MAXITE — the only one

Tu sais que ça ne se voit pas comme ça mais tu es redoutable, avec ton fort caractère et ta manière de vouloir dominer toute les situations. Mais tu avais cette faculté d'être aussi douce, sensible et même fragile quand tu t'ouvrais réellement aux autres. En bref tu étais une femme très complexe qu'il avait réussi à apprivoiser. Tu laissais tes lèvres caresser son corps, son cou et reprendre ses lèvres dans un long baiser remplie d'amour, glissant l'une de tes mains dans ses cheveux. Il venait de te retiré ta robe et vous étiez à présent à égalité, il te collait un plus contre lui et tu laissais ta poitrine caresser son buste tes mains descendant à sa nuque. Tu le senti s'écarter de toi et tu le regardais dans les yeux, il te proposait d'allé dans sa chambre et tu hochais simplement la tête pour approuver tandis que tu te serrais contre lui tes bras autours de son coup pour le laisser te porter alors que tu reprennais ces lèvres avec fougue, venant déjà jouer avec sa langue.

Cette fille me faisais penser à un chat sauvage : belle, mystérieuse, douce, et insaisissable. Je savourais ses lèvres dans un baiser langoureux, amoureux, en me demandant comment j'avais put faire pour vivre sans cette sensation d'ivresse avant. Savoir qu'on avait qu'un laps de temps court, rien que pour nous deux, parce que d'ici quelques semaines elle allait partir me rendait dingue, j'étais totalement soumis à son corps. Un peu hésitant, je lui proposais de rentrer : là, ça indiquait clairement mes idées, et ce que je comptais faire, mais son corps brûlant ne réclamait que ça. La serrant contre moi en enlaçant ses jambes autour de mon corps, je la portais pour rentrer dans l'appart', faisant un arrêt contre le mur du salon, en l'embrassant langoureusement, cherchant de la main la commode : ouais, je devais avoir des capotes dedans.