MAXITE — the only one

On dit toujours que le premier amour ets celui qui reste pour toujours ancré dans notre coeur, tu viens de te rendre compte à quel point c'est vraie, tu pose ton regard sur l'homme que tu aimes et tu réalises que jamais tu ne pourras oublié ces trois mois à ses côtés. Tu l'aimes comme tu n'as jamais aimé et tu n'es pas sure de pouvoir aimé un jour comme ça. Tu te dis que l'avenir dont tu rêvais c'était d'être à jamais contre lui, mais que tu vas devoir en immaginé un tout autre parce que bientôt il deviendra ta plus belle histoire d'amour mais tu ne pourras plus le revoir. Tu sais que tu as envie de passer à l'étape supperieur, tu veux que cette premiere fois soit aussi à ses côtés, pourtant il a l'air de douté et tu ne veux pas du tout lui forcer la main alors tu te contente de caresser ses lèvres mais soudain ces lèvres se posèrent sur les tiennes. Tu prolonges ta main se posant derrière sa nuqueet tu viens laisser sa langue pénétré ta bouche tandis que la tienne ne tarde pas à la rejoindre pour un baiser plus langoureux et passionné, ton corps se presse contre le siens tandis que le baiser fini par être rompu. Tu glisses une main dans ses cheveux et relève la tête pour qu'il est acces à ton cou, tu finis par entendre ses mots qui t'émue doucement. Je t'aime aussi Max. Tu le murmures presque alors tu te rends compte que tu n'as jamais été aussi heureuse qu'en ce moment.

Chaque fois avant de rencontrer Aphrodite, c'est tout juste si je connaissais les filles que j'embrassais, que je séduisais. Tout ce que je voulais, c'était arriver à mes fins, et plus ça allait vite mieux c'était. Et au début, j'avais vraiment pas adoré que Aphrodite me repousse, qu'elle m'ignore au début, qu'elle me remette à ma place. Mais c'est grâce àce trait de caractère que je m'étais entêté à la voir, et c'est en la voyant que j'étais tombé amoureux d'elle. J'avais l'impression de connaitre par coeur son sourire, et ça ne m'était jamais arrivé auparavant. Alors me dire qu'on va franchir la dernière entre nous me fait autant peur que j'en meurs d'envie. Je l'embrassais donc, frissonnant légèrement en sentant sa main sur ma nuque. Cette fille va me mettre en feu avant la fin de la soirée, elle ne se rends pas compte de la puissance qu'elle a sur moi..
Je collant mon front au sien après l'avoir entendu me dire qu'elle m'aimait, souriant. Putain aimer à ce point c'était inhumain, ça devrait être interdit. Je glissais une main dans son dos, le caressant doucement, tout en cherchant ses lèvres pour les embrasser. Maintenant j'avais peur e faire une connerie, chose qui ne m'étais jamais arrivé avant elle.. c'est dire à quel point elle me troublait

Tu as toujours été connue pour ton fort caractère, tu n'es pas connu pour être une hypocrite en général c'est plutôt pour ton manque de tact et ta franchise. Alors lorsque tu avais ce beau parleur de Maximilian pour la première fois il t'a semblé évident de le remettre à sa place, après tout il devait en avoir besoin à croire que toutes les femmes lui était acquise comme ça. Tu avais pour but de n'être que la seule pour lui. Il était pourtant évident que tu étais tombé amoureuse de lui à la minute ou tu l'avais vu, alors il te semblais normale que vous atteigné la dernière étape de votre relation, après tout il t'avait prouvé que tu comptais pour lui en ne te demandant jamais, te poussant jamais à le faire, il avait su se contenter de ses petits moments à deux, de vos baisers mais toi à présent tu voulais plus. Tu désirais l'homme que tu aimais quoi de plus normale, alors tes lèvres trouvèrent les siennes pour ne plus les quittée, sa main caressant ton dos, ta main parcourant sa nuque, tu intensifie le baiser en collant un peu plus ton corps contre lui, tu laisses ton corps et tes mains se laissé allé sans réfléchir.

Quand mes potes avaient vu que je tombais doucement amoureux de quelqu'un ils n'arrivaient pas à y croire. J'étais toujours le premier à dire que telle ou telle fille était sexy, et que je voulais l'attirer dans mon lit, alors quand j'avais cessé de regarder un peu partout tout les corps et tout les visages pour tenter de séduire une seule femme, beaucoup étaient dérouté. Et pourtant, je savais que je ne regretterais jamais mon choix, il n'y a qu'a voir le moment qu'on s'offre maintenant, à s'embrasser, tendrement, alors qu'elle venait de me dire qu'elle voulait enfin coucher avec moi. 3 mois qu'on sortait ensemble, trois mois que je n'avais rien fait, c'était la plus longue abstinence de ma vie, et pourtant j'avais été heureux durant ces trois mois. Mais là on approchait de la fin, alors autant profiter pleinement l'un de l'autre. Glissant mes mains dans son dos, je fini par les passer sous son T-shirt, caressant son dos et son ventre, ses hanches doucement. Sa peau était douce et chaude, ses lèvres me rendais fou, cette fille c'était ma petite bombe à moi. Et j'allais pouvoir la faire mienne.. Je reculais un peu mes lèvres des siennes, deux secondes, le temps de venir embrasser son cou, avant de remonter vers sa bouche.

Tu n'as jamais été clairement fan des hommes qui prennent les femmes pour de la chair humaines, qui veulent juste se vider et enchainer avec la prochaine sur la liste sans doute pour cette raison que tu n'étais encore jamais tombé amoureuse trouvant les hommes trop primitif pour leur accordé ta confiance. Pourtant tu ne compte pas les amis à toi qui se sont envoyé en l'air à mainte reprise disant que tu étais trop fleur bleu à croire qu'il faudrait le bon.
Seulement le voilà le bon, il est contre toi, tu peux sentir ses mains découvrir ta peau se qui te fait frémir, ta main descend le long de son torse pour caresser son torse à présent, il est incroyablement bien sculté, tu sens ses lèvres parcourir ton cou et tu lâches un soupîre de plaisir, glissant de nouveau tes lèvres sur les siennes, ta langue rejoignant la sienne, ta main continuant de caresser son corps avec douceur étant de plus en plus prise par l'envie tu commences à prononcer un peu plus tes baisers et tes caresses.

Voir Aphrodite réceptive à mes baisers, à mes caresses dans son dos et sentir ses mains glisser sur mon torse me donnent le sourire. Elle avait toujours eut le don de me faire sourire de toute façon, alors je me doutais que cette fois-là ne serait pas différentes. Je viens embrasser son cou longuement, sous en caressant maintenant son ventre un peu plus haut, juste sous son soutiens-gorge. Je n'osais pas aller trop vite, je n'osais pas aller trop fort, de peur de lui faire mal ou peur, de peur qu'elle ne veuille plus coucher avec moi, même si je voyais plus un moyen de sceller notre amour. Je continuais à l'embrasser dans le cou et sur l'épaule, me collant à elle, inspirant son parfum, que je voulais graver dans ma mémoire. Et je ne risquais pas de l'oublier..

Tu savoures le contact de ses mains sur toi, le plaisir savoureux de ses lèvres dans ton cou, petit à petit ton corps tout entier s'enflamme, tu souris par moment parce que tu te sens bien à ce moment précis plus rien n'a d'importance juste lui et toi. Tu glisses ta main sous son haut et caresse sa peau tandis que tes lèvres viennent mordiller le lobe de son oreille pour glisser sur sa joue et reprendre ses lèvres avec amour, savourant le goût délicieux qu'elles ont. L'une de tes mains caresse sa nuque et se perd dans ses cheveux. Je finissais par prendre une meilleure position en me mettant à califourchon sur lui, lui retirant son haut pour venir caresser de mes lèvres son torse, des baisers fièvreux de plus en plus envieux de vouloir toujours plus.

Je savourais ses lèvres avec un plaisir non dissimulé, mais contenu malgré tout parce que elle m'électrisait totalement. Tout chez elle savait faire naître chez moi de sensations qui me rendait complètement à sa merci. Je caressais son dos alors que sa main passant avec sensualité dans mes cheveux, et je souris en voyant qu'elle remontais mon T-shirt. Je levais les mains pour l'aider à l'enlever, en souriant, avant de frémir en sentant ses lèvres se mettre à glisser sur mon torse. Je passais une main dans ses cheveux, avec amour et possession, avant de glisser mes mains sur ses hanches, alors qu'elle était sur moi, pour le soulever, et attendre quelle lève les bras pour lui enlever à mon tour. Hors de question qu'on ne soit pas à égalité..

Tu sais que tu veux découvrir chaque parcelle ce son corps et malgré tu as envie de lui, tu veux prendre le temps d'y aller doucement, alors après avoir explorer son cou tu décides de soulever son haut et tu le vois lever les bras pour t'aider à le lui retirer. Une fois fait tu glisses tes mains sur son torse, puis laisse des baisers chaud sur sa peau, tu prends ton temps alors que sa main dans tes cheveux alors que par la suite il veux retirer ta robe, tu lève les bras à ton tour pour qu'il te la retire Tu viens reprendre ses lèvres avec amour mais toute fois une envie qui accrue au fil de tes découverte, tu viens coller ta poitrine contre son torse à présent, emplifiant ce baiser. Tu es réellement amoureuse de lui et tu crois pas pouvoir aimé aussi fort quelqu'un d'autre que lui, ça ne s'oublie pas.

Je la revois, le soir de notre rencontre. Insaisissable, belle et sauvage. C'est ses yeux qui ont tout d'abord attiré mon attention, puisqu'elle avait sa façon de regarder les gens, sa façon de détailler la foule présente. Elle m'avait intriguée, elle m'avait subjugué, et.. elle m'avait repoussé, sans plus d'explication parce que elle avait vu que je ne voulais pas vraiment juste lui parler en l’abordant. J'étais tombé de haut quand elle m'avait repoussé, ça ne m'était pas beaucoup arrivé, au contraire j'étais le genre de mecs que les filles avaient beaucoup de mal à repousser, qu'elles soient en couple ou non. Et c'était ce petit chat sauvage aux yeux merveilleux qui était en train de m'embrasser, et à qui j'enlevais sa robe. Le serrant contre moi, je l'embrassais encore et encore, après qu'elle ait découvert mon torse du bout des lèvres. J'étais pas vraiment très musclé, mais je n'avais rien à envier aux autres garçons.. Caressant son dos avec passion, je me décollais d'elle doucement. " Tu veux qu'on aille dans la chambre..? " Parce mine de rien nous étions sur le balcon. Personne ne nous voyait, mais peut-être que le fait d'être dehors la gênait.