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Tell me, Tell me all! [Feat Dylan]

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Ca m'énervait ces mecs qui se braquait pour un rien pour un menace si s'en était une, pour un mot plus haut que l'autre, mais bordel pourquoi ils veulent pas qu'une fille ou un autre mec les aident, je m'en fou, mais accepté cette putain d'aide, je savais bien que de tout façon il allait me répondre dans le vent. Je savais pas quoi faire, le mettre face à la réalité des choses, s'était certainement la meilleur des choses. "Dylan, si ton fils est mal parce que tu va pas bien, parce ce que c'est pas seulement une tristesse de trois semaine là, s'il va mal à cause de toi, les instit's vont s'en apercevoir et ils vont appeler les services sociaux, après ils vont venir voir tout ceux que Peter côtoies, que ce soit toi, Gloria, les instits, les copains ou moi. Alors pour la dernières fois, est ce que y à une raison pour laquelle ton fils me demande, pourquoi son père est triste, à chaque fois que je le vois et ça depuis près d'un mois?" Il fallait qu'il se mette dans le crane que je ne voulais que l'aider, mais qu'il fallait qu'il me fasse confiance, je donnerai n'importe quoi pour que cette famille soit heureuse, loin de savoir ce que Gloria était. Je ferai tout ce que je pourrai pour que le petit soit heureux.
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Dylan poussa un large soupir tentant de se calmer. Il savait qu'Alicia n'avait pour prétention que de lui venir en aide, qu'elle était l'une de ses plus grandes amies, la seule à qui il faisait confiance pour surveiller Peter quand il le fallait. Mais là, ce n'était plus pareil, il s'agissait de livrer des secrets sur un monde trop loin de ce que la demoiselle pouvait imaginer.
« Je ne sais pas ! » déclara-t-il finalement fortement. Il avait juste envie de se débattre. Il se sentait de plus en plus mal, il avait envie de vomir, de sentir la froideur d'une lame contre sa peau, de se frapper la tête contre la portière d'une voiture. Peu importe quoi, mais fuir cette situation. Cela faisait longtemps que personne ne l'avait déstabilisé à ce point. Il hocha la tête de façon négative. Il avait peur de ce que lui racontait Alicia. Elle parlait comme si Peter était vraiment malheureux. Mais c'était faux, c'était faux parce que Dylan avait su le préserver. « Bon okay, avec Gloria, on se dispute. Mais ça arrive dans tous les couples mariés ! » s'exclama-t-il ensuite. Puis il poussa un énième soupir. Il ne tarderait pas à se lever. Il tremblait presque. Il avait besoin de dévier sa douleur psychologique dans de la souffrance physique.
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Je savais qu'il ferai tout protéger son fils des services sociaux, autant que moi que me battrai pour pas qu'il aille dans un foyer, mais il fallait m'aider à y voir clair s'il ne voulait pas voir tout ça un jour arriver. Ils étaient tout les deux bien trop précieux pour moi pour que je les laisses tomber d'une quelconque façon, c'est pour ça que j'étais bornée à ce point à ce sujet, lui faire peur pour qu'il réagisse un temps soit peu. Dans un premier temps il me dis que qu'il ne savait pas, j'avais pour le coup retirée ma main de la sienne déçut de sa réponse, avant de ramener celle ci sur mon verre et de la serrer, je l'avais même lâché du regard vus à quel point ça me décevais. Mais Peter avait du voir, entendre, comprendre quelques chose, il faut pas croire, mais les gamins de cinq ans ça voit, entend et comprend plus de chose que nous, alors faut arrêter de faire semblant avec eux, mais en même temps les préserver de certaine chose, j'étais pas mère et j'étais pas prête à l'être mais, avec le temps j'avais appris comment ils fonctionnaient. La main sur le verre, se resserrait doucement, faute de pouvoir frapper du point sur la table. Avant qu'il ne reprenne la parole. Son couple ne va pas bien? Was? Par automatisme je sortis. "Au point que ton fils voit que ça va pas?" S'était ridicule bien sur, enfin la question.
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Il avait avoué déjà une partie, mais c'était sûr qu'il ne parviendrait pas à en dire davantage. Il n'avait jamais pu en parler, même aux membres de sa proche famille. Même Swan, sa belle fille avec qui il était si proche n'était pas au courant. Non personne ne savait et personne ne le saurait. Car sinon, n'importe qui lui dirait de divorcer, le pousserait à le faire. Mais il n'avait pas envie de décevoir, de briser cette image de famille parfaite que sa situation sociale lui imposait. Et surtout, il ne désirait pas priver Peter de sa mère. S'il divorçait, elle terminerait mal. Il le savait qu'elle n'avait que lui, et il la croyait lorsqu'elle lui disait au creux de l'oreille qu'elle l'aimait dans leur lit commun. Alors.... pourquoi lui faire du mal ? Elle avait beau mal le traiter, c'était.... c'était juste parce qu'il le méritait. En fait, il était un peu égoïste. La raison pour laquelle il ne voulait pas fuir, c'était peut-être parce qu'il ne voulait pas perdre son fils lui-même.
Lorsqu'Alicia tenta de capter son regard et lui posa une nouvelle question, il se mordit la lèvre inférieure. « Je.... » Il se leva. « J'ai besoin d'aller aux toilettes. » dit-il. Il partit très rapidement, sans ajouter un mot de plus, sous le regard inquiet de son amie. Et il n'attendit pas longtemps, sortant un briquet de sa poche, il l'alluma et laissa le feu se frotter contre la peau de son bras, sans même prendre le temps de se cacher dans une des cabines. Il avait juste peur d'être en train de devenir fou, mais cela lui faisait tellement de bien.... De toute façon, dès que ça brûlait trop, il arrêtait. Fallait juste que cela le délivre, l’apaise.... Face passer son état d'esprit à la réalité...
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Alors s'était ça le problème, le pourquoi papa est triste s'était ça? Une querelle d'amoureux? Ou plutôt de mari et femme, quoique dans un sens ils sont censé être amoureux. Le truc c'est qu'il évita ma question en prenant la direction des toilettes. Je soupira un instant, le regardant partir, et avalant une gorgée. Y avait un truc qui allait pas dans ce que je voyais, dans ce qu'on m'avait dis, que ce soit Peter, Dylan, les journaux, oui en tant que futur journaliste, même si c'est pas les potins je suis bien obligé de m'y intéresser, il me manquait des éléments. Je pris le soin de déposer un billet sur la table pour payer les consommations histoire que le serveur ne crois pas que je fais genre que je vais fumer un clope pour partir sans payer. Nan nan je vais vraiment fumer. Adossées contre le mur du bar, je repassais ces dernières minutes dans ma tête ce qu'on s'était échangé, ce que j'avais vue, je pense pas qu'il soit du genre à se laisser marcher sur les pieds, ou quoi, enfin j'en savais rien mais je voulais pas y croire. Pfff s'était en train de me rendre tarer cette histoire, j'aurai mieux fait de jamais m'attacher à Peter de cette façon. Je tirais nerveusement sur ma clope, j'arrivais pas à me détendre, stressée, de la situation, des cours fatigué de la journée, j'en pouvais plus. Une fois ma cigarette terminé je retournais à l'intérieur, j'eu un grimace quand je vis qu'il n'était pas de retour, j'arquais un sourcil, est ce que ça se faisait vraiment d'aller dans les toilettes des hommes? Je pense que vus la situation il m'en tiendrais pas rigueur. Je pris donc la direction des toilettes. Un fois au pied de la porte je sentais un odeur étrange, je mis ça sur le compte du bar, qui devais certainement servir quelques salade pour le repas du soir, j'étais loin de croire ce que j'allais voir. Une fois la porte ouvert je leva ma tête et je resta un instant bloqué. Wah mais c'est quoi le délire là. Je bloquais sur le bras de Dylan, avec un briquet dans les mains, c'est quoi le délire? Dites moi qu'il était en train de se fumer un clope en cachette et qu'il faisait pas autre chose. "Tu fous quoi là?" Je tremblais de se que je voyais, et avec la pression que ça m'avais mis j'avais les yeux qui brillaient. Je m'approchais d'un grand pas, mais putain c'est quoi ce bras. Instinctivement, je lui pris, pour le regarder sous toute les coutures, mais bordel, bordel c'est quoi ça. J'avais des frisons de partout. "Dy'? Qu'est ce que tu f... Arrete... Tu peux pas..." J'arrivais pas à trouver mes mots, son bras était totalement méconnaissable, je comprenais mieux maintenant pourquoi il était jamais en T-shirt, pas même quand il faisait trente cinq degrés. Je savais même pas comment réagir face à ça.
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Sentir ce frisson l'envahir, là, dans ses toilettes, et fermer les yeux pour le sentir encore davantage. Il serra les dents quand le feu commençait à le brûler. Il avait jamais été très douillet pour ce genre de choses, alors ça avait pris un peu de temps pour qu'il le sente. Il ne pourrait pas dire combien de temps cette « libération » avait duré, mais il fut coupé par la porte qui s'ouvrait. Oui, il avait été ou de le faire à la vue de tous, il aurait dût entrer dans une cabine... Mais sur ce coup-là, il n'avait pas été très intelligent. Juste parce qu'il allait terriblement mal et que c'était sa façon d'exprimer, sa seule façon puisqu'il devait clore la bouche, toujours. Ne rien dire, rester fort, pour Peter. Mais voilà que le petit garnement avait trouvé, ressenti une faille chez son père... Et cela engendrait un malêtre chez son fils... Il tourna les yeux vers l'homme qui était entré et l'avait pris en flagrant délit. Mais il lâcha le briquet en se rendant compte que ce n'était pas un quidam, qui hausserait les épaules avant de partir. C'était Alicia, son amie, qui venait de le surprendre. Il s'écarta, mais elle l'avait déjà attrapé par le bras. « Aïe, mais lâche-moi, putain tu me fais mal ! » s'exclama-t-il de façon vraiment pas polie, et c'est le moins qu'on puisse dire. Elle observa son bras. Toutes les marques n'étaient pas de son fait, il y avait pas mal d'hématomes dus aux disputes avec Gloria, les griffures aussi. Lui, quand il se scarifiait, il évitait les bras. Parce que les bras, c'est trop visible, vaut mieux s'attaquer aux cuisses, aux jambes, à des endroits que personne ne peut voir facilement.
« Et qu'est-ce que tu fous là, c'est les toilettes des hommes, je te fais remarquer ! » s'exclama-t-il ensuite en s'écartant d'elle. Il avait honte, il avait mal, et il était en colère. Contre lui-même, contre elle aussi pour avoir crevé l'abcès, ouvert une porte qu'elle n'aurait pas dû. Comment allait se passer les choses à présent ? Elle le prendrait pour un fou.... « T'as pas intérêt à en parler à qui que ce soit.... » dit-il doucement tandis qu'il dscendait sa manche et ramassait le briquet lâché auparavant.
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J'avais le coeur qui battait à cent à l'heure, comme l'impression d'avoir pris cinq ans rien en passant cette porte et voir ce qu'il était en train de faire, je suis certaine que dans quelques temps j'allais avoir des cheveux blancs, à force de m'inquiéter pour tout le monde, mais là s'était pas pareil, là ça allait trop loin, beaucoup trop loin. En lui prenant le bras je lui avait fait mal, je mordait ma langue, pour pas lui en retourner une, ce que je voyais m’effraye et s'était seulement un bras, UN seul putain de bras, à tout les coups l'autres était dans le même état, le reste de son corps aussi. J'étais perdu, bordel mais pourquoi. "Je fous que je suis sortie fumer une clope et que t'étais toujours pas revenue, me semble pas que tu mettes trois cent à en pisser ou chiant." Je sortais ça sur le même ton que lui, j'étais en colère contre lui, je comprenais pas pourquoi il faisait ça, pourquoi il était aussi mal en point, et je semblais même plus émotionnée que lui, comme si s'était normal, ce qu'il faisait. Je me posa dos au mur, regardant mes pieds mais bordel. "Dylan tu me dis, se qui se passe maintenant, soit tu me verra plus. C'est toi qui choisi, je t'ai laissé assez d'option ce soir." Dis je sans même relever la tête.
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C'était juste irréaliste, Dylan avait l'impression de partir complètement en live. Il faisait rarement ce genre de truc en public, mais là, il était tellement ébranlé, qu'il avait fait n'importe quoi. Et d'ailleurs, Alicia eut tôt fait de lui faire remarquer que ce comportement n'était en aucun cas quelque chose de normal. Au contraire. Mais il le savait, il le savait très bien qu'il faisait du tord à tout le monde, surtout lui-même. Il avait beau lever la tête haute et faire comme s'il ne pensait jamais au suicide, il s'autodétruisait. Mais pour l'instant, il serait incapable d'aller plus loin. Peut-être parce qu'il était trop lâche, ou plutôt parce qu'il ne voulait pas faire de peine à son Peter adoré. Mais Peter souffrait.
Les mots que prononça ensuite Dydy le glacèrent. Il s'immobilisa un instant, regardant la jeune femme dans les yeux. Il avait les larmes qui montaient aux yeux. Il s'était jamais mis dans un état pareil en-dehors de sa salle de bains. Jamais devant quelqu'un. Encore moins quelqu'un de proche. A vrai dire, il se retenait de pleurer, mais quelques larmes perlèrent toutes seules le long de ses joues. Il en essuya une avec sa manche droite. « Bah tu sais quoi, je m'en fous, t'as qu'à dégager ! »s'exclama-t-il finalement, presque trop subitement pour une réaction normale, avant de prendre la direction de la sortie. « De toute façon, tu peux pas comprendre. Personne ne comprend rien... » continua-t-il ensuite, toujours sur le même ton. « Et je peux t'assurer que Peter ne verra rien... Je le préserve, toujours, je fais tout pour qu'il soit heureux et ce n'est pas un petit garçon triste... C'est un garçon plein de vie et heureux de sa famille! » Il tentait de se dire que tout ceci n'était pas grave et que la vie continuerait fidèle à elle-même et à ces trois dernières années.
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Scheiße, c'est quoi son délire, je suis là pour l'aider et il m'envoie bouler, mais merde quoi, putain, c'est quoi le délire. Il essayé de me regarder dans les yeux pour limites me faire comprendre que je lui servais à rien, que de toute façon je pouvais bien faire ce que je voulais, j'y arriverai pas. Et c'est ça qui me foutais la haine, qui était en parti la cause de mon état, pourquoi on voulait pas de mon aide, si ça continue comme ça j'aiderai plus personne, adieu le refuges, adieu les Quincy, adieu Harvard, et je retourner rafistoler mes relations familiales, parce que je sais que y en a au moins un qui veux de mon aide, et que je veux pas lui donner. Tout ça me mettaient hors de moi et comme d'habitude, j'en avais les larmes aux yeux, parce que c'est comme ça quand je suis énervée je pleures. "Si je part maintenant Dylan, j'espère que t'es conscient que jamais tu me reverra, jamais tu m'entends? Tu te démerdera tout seul pour aller chercher Peter, et tu te démerdera tout seul pour lui expliquer pourquoi je m'occupe de lui. Tu sera près à lui dire la véritée." J'avais la voix qui tremblais comme tout le corps. Je voulais frapper sur quelques chose, mais j'aurai explosé la porte d'un toilette ou je me serrais fracassé la main contre le carrelage du mur, alors seulement mes ongles rentré dans ma paume de la main. "Je comprendrais pas? Mais Scheiße, explique moi, ou je suis trop conne pour comprendre? Bordel Dylan, tu crois que tu va tenir longtemps comme ça?" Je voulais lui dire qu'il n'était qu'un con, qu'il comptait pour moi et que je voulais pas l'abandonner, mais souffrir parce qu'il me rejetterai après ça servait à rien. Puis il se justifia et me dis qu'il ferai tout protéger son fils. "Mais tu crois vraiment que c'est en te faisant du mal que tout ira mieux, franchement? Et Peter et bien plus intelligent que tu le crois, vus qu'il arrive a voir qu'on son père va mal..." Je m'approcha de lui pour lui prendre la tête et le regarder dans les yeux, comme ça il n'avait aucun moyen de fuir. "... Tu vas le perdre tu comprend ça?? Tu va le perdre ton fils que t'aimes tant, à trop vouloir le protéger, tu vas t'éloigner de lui que tu le veuille ou non. T'as tout, t'as toute les cartes en mains, t'as to.... T'as un fils, un femme, t'as une famille, des amis, mais nan tu préfères te faire du mal plutôt que de régler tes problèmes. Pourquoi tu te fais du mal comme ça..." Parce que au finale, j'avais pas de réponse, oui il se faisait du mal, mais je suis pas certaine qu'il soit du genre à se foutre des coups de cuter dans les paumes juste parce que ça le fait bander. J'avais toujours sa tête dans mes mains j'avais pas lâché ses yeux une seule fois dans mon débit de parole, je voulais qu'il comprenne qu'il avait des gens qui pouvait l'aider, que je serai là. "... Peter sera heureux une fois que son père le sera, une fois que son père pourra le porter sur ses épaules, parce que ça le fait pas souffrir, y sera heureux quand son père ira avec lui dans la piscine. Mais c'est vrai que c'est tellement plus facile de sourire plutôt que d'être heureux." Sans m'en rendre compte je faisais de plus en plus pression sur ses tempes, à cause de l'état dans lequel j'étais, et si je faisais un seul geste s'était carrément possible que je lui fracasse le crâne contre le mur. Mais tout se que je voulais s'été de le mettre face à la réalité de la chose.
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La façon dont Alicia lui parlait, Dylan ne pouvait pas la supporter, c'était comme si elle lui assénait des coups de couteaux au cœur. Elle était en train de dire qu'il risquait de perdre son amitié, si chère à son cœur, pour toujours, qu'elle ne comptait pas revenir s'il décidait de l'exclure de ses problèmes. Mais bordel n'avait-elle pas assez de soucis pour s'occuper des siens en plus ? Voulait-elle le pousser à bout en parlant ainsi de son fils ? Il n'en pouvait plus, il avait envie de hurler ou de s'exploser la tête contre l'un des murs des toilettes.  Il déglutit bruyamment, tandis que son cœur battait à cent à l'heure. Il voulait fuir. Fuir loin, éviter d'autres questions. Elle avait vu qu'il était cinglé, que voulait-elle de plus ? Il poussa un léger soupir pour reprendre sa respiration, pour se calmer. Alicia l'avait rejoint et serrait à présent son visage entre ses mains. Leur regard était ancré l'un dans l'autre. « Arrête... » dit-il doucement tandis qu'elle était en train de lui asséner les vérités qui lui faisaient tant de mal. C'était s'il lui avouait quoi que ce soit qu'il allait perdre son fils ! S'il en parlait, on l'enfermerait soit-disant pour le soigner ! On ne croirait même pas ce qu'il dirait à propos de son épouse, et dans le meilleur des cas, son fils resterait avec sa mère. Dans le pire des cas, on la foutrait en prison, ou en cure de désintoxication alcoolique et Peter se retrouverait dans une famille d'accueil.Ou avec ses grands-parents qui ne lui porteraient pas assez d'amour. Il ne voulait rien de tout cela. Il voulait juste rester avec son fils et qu'on lui foute la paix ! Pourquoi était-ce si difficile à comprendre ?
Elle avait raison, cependant. Son fils serait heureux seulement lorsque son père pourrait faire toutes les activités normales avec lui. Il ne l'avait jamais accompagné à la piscine par exemple... Par peur que les gens voient ses marques... Il poussa un nouveau soupir tentant de se calmer, mais rien n'y faisait, des larmes perlaient le long de ses joues. « Arrête... arrête arrête ! » hurla-t-il en se débattant légèrement, avant de repousser Alicia. Elle le serrait trop fort, elle lui faisait du mal. « D'accord d'accord j'ai eu tord de me brûler, mais me frappe pas ! » s'exclama-t-il ensuite, comme s'il avait affaire à sa femme, Gloria et non pas à sa grande amie Alicia. Il recula jusqu'à sentir le mur contre son dos. « Je peux pas t'en parler, Ali.... je ferais du tord à trop de monde... Vraiment, crois-moi... je peux pas faire ça. Et puis de toute façon, tu ne me croirais pas... » déclara-t-il. Bah oui, lui le jeune homme supportait les pires choses de la part d'une femme, son épouse, âgé de près de 20 ans de plus que lui. Ca ressemblait à un mauvais film. Mais c'était bel et bien sa vie. A ce moment-là un homme entra dans les lieux. Un vigile du bar. Vu la façon dont Dydy avait crié, il avait dû être alerté. Il regarda d'abord le jeune homme aux traits étirés et séchant ses larmes d'une manche avant de poser les yeux sur la demoiselle. On aurait dit une invitation à dégager.
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