(flashback) KONDITE — plus je fuis plus tu t'approches

Deux mois se sont déjà écoulé sans que vous ne vous voyez, sans que vous vous parliez, deux mois ou finalement son absence dans ta vie ta peser, mais finalement tu commences à comprendre ce qui s'est passé ça te console pas du tout mais tu es assez mature pour comprendre la détresse dans laquelle il est depuis tous ce temps. Tu le regardes et tu fini même par poser ta main sur sa joue en essayant de lui faire comprendre que tomber amoureux n'est pas une erreur juste le jeu le plus dangereux auquel ils nous soient donné de jouer mais parfois c'est en se brisant la partie la plus sensible de notre corps humain, le coeur. Tu finis par te reculer parce que le toucher te donne envie de te blottir dans ses bras et de savoir qu'il est vraiment face à toi remplie d'une détresse désarmante pour toi. Ton regard se perd dans le sien et tu aimerais tellement pouvoir lui redonner un peu de joie de vivre mais comment faire tu n'es pas elle et tu as la sensation qu'il n'a besoin que d'elle pourtant c'est toi qui est devant lui. Alors si c'est fini arrête de te pourrir la vie avec ça, soit celui que tu veux être et pas cette loque humaine. Tu le dis avec un sourire aux lèvres essayant de le faire réagir un peu, tu ne veux pas le blesser juste le faire avancer. Tu prends sa main et lui fait un large sourire espérant qu'il sourira à son tour.

(Invité)

kondite

† plus je fuis plus tu t'approches. †

Deux mois d'ignorance, j'aurais pas du m'éloigner d'elle et de tous les autres juste pour réfléchir sur ce qui avait bien pu décider Grace à me laisser, à m'abandonner. J'aurais pas du et pourtant c'est ce que j'ai fais et là je vois bien que ça a rendu triste Aphrodite, elle m'a confier que pour elle notre relation était vraiment sincère et qu'elle avait eu mal que je la délaisse pour Grace, j'aurais pas du faire cette connerie et là, le fait que sa main se pose sur ma joue, qu'elle relève mon visage, qu'elle me donne ce conseil, ça m'aide, vraiment. T'as raison. elle avait raison, je devais arrêter d'être une loque comme actuellement, je devais arrêter, sa main dans la mienne, je la regardais et je souriais Je sais même plus qui j'étais avant de lui donner mon putain de cœur. elle à enfermé tout ce négatif en moi que là je sais même plus comment redevenir le connard que j'étais, celui auquel Aphrodite était accro et dingue T'as une idée ? j'avais un petit sourire malicieux, je savais qu'elle connaissait la réponse.

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Après deux mois ou j'avais pas mal tourner en rond à savoir quoi faire face à ses hommes qui se prenaient tellement au sérieux en ce moment, entre ceux qui se mariaient, ceux qui voulaient retrouver celles qui aimaient et ceux qui se trouvaient simplement amoureux et en couple j'avais commencer à me demander si tout le temps étaient destiné à tomber amoureux un jour et à mis dans une cage sans plus aucune liberté. Je n'avais pas l'intention de laisser Konrad filer encore une fois alors que je le voyais si mal, je voulais qu'il retrouve sa rage qui me plaisaient temps, cette jalousie malsaine entre nous je voulais qu'on se retrouve. Il me regarda et je pouvais retrouver la malice dans son sourire, son regard sur moi laissais apparaître ce que j'avais connue autre fois. Je le regardais mordillant ma lèvre. Que le jeu commence. Tu t'approches de lui, collant ton corps contre le sien, tu as cette envie de le retrouver, laisser parler ton manque. Tu glisses une main derrière sa nuque et vient effleurer ses lèvres avant de l'embrasser avec ardeur tu veux qu'il ressente cette chaleur qu'il y avait entre vous, qu'il ressente cette pleinitude.

(Invité)

kondite

† plus je fuis plus tu t'approches. †

J'en avais finis des mois de réflexion à me tourmenter sur mon sort, à culpabiliser, elle avait raison, je devais arrêter d'être cette loque humaine à m'apitoyer sur mon sort, je dois en sortir et redevenir ce connard que j'étais avant de tomber amoureux. La voilà à me dire que je jeu commençait après lui avoir demander justement comment retrouver ce connard que j'étais, je souriais la voyant faire, elle s'était rapprochée, sa main s'était glissée derrière ma nuque et ses lèvres venaient danser avec les miennes et même si je participais à ce baiser, j'y mettais fin rapidement Pas par le cul. Je veux que tu me montre comment redevenir ce connard, mais pas en te foutant l'orgasme de ta vie. je sais pas si elle comprenait mais je voulais pas coucher avec elle ou avec une autre, pas là, pas maintenant.

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Tu veux vraiment qu'il se bouge parce que le voire en mode déprime c'ets pas ton tgripe en plus savoir qu'il se prends la tête pour une fille qu'a même pas été capable de se rendre compte de la chance qu'elle avait c'est bidon. Tu veux qu'il se reprenne il était un connard à la base alors autant qu'il le redevienne seulement toi la solution qui te venait en tête c'était peut pas la bonne même si tu t'étais promis de plus te prendre la tête juste du sexe. Tu viens l'embrasser il y répond mais y met fin et ce qu'il te dit te destabilise un peu du coup. La dernière fois que tu as été un putain de connard avec moi c'est quand tu t'es mis à draguer une poufiasse devant moi parce que tu savais que ça allait me faire péter un putain de cable. Tu veux être un connard et bien va séduire une meuf chauffe là et plante là comme une grosse merde. Tu ne savais pas trop ce qu'il attendait de toi du coup parce qu'à la base il venait pendant ces deux moi d'être un connard avec toi donc t'atteindre c'était facile.

(Invité)

kondite

† plus je fuis plus tu t'approches. †

Je vois bien ce qu'elle essaye de faire, elle veux me bouger et arrêter de me faire rester cette loque, la voilà qui s'approche, qui se colle à moi, qui m'embrasse, oui ok je l'excite par le cul, je suis ce connard jaloux et possessif, violent et agressif qui l'excite mais je ne veux pas qu'elle m'aide en prenant son pied car ce soir elle veut du cul, pour une fois je ne veux pas de ça. La voilà à me dire quoi faire, trouver une fille, la draguer devant elle, ça allait m'aider, mais je pense pas, je suis encore trop attaché à Grace et justement je dois m'en défaire Surement, c'est une possibilité. Mais ça va juste servir à ce qu'on baisent encore comme des dieux. je souriais faiblement Faut que je bouge mon cul mais pas en te baisant, faut que je bouge en faisan des conneries, m'occuper, quelque chose d'utile même si te prendre c'est très utile et efficace. je venais déposer un baiser sur sa joue avant de sortir des chiottes et d'aller au bar, commander un autre verre, j'étais déjà pas mal entamé.

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Tu le regardes et ne sait plus trop quoi faire parce que clairement ce soir vous n'allez pas coucher ensemble, il a besoin d'aide mais pas comme çà. Du coup tu cherches un moyen de l'aider même si à la base ce soir tu es là pour le sexe et l'alcool. Tu sens son baiser sur ta joue et doucement il quitte les toilettes où tu restes planté comme une idiote. Tu sais qu'il la toujours en tête et tu as la sensation qu'il attende de toi que tu lui sortes. Tu regardes ton reflet dans le miroir et décide de faire en sorte que ce soir il se retrouve. Tu finis par quitter les toilettes et le rejoint au bar, tu lui piques son verre et le boit cul sec le défiant du regard. Très bien, ce soir je serais Bonnie et tu seras Clyde et on va aller mettre le bordel dans cette ville ! Tu prends sa main et le tire pour le faire sortir de la boîte, finalement ce soir tu vas devoir te mettre dans la peau d'une Mather. Tu prends le volant babe !

(Invité)

kondite

† plus je fuis plus tu t'approches. †

Je voyais bien qu'elle semblait bloquée, elle voulait que je me retrouve en couchant avec, et je savais que c'était la meilleure solution mais je voulais pas cette solution, je voulais autre chose, et c’est pourquoi je quittais les toilettes des mecs pour me rendre au bar et commander un whisky, me changer les idées autre que celle de vouloir la prendre n'importe où tellement elle me rend dingue. Et la voilà uqi se ramène en prenant mon verre quelques secondes après qu'il soit posé et surtout avant que je puisse le prendre, elle l'avalait cul sec, un putain de whisky cul sec, bravo bébé, courage pour la suite j'ai envie de te dire. Elle vient ensuite me proposer d'aller foutre le brodel en ville, je souriais Là ça me plait. elle attrapait ma main et on sortaient de la boite Je suis venu en bécane, t'as une caisse ? c'est mieux si elle voulait que je prenne le volant et de toute façon j'avais pas vraiment le choix vu ce qu'elle avait bu, je commençais à être fait aussi mais je tenais bien plus qu'elle, sans me vanter, quoique si.

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Il était clair que ce soir tu n'aurais pas le plaisir de coucher avec lui puisqu'il venait clairement de te le dire ce qui t'avais un peu laissé sur le cul. Mlagré qu'il avait quitté les toilettes, tu prenais appuie sur le lavabo et regardais ton reflet dans le miroir. Tu pouvais quitté les toilettes et allé chercher un homme qui coucherait avec toi ou bien le retrouvé et lui faire oublier son mal. Après tout si tu voulais avoir une chance qu'il remarque a quel point il avait besoin de toi dans sa vie c'était sans aucun doute le moment ou jamais. Tu vas vers le bar et lui prends son verre que tu t'enfile cul sec parce que clairement ce que tu vas faire ce soir t'aurais jamais pensé le faire un jour. Bonnie et Clyde sont de sortie et ça promet. Une fois dehors tu l'emmène vers une voiture qui es aucunement la tienne et tu retire ta vest l'enroulant autours de ta main. Tu Frappes violamment dedans et l'ouvre. Maintenant on es a une ! Tu crois que tu peux la faire démarrer asse vite ? Dis tu en riant alors que le vider était entrain de chercher d'ou venait le bruit de la vitre cassé.

(Invité)

kondite

† plus je fuis plus tu t'approches. †

Ce soir je ne coucherai pas avec et c'est ce que je voulais, la première fois je crois que je refusais comme quoi, il y a un début à tout. Non ce soir je voulais me retrouver, avec son aide mais autre que par le sexe, je viens de quitter les toilettes pour le bar et commander un whisky mais elle le boit cul sec en me rejoignant avant de saisir ma main et de n’emmener jusqu'à la sortie de la boite. Elle veut qu'on foute le bordel en ville, j'aime l'idée mais il nous faut une voiture, elle retire sa veste lorsqu'on arrivent prêt d'une caisse, elle l'enroule autour de sa main et frappe dans la vitre de la porte côté conducteur, je souriais la voyant faire Je crois oui. lui répondais-je entrant dans la voiture, j'enlevais le boitier sous le volant et je trafiquais les fils pour en choper deux et avoir un contact entre les deux pour entendre le joli bruit du moteur démarrer Et voilà. monte. je déverrouillais la porte côté passager, et une fois qu'elle était montée, me voilà à quitter le parking assez vite avant qu'on ne remarque quelque chose.

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