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Halloween
come back !.
Je continuais de m'aventurer et même si je pouvais m'attendre à tous et n'importe quoi là-dedans, je m'avançais quand même vers une drôle de silhouette en face de moi espérant que ça soit un être humain et non un revenant venu de nulle part. « Mon dieu ! Enfin quelqu'un ! » Afin de mieux voir la personne, je décidais de mettre ma main sur son épaule -espérant ne pas lui mettre la frousse de sa vie- et vis le visage de la demoiselle (NATALYA) « J'ai cru que c'était limite abandonné ! » Autant avoir peur à deux. « Austin ! » Autant se présenter. J'étais sûr que c'était une jolie fille, mais difficile à en être persuadée, car la luminosité n'était pas au top dans ce palais. Le cri strident qui suivi mes paroles n'étant en rien rassurant. « Bienvenue ! » A la maison de l'horreur pensais-je.
(Invité)
Je pense pas Elia, c'était pas très naturel comme bruit, si? " Puis les lumières sur notre chemin venait de s'éteindre, oh punaise non pas ça. Je me tenais donc plus fort à Olympe histoire qu'elle ne part pas sans moi. J'avais récemment vu l'épisode d'halloween de PLL, épisode ou Hanna une des menteuses avait lâché la main de sa collègue pour se retrouver perdu je ne sais où. Je voulais surtout pas me perdre et me retrouver seule sans Olympe, alors je la tenais assez pour être sûre qu'elle n'allait pas se faufiler. " Excellente idée, je n'ai qu'une envie, sortir d'ici... En plus tu entends, il y a d'autres voix. Il y a des gens autour de nous.. ! Je la suivais alors qu'elle tournait à droite, même si j'avais pas été d'accord osef je l'aurais suivi. Puis j'entendis des hurlements, genre une personne criait et je levais mon index. T'as entendu ça hein ? J'avais entendu un rire également peu après avec une fois très bizarre et effrayante demandant si y avait quelqu'un. Je croyais aux fantômes, aux esprits mais là ça semblait trop réel, trop vrai pour être la voix d'un esprit non ? Bordel les monstres ça existe pas, pas possible ça, les clowns, les poupées itout j'ai peur mais c'est que dans les films, en vrai ça peu rien nus faire non ? n'est ce pas que j'ai raison ?
Vu les cris qui se faisaient entendre, Anastasiya et moi n'étions pas les seuls ici, d'autres s'étaient risqués à avoir une possible crise cardiaque avec ces rires, ses bruits et tout cet environnement. Anastasiya ne m'avait toujours pas reconnu, et c'était ce que je souhaitais, elle venait de m'envoyer bouler, c'était logique puis je savais qu'elle n'allait pas m'acceuilir à bras ouverts alors que pour elle j'étais un inconnu qui venait de lui foutre les boules. Surement. derrière le masque, je souriais alors que je la vis se rattraper à mon bras en trébuchant, elle n'a jamais été d'une agilité remarquable même si elle a pu faire de la danse, enfin bref passons. Elle voulait qu'on se présente, c'est vrai qu'on allaient rester ensemble pour sortir de ce palais alors autant se présenter mais je voulais pas qu'elle me découvre encore, c'est pourquoi je parlais encore par hypothèses et j'avançais, elle ne tardait pas à me rattraper et même me demander un indice. Bon juste un seul. Dans ta plus grande douleur, j'ai frappé, dans ton plus grand bonheur j'ai cédé, dans la nature de ta beauté, j'ai été captivé. une énigme, ça allait la mettre sur la piste mais c'était encore trop confus pour que ce soit clair et qu'elle mette un nom sur ma tête.
Tu tentais de t'aventurer dans cette galerie, le peu de lumières n'aidait pas vraiment. Tu faisais quelques pas puis t'arrêtais, frolant de tes mains les miroirs. Peu de temps après, tu entendais quelqu'un s'approcher de toi. (AUSTIN) Tu te retournais quand il posait sa main sur ton épaule, prise d'un sursaut. Il avait dit quelque chose avant, enfin tu savais pas trop, t'avais pas bien entendu. Il te donnait alors son prénome histoire de se présenter un peu. Natalya ! Un cri se faisait rapidement entendre. Mais un cri plutôt inquiétant cette fois. Tu tentais de rester calme, au moins tu n'étais plus seule. Hum merci, mais ça a pas l'air très accueillant comme endroit ! Finalement, tu voyais une ombre sauter à son cou, (MADISSON] tu te mettais à crier, ne sachant pas qui était la personne. T'allais passer pour une idiote, voilà.
