OLEY ¤ wake me up when it's all over, when i'm wiser and i'm older

Olivia avait vu passer le temps extrêmement vite depuis un an, elle avait de la difficulté à mettre les pieds sur terre tellement elle se sentait aspirer dans une spirale, elle n'avait pas eu le temps de s'ennuyer de Wesley, surement que si elle l'avait prit, ça lui aurait fait mal d'être loin de lui, mais elle n'avait même pas le temps de dormir ou presque. Toujours sur un high, ou sur l'alcool, tentant d'oublier Wesley en fait, elle faisait tout ce qu'elle pouvait pour ne pas prendre le temps de penser à lui, de s'ennuyer de lui, mais depuis quelques jours, depuis qu'il est revenu, elle ne fait que ça, penser à lui, parler de lui parce qu'elle est sur les nerfs, il l'a hante, comme il n'avait jamais réussi à le faire, elle aurait dû rester sur son high, dans sa spiral, ça aurait fait moins mal, elle ne voyait pas que le mal qu'elle subissait aujourd'hui, pouvait lui éviter un bien plus grand maux dans le futur. Elle ne savait pas vraiment ce qui l'attendait, ne savait même pas comment elle pourrait s'en sortir un jour, alors savoir ce que son inconscient allait décider de penser. « Pas les bons choix ? Wesley, t'as bien du faire les pires choix possibles, t'es parti, comment tu veux que j'ai confiance alors que quand j'avais le plus besoin de toi, t'es parti presqu'en courant. » Oui, elle lui en voulait tellement, elle n'arrivait pas à décrocher, elle n'arrivait pas à ne pas être frustrée, déçue et blessées, elle n'y arrivait simplement pas. C'était comme si elle était figée dans ce moment de douleur où il est partit, où il lui a dit que c'était finit, figée dans ce moment où elle a lu le sms de sa cousine qui l'a rempli d'une douleur qu'elle n'aurait jamais imaginer, mais surtout d'une frustration sans borne, elle lui aurait fait bien plus mal que ça si elle avait pu, bien plus. Elle avait changé, la douleur change, beaucoup, la douleur transforme et créer autre chose en voue, la colère aussi, les deux mélangé ensemble, ça vous faisait tout un cocktail. « Biensur que j'en doute et je veux te le dire, je veux te le dire, pour pas que tu crois que je suis rose bonbon ou je sais pas quoi. Non dans mon idée il était bien bouillant franchement, alors je suis allée pour l'eau c'est moins dangereux. » oui bon et elle en voulait particulièrement moins a Wesley qu'à Maggie, sans trop savoir pourquoi, elle avait apprit à le pardonner plus rapidement disons ou du moins à faire avec les choses qui lui déplaisait. Enfin, elle était toujours frustrée, peut-être qu'elle allait finir par se calmer un peu les nerfs, avec le temps, pour le moment elle avait besoin de penser à autre chose.

Elle n'aurait jamais cru qu'elle ne serait a se point avec Wesley, pas aujourd'hui du moins, pas même dans un mois qui plus est, elle n'aurait jamais cru se retrouver à moitié nue, assise sur lui en l'embrassant comme s'il n'y aurait pas de lendemain, mais elle se sentait bien, comme ça, à passer ses doigts doucement sur son corps, à effleurer son sexe, à coller sa poitrine sur son torse, comme une adolescente qui ne vivait que pour une soirée, même si elle avait quand même un peu l'habitude avec Wesley quoi. Elle se sentait prise dans ses jeans, elle se sentait prise en tout temps en fait et elle avait ce besoin de se libérer un peu ce matin. « Enleve les. » Olivia parlait tout doucement, mais elle était clair, elle voulait etre nue, elle voulait faire l'amour avec Wesley, même si à quelque part, ça la frustrait de céder ainsi au plaisir charnel, elle aurait voulu le torturer un peu, mais elle en ressentait trop le besoin, le désir dans son bas ventre était tellement brulant, elle ne pouvait pas vraiment le faire attendre. Ça sentait se désir, dans la chaleur de son corps, dans ses baisers passioner, dans le mouvement naturel de son bassin, elle le voulait pour elle, pour oublier ses images attroces de Maggie, pour le reprendre entièrement, oui, c'était de la possessivité.

J'avais bien conscience de mes erreurs, je savais très bien qu'en partant et en mettant fin à nos fiançailles j'avais mis de l'huile sur le feu et que quoi que je fasse, je n'arriverai jamais à me racheter. Pourtant j'en avais l'envie car chaque jour passé loin d'elle me brisait de plus en plus. C'est fou de voir à quel point je suis accro à elle, à quel point je suis fou de cette femme et pourtant durant cette dernière année je n'ai rien fait d'autre que la blesser. Elle m'avoua même que je n'aurai jamais pu faire de pires choix, elle n'avait pas tort. Mais est-ce qu'elle voyait que je faisais tout pour me racheter ? J'ai laissé Maggie en plan pour elle, je suis parti à l'encontre de mon père, j'ai quitté mon Angleterre pour elle et surtout, je suis prêts à tout pour la reconquérir, même à attendre. Je ne savais quoi lui répondre, je laissais alors quelques longues secondes de silence avant de le briser, ne sachant pas si mes propos changeront quelque chose à ses yeux, j'avais toujours cette crainte de dire le mot de travers, de dire cette chose qui mettrait de nouveau Olive dans une colère noire. Et je m'en suis voulu pour ça. Tu peux me croire. Je sais que ça doit être difficile pour toi de me croire, mais tu peux me faire confiance. Je ne saurai te dire pourquoi, laisse-moi juste le temps de me racheter. Maintenant je suis là et je ne compte plus refaire les mêmes erreurs, je veux être quelqu'un de meilleur et il n'y a qu'avec toi que je peux l'être. Car elle était la seule à pouvoir me remettre sur le droit chemin quand je déraille, la seule à savoir me parler et à trouver les bons mots. Dans mon fond intérieur la seule personne que je ne voulais blesser, c'était elle, malheureusement la seule à qui j'ai vraiment fait du mal, c'était cette même femme. Pourtant je n'arriverai pas à l'admettre, à me projeter dans l'avenir sans elle. Car au fond je ferai quoi sans mon Olive ? Je bâtirais mon futur sur quoi ? Non je refuse d'avoir un avenir sans elle, même si je dois mettre des années pour regagner sa confiance je le ferai. C'est pas grave, je m'en fiche si tu changes, je te le répète à mes yeux tu seras toujours la même. Rose bonbon ou non, moi non plus je suis loin d'être le mec parfait, mais ça ne t'a pas empêché de me supporter durant toutes ces années. Lui fis-je en souriant légèrement. Je ne savais plus comment lui faire comprendre que je l'aimais quoi qu'elle fasse, que je serais à ses côtés même si j'ai foiré par le passé. On fait tous des erreurs, j'en ai fait et au jour d'aujourd'hui j'en ai marre d'en faire sans cesse. J'en ai marre de faire des erreurs et elle est la seule personne à pouvoir faire que ça change. La seule personne à pouvoir faire de Wesley Bradford un homme meilleur. Café bouillant en pleine figure ou non.

Certains mecs ont besoin d'avoir des dizaines de femmes dans leur lit, mais la seule dont j'ai réellement besoin et dont j'ai envie, c'est elle. Nous l'avons fait tellement de fois par le passé, pourtant je m'en suis jamais lassé. Ses lèvres tellement douces, ses formes si parfaites, la chaleur de son corps si agréable. Avec elle j'avais toujours cette sensation de jeunesse, de première fois, cette envie irrésistible de se faire mutuellement plaisir. Olivia pouvait faire ce qu'elle voulait de moi, passer autant de fois qu'elle voulait ses mains sur mon corps, jouer comme elle en avait envie avec mon sexe, j'étais à elle. Elle se retrouvait ensuite assise sur moi, je l'embrassais jusqu'à ce qu'elle me demande de retirer son jean. Je l'embrassais alors doucement sur sa nuque avant de la faire basculer sur son lit, de nouveau allongé sur le dos. Je déposais quelques baisers sur sa nuque, descendant jusqu'à sa poitrine pour descendre jusqu'au bas de son corps, je retirai doucement son jean avant de le balancer au sol, retirant ensuite son sous-vêtement pour qu'elle puisse enfin se retrouver nue. Je caressais de nouveau son corps avant de m'allonger délicatement sur elle, l'embrassant de nouveau en attrapant sa cuise avec ma main gauche, je commençais à faire corps unique avec elle, entrant doucement, je la désirais, je la voulais.

Olivia n'avait pas une mauvaise foie, n'allez pas croire qu'elle faisait tout en son pouvoir pour rejetter toute la faute sur Wesley, qu'elle faisait exprès de ne pas voir ses erreurs, c'était surtout une grande forme de deni. Elle ne voyait pas ce qu'elle avait pu faire de mal, du moins, elle ne voyait pas ses bonnes erreurs, celles qu'elle avait vraiment fait, comme commencer à boire, comme ne pas se confier à Wesley ou encore le fait qu'elle ait couché avec plein de gens, non, ses erreurs, elle croyait que c'était de ne pas avoir réussi à atterrie comme il faut ou d'avoir été capable de garder un enfant alors que franchement, à vingt ans ce n'était peut-être pas le meilleur moment non plus. Elle avait perdue son essence, sa gaité, elle avait perdu ce qu'elle était et elle passait son temps à pleurer, peter un cable ou rire parce qu'elle était trop saoul pour faire quoique se soit d'autres, Olivia avait perdu sa personne et n'avait pas l'impression qu'elle allait la retrouver un jour. « Je comprend juste pas, avec tout ce que tu dis, malgré tout comment t'as pu me faire ça et comment je peux te faire confiance, je sais pas comment faire, comment je sais plus Wes, je sais plus. Je sais même pas si je peux etre quelqu'un de meilleur même avec toi » olivia était complètement désemparée, elle ne savait pas du tout où elle se situait avec Wesley, elle savait que ça avait été l'homme de sa vie, mais aujourd'hui, elle ne savait plus du tout, l'idée qu'il puisse aller ailleurs la dégoutait, mais en même temps, elle, qu'est ce qu'elle faisait, elle allait ailleurs. Elle savait qu'elle pouvait etre blessante avec Wesley, en lui disant ce genre de chose, qu'elle ne savait pas si elle pouvait etre meilleure, mais pour une fois, elle se confiait et pas à demi mot, alors il y avait bien ça de gagner non ? Elle eut un petit rire quand il lui dit qu'il n'était pas parfait. « je crois que je le sais bien que t'es pas parfait Wesley, ce que je veux dire c'est que peut-être que je devrais pas etre la même a tes yeux, tu comprend, je ne suis plus la même, alors faut partir de nouveau je sais pas, comme si c'était le début. » Olivia voulait tout détruire pour mieux reconstruire, partir à neuf, du genre bonjour moi c'est Olivia, bien sur elle connaitrait toujours plus sur Wesley malgré tout, que ce qu'elle connaissait au début de leur relation, ou avant même de le connaitre mais n'en restait pas moins, qu'elle voyait plus d'avantage a repartir au début que de continuer sur le chemin qu'ils avaient brisés.

Et puis étonnement, malgré cette envie de renouveau, Olivia plongeait dans ses mauvaise habitude de s'engueuler et de finir nue quelques minutes plus tard et avec un Eliot qui plus est alors qu'elle était une Mather, mais elle ne pensait pas vraiment à ça. Assise sur Wesley, son Wesley elle en avait même oublié Maggie à ce point, elle l'embrassait, se collait à lui, ondulait sur lui, elle le voulait, le désirait, comme elle l'avait désirer tellement de fois. Son touché lui avait manqué, il était différent de tout les autres, avec les années, la routine c'était installé à Londres et ça faisait longtemps que ce genre de spontanéité n'avait pas été dans la vie d'Olivia et Wesley. elle aimait ça, cet imprévu. Elle se fit balancer sur le dos et se mit à rire doucement alors qu'il enlevait ses pantalons, un rire doux, d'excitement presque. Il l'embrassait et ça lui donnait des frissons sur tout le coprs, il était doux, tendre, il c'était posé sur elle et elle l'avait enlacé à la nuque, elle se collait à lui, alors qu'il carassait sa cuisse et la relevait doucement pour venir doucement en elle. Olivia le regarda doucement dans les yeux, elle se cambra doucement facilitant les choses, la sensation était vive et excitante. Elle empoigna les lèvres de son ex futur mari et l'embrassa doucement, passait sa langue sur ses levres, s'amusait avec lui, elle le voulait, tout entier, elle en avait besoin. Elle collait sa poitrine à son torse, elle souriait doucement entre les baisers qu'elle lui donnait et ses hanches ondulaient doucement sous l'envie.

Dans cette triste histoire nous avons tous les deux nos erreurs, j'aurai dû être plus présente et plus ouvert envers elle, jamais je n'aurais dû briser nos fiançailles, jamais je n'aurais dû la laisser partir à Harvard sans rien dire et surtout, jamais je n'aurais dû me laisser tenter par Margaret. Elle aussi avait ses erreurs, mais pour tout dire j'étais prêt à y faire barrage, pour elle je peux oublier ses parties de jambes en l'air avec d'autres hommes, je suis prêt à faire abstraction de tout et n'importe quoi, sans oublier le fait que je désire l'aider à s'en sortir plus que tout au monde. Dans cette vie pas toujours rose, elle a toujours été mon pilier, celle qui me donnait une raison d'être au petit matin et qui me donnait envie de me lever le lendemain, j'ai perdu ce pilier et même si je semblais m'en sortir, elle me manquait cruellement. Au fur et à mesure du temps, j'arrivai à me confier à elle, à ne plus rien lui cacher même si les mots qui sortaient de sa bouche étaient souvent blessant, du moins blessant au sens large du terme. Je .. J'en sais rien Olive. Je sais pas comment j'ai pu te faire ça, sur l'instant j'ai merdé, j'ai déconné. La pire erreur de ma vie, mais tous ces mois passés loin de toi, je me suis rendu compte que je n'étais rien. Tu me manques Olive et tu me connais trop bien pour savoir que je ne dis jamais ce genre de choses, je suis alors d'autant plus sincère. Pour ce qui est de la confiance, je te demande juste de me donner une seconde chance, une dernière chance. Tu ne sais pas si tu peux être quelqu'un de meilleur ? Bien sûr que si, arrête de ne pas croire en toi, car moi je crois en toi. Je ne savais pas à quel point c'était difficile d'être honnête, je l'étais à l'instant présent, mais je n'étais pas certain qu'elle s'en rend bien compte. Sans elle je suis vraiment perdu, je suis seulement le fils à papa qui emmerde son monde, qui met les gens à bout à cause de son arrogance naturelle, avec elle je n'étais pas ce mec là, je ne l'ai jamais été. Quand j'étais en couple avec elle, jamais je n'ai été voir ailleurs, si j'ai craqué l'autre jour à la piscine, c'était simplement parce que j'étais seul, perdu. Jamais cela ne serait arrivé avec Olivia à mes côtés. Entendre son petit rire lorsque je lui ai avoué ne pas être parfait m'a fait bizarrement sourire, oui j'aimais entendre son rire. Dans ce cas recommençons à zéro non ? Tu fais quoi samedi soir ? On va où tu veux et on fera mutuellement connaissance de la nouvelle Olive et du nouveau Wesley toujours aussi imparfait mais toujours aussi sous le charme d'une belle blonde, t'en dis quoi ? L'idée n'était peut-être pas l'idée du siècle, mais si elle voulait tout recommencer, j'en étais capable. On se croiserait comme des inconnus, pour en fin de compte faire de nouveau connaissance, elle me ferait craquer une nouvelle fois, c'était probablement le meilleur moyen. Lorsque je sortirai de sa chambre je deviendrai un inconnu qu'elle rencontrera samedi, dans l'espoir que son coeur chavire de nouveau.

Qu'elle soit Mather ne changera jamais rien à l'attirance que j'ai pour elle, cette attirance qui n'est pas que physique, elle me rendait dingue quelle que soit sa confrérie. Ses lèvres, son corps, son sourire, son touché, elle était tellement parfaite mais elle ne s'en rendait pas compte. Jamais je ne pourrai désirer une femme autant que je la désire elle, jamais je ne pourrai ressentir l'envie que j'ai en étant collée à elle pour une autre femme. En aucune façon j'avais peur de la routine du quotidien avec elle, car à chaque fois qu'on couchait ensemble, j'avais l'impression que c'était la première fois, cette impression de désir et de bonheur à la fois, je ne saurai décrire cela, impossible de mettre des mots sur ces actes. Entendre son rire tellement doux, Dieu qu'elle est magnifique. Je la sentais se coller à moi, bouger et onduler, sentant ses lèvres s'empoigner, elle m'embrassait et j'en faisais tout autant. Je touchai et caressai sa cuise avant de sourire doucement, un sourire qui voulait tant dire, j'étais à la fois heureux mais aussi excité comme rarement je le suis, comme je le suis seulement avec elle. La partie de mon corps pénétra le sien, comme tant de fois, me procurant un plaisir sans failles, doucement je commençai à faire corps à corps avec elle, revenant une nouvelle fois vers sa nuque, l'embrassant délicatement en accélérant légèrement le rythme de mes coups de bassin. Le souffle court parcourant sa nuque, l'envie était belle et bien présente, je savourai chaque instant passé avec elle, espérant que ce moment ne s'arrêtera pas de sitôt.

Olivia n'avait jamais prévu ce genre de chose dans sa vie, elle voyait des gens se déchirés au tour d'elle depuis toujours et elle avait toujours cru que jamais elle ne ferait partit de ces gens là, qui se déchire entre eux et dans leur propre personne, non elle croyait naïvement qu'elle allait vivre d'eau pure et fraiche toute sa vie et qu'elle allait être à tout jamais heureuse. C'était naif oui, mais Olivia n'avait jamais eu de choc pour grandir, elle était rester dans un monde rose bonbon assez longtemps, malgré son caractère tout sauf rose, il n'en restait pas moins, qu'olivia ne vivait pas dans la réalité il y a un an, surement qu'elle ne vivait pas exactement dans la réalité non plus, mais surement après avoir remis tout en place trouverait-elle un sens à tout ça, a sa nouvelle vie. Elle ne comprenait plus Wesley, du moins elle perdait un peu le file de tout ça. « Wesley ca t'as pris tout ce temps pour comprendre, toute cette séparation, je sais que je t'en met sur les épaules, je sais tout ça, mais je peux pas y arriver Wesley, je peux pas comprendre que ça t'ai pris presqu'un an, que y a fallu qu'on s'éloigne autant et ca me fache. Je sais que tu es sincère, mais je sais pas Wesley, je sais pas comment expliquer.... » Olivia avait beaucoup de difficulté a comprendre Wesley, elle avait de la misère à comprendre comment ça avait pu lui prendre autant de temps à réagir, à revenir pour elle, à lui dire la vérité et ça lui frustrait, elle ne savait pas comment changer cet état en elle. Cette rage montait en elle sans qu'elle ne puisse vraiment la contrôler, il la frutrait, la situation la frustrait. Elle savait qu'il était différent avec elle, qu'ils avaient surement une chance encore, mais elle ne savait pas comment y arriver et ça aussi ça la frustrait. « Tu m'invite à une date là ? je sais pas ce que je fais samedi, honnêtement c'est loin samedi Wes... enfin je sais pas, c'est pas comme si tu retournais en Angleterre non ? » Olivia était dans une zone grise, ne voulant pas que Wesley parte, mais en même temps, n'étant pas vraiment certaine de ce qu'elle voulait de lui non plus, enfin, c'était plus complexe que ce qu'elle aurait voulu.

Honnêtement, Olivia avait oubli qu'il était un Eliot, ca ne lui passait même pas pa la tête que sa maison ne serait pas très heureux de cette histoire, mais elle ne pouvait pas s'en empêcher et franchement, elle ne se souvenait pas vraiment qu'il était un bleu. Il l'avait rendu folle tellement de fois, il lui avait donné tellement de frisson et pourtant, en un an, elle avait oublié cette sensation, son touché à lui, ses baiser à lui, mais son corp n'avait pas oublié lui, il était en confiance, il savait à qui il avait à faire et il aimait ça. Elle se collait à lui, vibrait sous son touché, elle avait la chair de poule et elle ne pouvait s'empêcher de sourire, il se collait à elle, faiait aller son corps en elle, elle en voulait plus, doucement elle passa ses jambes au tour de sa taille, pour l'approcher d'elle et elle ondulait doucement, rapidement, mais doucement, comme une vague, elle voulait lui faire ressentir son désir, on envie, elle voulait le rendre fou comme elle l'avait fait au paravant. Elle ne savait pas ce qu'il avait cette homme, pour la rendre aussi dingue, mais Olivia ne voulait pas que ça arrête. Elle mit ses mains au tour de son cou et l'approcha pour l'embrasser, passa sa langue doucement sur sa lèvre, dieu qu'elle le voulait.

Je n'arrivais pas à trouver les mots justes, les mots qui lui feront comprendre que je m'en voulais réellement de l'avoir abandonné, d'avoir annulé notre mariage, d'avoir été le pire des enfoirés alors qu'elle avait le plus besoin de moi, mais en faisant tout ça je ne voulais faire de mal à personne et surtout pas à elle. On dit souvent que la femme est essentielle dans la vie d'un homme, Olive est essentielle dans la mienne et chaque jour passé loin d'elle je m'en rendais de plus en plus compte. La savoir à Harvard durant ces derniers mois alors que j'étais encore à Londres, vivant dans mon luxe, avec l'argent qui coulait à flot, je n'étais pas heureux malgré tout ça. Une chose me manquait, une chose importante .. Elle. Cependant ce n'était pas facile pour elle d'assimiler toutes ces choses, de comprendre que ça n'est pas aussi facile pour moi qu'elle peut le penser. J'enchaînais les actes pour lui faire savoir que je voulais vraiment me racheter, passant du sms à mon père, mais surtout rien qu'en sachant que j'ai enfin réussi à m'ouvrir à elle. Malheureusement dans son esprit je restais l'ordure qui n'a pas su prendre ses responsabilités à deux mains. Je ne sais plus quoi te répondre pour que tu saches que je m'en veux, que j'aimerais bien revenir en arrière pour effacer mes erreurs, mais c'est impossible. Si aujourd'hui tu n'arrives pas à comprendre, laisse-moi le temps de me racheter à tes yeux .. Et peut-être que tu arriveras à me pardonner. Je sais pas pourquoi il m'a fallu si longtemps pour réagir .. J'en sais rien Olive. Oui j'étais aussi perdu qu'elle, je n'ai pas eu ce courage de réagir avant, de prendre les choses en mains, mais mieux vaut tard que jamais non ? Je suis prêt à prendre le temps nécessaire pour me racheter auprès d'Olivia, mais pour que ça marche nous devons tous les deux faire un effort, moi dans mon comportement et mes choix pas toujours fondés et elle dans ses addictions, c'était le seul truc que je lui reprochais, la seule chose que je voulais changer chez elle et j'attendrais le temps nécessaire pour ça. Non non je pars pas en Angleterre pourquoi ? J'aimerais juste sortir avec toi un de ces quatre .. Pour refaire connaissance comme tu en as envie. Mais si ça te dérange on oublie, je te force à rien. Maintenant que j'étais à Harvard et auprès d'elle, je n'avais plus envie de partir, pas sans elle. Elle n'arrêtait pas de me dire qu'on devrait recommencer à zéro ensemble, je lui donnais l'opportunité de le faire, rien de plus. J'ai choisi samedi car toutes la semaine entre mes cours de politique et les cours de gym que je donne, je n'ai que très peu de temps libre pour moi, puis Olivia mérite bien plus que cinq pauvres petites minutes de ma journée, elle mérite bien plus que ça.

Bien des collègues Eliots m'en voudront pour ce que j'étais en train de faire et très franchement j'en avais que faire. Elle comptait plus pour moi que n'importe qui d'autres, j'étais prêt à me mettre mes amis à dos, mais qu'importe pour l'instant elle était la seule personne à qui je pensais, à occuper toute la place de mon esprit. J'étais focalisé sur elle, oubliant nos disputes, oubliant ce verre d'eau au petit matin, je ne voulais qu'elle. Les battements de mon cœur s'accéléraient au fur et à mesure, Olivia me rendait dingue comme aucune autre femme ne savait le faire, la chaleur de son corps et ses lèvres tellement douces .. Je sentais le désir monter, elle me rendait tellement dingue que mes coups de bassin devenaient de plus en plus rapides et légèrement plus sauvage, prouvant l'effet de fou qu'elle avait sur moi. Mes mains s'agrippèrent au lit d'Olivia me permettant de continuer mes mouvements de hanches, elle passait ses jambes autour de ma taille, j'aimais sentir ses jambes s'enlacer autour de mon corps. Mon souffle se perdait, mais je l'embrassais tout de même en caressant sa langue avec la mienne, le désir de plus en plus présent, l'envie bien plus insistance.

C'était complexe dans l'esprit de la jeune femme, parce qu'elle voulait faire confiance à wesley, elle avait envie de croire ce qu'il lui disait, elle voulait se jeter corps et âme dans ses bras, mais elle ne le pouvait pas. Elle était rendu méfiante, elle ne voyait pas comment elle pouvait tout avaler sans tester un peu, pas parce qu'elle ne voulait pas, mais elle avait vraiment envie de lui faire confiance, ça ne fonctionnait tout simplement pas, c'était difficile à expliquer, elle n'y arrivait pas, même si elle le sentait particulièrement sincère dans ses mots, dans ses actes, c'était plus compliqué que dire Oley et la vie était belle. La jeune femme l,avait encore sur le coeur qu'il aille annulé le mariage, quoiqu'elle ne se serait surement pas rendue jusqu'à l'autel, c'était surtout une question de principe, ils auraient pu reculer la date, dire au gens qu'ils allaient se marier quand ils iraient mieux apres cette perte, pas juste bah plus de mariage ma grande arrange toi avec tes problèmes quoi. Elle avait espéré qu'il revienne au début et puis, elle était passé à autre chose, enfin, elle avait cessé d'espérer parce qu'elle n,y croyait plus, mais elle n'était pas passer à autre chose, elle buvait fumait et j'en passe. Elle regardait Wesley, qui biensur voulait se justifier, continuait à lui expliquer la chose, mais elle ne savait plus quoi lui dire, alors elle restait là, à le regarder, parce qu'honnêment, Olivia ne voulait pas non plus ruiner sa vie, elle ne voulait pas le pousser à bout, elle ne voulait pas qu'il abandonne, mais elle n'avait rien de plus à dire, elle ne se voyait pas lui répéter qu'elle n'était pas là encore. La jolie blonde avait besoin d'un nouveau départ, un vrai, comme s'il ne s'était jamais connu, même si ça ne serait jamais le cas. « je sais pas, ça pourrait bien te prendre dans l'envie si ton père t'appel ou je sais pas Wes, sa reste une possibilité pour moi, que tu parte encore. » Oui, c'était toute une possibilité pour elle en fait, il l'avait déjà fait, la laisser seule, qui sait, bien sur qu'elle avait peur qu'il parte encore, elle était terrifié. « non ça me dérange pas, Samedi alors... » Ce n'était pas comme si elle avait grand chose de prévu, après tout, elle n'aurait qu'à dire qu'elle était occupée au mather ou un truc du genre quoi.

Bon, Olivia elle aimait sa maison, elle adorait les mathers, ne se voyait pas leur tourner d'eau, mais la peau de Wesley contre la sienne n'aidait pas du tout ca cause quoi, ça la rendait dingue et elle ne voulait pas autre chose, elle se fichait des verts, des bleus ou de quelques couleurs que se soit, elle portait toute son attention sur Wesley. C'Était lui qu'elle voulait, là maintenant, tout de suite, il la rendait dingue avec ses coups en elle et elle ne pouvait s'empêcher d'avoir le souffle cours, de pousser de petits bruits de plaisirs, elle se sentait bien, même si elle savait au fond d'elle, que peut-être elle ne devrait pas faire ce qu'elle était en train de faire. Mais elle s'en fichait, elle finit par balancer Wesley sur le côté pour se retrouver sur lui en souriant. Elle aimait être sur le dessus par moment, en fait, elle aimait beaucoup rendre son Wesley fou. Olivia avait posées mains sur son torse et elle se faisait aller sur lui en souriant, en le regardant, elle avait oublié ce qu'il lui avait fait, elle avait oublié qu'elle avait voulu l'étranglé, elle ne pensait qu'à lui, tout simplement.

Faire une croix sur notre histoire, j'y suis jamais parvenu, je n'ai jamais réussi à l'oublier malgré le fait que j'ai annulé notre mariage. Cet acte restera sans aucun doute la pire erreur de ma vie et pourtant des erreurs j'en ai fait des dizaines et des dizaines. Comment avancer sans elle ? Je ne voyais pas le bout du chemin sans mon Olivia, j'avais besoin d'elle, besoin de sentir son soutien et son amour comme par le passé, sentir son corps à côté du mien le matin, pas maquillé et encore la tête dans les nuages. L'entendre me gueuler dessus quand je fais une connerie qui ne lui plaît pas et terminer la journée dans le même lit. Ça me manquait, car mine de rien cette petite blonde elle est en grande partie ma raison de vivre, certes j'ai déconné plus d'une fois mais aujourd'hui j'en avais marre de foirer sans cesse. Je voulais tout recommencer avec elle, depuis le début et tenter de faire un chemin sans faute pour récupérer sa confiance mais aussi le plus important, son coeur. Elle en avait tellement fait pour moi durant nos années de vie commune, elle était celle qui me remettait les pieds sur terre comme l'argent de ma famille me montait au cerveau, elle était présente quand mon moral touchait le néant et moi je n'ai pas su être présent à ses côtés quand elle en avait le plus besoin. Elle m'avoua par la suite ses doutes et ses craintes que je pars de nouveau suite à un appel de mon père. Quoi que je fais il restera mon père, même si j'avais peur de le perdre et qu'il fait une croix sur mon héritage, il restera mon paternel, elle je pouvais la perdre à tout instant et ne jamais la récupérer, je ne le voulais pas. Je la regardais dans les yeux en espérant qu'elle me fasse confiance, qu'elle comprend à quel point j'aimerais renouer les liens avec elle .. Et que plus jamais je ne prendrais mes jambes à mon cou pour fuir. Je n'ai plus envie de fuir, maintenant je suis ici et je compte rester. Je n'ai pas envie de repartir sans toi. On commençait à s'entendre de nouveau, j'arrivais de nouveau à lui parler sans cris, abandonner maintenant n'est donc pas concevable. Et d'une manière ou d'une autre je ne compte pas partir avant qu'elle accepte de remettre cette bague à son doigt, mais chaque chose en son temps. On dit samedi alors, parfait. Disais-je doucement avec un sourire sur le visage, heureux qu'elle ait acceptée.

Personne ne pourrait m'empêcher d'éprouver ce que je ressens pour elle, ni les Eliots, ni mon père. J'ai fait l'erreur une fois, je ne le referais certainement pas une seconde fois. Faire cela avec elle, sentir son corps nu collé au mien m'avait manqué, je ne saurais expliquer la sensation qui prônait à l'intérieur de moi. Tout est parfait chez cette femme, son corps, même ses gémissements me rendaient dingue, elle était juste parfaite. Alors que je me donnais corps et âme pour lui procurer du plaisir en accélérant le rythme de mon bassin, elle me fit basculer sur le dos. Je la reconnaissais bien là, elle a toujours aimé être dessus, sans compter que l'excitation était d'autant plus présente lorsque je la sentais sur moi. Elle me rendait dingue et devait pertinemment le savoir. Je souriais en sentant ses mains sur mon torse, plus rien n'avait d'importance qu'elle. Je plaçais mes mains sur le bas de ses hanches pour pouvoir continuer de jouer en elle, je ne sais pas combien de temps j'allais encore résister, mais qu'importe j'étais heureux d'être avec elle. Mes mains se baladaient sur ses hanches, je n'osais même pas fermer les yeux tellement j'aimais la voir, la regarder, la sentir et me sentir en elle.

Olivia ne croyait pas pouvoir cesser d'aimer Wesley un jour, comme s'il c'était imprégné en elle et elle ne pouvait plus y faire grand chose. Ils étaient supposés se marier, avoir des enfants, quand on fait des plans comme ca avec quelqu,un ce n'est pas pour les oublier du jour au lendemain et pourtant, c'est l'impression que Wesley lui avait donné quand il avait tout fichu en l,air. Elle avait eu l'impression que pour lui, ces promesses qu'ils c'étaient fait ne comptait plus du tout et ça la tuait un peu à l'intérieur, elle aurait voulu qu'il se batte corps et âme quitte à se blesser lui même, c'était égoiste certe, mais c'était ainsi qu'olivia se sentait à se moment là. Aujourd'hui c'était plus complexe, parce que malgré qu'elle avait cette impression de ne jamais pouvoir aimer quelqu'un d'autre ainsi, elle n'arrivait pas à se donner corps et âme présentement, elle avait de la difficulté à accepter cette réalité, qu'il puisse être revenu pour elle, sincèrement, sans fuir ou sans défilement, c'était dur puisqu'il était parti en courant quelques temps auparavant, alors bien sur elle n'arrivait pas à lui dire mais oui mon amour on va réussir, on va passer par dessus on va survivre, elle n'était pas convaincu et ne voulait pas promettre des choses qu'elle ne savait pas si elle pouvait tenir un jour ou l'autre. « Wes... j'espère que tu compte pas retourner, je suis pas certaine si je veux retourner un jour, je veux dire on ma fichu à la porte, je pense pas vouloir retourner voir ces gens là, peu importe pour quelles raisons. » Olivia brillerait par son absence à toutes les receptions s'il le fallait, elle n'avait pas envie de revoir ceux qui l'avait ostraciser, elle n'y tenait vraiment pas, mais elle savait que Wesley aimait se monde, elle savait que Wesley faisait partie de se monde et elle ne voulait pas l'ostraciser par association, elle voulait qu'il sache. Elle était heureuse de ce rendez-vous, un truc normal, une remise à nouveau, ca leur ferait du bien.

Dieu qu'elle ne s'attendait pas à ça, pas aujourd'hui ça c'était certain, elle ne savait pas comment elle avait pu craquer ainsi, mais il la rendait folle. Elle le voulait tellement et maintenant qu'elle était sur lui, qu'elle ressentait ses mains sur ses hanches, elle ne povait qu'accélerer son ondulement, elle ne pouvait que lui faire plus plaisir, le sentir en elle, comme au bon vieux temps, sans soucis, sans remord, elle était bien, elle ne pouvait être vraiment mieux, elle ne savait pas comment il pouvait faire ça. Elle se pencha sur lui et elle bougeait toujours autant et elle l'embrassa doucement avant de se relever un peu toujours près de son visage, yeux dans les yeux. « tu me rend folle. » Il n'y avait plus de combat, pas pour le moment, pas maintenant, elle s'en fichait, elle sentait trop de désir en elle, pour être frustrés d'une quelconque façon. Il était parfait, là maintenant. Elle c'était finalement relevé, elle ondulait comme une sirère, comme une déesse, peu importait, elle voulait le rendre fou, comme il la rendait folle.

J'osais espérer que toute cette histoire soit bientôt du passé, qu'on pourrait réécrire un nouveau chapitre, sans engueulade, sans prise de tête, comme les pages précédent la perte de notre enfant. À ses yeux je passais peut-être pour celui qui a fuit, qui ne l'aimait plus, mais c'était bien plus compliqué que ça. Je voulais préserver l'image de la famille Bradford, tout en gardant Olivia près de moi d'une face ou d'une autre. En annulant nos fiançailles j'ai bien déconné, en quoi ça pouvait m'aider ? En quoi ça pouvait aider Olivia ? Sur le coup je pensais bien faire, mais avec du recul je me rends compte que non, que j'ai bien déconné et que je ne pouvais plus faire marche arrière. J'ai fait plus de mal que de bien, que ce soit pour Olivia ou pour moi, car mine de rien elle a été un gros manque dans ma vie. Tout simplement parce que je ne vois pas le reste de ma vie sans elle, je ne vois pas ce que je ferais ou qui je serais sans elle à mes côtés, à me guider quand je dérouille et à me soutenir quand j'ai besoin d'être soutenu. Elle m'apportait ce que personne d'autre n'a pu faire, elle est unique dans ma vie et mon coeur et j'aimerais la retrouver et la récupérer, peu importe le temps que ça prendra. Elle avait des craintes et je pouvais le comprendre, le contraire aurait été étonnant. En arrivant à Harvard je savais que les choses ne seraient pas si facile, mais je ne m'attendais pas non plus à un tel parcours du combattant. Je te l'ai dis, je suis venu pour toi et je ne compte pas repartir sans toi. Et si je dois rester ici pour que ça remarche entre nous, je pense que je peux le faire .. Du moment que tu es toi aussi partante. A vrai dire je ne sais pas, je ne sais pas si je suis prêt à quitter ma vie de château pour m'installer ici toute ma vie, mais faudrait déjà voir si Olivie souhaite de nouveau passer le restant de sa vie avec moi, de vieillir et construire une famille avec moi .. Je l'espérais, je le voulais. Mais j'étais heureux qu'elle accepte ce rendez-vous, vraiment heureux.

Vous n'imaginez pas à quel point mon cœur bat, à quel point j'étais heureux mais aussi terriblement excité par cette fille. Tellement de sentiments et de sensations à la fois. Je ne savais pas si elle avait un serait-ce qu'un doute sur ses capacités à me rendre aussi dingue, sentir ses jambes collées aux miennes, son corps et ne qu'un avec le mien, me sentir en elle et sentir ses mouvements me rendre de plus en plus fou. Je respirais de plus en plus fort, sentant les pulsations de mon cœur d’accélérer à chaque ondulement d'Olivia. Je voyais ensuite son visage s'approcher doucement du mien pour m'embrasser avant de se relever délicatement près de mon visage, yeux dans les yeux pour m'avouer que je la rendais dingue. Et toi tu me fais perdre la tête. Lui lançais-je en souriant, avant de la rebasculer de nouveau sur le dos, sentant le désir monter de plus en plus, je voulais lui procurer un dernier plaisir comme jamais aucun homme ne lui avait offert. Je passais ses jambes autour de ma taille avant de prendre appuie avec mes mains de chaque côté de son corps, le pénétrant de vas et viens rapide, mon regard perdu dans les siens pour les quelques minutes qui nous restaient sur l'autre .. L'un dans l'autre.