paraient d'une joie sincère, la spontanéité de Jackie et celle qu'il lui démontrait chaque jour lui faisait du bien. Elle déposa ensuite un bisou sur sa joue, bon c'était une maigre compensation mais il s'en contenterait. « ça ira pour cette fois Stevensen, mais que je vous y reprenne pas. » Il faisait une figure d'autorité pathétique, sans doute parce qu'il s'appliquait à toujours rejeter toute forme de soumission en bloc. Autrement sa dernière question l'interpella, ses yeux s'écarquillèrent légèrement : « Ouais pourquoi ? » lui demanda-t-il en la scrutant. Il n'avait pas pour habitude de se confier sur sa vie sentimentale : « Comment tu sais ça ? » Il ne pensait pas être une source potentielle de ragots, apparemment il avait tout faux.
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« C’Est-ce qu’on dit » c’est surtout ce que j’espérais. Je ne souhaitais pas me voir embarquer dans quelques choses de compliquées avec Sam. Il est vrai que nous nous entendions bien, que je l’appréciais beaucoup mais j’espérais ne pas vouloir plus. L’amour, les sentiments, l’attachement n’étaient pas quelques choses que je savais maniée à la perfection. Ma tête se baissa sur le cotée, c’était bizarre de parler de ça devant Aidan. C’était bien la première fois que nous venions à parler de choses comme celle-ci. Je ne lui répondis pas préférant arrêter sur ce sujet. « Si j’avais su que c’était aussi simple My Lady » j’affichais un sourire. Et lui dis : « Il m’arrive de faire dans la simplicité cher monsieur ». La simplicité était sans doute une des qualités que je défendais le plus. Un simple baisé et l’affaire était clause. J’affichais un large sourire amusé et lui dis : « Et bien, vous n’êtes pas gourmand cher monsieur. J’aurais presque envie de recommencer dit donc » dis-je par simple provocation.

« Ouai pourquoi ? » pourquoi ? Je n’en savais trop rien. Aidan n’était pas le seul à avoir les yeux partout. J’avais tout les atouts de passe partout. J’étais petite et curieuse. Je ne lui répondis pas tout de suite et fus rapidement devancer. « Comment tu sais ça ? » Je le regardais et lui fis un grimace. « J’ai des oreilles Norrington… et puis ton regard là, celui là. Conforte ma supposition »
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« Depuis quand une Cabot fait preuve de simplicité ? » déclara-t-il d'une moue narquoise. De son point de vue, les filles de cette sororité étaient la féminité personnifiée, l'élégance et le raffinement, la complexité incarnée. Inutile de préciser pourquoi il adorait généralement les femmes sortant de la Cabot House. Ne revenons pas sur son côté maso... Il lui rendit son sourire et répondit provocateur : « Mais je n'attends que cela que tu recommences, car alors je pourrai augmenter la consolation et tu n'auras d'autres choix que de t'y plier. » Un affront supplémentaire appelait une réparation plus importante, et alors comment pourrait-elle refuser puisqu'il n'y aurait pas d'exagération. Sa grimace le fit rire, en tout cas il était étonné que cette relation avec June lui soit parvenue jusqu'aux oreilles, cela ne regardait qu'eux et il n'y avait là rien de très intéressant ou croustillant. « Laquelle de supposition ? » lui dit-il en accrochant ses prunelles claires aux siennes.  
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