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KOACE ✱ L´amour c´est comme une cigarette. Ça brûle et ça monte à la tête.

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C'était fini. Vous alliez recommencer c'était certain mais, cet instant ne se reproduirait plus jamais. C'était comme-ci tu avais découvert le sexe une seconde fois mais, un nouveau sexe. Un sexe plus tendre, plus doux, plus délicat. Tu souriais alors calmement, tirant de plus en plus sur ta cigarette jusqu'à ce que Konrad te rejoigne en caleçon. Il allumait sa cigarette, reposant le briquet là où il venait de le prendre. Tu voulais garder ce silence qui n'était pas pesant. Il était léger, il était chaleureux. Ce n'était pas un silence d'engueulade mais, un silence de « waouh! ». Konrad brisa ce léger silence en te disant que jamais il n'avait ressenti ceci. Que m'aimes avec toi lorsque vous baisiez il n'avait pas ressenti quelque chose de la sorte. Tu tournais alors doucement les yeux vers lui avec un sourire qui n'était pas dissimulable tellement il était grand et heureux. « C'était waouh! Je savais que faire l'amour avec toi serais différent de ce que nous faisions avant c'est-à-dire baiser mais, là c'était au-dessus de tout. T'es le premier en un bon nombre d'année qui ne m'avait pas fait toucher aussi haut. C'était indescriptible enfin bref. » Tu baissais légèrement les yeux en rougissant. Avant tu pouvais parler de tes ébats avec Konrad mais, là c'était légèrement différent. Tu venais de faire l'amour avec lui et tu décrivais votre acte comme-ci il n'avait pas été là. Même si votre relation n'a changé en rien, cela te faisait bizarre de parler de cela avec ton copain, ce n'était pas habituel chez toi.
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L´amour c´est comme une cigarette. Ça brûle et ça monte à la tête.

On l'avaient fait, on s'étaient donnés l'un à l'autre durant ce moment de plusieurs et longues minutes, je l'avais fais atteindre à un endroit où aucun ne l'avait fait, tout comme elle, j'avais jamais ressentis ça, je veux dire j'ai coucher avec des filles je sais pas combien de fois et c'était parfois bof, parfois super et comme avec Emma à l'époque, la crème de la crème et avec Grace avant, c'était le niveau en-dessous, du "parfait" mais jamais j'ai ressentis ce truc que je peux pas décrire, elle m'a juste comblée, j'ai l'impression de gouter à quelque chose de nouveau mais je sais que nous allons de nouveau faire l'amour mais plus jamais ce ressentirai ce truc indescriptible avec elle qui s'est passé ce soir. Je lui faisais part de tout ça tirant sur ma clope et elle prenait la parole pour également me faire part de ce qu'elle a ressentit et c'est à peu près la même chose que moi, quasiment pareil on peut dire. C'est ça, indescriptible. je la voyais rougir, ça me faisait sourire et même rigoler légèrement, je relevais sa tête du bout de mon doigt et plongeais mon regard dans le sien Grace St-James qui rougit ? Intriguant. je déposais mes lèvres sur les siennes avant de m'adosser en avant à la fenêtre et de prendre un coup d'air frais de l'extérieur en tirant sur ma clope.

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Il était à tes côtés, lui aussi il fumait une clope et il parlait. Toi pendant ce temps tu tirais sur le bout de ta cigarette avant de l'éteindre pour la jeter par-dessus bord. Tu lui faisais ensuite par de ton ressentit face à tout cela et il semblait plutôt d'accord avec toi. Il te fit même des compliments que tu n'avais jamais entendus de la bouche de quelqu'un envers ta personne. Tout cela te faisait sourire, même rougir à un moment donnée et Konrad ne manquait pas de te le faire remarquer avec un petit rire. « Je t'en cache encore beaucoup des choses. » Tu lui lançais un regard légèrement mystérieux alors qu'il venait lier ses lèvres aux tiennes dans un mignon petit bisou. Tu souriais avant de décoller tes lèvres des siennes, reprenant ton briquet tu lui claquais une fesse avant de te jeter à genoux dans le lit, t'enfilant rapidement sous la couette tu grelottais légèrement. « La vraie raison de mon rougissement c'est qu'en général avec mes exs on ne causait pas de ce que l'on venait de faire on s'endormait l'un contre l'autre et basta mais bon... avec toi tout est différent. » Tu lui souriais tendrement, lui lançant un petit clin d’œil avant de poser ta tête sur l'oreiller. « T'es fatigué ? Non, parce que j'avais bien envie de me regarder un film mais, comme tu veux. » La zappette en main, tu faisais défiler les chaînes sous tes yeux histoire de voir s'il n'y avait pas quelque chose d'intéressant.
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Chacun donnait son ressenti et c'était à peu près le même, quelque chose d'indescriptible qu'on a vécu pour la première fois de notre vie. Je finis ma clope, elle rejoint celle de Grace jetée par la fenêtre et je remarque qu'elle rougit et ça me fait sourire, relevant sa tête, je lui fais cette petite remarque auquel elle ne manque pas de répondre. Pas autant que moi. moi aussi je jouais le sourire et regard mystérieux, puis la voilà parti se remettre sous les draps en me révélant le comment du pourquoi de son rougissement Avec moi tout est différent. je lâchais un petit rire la rejoignant sous les draps, au chaud. Ma jambe recommence à faire des sienne, les doux effets secondaires des médocs que je prend pour me remettre de l'overdose. Donc regarde toi un film mais j'vais vraiment pas tarder. je la regardais, souriant, je m'allongeais dans le lit.

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Après avoir expliqué à Konrad le pourquoi du comment tu avais rougi mais, aussi ton ressenti sur ce que vous venez de vivre tous les deux, tu venais te remettre sous les draps après lui avoir claqué une fesse en riant. Lui aussi te disait qu'il te cachait encore des choses, tu souriais doucement. « Tu vas débarquer un jour en disant : surprise, ce gosse est le mien. Non, parce que si ce n'est que ça tu  ne me fais même pas peur. » Tu riais doucement, imaginant tout à fait la scène qui pouvait se dérouler. Lui, qui arrivait avec un gosse et toi qui acceptais la situation sans dire un mot étrange. Puis trêve de plaisanterie, il venait se recoucher auprès de toi en te disant qu'avec lui tout était différent. Tu riais en même temps que lui avant d'ajouter. « Une chose est sûre c'est que grâce à toi mon coeur et mon corps ne se sont jamais ennuyés. » Lui adressant un petit clin d’œil, tu venais passer au-dessus de lui, dégageant toute la couette sur ton passage. Installant ton disque dur sur le lecteur DVD, tu fis par la suite défilée ta liste de film afin d'en choisir un bien. Et, puis trouvé tu tombais sur Bodyguard. Bodyguard pour toi c'était le meilleur film de tous les temps et puis Kevin Costner il était tellement sexy. Retournant alors dans ton lit, tu te recouvrais avant de couler ton flan à celui de Konrad. « Si ça ne va pas dis-le moi hein. » Tu lui souriais tendrement.  « Costner est tellement sexy et virile dans ce putain de film! » Tu en bavais rien que de le regarder.
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Elle venait de se remettre sous les draps après m'avoir claqué une fesse avec son petit rire, je souriais alors que je lui apprenais que j'étais aussi mystérieux qu'elle et je riais à la remarque qui sortait de sa bouche Ah bah dans ce cas... il s'appelle Evan, il a 1 an. je baissais un peu la tête, j'étais bon comédien, du genre très bon, qu'elle y croit deux minutes à peine c'était ce que je voulais, oui je pouvais être un vrai gamin, même à 24 piges. Je venais la rejoindre dans le lit alors que je me vantais que tout était différent avec moi, avec ce petit sourire hautain et le pire c'est qu'elle ne niait pas Je sais, j'ai cet effet là, c'est dans ma nature de comblé. je rigolais puis la voilà qui passe sur moi pour prendre tout son matos pour regarder un film T'en fais pas. lui répondais-je alors qu'elle venait de remettre les draps. C'est que t'en tomberai amoureuse St-James. je riais caressant sa joue puis je m'allongeais sur le côté prenant un peu de draps, histoire d'être recouvert un minimum.

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Tu riais lui disait que tu étais prête à accepter le fait qu'il est un enfant mais, lorsqu'il te regardait annoncé le prénom et l'âge d'un enfant, tu ne riais plus. Il baissait doucement la tête, t'y avais cru mais, cela ne durait pas bien longtemps, car tu le connaissais le phénomène. Tu riais de plus bel. « Parfait, je n'aurais pas à prendre trente kilos pour que tu sois papa quelqu'un là fait à ma place. » Tu riais doucement, en le regardant se remettre sous les draps. Et voilà, qu'il te parlait du fait qu'il t'avait comblé c'était en ça qu'il était différent. Te levant alors pour mettre le film bodyguard, tu le regardais. « Ta différence ne vient pas de là mais, du fait que t'avait beau me faire du mal, j'avais pleuré comme une madeleine, je restais près de toi c'est tout. » Tu lui faisais un petit clin d'oeil, tu préférais rigoler de cette situation plutôt qu'autre chose. Revenant te coucher sous les draps tu venais de baver littéralement sur Kévin Costner. Konrad en riait et te disais même que t'en tomberais amoureuse c'est alors que tu tournais les yeux vers lui avec une petite lueur malicieuse à l'intérieur. « Amoureuse ? Je ne connais pas. J'ai un coeur de pierre c'est fini les mecs ça va, ça vient c'est comme tout. » Tu lui embrassait la joue, essayait de garder au maximum ton sérieux pour qu'il te croit mais, normalement il n'était pas aussi naïf il savait que tu étais folle de lui et il aimait tellement en jouer que toi aussi tu voulais en jouer.
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L´amour c´est comme une cigarette. Ça brûle et ça monte à la tête.

J'essayais d'être crédible, j'étais très bon comédien et en voyant l'air qu'elle tirait, je ne pouvais pas m'empêcher de rire légèrement et je fus direct grillé mais bon, pendant quelques secondes, elle avait marché. N'importe quoi. je secouais vite fait la tête avec un léger rire, elle pouvant en dire des conneries, pire que moi parfois, je la rejoignais sous les draps puis la voilà qui passe au-dessus de moi pour se lever et aller chercher son film et le lecteur DVD, sa remarque me laisse le sourire mais j'en pense pas moins, c'est assez difficile de repenser à nous avant, vraiment même si je le montrais pas du tout Je suis un vrai aimant je sais. je lui rendais son clin d’œil puis la voilà qui fantasme sur Kevin Costner, je joue avec ça alors mais elle semble se prêter au jeu, j'aime. J'ai pas envie de faire le naïf, t'es pas crédible du tout bébé. cette fille est amoureuse de moi depuis deux ans, alors qu'elle dise ça c'est insensée mais je souriais avec ses lèvres sur ma joue. Je me mettais confortablement dans son lit, me couchant sur le côté en prenant un peu de draps, fermant les yeux.

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Konrad papa. Certes, ce n'était pas quelque chose d'insensée mais, sérieusement toutes les fois où tu avais été chez lui tu n'avais pas vu la moindre trace d'un enfant et puis lui-même en était un. Son monde remplit de drogues et de filles n'était pas un endroit pour un gamin c'est ça aussi qui te mettait la puce à l'oreille sur la jolie comédie qu'il te jouait. Tu en riais et en sortit même une petite boutade à laquelle, il secouait désespérément la tête. Après s'être mis entre tes draps, il se vantait sur le fait d'être un super amant. Tu le regardais en coin avant de t'enfouir sous les draps pour étudier ses chevilles. « Oh oui putain elles gonflent! » Tu remontais en riant doucement, posant lourdement ton dos dans le matelas alors que Konrad se foutait de ta gueule par rapport à Kévin Costner. Tu avais voulu lui faire croire que l'amour tu ne connaissais pas mais, manque de bol il savait que tu étais amoureuse de lui depuis deux ans alors ce n'était que foutaises ce que tu pouvais dire. T'embrassait sa joue et le film commençait. Ton homme se tournait sur le côté près à s'endormir mais, c'est sans compter sur toi à côté qui se mit à chanter le générique du film qui n'est autre que « I will always love you » de Whitney Houston. Si à cet instant Konrad ne te bâillonnais pas c'est soit qu'il dormait, soit qu'il t'aimait vraiment.
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Moi être père ? C'est ma plus grande peur sur ce putain de monde je crois, franchement qu'est-ce que je pourrais lui offrir à ce gosse ? Je suis dans le monde de la débauche, sexe, drogue, alcool, liberté sans pression, je joue la comédie face à elle, lui faire croire que mais elle me connait, elle sait très bien dans quel monde je vis, même si pendant quelques secondes elle a fait une de ses têtes, les secondes suivante, elle avait pigée. Elle avait même sorti une connerie auquel j'avais rigoler en bougeant la tête, j'étais un gamin, j'en disais de belles conneries, mais elle aussi, même parfois plus que moi. Je la rejoignais dans le lit, me mettre sous les draps et je riais à ce qu'elle venait de me dire, une jolie remarque sur mes chevilles par rapport à ce que je venais de dire Elles sont normales, j'vois pas pourquoi tu dis ça. je souriais, j'ai toujours eu tendance à flatter mon égo, même un peu trop souvent. Me voilà à me foutre de la gueule de Costner, qu’elle tombe amoureuse de lui et qu'elle me dise que c'est pas son genre mais je l'ai direct grillée, ça fait deux ans qu'elle est dingue de moi, juste ça c'est suffisant. Alors que je commençai à m'endormir m'étant tourné sur le côté, la voilà en train de chanter le générique du film, je grimace légèrement et je viens me redresser et porter ma main à sa bouche Bébé. Stop. C'est pas comme ça qu'il faut la chanter, écoute. et me voilà à chanter du Whitney Houston, elle ne m'a jamais entendu chanté, personne enfait je crois, ou presque personne, c'est mon plaisir coupable on va dire, ça m'aide à oublier toutes mes merdes, un autre moyen que la drogue, chanter comme jouer de la musique, ce sont mes talents cachés, et je lui en dévoile un et vu les yeux qu'elle tire, elle est surprise.

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