Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityKOACE ✱ L´amour c´est comme une cigarette. Ça brûle et ça monte à la tête.
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KOACE ✱ L´amour c´est comme une cigarette. Ça brûle et ça monte à la tête.

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Tu poussais délicatement la porte de ta chambre. Cherchant la lumière de la main, tu réussis enfin à l'allumer pour ainsi rentrer suivie de Konrad puis tu refermais la porte. Vous veniez de quitter la boite de nuit puis le taxi qui venait de vous ramener pour vous enfermer dans ta chambre d'hôtel que tu partageais avec deux autres filles pour le summer camp. Heureusement, ce soir elle n'était pas là. Tu n'aurais pas amené Konrad sinon. Enfin bref, tu retirais doucement le cuir du jeune homme que tu déposais sur ton lit et tu partais te démaquillais sans un mot. Alors que le coton glissait le long de tes yeux légèrement noircis tu repensais à ce que Konrad avait bien pu te dire. Tu le connaissais et pour qu'il mette ainsi sa fierté de mâle de côté et qui casse en partie sa carapace c'est que ce n'était pas que du vent. Et pour une fois, tu avais vraiment envie d'y croire au bonheur. Tu l'avais tellement attendu lui, le bonheur qu'aujourd'hui tu allais enfin profiter de ce que tu as. Ressortant de la salle de bain avec les yeux clairs. Tu n'avais plus de maquillage autour, on ne voyait plus que le bleu de tes yeux qui pétillaient. Ton corps n'était plus vêtu de ta robe moulante qui avait le don de faire craquer Konrad mais simplement d'un mini-short blanc et d'un débardeur blanc. « Fais comme chez toi. » Tu récupérais deux verres propres sur une étagère et ta bouteille de rhum qui était dans ta valise. « Tu veux un verre ? » Les posant tous les deux sur la petite table près de ton lit tu t'en servais un puis le deuxième au pire tu picolerais celui de Konrad s'il ne le voulait pas. T'emmitouflant ensuite sous ta couette tellement tu avais froid, tu sortais de ton oreiller tout ton matos pour te rouler un petit joint. Sortant la feuille slim, tu effritais, préparer le toncar et enfin tu confectionnais ta petite merveille. Levant ensuite les yeux sur Konrad tu le regardais.
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Le taxi venaient de nous déposer devant l'hôtel, on pouvait dire que ce moment était la deuxième partie de soirée, la première s'était faite en boite puis en dehors où les tensions sont vite montées, enfin bref. Nous voilà devant la porte de sa chambre, elle me fait rentrer puis referme la porte une fois que nos quatre jambes sont dans la chambre, elle se dévêtit de ma veste en la posant sur le lit et sans dire un mot, elle filait à la salle de bain. J'avais l'air con tout seul, mais bon si je devais attendre quelques minutes tout seul pour ensuite être avec, ça en vaut la peine, alors je fais le tour de la chambre puis la revoilà, démaquillée, elle est si belle au naturel, je suis amoureux de ses yeux en particulier. Elle n'a plus sa robe de soirée, juste un short et un débardeur, je souris la voyant comme ça et entendant que je pouvais faire comme chez moi Je sais. elle prenait deux verres dans sa main et une bouteille de rhum qu'elle piochait dans sa valise Je refuse jamais un verre de rhum. ça voulait dire oui en gros. Elle se glissait sous sa couette après avoir servis les verres et les avoir posés sur la petite table, et là elle se roule un joint, je souris prenant mon verre en main Tu perd pas de temps toi. je prenais une gorgée avant de reposer le verre et de me séparer de mon t-shirt et pantalon, et c'est une fois en caleçon que je la rejoignais sous les draps.

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Tu t'étais démaquiller et vêtue d'un simple mini-short blanc ainsi qu'un débardeur de la même couleur. Lorsque tu ressortais de la salle de bain Konrad était là à faire le tour de la chambre. Tu lui souriais doucement, lui proposant un verre de rhum qui ne refusait évidemment pas. Prenant alors deux verres, tu les servais, les posaient sur la petite table à côté de ton lit et t'emmitouflais dans ta couette pour confectionnais ton joint. Konrad te regardais faire, bût une gorgée puis te rejoignais dans ton lit en caleçon. Tu souriais alors que tu tassais cette petite merveille. « Mes colocataires n'aimant pas trop ça, je ne m'autorise même pas un joint par soir alors là j'en profite, car je sais que cela ne te dérange pas. » Tu lui lançais un petit sourire avant de passer au-dessus de lui afin d'attraper ton verre et d'un boire une bonne gorgée. Tu fermais doucement les yeux, cet alcool qui faisait quand même quarante degrés te brûlait légèrement la trachée. Rigolant tu te remettais à ta place et allumais ce que tu venais de rouler. Tu venais tirer sur le petit bout avant de faire rougeoyer l'autre, relâchant doucement de la fumée tu venais par la suite faire chier Konrad avec tes jambes que tu mettais un peu n'importe où sur lui. Il fallait toujours que tu provoques, fasse chier les gens. Rester deux secondes sans rien faire tu ne connaissais pas.
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Nous voilà dans sa chambre, aussitôt dedans, la voilà parti dans la salle de bain, comme un con je n'avais rien de mieux à faire que de faire justement le tour de la chambre, ça m'occupais les quelques minutes à l'attendre puis une fois qu'elle sortait de la salle de bain, un visage sans maquillage, elle était tellement belle naturellement et l'était toujours autant dans son mini short et son débardeur que dans la robe de soirée qu'elle avait quelques minutes avant. Je ne refusais pas le verre de rhum qu'elle me servait en même temps que le sien et après les avoir posé sur la petite table prêt du lit, elle venait sous les draps et roulait un joint, je souriais la regardant faire avant de prendre une gorgée de ce verre et de me mettre en caleçon pour venir la rejoindre au lit. T'as tout bon. lui répondais-je avant qu'elle se mette sur moi pour prendre à son tour une gorgée de son verre de rhum qui a ce que je pouvais voir par cette discrète petite grimasse, elle sentait la gorgée passer, c'est du rhum en même temps. Une fois remise à sa place, elle allumait son joint, tirait une latte ou deux et je sentais ses jambes venir sur moi Euh ça va là, j'suis pas un coussin hein. je rigolais légèrement la regardant avant de prendre mon verre et d'en boire une gorgée que je sentais passer.

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Tu étais là au summer camp allongée sur ton lit bronzer, avec un verre de rhum dans une main, ton joint dans l'autre et le mec que tu avais attendu pendant deux ans qui étais là. Il était là et il resterait là puisque même si tu avais encore du mal à réaliser c'était ton mec. Le tien, à toi. C'était le bonheur. Tu tirais avec douceur sur ton joint et recrachais la fumée blanche en quelques cercles bien distincts les uns des autres mais, l'ambiance ne te plaisait guère c'était beaucoup trop calme pour toi. C'est donc pourquoi tu venais faire chier le beau brun en déposant tes jambes un peu partout sur son corps. Évidemment il rit mais, il râlait légèrement avant de prendre une gorgée de rhum. « Ah bon ? Ce n'est pas à ça que ça sert un copain ? » Tu faisais genre tu n'étais pas au courant, gardant tout de même ton petit sourire en coin. « Je n'ai pas l'habitude de sortir avec des garçons normalement c'est juste des plans culs. » Tu riais à gorge déployé avant de tirer une grande bouffée sur ce qui te montait déjà à la tête. En effet, cette soirée avait été tellement remplie en émotion qu'un peu d'alcool, un peu de drogues et paf tous les nerfs relâchaient et ta tête tournait légèrement mais, tu étais tellement bien. Arrivé à moitié sur le joint tu le passais à Konrad. « Tiens. » Tu lui piquais toute la couette afin de pouvoir faire la crêpe « waouh » avant de venir en roulant sur Konrad à califourchon.
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A côté d'elle dans son lit sous les draps, je profitais de l'instant présent tout simplement. Elle s'était roulée un joint et nous avait servis deux verres de rhum, d'ailleurs autant elle que moi, les gorgées ont les sentaient passer, disons que c'est loin d'être un alcool doux et autant dire aussi que Grace à l'air plus entamer que moi, et le joint n'arrange rien du tout. La preuve la voilà qui maintenant vient foutre ses jambes n'importe comment sur moi, je ris et je râle en même temps et sa remarque laisse ce petite sourire aux lèvres durer Met toi à jour, le temps où les femmes avaient le dessus, c'est loin derrière. je riais reprenant moi aussi une gorgée de rhum, toujours avec une grimace discrète car je pouvais pas le nier, je le sentais passé même si je tiens très bien l'alcool. J'te force à rien hein. j'avais toujours ce petite sourire mais sa remarque était pas passé comme celle d'avant on va dire, enfin bref la voilà qui me passait le joint, je le prenais entre mes doigts et je le regardais alors qu'elle prenait toute la couette, s'enroulant dedans avant de venir sur moi et je fixais toujours le joint ne me préoccupant pas d'elle. J'en veux pas. c'était trop récent l'overdose, j'avais pas envie, enfin si je dis jamais non à un joint mais là je sais pas, pas envie quoi. Je la regarde posant le joint entre ses lèvres J'ai pas envie d'être défoncé pour une fois..

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Tu étais partie dans ton petit délire gamine. Quand tu étais défoncé tu retombais en enfance. Alors, que tu donnais le joint à Konrad, tu prenais la couette afin de t'enrouler dedans alors qu'il te disait que le temps où les femmes avaient le pouvoir c'était avant. Tu riais doucement. « Dans mon monde c'est toujours comme ça. » Puis te voilà a balancé une vieille remarque sur le fait que tu n'avais que des plans culs normalement et évidemment cette remarque passait pas très très bien. « Tu ne m'obliges à rien mais, pour une fois je n'ai pas envie de tout gâcher. » Tu lui lançais un petit sourire qu'il ne vit même pas. Même quand tu te mis sur lui il ne te regardait pas. Il fixait le joint qu'il te remit entre les lèvres finalement. Il n'avait pas envie d'être défoncé ce soir. Tu le comprenais après ce qu'il a vécu tu le comprenais et tu étais fière qu'il puisse se contrôler autant. Il avait un peu changé quand même, car le Konrad d'avant aurait pris cette putain de drogue et l'aurait fumé sans penser à rien. C'est donc avec un petit sourire aux lèvres que tu venais déposer un baiser sur sa joue avant de te remettre à ta place, de remettre la couverture sur vos deux corps. Tu tirais sur le joint à plusieurs reprises afin de le terminer le plus vite possible. Tu allumais la télévision afin de mettre un peu de musique de fond et zappé sur les clips du flex (référence de malade !KOACE ✱ L´amour c´est comme une cigarette. Ça brûle et ça monte à la tête. 1881463262). Tu terminais ton joint, le déposait dans le cendrier et fit un cul sec avec ton verre qui te fit horriblement tousser. « C'est fort bordel ! » Tu sautillais légèrement dans le lit en agitant les mains les yeux complètement plisser comme-ci que cela allait changer quelque chose. La douleur s'estompait peu à peu et toi tu arrêtais tes mimiques complètement inutiles pour venir te coucher dans ton lit. Tu regardais Konrad, avec un petit sourire aux lèvres.
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Elle commençait à être bien, le rhum et son joint l'aidait vraiment beaucoup. C'est pas la réalité alors. un petite rire et un sourire que je garde même avec sa remarque que j'ai moins bien avalé mais disons qu'elle passe quand même Gâchons rien alors.. Je la vois s'enrouler dans sa couette et venir sur moi après qu'elle met passer le joint, bizarrement je ne le glisse pas entre mes lèvres, je le fixe lui mais pas elle qui semble dans un délire de gamine commençant à être bourrée et défoncée puis finalement je n'en veux pas, l'overdose est encore trop récente alors je le glisse entre ses lèvres, je sais qu'elle comprend. Après un baiser sur ma joue, elle se remettait encore à sa place et je la voyais tirer des lattes, parfois des grosses, elle essayait de le finir le plus vite possible et ça me faisait sourire, on dirait que c'est un concours de rapidité là. Elle allume la télé pour avoir une musique de fond, une musique qui change à chaque fois qu'elle zappe les chaines, enfin bref ça reste de la musique et c'est déjà moins calme et là, j'éclate de rire lorsqu'elle finit son verre cul sec, c'est une tarée, elle tire une de ces têtes, une tête que je gardais ancrée dans ma mémoire c'est sur. C'est du rhum ! Normal. elle s'agitait, et une fois que ça allait mieux, elle s'allongeait du nouveau dans le lit J'ai envie de rentrer. pas dans ma chambre, non non.. retourner à Cambridge.

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Que ce soit le joint ou le rhum tu les avais sentit passer et tu les sentais encore. Maintenant que tu étais à peu près au calme. Que tu avais arrêté de t'approprier la couverture à toi toute seule, tu allumais la télévision afin de mettre un peu de musique. Restant couché dans le lit, tu venais déposer ta tête sur l'un des pectoraux de Konrad, te laissant légèrement submerger par la chaleur de son corps contrairement au tien mais, aussi par le trop plein d'alcool et de drogue qui pouvait circuler dans ton verre. Même si tu n'as jamais trop sut tenir l'alcool, la drogue ça passait plutôt bien mais, il y avait des moments où ton corps disait stop et avec un seul joint tu pouvais partir en euphorie totale. Enfin bref, Konrad disait qu'il avait envie de rentrer tu redressais alors doucement la tête le regardant. « Tu n'es pas bien ici avec moi ? » Sois tu n'avais pas saisi le sens de sa phrase, sois il y avait quelque chose qui n'allait pas. D'habitude Konrad était toujours heureux de passer des soirées avec toi surtout quand vous finissiez par coucher ensemble mais, là il avait envie de rentrer tu ne comprenais plus tellement ce qu'il se passait. Tu le fixais doucement avant de reprendre la parole. « Tu parlais bien de rentrer dans ta chambre d'hôtel non ? » Il est vrai que parfois tu pouvais tirer des conclusions un peu hâtive si ça se trouve Konrad avait juste envie de retrouver son appartement à Cambridge.
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Le joint finit en quelques minutes, le verre de rhum avalé d'une traite, je sais pas ce qui lui est passé par la tête mais la tête qu'elle tire est juste unique et j'en rigole et je la laisse dans ma mémoire. Elle ne tient pas bien l'alcool, les drogues ça passe mieux mais l'alcool, c'est pas la chose à faire et ça se voit, ses yeux pétillant, la façon dont elle me regarde, elle commence vraiment à être bien. Une fois ses agitations cessées, elle se remet dans sa position et sa tête se pose sur ma poitrine. Et je lui sors que je veux rentrer, pas partir de sa chambre pour la mienne, non juste retrouver mon chez moi. Elle relève légèrement la tête en me regardant, elle se pose des questions Je peux pas rêver mieux bébé. elle croyait que je voulais retourner dans ma chambre d'hôtel, elle avait faux, je souriais légèrement passant ma main sur sa joue Non.. non.. rentrer chez moi. je caressais sa joue en la regardant, m'éloigner d'elle, plus jamais.

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