OLEY ¤ wake me up when it's all over, when i'm wiser and i'm older

wake me up when it's all over, when i'm wiser and i'm older

Dieu que c'était compliqué toute cette histoire, meme si au fond, ce ne l'était pas tant que ça, Olivia avait cette impression que tout était beaucoup trop complexe, qu'il y avait trop de morceaux aux casse-tête et qu'elle se perdait dans cette histoire. Elle aimait Wesley au fond d'elle, elle avait voulu une famille, se marier avec lui, c'était plus qu'une simple amourette qui avait mal tournée, c'était toute une vie, qu'on ne pouvait ignorer et laisser tomber, comme ça, sans rien dire, sans rien essayer. mais Olivia ne savait pas comment faire, ni quoi dire, elle n'avait jamais su, elle avait tout garder pour elle, parce que franchement, elle ne savait même pas ce qu'elle avait à confier. C'était trop dur pour elle, trop lourd sur son petit coeur de petite fille meurtrie. Elle était jeune, elle n'était pas du tout à l'âge d'avoir des enfants tant que ça, au début, sans le dire a Wesley, elle avait paniquer quand elle avait vue le plus sur le test, mais elle l'avait rapidement accepter même si ça se moment là, ça ne faisait pas du tout partie de son plan de vie que d'avoir un enfant dans sa début de vingtaine. Normalement, elle aurait appréciée ce que Wesley venait de dire, remarquez, elle l'appréciait surement un peu, mais mademoiselle frustrée et gueule de bois ne fit qu'une genre de grimace en guise de réponse. Pas très polie certes, mais faillit avoir, elle ne savait pas trop quoi répondre non plus, merci de me trouver jolie ? non, et elle ne savait pas non plus comment exprimer sa personne, alors autant se terre. Elle était fermée oui, s'ouvrait une fois de temps en temps, c'était pas évident, mais mieux que l'autre fois où ils s'étaient vu. « Oui ça aurait été différent Wesley, franchement! ça aurait pas été facile d'accord, mais oui, ça aurait été différent bordel, comme si c'était juste un petit écart Wesley, c'était Maggie! Je te dis pas que je vais t'en vouloir toute la vie. » Elle n'ajouta rien, mais au moins la porte était entre ouverte non ? Elle n'était pas en train de lui dire qu'elle allait le détester pour le reste des ses jours, qu'elle allait l'ignorer pour toute la vie, mais seulement que, ça ne serait pas etre facile.

Olivia n'était pas facile avec Wesley, vraiment pas, mais en même temps, elle sentait le besoin de le pousser à bout pour voir s'il allait rester, pour voir s'il allait continuer à vouloir l'aider malgré tout, oui, c'était risqué, mais en même temps, elle n'avait pas envie de revivre la même chose qu'il la laisse parce qu'elle n'avait pas cette force, mais pas du tout en fait. Elle avait envie de le voir se battre un peu malgré le fait qu'elle ne soit pas coopérative. « Mais tu m'a jamais rien dit Wesley, j'étais supposée devenier peut-être ? Tu disais rien, t'étais comme une statut à rien faire, rien dire, je suis aller me chercher une solution ailleurs! Et après tu me juge, tu me dis que j'aurais pas dû, mais j'étais censé faire quoi rendu la ! Tu m'as jamais enlever cette fichue bouteille tu regardais.» Olivia ne savait pas trop comment digéré ce qu'il venait de dire sur son père, elle ne savait pas quoi répondre, elle avait comprit, ça l'avait touché, mais elle ne savait pas vraiment quoi en faire quoi, fallait qu'elle dise quoi à ca, merci ? non, je suis touchée ? trop clichée, alors si t'as rien à dire, tu te tais et c'est ce qu'elle fit. olivia avait toujours cru que c'était une fille qu'elle allait avoir, même si elle n'avait jamais su parce qu'il était trop tot dans la grosses, mais c'était une fille selon elle. et elle aurait été si belle, si douce, mais elle n'était pas là aujourd'hui et ne serait pas la demain. Elle soupira méchamment quand on parlait de Maggie, cette fille l'énervait, plus que tout au monde et elle était sous sa peau, elle avait beau tout faire pour essayer dans faire autre chose, d'essayer de ne pas penser à elle, y avait rien à faire. Elle les imaginait nue, corps a corps et elle se mit à secouer la tête comme pour chasser cette image qui la rendait complètement dingue et encore, elle préféra ne rien dire bien sûr, parce qu'elle en avait marre de cette fille, plus que tout. Elle n'avait pas vraiment envie de parler Valentin et en entendant cette histoire elle avait presqu'envie de sourire, qui n'aimait pas les garçons qui se battait pour eux hein. Elle le regarda de proche, ouais, il avait l'air d'avoir la mâchoire encore un peu amoché et elle mit sa main sur son menton, reflexe de fille inquiete. « Dis donc, il t'as pas manqué hein. J'aurai pas besoin de t'en coller une finalement, on s'en est occupé pour moi. T'aurais pas du te battre. » ouais, elle aimait bien l'idée, mais en même temps, pas vraiment, elle ne voulait pas voir deux hommes qu'elle aimait bien qui se frappait entre eux pour des conneries tant qu'à elle. Elle ne méritait pas tant et puis, elle ne voulait pas qu'ils se blessent. Elle avait finit par lâcher le visage de son ex, un peu gênée et déposa ses mains sur ses cuisses. Bon, Olivia l'avait peut-être chercher un peu, mais elle fut surprise de la réaction de Wesley qui finit par s'emporter, mais ça la dit sourire un peu. Mais pas très longtemps, elle était contente qu'il lui dise la vérité, mais elle finit aussi par pleurer en buvant encore son café, comme idiote. Elle se sentait mal, se sentait coupable de le mettre dans un état pareil, coupable de tout ce qui leur arrivait, et elle ne pouvait plus vraiment blâmer Wesley qui frachement, avait finit par etre sincere avec elle. Alors, elle pleurait et elle essayait même de parler ma foie. « Je, oui c'est ma faute, c'est tout ma faute Wesley! » Bon elle avait pas éclater en sanglot comme une folle non plus, elle but son café et repris doucement. « C'était pas si difficile non, de dire ce qui c'était passé. » Bon, elle n'avait aucune envie de lui dire qu'elle se souvenait mais bon, c'était une tout autre histoire.

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Avant de rencontrer Olivia, je ne m'étais jamais projeté dans l'avenir, je ne m'étais jamais vu avec un enfant dans les bras, je ne m'étais jamais imaginé avec un fils ou une fille, mais lorsque Olivia m'a avoué être enceinte, c'était clairement l'un des plus beaux jours de ma vie, si ce n'est le plus beau. Devenir père ce n'était pas mon rêve, mais dès que j'ai appris la grossesse d'Olivia, j'étais fier d'être futur papa, de former une famille avec la femme que j'aimais plus que tout au monde. Avec Olivia j'avais l'impression que tout était possible, de pouvoir former une famille heureuse, pas seulement grâce à l'argent, mais bien grâce à l'amour qu'on avait l'un pour l'autre. Avant de rencontrer cette tornade blonde, j'avais eu des petites amies comme tout le monde, mais rien de concret, rien qui me laissait présager un avenir comme je prévoyais avec Olivia. Tout ça pour dire que ce n'était pas du chiquait, qu'entre elle et moi ce n'était pas une amourette de passage mais vraiment quelque chose de sérieux. Lorsqu'elle est partie de Londres, je n'ai retrouvé personne, je ne cherchais personne à vrai dire. Elle me hantait à chaque instant, quand je fermais les yeux je la voyais sans cesse, en larmes, me reprochant ce qui se passait. Mais cette chose que je ressentais pour elle, l'amour comme ont dit, ne s'est jamais évaporé. Malgré les hauts et les bas qu'on a vécus ensemble, elle reste celle avec qui je me vois dans l'avenir, pas Maggie, pas une autre, mais elle et seulement elle. J'ai déconné en couchant avec Maggie, si c'était à refaire je ne le referais certainement pas, je la mettrais moi-même dehors, lui faisant comprendre que jamais je ne pourrais faire une chose comme ça à Olivia, mais je l'ai fait et c'était trop tard pour retourner en arrière. Donc pardonne-moi alors. Laissons Maggie derrière nous et allons de l'avant. Je peux rien changer à ce que j'ai fait, mais ensemble on peut avancer et laisser tout ça derrière nous. Tu le sais .. Tu sais que je n'aime pas Maggie. Et .. Et si tu me le demandes, j'envoie un message à mon père pour lui dire que j'arrête tout avec elle. Je lui envoie un message pour lui dire qu'entre elle et moi tout est terminé. Pour Maggie ça ne me dérangeait pas, je n'avais pas peur de l'envoyer voir ailleurs, par contre pour mon père c'était complètement différent. Elle le savait ça .. Mais si elle me le demande je serais capable de lui tenir tête, mais j'ai besoin d'elle pour ça.

Elle n'était pas facile avec moi, elle ne voulait pas me pardonner de suite, ce que je comprendrais parfaitement, mais j'espérais vraiment la récupérer, qu'elle me pardonne pour mes erreurs. Elle me demandait ensuite si elle était censée deviner ce que je ressentais, me reprochant de ne lui avoir rien dit. C'est vrai, je n'ai rien dit, je me suis terré dans un profond silence, ayant mal tout seul. Car je ne voulais pas la mettre plus mal qu'elle l'était déjà. Tu voulais que je te dise que j'allais mal ? Ça aurait changé quoi ? Tu n'allais pas bien non plus, ça n'aurait fait qu'empiré. Je n'ai rien dit pour te protéger, pour que tu n'aies pas à subir le mal que j'avais en moi. Et je ne te juge pas, je veux juste te savoir bien, te savoir saine et sauve. Oui j'aurais pu te retirer la bouteille de force, mais qui me dit que tu n'aurais pas craqué deux semaines plus tard? Je n'ai jamais dit à Olivia qu'elle comptait plus pour moi que pour mon père, mais c'était le cas depuis le premier jour. Aujourd'hui je mettais enfin livrer à elle sur ce sujet, est-ce que j'ai eu une réponse sur ça ? Non, elle ne me disait rien. Elle ne fit rien voir sur son visage, je soupirais doucement, j'aurais aimé une réponse, même un petit regard pour me faire comprendre que ça l'a touché, même un tout petit peu. Elle soupira lorsque je me suis mis à parler de Maggie, j'en avais aussi marre qu'elle de parler de sa cousine, je ne comprenais même pas ce que je foutais en 'couple' avec elle. Je ne l'aimais pas, je n'avais aucune envie d'être avec elle. Je lui ai alors expliqué ce qui s'est passé avec ce Valentin, nous nous sommes battus, il m'avait mis à bout en parlant d'Olivia, je n'arrivais pas à l'imaginer coucher avec mon Olive, c'était inimaginable et il sentait fier de ça, fier de coucher avec elle, quel enfoiré. Il m'avait porté le premier coup dans la mâchoire, je ne suis pas quelqu'un de violent généralement, mais je n'ai pu m'empêcher de lui mettre un bon coup dans le nez, avant de me battre avec lui, enfin bref, je m'étais battu avec cet enfoiré d'italien mais je ne voulais pas en parler à Olivia, cependant je l'ai tout de même fait. Elle s'approcha ensuite de son visage pour examiner mon menton et ma mâchoire, il y a longtemps qu'elle ne s'était pas inquiétée pour moi, du moins c'est ce que je pensais. Pour toi je suis prêt à me refaire casser la gueule s'il le faut. Ce mec ne te mérites pas. Il s'en fiche de toi, il dit t'écouter, mais dès qu'il en a l'occasion il te laissera comme une vieille chaussette .. J'ai plus envie de te voir souffrir. Je le pensais vraiment, si je devais me battre pour elle, je le ferais sans hésiter. Mais j'en avais marre de la voir avec ce mec, de l'imaginer dans son lit, ça me rendait fou. Je me suis alors levé pour commencer à partir, mais je me suis rétracté, craquant littéralement et vidant mon sac. C'est alors qu'elle s'est mise à pleurer, mon Dieu que j'aimais pas la voir comme ça, ne serait-ce que les yeux rouges et quelques gouttes coulant de ses yeux. Je m'avançais vers elle, mettant ma main sur ses joues pour la regarder dans les yeux. Non ce n'est pas de ta faute. Je m'en fiche que tu ne sois pas championne olympique, je m'en fiche que tu fumes, que tu bois, je suis là pour t'aider à vaincre toutes ces merdes, si tu me laisses faire. Et surtout ce n'est pas ta faute d'avoir perdu le bébé, ça aurait pu arriver à n'importe qui, c'est la vie qu'est ainsi .. Toi tu n'y es vraiment pour rien. Elle m'avoua ensuite que ce n'était pas si difficile que ça de dire la vérité .. Oh que si. Je la regardais toujours dans les yeux, je me rendais compte que je ne pourrais jamais vivre sans cette femme. Regarde moi dans les yeux et dis-moi que tu ne m'aimes plus .. Et je partirais. Lui fis-je, en espérant ne pas entendre cela.

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Olivia n'a jamais eu d'autre relation amoureuse que Wesley, je veux dire par là, qu'elle a perdue sa virginité avec lui, qu'il est le seul garçon avec qui elle avait été avant qu'elle ne parte à Harvard, il était le seul, l'unique et oui, elle avait eu se besoin de voir ailleurs, de voir ce que c'était le monde, de voir d'autre gens, de ressentir d'autre sensation que celles aux quelles elle était habituée et franchement, elle avait aimer ce voyage ailleurs. Pour elle, c'était un nouveau monde, tellement différent que ce que c'était avec Wesley, l'incertitude, les imprévus, ce genre de chose qui n'arrive plus après des années de couple. Elle avait eu besoin de cette sortie, mas aujourd'hui elle ne savait pas vraiment où elle se situait ne comprenait pas ce qu'elle voulait, mais savait ce qu'elle ne voulait pas du moins. Assise sur son lit, elle c'était changé avant d'aller au bar et n'était plus en fluo, mais son Wesley lui, il avait l'air tout aussi ridicule dans son costume de Jules césar et ça n'aidait pas trop la jeune femme à se concentrer, mais cette frustration qu'elle avait en elle lui permettait de ne pas rire à tout bout de champ, dès qu'elle posait ses yeux sur lui. « C'est pas si facile que ça Wesley, c'est pas si facile que de dire oui je te pardonne et puis basta je fais comme si t'avais pas couché avec elle ? Ca aurait pu être si facile avec une fille qui sort de nul part, j'aurais été frustrée d'accord, mais ca me hanterais pas! » Une aute fille aurait frustré Olivia, mais elle ne l'aurait pas hantée dans ses cauchemars, ne lui aurait pas parler de tout ses autres problèmes, bref, ça n'aurait été qu'une fille Maggie, c'était Maggie, mais elle l'oubli bien vite quand Wesley lui dit qu'il pouvait appeler son père et elle se retrouva devant ce choix de fou, oui ou non, quoique la décision était assez évidente, mais en même temps, elle était frustrée, dieu que c'est con la vie. « Fait le alors. » Elle avait marmomner, parce qu'elle n'avait pas vraiment envie de demander ce genre de chose, elle avait l'impression de garantir une sortie happy ending, alors qu'elle n'y croyait que plus ou moins a bout du compte. Elle ne savait pas comment tout ça allait se terminer, elle savait seulement que s'il restait avec Maggie, elle allait se pendre dans la douche ou un truc du genre.

« honnêtement Wesley ? oui! Oui, je voulais que tu viennes me parler, parce que j'avais l'impression d'être toute seule à souffir, oui je voulais que tu viennes me dire que tu allais mal aussi, même si moi aussi j'allais mal, parce que non, ça n'aurais pas ajouter à mon malheur, ça m'aurait donné quelqu'un qui me comprenait, qui comprenait ce que moi je ressentais parce que j'aurais su que tu ressentait la même chose, mais je savais pas, parce que tu faisais rien et non je suis pas aller de voir, j'avais cette impression d'être d'une lourdeur pour toi, juste un autre problème parmi tant d'autres. Pourquoi j'aurais recommencer si t'étais rester pour t'assurer que non, pour etre avec moi, tu crois que je buvais beaucoup avant que tu partes, tu rêve Wes! » Olivia c'était emporter, sans pour autant crier. Elle avait beaucoup bu quand elle avait appris la perte du bébé, mais quand Wesley avait tout lâcher, là, elle n'avait pas pu se retenir et elle avait bu, mais vraiment bu, du genre que si elle arrêtais aujourd'hui, elle ne pourrait le faire d'un seul coup et qu'a son mariage, elle ne pourra pas boire de champagne parce que la tentation serait trop forte, oui, elle avait commencer à boire, pour de vrai, Wesley ne l'avait jamais vu ainsi, enfin si, la veille, Mais il n'était pas partit à ce moment là, il était partit bien avant. Enfin, elle ne savait plus grand chose quoi, elle était perdue, elle aimait l'idée que deux hommes se battent pour elle, mais en même temps, elle n'aimait vraiment pas l'idée qu'on leur fasse du mal et elle s'inquiétait pour Wesley, pour Valentin aussi, mais elle avait l'habitude de s'inquiété vraiment plus pour Wesley. « Arrête Wes, fait toit pas battre pour moi, ça sert à rien. tu le connais pas, essait pas de dire des trucs comme ça, il est pas si con! » Bien sur qu'elle défendait Valentin, elle allait vers lui plus qu'il n'allait vraiment vers elle, il l'écoutait, la faisait sentir bien, peut-être que Wesley ça l'écœurait, mais elle ne se voyait pas envoyer chier valentin comme ça non plus, il était là. Et puis, Olive n,en pouvait plus elle avait finit par pleurer et ne repoussa pas Wesley quand il mit sa main sur sa joue, elle était épuisée, trop épuisée pour se mettre à hurler et le pousser loin d'elle, il pouvait bien faire ce qu'il voulait. « Oui c'est de ma faute Wesley, c'est moi qui a mal regardé qui c'est peter le genoux, c'est moi qui a perdu le bébé moi qui bois! C'est ma faute et j'y arrive pu, j'y arrive pas à changer! » Elle creusait sa propre tombe, c'était bien évident et fallait que quelqu'un l'aide, mais elle ne savais pas quoi faire, ne savait pas trop comment s'exprimer et quoi faire. Et il avait relever sa tête et elle le regardait dans les yeux et lui demanda de lui dire qu'elle ne l'aimait plus, elle resta muette très longtemps. « Je peux pas faire ca et tu le sais. » Elle n'était pas non plus en état de lui dire qu'elle l'aimait encore, comme si c'était trop dur pour le moment, que ça impliquait trop de chose, mais c'était deja bien non ? Elle ne lui disait pas qu'elle ne l'aimait plus et elle le regardait même encore dans les yeux. « T'as l'air d'un con dans cette tenue. » Oli avait besoin de faire diversion, de ce concentrer sur autre chose, alors pourquoi pas sur ce stupid costume.

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Je n'ai jamais eu ce besoin d'aller voir ailleurs, je n'ai jamais eu besoin d'une autre femme qu'elle, que celle qui était assise à côté de moi, buvant son café avec une petite mine sur le visage. Je lui avais fait du mal, je le savais, mais ça n'a jamais été mon but. Je m'en moquais pas mal de faire du mal autour de moi à cause de mon comportement de fils à papa, mais elle je n'ai jamais aimé voir cette tristesse sur son visage tellement parfait. Non je n'aimais pas ça. Je ne comprenais pas son besoin d'aller voir ailleurs, de coucher avec les premiers mecs qu'elle croisant, mais j'étais prêt à faire table rase de tout ça, de faire abstraction de son escale de ces derniers mois, car je ne me voyais pas vivre sans elle, je ne me voyais pas continuer ma vie sans celle qui lui en donne un sens. J'avais vraiment l'air d'un con en Jules César, mais pour tout vous dire je commençais même à oublier ce costume, j'étais tellement focalisé sur Olivia que je ne prêtais plus attention à mon accoutrement de César. Je ne te demande pas d'oublier, je te demande de me pardonner. J'ai fait une connerie avec elle et je le regrette, mais on a tous fait des erreurs. Et sans toi je les cumule, sans toi je merde sur toute la ligne. Quand tu étais à mes côtés, j'en faisais des erreurs mais tu étais toujours là pour me recadrer, pour m'aider. Elle ne s'en rend peut-être pas compte, mais c'était dur pour moi ce que j'étais en train de faire. Je lui avouais des choses que je n'ai jamais dites auparavant, à personne. Elle marmonnant de le faire, de dire à mon père que je lâchais Maggie, comme si elle me mettait au défi sans vouloir me le dire en face, seulement en marmonnant. Elle m'en croyait pas capable ? J'allais lui prouver le contraire. Elle me rendait dingue, j'étais fou d'elle et j'étais enfin prêt à me confronter à mon père si elle avait besoin de ça pour le comprendre. Je sortais mon portable de la petite poche de mon déguisement de César, commençant à écrire un message. Pa', j'en ai marre de faire semblant. Tu veux me voir avec Margaret, moi non. Il y en a qu'une qui compte pour moi et tu sais de qui je parle. Mon message était clair, pas besoin d'avoir une thèse en science pour comprendre que je parlais d'Olivia. Je cherchais le numéro de mon père dans le répertoire, je n'avais plus qu'à cliquer pour l'envoyer. Mais je ne voulais pas que ce soit moi qui le fasse, mais elle. J'avais besoin de savoir que j'avais son soutien dans cette histoire. Je risquais de me mettre mon père à dos, j'avais besoin d'elle. Je lui tendais alors mon portable en la regardant. Je te laisse l'envoyer. Perdre Olivia c'était impensable, pour elle j'étais prêt à faire l'impossible, ce que j'étais en train de faire.

Parce que tu croyais peut-être que j'en avais rien à faire ? J'étais l'homme le plus heureux du monde quand tu m'as appris ta grossesse, je prévoyais des choses avec toi, j'ai même acheté des jouets alors que tu étais enceinte de seulement quelques semaines. Il n'y a pas que toi qui a perdu un enfant, moi aussi. Vous étiez les deux seules personnes qui comptaient pour moi, qui me donnaient une raison de me lever le matin. Vous étiez ce qui faisait qu'en me regardant dans le miroir, je ne me disais pas que j'étais juste un gamin capricieux qui compte sur son père pour réussir. Vous étiez tout ce que j'avais et je vous ai perdu en même temps. Je suis désolé si tu penses que c'est de ma faute, désolé si tu penses que tes problèmes d'alcool sont de ma faute. C'était la première fois que je parlais ainsi, me dévoilant petit à petit, vidant mon sac une bonne fois pour toutes. Je ne l'avais jamais fait auparavant, est-ce que ça me faisait du bien ? Non, ça me faisait mal car les souvenirs revenaient en même temps. Je n'ai jamais voulu être coupable de son état, ça me déchirait le coeur de savoir qu'elle pensait ça, qu'elle pensait que je m'en fichais de la perte de notre enfant, que ça ne me faisait rien qu'elle tombe plus bas que terre. J'ai touché le sol avec elle, je ne m'en suis jamais relevé et je pourrais le faire qu'avec elle. Elle et personne d'autre, pas Maggie, pas ce connard d'italien, juste elle. Je n'avais besoin de personne d'autre qu'elle. Il ne t'aime pas lui .. Il se vante de coucher avec toi, comme si tu étais son trophée. C'est ça que tu veux ? Passer le reste de ta vie avec un mec qui baise tout ce qui bouge ? Je ne lui demandais pas de ne plus lui parler, seulement d'arrêter de coucher avec lui juste pour faire plaisir à cet enfoiré. Elle voulait être ami avec ce type ? Je n'irais pas lui empêcher, je veux juste qu'elle arrête de se voir comme un vulgaire bout de viande et pour dire vrai, j'avais l'impression qu'il comptait plus à ses yeux que moi je comptais pour elle. Ça qui me faisait le plus mal, c'est de l'entendre se rejeter toute la misère du monde sur le dos. Elle ne me rejetait pas, j'étais toujours devant elle, mes mains sur ses joues pour la regarder dans les yeux. Tu as fait une chute, ça arrive même aux plus grands. Tu marches c'est l'essentiel, tu crois vraiment que je t'aimais parce que tu étais une grande gymnaste ? Et arrête de dire que c'est toi qui l'aies perdu, nous l'avons tous les deux perdu, tu n'as rien à te reprocher, rien du tout. Pour l'alcool, je suis là pour t'aider .. Si tu veux bien de mon aide. Un long silence se fit entendre lorsque je lui ai demandé de dire qu'elle ne m'aimait plus, car si tel était le cas, je serais parti, je ne voulais pas la blesser encore plus si ma présence n'était pas voulue. Elle m'avoua qu'elle ne pouvait pas le faire, ça me suffisait. Je restais devant elle, bloqué dans ses yeux jusqu'à ce qu'elle me dit que j'ai l'air con dans cette tenue, je souriais légèrement avant de lui répondre. Je suis prêt à te suivre jusqu'au bout du monde avec ce costume à la con. Et je ne sais pas ce qui me prit .. J'approchais mon visage du sien pour poser mes lèvres sur les siennes, comme par le passé, c'était plus fort que moi, je n'ai pu m'empêcher. Allait-elle me rejeter ? Me frapper ? Aucune idée, mais en posant mes lèvres sur les siennes, je l'embrassais passant ma main dans ses cheveux. Cette femme me rend dingue.

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Ce n'était pas tellement le faire d'aller ailleurs qui avait attiré Olivia, mais le fait de voir autre chose, d'avoir d'autre expérience, de voir ce qu'elle était capable de faire avec quelqu'un d'autre que Wesley qui avait été le seul homme dans sa vie et pourtant, elle avait passé son temps à penser à lui, à se demander ce qu'il ne penserait, elle se couchait en se fichant bien de ses hommes et en pensant à lui et c'était pas tout le temps joyeux, ça c'était un fait. Il ne lui avait pas amener que du bonheur, il lui en avait donner beaucoup plus que de malheur, mais les souvenirs de malheur étaient tellement plus vif dans sa mémoire que les autres, ils étaient beaucoup plus récents aussi, ce qui jouait dans la partie. Maggie, oui c'était une erreur, oui, elle pouvait aussi, même un peu comprendre et même si elle ne l'enguelait plus, ça lui restait au coeur et c'était pas si facile que ça que de pardonner ce genre chose. « Laisse moi le temps Wesley, ca fait quoi trois jours qu'elle m'a envoyer le SMS laisse moi le temps de digérer un peu! Je sais que tu regrette Wesley et c'est déja ça, mais ca reste difficile à avaler et j'en ai fais des erreurs aussi, je comprend que tu veuille que je te pardonne, mais ca se fera pas en une nuit c'est tout. » Elle ne voulait pas paraitre incompréhensive, elle en avait des erreurs elle aussi, mais celle là, elle était juste vraiment difficile à digérer. Elle avait finit par lui marmoner de le faire d'envoyer chier son père ou du moins de lui expliquer la situation, ce qui dans ce cas, revenait pas mal à la même chose. Olivia avait des doutes, sincèrement, qu'il le ferait, parce qu'il n'avait jamais rien fait pour défier son père et puis quand il lui tendis le téléphone et qu'elle lu le message elle fut assez sous le choc. Il lui demanda de l'envoyer et elle le regarda un instant, puis, elle n'hésite pas vraiment et elle l'envoya, parce que bon, qui ne rêverait pas d'envoyer promener le père de Wesley ? Enfin, Oli elle en rêvait un peu. Elle lui redonna son téléphone. « je crois que tu va recevoir un appel d'un papa ffrustré dans quelques minutes. » honnêtement, elle était certaine, il n'allait pas accepter cette nouvelle là, comme ça, sans rien dire.

« Je savais pas Wesley tu faisais rien, tu voulais que je devine tout état d'esprit ? J'ai l'air d'une fille qui fait de la divination pour toi ? Tu restais là, tu disais rien, tu pleurais pas, je sais pas Wesley. Moi aussi je prévoyais des choses, ça m'a complètement détruite je crois que c'était évident, mais toi, je sais pas, je comprenais pas comment tu pouvais rester comme ça. Et puis, tu l'as perdu je veux bien, mais t'as rien ressenti, je l'ai senti partir, alors je suis certaine que je l'ai senti vivre aussi, alors non, je veux bien, mais y a des choses que t'as pas vécu non plus! » oui, Elle se souvenait parfaitement de cette sensation, de cette crampe dans son ventre, de ce sang dans la toilette et de ce rendez-vous chez le docteur, elle se souvenait de tout, ça avait été dur physiquement aussi. Est ce que c'était de sa faute, si elle avait bu, disons que oui et non « Arf je te dis pas que c'était de ta faute Wesley, je te dis que t'as zéro aider à la cause quand tu as rompu les fiançaille» Ouais, c'était pas l'idée du siècle mec, c'est ca qu'Olivia voulait dire, idée de merde oui, elle avait plus rien et en plus son fiancé part, ouais, c'était pas vraiment l'idéal non. « je veux pas passer ma vie avec lui Wesley, ce que je te dis c'est qu'il est pas un monstre et que je m'en fiche un peu, parce que je veux pas le marier, je voulais juste oublier certaine chose, vaut mieux ca que je me saoule non ? » ouais, elle était chiante là, soit elle couchait avec l'autre soit elle buvait, ton choix mec. ou pas, honnêtement, elle ne savait pas trop où elle irait avec Valentin, elle ne se voyait pas passer sa vie avec lui non plus, enfin, c'était compliqué, elle penserait à ca une autre journée, elle avait déjà assez pour aujourd'hui. Elle avait eu son lot, elle en avait pour toute sa vie des malheurs, franchement, qu'est ce qui pourrait arrivé de plus, mais elle ne devrait pas dire ça, on ne sait jamais au fond. « je te dis pas que c'était important pour toi, mais c'était important pour moi Wesley, c'est ca que je voulais faire, j'ai perdue mon rêve à moi, celui qui était juste à moi que je ne partegeais pas! Et oui c'est moi, il est pas srtit de ton ventre, c'est pas ton corps qui a rejetter cet enfant, c'est le mien. mouais, je suis pas trop convaincu mais bon. » Olivia était assez défaitiste sur le coup, elle ne voyait vraiment pas comment elle allait s'en sortir avec ou sans Wesley, elle ne voyait pas vraiment quoi, c'était difficile alors qu'elle était plongée dans ces problèmes. Elle avait d'ailleurs changer de sujet assez rapidement, parce qu'elle n'avait pas envie de parler de ses problèmes tant que ça. « Je suis pas certaine que j'ai envie que tu me suive avec ce costume honnêtement. » Muais, Jules César c'était pas trop son genre à elle, elle aurait choisit un truc comme James Bond ou un gangster de Vegas dans le vieux temps, mais pas Jules César. Et puis, sans qu'elle ne comprenne vraiment trop comment, Wesley avait mit ses lèvres sur les siennes et aussi frustrée qu'elle pu etre contre lui, ses lèvres chaudes lui avait trop manqué pour qu'elle le repousse. Elle réussit à déposer sa tasse qui était maintenant vide et elle se bascula pour etre coucher sur le lit en amenant Wesley avec elle. Olivia n'avait aucune idée de ce qu'elle faisait, mais ça lui rappelais le bon vieux temps et ça faisait si longtemps qu'elle n'avait pas été aussi proche de Wesley qu'elle ne pouvait faire autrement que de l'embrasser en retour.

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L'une des plus grosses erreurs dans ma vie restera sans doute le fait d'avoir couché avec Maggie, même si au fond je ne trompais personne, j'étais seul, complètement seul. Mais entendre Olivia parler sans cesse d'elle, ça me faisait mal, mal de savoir la femme que j'aime détruite par une connerie de ma part. Je m'en fichais de Maggie, je ne l'ai jamais caché d'ailleurs. Je n'avais aucune envie d'aller avec elle au Housing Day, je n'avais aucune envie de partir avec elle dans la soit disant soirée de l'année, j'aurais tellement préféré partager cette soirée avec Olivia. J'aurais tellement aimé que les choses soit différentes, mais pour la première fois depuis des mois, j'avais une vrai conversation avec elle, pas d'engueulade, juste elle, moi et mon costume de César. Je regardais Olivia me parler une nouvelle fois de Maggie, du SMS qu'elle lui avait envoyé. Je n'étais pas au courant de ce message avant qu'Olivia m'en parle hier soir au bar. J'étais pas au courant pour le SMS, je l'ai appris qu'hier soir. Je ne l'aurais pas laissé faire si je savais qu'elle comptait d'envoyer ça. J'espère que tu y arriveras, j'espère que tu vas réussir à me pardonner, je ne demande que ça. Je ne lui aurais jamais laissé envoyer ce foutu message, je ne l'aurais jamais laissé faire autant de mal à Olivia. Je suis pas du genre défenseur de la veuve et de l’orphelin, mais je n'arrive pas à concevoir qu'on fasse souffrir la femme que j'aime, même si je sais que je fais aussi parti de ces gens qui l'ont blessé, chose que je regrette plus que n'importe quoi. Elle me défia alors d'envoyer balader mon père, certes j'appréhendais la réaction de mon paternel, mais j'en avais marre de voir Olivia aussi mal. Marre de la voir dans cet état en parti à cause de mon pseudo couple avec Margaret. J'ai alors écris le message, le montrant à Olivia pour qu'elle l'envoie, pour lui prouver qu'elle comptait plus que n'importe qui pour moi, car personne d'autre qu'elle sait à quel point j'adore mon père malgré son comportement parfois hautain et insupportable. Lorsqu'elle appuya sur la touche pour envoyer le message je me suis mis à sourire, un léger sourire car ça voulait dire qu'elle souhaitait avancer, même un peu. Bon par contre je risque d'avoir des problèmes avec mon père, mais tant pis. Son appel attendra, pour l'instant je suis avec toi, pas avec lui. Disais-je en appuyant sur la touche pour éteindre mon portable, histoire qu'on ne se fasse pas déranger en pleine discussion. Ça va pas lui plaire non plus à mon père, pas grave.

Certes je l'ai pas senti mais je le voyais, je comprends que tu aies eu mal, peut être plus que moi, mais crois-moi j'ai autant souffert que toi. J'aimais tellement ça collé ma main sur ton ventre en espérant sentir quelque chose, même si c'était un peu tôt. J'ai pas pleuré oui, mais c'est pas pour autant que j'avais pas envie de le faire. Et à quoi ça m'aurait avancer de pleurer ? J'aurais été voir qui ? Toi ? Tu étais aussi mal que moi. Mes parents ? À quoi bon ça n'aurait servi à rien. J'étais comme toi Olive. Physiquement je n'ai pas ressenti le mal d'Olivia j'en suis complètement conscient, mais qu'on me dit que j'en avais rien à faire, que ça ne me touchait pas, ça me mettait hors de moi. J'avais l'impression de passer pour le monstre dans l'histoire, l'enfoiré qui ne ressentait rien et qui en avait rien à faire. D'autant plus lorsqu'elle m'avoua que je ne l'ai nullement aidé en annulant les fiançailles. Je prenais une longue respiration avant de lui répondre. C'était le bordel dans ma tête. Je pensais faire des choses pour ton bien, finalement c'était con plus qu'autre chose. Je pensais que cette pause pouvait notre être bénéfique à tous les deux, j'ai bien merdé. Je n'ai pas pour habitude de m'excuser, d'avouer mes torts, mais Olivia avait ce don pour qu'avec elle je le fasse. Certes avec du temps, mais je me sentais obligé de le faire. Elle me demandait ensuite ce qui était le mieux, qu'elle couche ailleurs ou qu'elle soit bourrée. Je le regardais un fronçant les sourcils, je n'étais pas énervé, je ne criais pas, mais ça se voyait sur mon visage que ça me déchirait le cœur d'entendre ça. Tu me demandes ce qui est le mieux entre voir la femme que j'aime bourrée et droguée ou la voir dans le lit dans espèce de crétin italien qu'à tout dans les muscles mais rien dans le crane ? Franchement ni l'un ni l'autre. Je te préfère avec moi. Mes erreurs me resteront à jamais gravé, elles me suivront toujours, mais dieu seul sait que j'avais envie de récupérer Olivia, loin de ses addictions, loin du lit de l'italien. À la limite je pouvais l'aider à arrêter l'alcool et la drogue, mais qu'est-ce que je pouvais faire avec Valentin ? Me battre avec lui à chaque fois que je le croise ? J'en étais capable pour Olive, même si je me faisais casser la gueule. Elle me parla de nouveau de la perte de notre enfant et de sa chute, j'avais mes mains sur ses joues, tentant de faire disparaître ses larmes. Alors si c'est important pour toi, pourquoi ne pas t'y remettre ? Doucement au départ, juste un échauffement pourquoi pas. J'ai repris un job de coach à mi-temps ici, pendant mes heures de libres. Si tu veux on essaies ensemble, on tente le coup .. Et si tu te sens prête je serais à tes côtés pour te rattraper au vol. Je te laisserais pas tomber. Il faut être deux pour faire un enfant, j'ai autant raté que toi, mais rien en nous dis qu'on pourra jamais .. Enfin bref, ça n'est pas de ta faute. Je n'aimais pas voir Olivia aussi défaitiste, ensemble on a vécu tant de choses, on a affrontés tant d'épreuves ensembles, on pouvait le refaire j'en étais sur et certain, j'en mettrais ma main à couper. Elle changea rapidement de sujet, me parlant de mon accoutrement de César. J'étais toujours devant elle, mes mains sur ses joues en souriant. Dans ce cas je reviendrais en James Bond, tu seras ma James Bond Girl. Disais-je en souriant, une petite touche d'humour n'allait pas faire de mal, du moins j'espère. C'est alors que j'ai posé mes lèvres sur les siennes, je craignais qu'elle m'envoie balader, qu'elle me gifle et qu'elle me met à la porte. Mais à ma grande surprise elle déposa sa tasse vide pour s'allonger sur le lit en me tirant vers elle. Je ne saurais d'écrire la sensation qui s'était emparé de moi, j'étais allongé sur elle, mes jambes à chaque extrémité de son corps, l'embrassant toujours en lui caressant doucement la joue. Je ne voulais pas forcer les choses, je ne voulais pas la forcer en préférant attendre plus amplement sa réaction. Je continuais alors à l'embrasser, ses lèvres sont tellement douces, elles m'avaient manqué, elle m'avait manqué.

CREDIT TO KAIJI

FROM ILH

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