- tu m'aimes ou quoi ? pv Aidan

Je le provoquais en même temps, il me cherchait et savait ou appuyer. Il me connaissait assez bien, j’espérais néanmoins être un peu mystérieuse à ses yeux. J'aimais entretenir de l’ambiguïté dans mes relations. Le mystère faisait partie de ma vie et peut personne connaissait ma vie mouvementé. Aidan faisait partie des personnes qui ne savaient que le stricte minimum de moi. Non pas que je ne lui faisais pas conscience mais disons qu'il m'était presque impossible d'en discuter. " Ouiiiiiiiii, jte cherche tout comme toi tu me cherches ! ". Notre relation était disons assez difficile à expliquer. Ensemble ? nous étions de vrai gosse et j'adorais ça. Alors que je continuais à marcher, Aidan s'arrêta. Qu'es qu'il avait encore ? je fis marche arrière et le regarda bizarrement en attendant une réaction de sa part. Il passa ensuite un bras énergique autour de ma taille et me pencha en arrière. Je vous annonce pas que j'étais déjà en train de me débattre mais rien n'y faisait. Il approcha ses lèvres dangereusement et je finis par le regarder sans flancher. " Dans ce cas, j'espère que tu es souple " je me mis à rire avec lui. Il me redressa et à cet instant je lui fis en pointant mon doigt sur lui : " Rapproche ta bouche pâteuse encore de la mienne et tu verras celui là ". Au fond, il était assez imprévisible lui aussi. " Naaan je parlais de Fiona en mode ogre. C'est plus ton genre ! " aaaaaaaah et bim. J'eu un sourire. Nous étions enfin arrivé à la cafétéria. Je m'installais au comptoir " hum un chocolat chaud s'il te plait " je posais mon sac sur le cotée et lui " et sinon toi tu as pas cour normalement ? "

« Alors trouvons nous » je mis à sourire et lui fis un petit clin d’œil en réponse à ce petit rentre dedans. J’avais beau aimer le café, le chocolat chaud faisait partie de mes boissons chaudes préférés. Contrairement à ce que disait Aidan, je ne trouvais pas que cette boisson était enfantine au contraire « excuse moi le surexcite de la vie ! » dans son état, c’était plus le café qu’il fallait lui interdire mais toute les boissons énergiques. « n’empêche que tu dois être mignon quand tu dors… » dis-je en sortant de mes pensées. Je lui fis un beau petit sourire pour le remercier de m’offrir mon chocolat. Aidan était un super artiste j’avais eu l’occasion de voir quelques travaux par-dessus son bras. « tu l’as devant toi l’inspiration, je peux même te taper la pause si tu veux » dis-je en posant maladroitement. Nos boissons arrivèrent assez rapidement, alors que je commençais à boire mon chocolat. Je me mis à recracher sans grand classe le contenue. Bordel qu’il était chaud. « wouaaaaaah ». Mon doigt se leva vers Aidan. « Nooooooon arrête rigole pas ! »

Pour tout vous avouez, il m’était arrivée une fois ou deux de rêver de monsieur Norrington. Et je préfère vous passez les détailles. Il n’y avait rien de catholique là dedans. En y repensant, j’eu un petit frisson. Aidan n’était pas au courant de ses rêves érotiques et je préférais mourir plutôt que de lui en parler. C‘était étrange, presque déstabilisant. Imaginez deux secondes moi et Aidan en train de faire l‘amour ? Mon dieu l‘horreur. Le Aidan sourd et muet pouvait être un bon coup, j‘en étais persuadée. « A ce rythme là je vais exploser » exploser était le terme. Je levais les yeux au ciel quand il imitait le lion. Il était vraiment intenable. C’était horrible pire qu’un chiwawa. « Au matin, ça reste à voir ! » tu m’étonnes, la vision d’aidan au matin me fit rire. « aaaah dommage ». Sa ne m’étonnait pas de lui. Sans faire attention à ce que j’étais en train de faire, je venais de me brûler la lèvre. La douleur était quelques peu gênante alors que j’essayais de me remettre de cette petite situation. L’âne qui se trouvait à cotée de moi semblait amusé par la situation. A ce même moment, Fiona l’ogresse débarqua dans la cafétéria. J’eu un petit sourire plein de malice. « Tu l’as cherché ! ». Je me levais et me dirigeais vers cette fameuse demoiselle. Nous étions assez loin d’Aidan pour qu’il n’entende aucune de mes paroles. Je me réinstalla à ses cotée et finis pas lui dire : « Fiona l’ogresse à ton numéro mon chérie ! Dit merci à ta jolie chérie »

« Mais ce qui me réjouit c’est que si tu voyais la mienne, je verrais la tienne ». J’étais disons curieuse de savoir qu’elle tête il pouvait avoir le matin. Je n’étais pas si sur qu’elle soit si différente de la tête qu’il avait maintenant. J’aimais le taquiner et le rembarrer. « peut être un jour qui sait » dis-je en haussant un sourcil l’air provocatrice.

Disons que Fiona était arrivée au bon moment. La cerise sur le gâteau. En allant la voir, je m’attendais à un retour de médaille. Aidan n’était pas le genre de garçon à se laisser avoir si facilement. « naaaaaaah Peggy la cochonne » je me mis à sourire. Cette fille n’avait pas grand-chose pour elle mais bizarrement elle faisait tout pour que le regard des gens s’attardent sur elle. Aidan fit un signe à la demoiselle, mon sourire s’agrandit. Je soufflais sur mon chocolat et commençais à le boire doucement cette fois ci. « Trouve moi un beau monsieur ! Bien musclé tu vois le genre. D‘ailleurs quand tu veux un pour musclé tout ça » dis-je en touchant ses bras. La jeune demoiselle semblait ravie d’avoir le numéro de mon cher compagnon. J’étais ravie d’être à l’origine de tout ça. Et je fis un chuchotant : « Je crois qu’elle t’aime bien ! »

Aidan faisait partie des personnes avec qui j’aimais être. Il m’arrivait parfois de ne pas pouvoir le supporter mais malgré ça il restait un ami fidèle et sympathique. Notre relation ne ressemblait en rien à une amitié de routine. Nous étions un sacré duo. C’était une certitude. « Quoi ? Je demande pas Ken. Juste quelqu’un de bien battit histoire d’avoir de quoi toucher. » en réalité, les hommes musclés jusqu’au coup n’étaient pas vraiment mon genre de garçon. Pour être franche, je n’accordais pas spécialement d’importance au physique dans la limite du raisonnable. J’avais beau être une cabot je marchais le plus clair de mon temps au feeling. « J’ai bien une idée pour muscler tout ça » me fit-il en s’approchant de moi. Je le regardais peu gêner par cette proximité. Au contraire, l’habitude faisait que je ne bronchais plus. « aaaaah ouiii ? Quoi faire de la natation peut-être ? » dis-je en appuyant chaque syllabe de mon dernier mot. Je me rapprochais moi aussi de lui, il voulait jouer et nous allions jouer. « va falloir que je face la queue alors » dis-je un sourire malice sur les lèvres. Je le regardais avec insistance toujours aussi proche. Son portable se mit à vibrer « Aaaaaah déjà accroc »