- tu m'aimes ou quoi ? pv Aidan

L’archéologie, une science passionnante que j’étudiais déjà depuis cinq ans. J’adorais étudier tout comme j’aimais faire la fête. Les études ne me dérangeait pas plus que cela. J’étais tranquillement assise sur une table extérieure qu’Harvard nous mettait à disposition. J’étudiais tranquillement avec de la musique dans mes oreilles. J’étais coupée du reste du monde, renfermer dans un livre passionnant. Il était rare de voir une cabot dans ce genre de situation et pourtant j’en faisais partie. J’avais beau m’être éclaté hier soir, j’étais toujours d’attaque. Je ne faisais pas attention aux personnes qui me regardaient pour tout vous avouez, je m’en fichais. Après tout, je ne les dérangeais pas. La soirée d’hier soir avait été superbe, j’avais passé la plus clair de mon temps avec Aidan. Un vrai chieur et quand je vous dis chieur, il atteint des sommets que vous ne seriez pas imaginé. Malgré son côté casse coud, je l’aimais bien même beaucoup. Alors que j’étais tranquille sur ma table, quelqu’un me retira mes écouteurs. « Hé ! » je me retournais et Aidan me faisait face. Je lui fis un petit regard et lui fis : « qu’est qui t’arrive sa y ait, tu deviens accro à moi ? » dis-je avec un petit regard provocateur.

« Salut beauté ! Bah oui ! Je t’ai cherché dans mon lit ce matin » typique parfaite des répliques à la Norrington. Je commençais à y être habitué et je n’hésitais pas à répliqué à tout ce qu’il pouvait bien dire. Je finis par avoir un sourire et lui fit : « D’ailleurs en parlant de ça, tu sais que tu as une tête horrible au petit matin. Tu as failli me faire avoir une crise cardiaque. » dis-je en rigolant. Il aimait me chercher mais j’adorais lui rendre la monnaie de sa pièce. C’était un jeu incessant qui nous plaisait beaucoup. Il s’installa en face de moi. Je coupais mon ipod et je le mis sur le cotée. Pour reporter mon attention sur Aidan. « Je me suis repassé l’intégrale de Céline Dion en pensant à toi et puis je me suis dit qu’il fallait que je te retrouve. » céline dion, il choisissait plutôt bien ses musiques. Quoiiiiiiiiiii ? J’aimais céline dion et alors. « Je savais que tu aimais ses chansons. Tu voulais faire Titanic avec moi c’est ça ? » dis-je en haussant les sourcils. Je finis par soupirer et je fermais mon livre. « Je vais pu pouvoir étudier c’est ça ? »

Au fond je l'aimais bien le petit Norrington. Je ne m'ennuyais jamais avec lui. Il y avait toujours quelques choses à faire ou à dire. Cependant Il m'arrivait de le détesté, ses sarcasmes n'étaient pas toujours la bienvenue surtout quand je n'étais pas d'humeur. Pourtant sa présence me réjouissait même si je ne lui montrais pas. J'avais envie d'étudier mais l'envie de m'amuser prenait le déçu. L'effet Norrington. " C'était pas moi mais mon double maléfique " je fis un grimace pas convaincu. Et finit par dire en chuchotant : " C'est dommage parce que ton double au pieux il est comme ça " dis-je en montrant mes pousses. En vérité, je ne savais pas qu'elles étaient les performances d'Aidan. Je n'avais jamais couché avec lui. " Et toi poupée tu as du maquillage permanent ou bien ? tu es toujours magnifique " raaaah qu'elle enfoiré comme toute les filles je m'étais un peu de maquillage histoire de masquer mes traits de fatigue. J'étais bien loin du pot de peinture ambulant. " je suis toujours magnifique qu'es tu crois " je ne le pensais pas spécialement mais disons que mon égaux en sa présence était surdimensionnée. C'était inexplicable. " Si tu sautes, je saute c'est bien ça ? " je me mis à rire. Il n'était comme même pas assez bête pour penser que je sauterais. " Tu rêves Norrington ! ". Les révisions allaient sans doute être reporté pour plus tard. Je fermais alors mon bouquin et le regarda : " je crois que je vais prendre un café dans ce cas là. Tu es un spécimen plutôt difficile à étudier. J'espère que tu en as conscience ! " bien sûr qu'il en avait conscience. Je fis comme lui et croisa mes bras sur ma poitrine. " qu'est ce que tu peux être con parfois... " je le pensais, Aidan était con. Un con fort sympathique cependant. Je finis par ranger mon livre dans mon sac ainsi que mon ipod. Je le regardais et dis : " tu m'offres un café ? " dis-je avec un petite sourire tout mignon.

Je regardais un peu autour de nous, il n’y avait pas grand monde. Les feuilles recouvraient la pelouse et un petit vent s’offrait à nous. Il ne faisait pas très chaud. On pouvait d’ailleurs sentir la fraîcheur de l’hiver s’installer. « ah ouai ? C’est bizarre j’aurais cru l’inverse dit donc » la virilité était un point sensible surtout chez les garçons. Je l’avais très vite appris et je l’utilisais à cet instant. J’aimais le rabaisser sans vraiment savoir qu’elle était ses exploits sexuelles. « hum… et puis calme tes fantasmes Norrington. Je sais que tu voudrais me voir brandir un fouet mais tu rêves ». Dis-je en souriant amusé par la situation. C’est vrai que Aidan était un être totalement débile par moment. Il ne manquait jamais une occasion. C’était quelques peut charmant. « C’est comme si c’était fait. Qu’Est-ce que tu veux mon cœur ? » Aidan ne refusa pas mon offre, il m’invitait à boire un café. J’étais ravie. Ma main se posa ensuite sur sa bouche qui commençait sérieusement à dépasser les limites. Ma main s’écrasa sur sa bouche et je lui fis : « Arrête avec tes mon cœurs » dis-je avec un sourire et je lui fis : « allez vient ! » je lui pris le bras et le leva de cette table pour enfin se diriger vers une cafétéria. « Sinon, tu l’as trouver comment la soirée d’hier ? »

Je le savais, je le savais. Je venais de toucher l’égaux surdimensionné d’Aidan. J’étais fière de moi puisqu’il prétexta qu’il n’était pas homo. J’eu un petite sourire espiègle contente de ma connerie. « Efféminé c’est pas le mot, disons que tu me parais vulnérable comme une petite fillette. Tu vois le genre hein » dis-je en imitant les tremblements d’une petite fille. A moiiii de rire maintenant. J’étais bien placé pour savoir qu’Aidan n’était pas homo. Plusieurs demoiselles n’avaient pas démérité les mérites de monsieur Norrington au contraire. Norrington était une bête au lit. Scoop. « Quand tu veux. » dis-je en marchant dans son jeu et sans pour autant le penser. Une fois levé, nous nous dirigions vers une petite cafétéria. Il était d’ailleurs assez rare d’y trouver du monde. C’était le lieu parfait pour venir réviser en paix. La soirée de la veille avait été plutôt satisfaisante. Elle n’avait pas été génial mais plutôt pas mal. « aaaaah ouai, j’aurais du te brancher avec Fiona la femme de Shrek. Elle arrêtait pas de te regarder. Sinon ça va, c’était plutôt cool »