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Hendrix & Lullaby Si on avait peur du temps, ce n'était pas du tout une crainte fondée, le soleil brillait fort pour la saison, l'été était passé et pourtant il continuait à être bien puissant. Pas comme en Norvège, où je devais vraiment chercher le soleil à partir du 30 septembre.. Un temps parfait pour un week-end à deux, vraiment. Pourvu que rien ne change, comme ça se coir on pourrait aller de poser dans un champ, comme il l'avait proposé. Mais avant de profiter de la journée, il fallait se lever et monsieur n'avat pas l'air d'être très réactif, tout comme moi. Je lui dis que le soleil était levé, en attrapant son bras doucement, espérant qu'il réagisse plus, et qu'il se lève sinon je n'aurais jamais le courage de le faire. "Hmmm... Ouais j'vois ça." Tout en disant cela, il s’allongeait sur le dos, et je me penchais pour lui dire qu'il devait se lever parce qu'il m'avait promis de faire du cheval aujourd'hui. Et que même si j'étais à la limite de me faire pipi dessus de trouille, j'avais maintenant envie de le faire. "Ouais t'as raison, c'est bon je bouge mais d'abord..." Mais d'abord, il m'enlaça sans que je n'ai pu sortir de le moindre mot, m'attirant contre lui.. ce qui me fit sourire, bien sûr, mais je pouvais le faire sans soucis, collée à lui. "J'veux mon câlin du matin, histoire de m'encourager car c'pour toi que je fais ça là. Admire!" Câlin du matin... ce que j'aimerais avoir plus de matin où je me réveille à ses côtés pour avoir un tel câlin. Mais ça c'est un rêve, et .. et ce n'est qu'un rêve. Je me redressais lorsque je vis qu'il voulait se lever, un sourire aux lèvres. " Aller, j'admire vas-y, mets en moi plein les yeux. " Lève toi, histoire que je me sente grosse larve dans le lit et que je me lève à mon tour. Il enfila un pantalon, et un débardeur, et je l'observais sans aucun discrétion, toujours sur le matelas. Bon, debout Lulla'. Je m'assis sur le bord du lit, alors qu'Hendrix commençait déjà à descendre en bas. Après un tour rapide par la salle de bain, pour m'attacher les cheveux avec un élastique, je descendis à mon tour toujours en pull et short. Et une délicieuse odeur vint chatouiller mes narines dès que j'entrais dans la cuisine, alors qu'Hendrix cuisinait. " Hum, dis-moi ça sens super bon. " Bacon, oeuf le bonheur à l'état pur quoi. Ouvrant les placards, je sortis deux assiettes, deux fourchettes et deux couteaux, les posant sur la table, avant de me glisser derrière Hendrix, pour poser ma tête sur son épaule et regarder ce qu'il faisait. " UN gars qui cuisine, c'est raaaare.. "
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