Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityKOACE ✱ L´amour c´est comme une cigarette. Ça brûle et ça monte à la tête. - Page 2
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KOACE ✱ L´amour c´est comme une cigarette. Ça brûle et ça monte à la tête.

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Les clips du flex défilaient à la télévision mais, toi tu restais bloqué sur le visage de Konrad. T'étais peut-être pump it up mais, putain qu'il était beau. En vrai t'étais fier parce que tu aurais pu te taper un moche, geek, boutonneux du genre Alek (je rigole évidemment KOACE ✱ L´amour c´est comme une cigarette. Ça brûle et ça monte à la tête. - Page 2 1881463262). Mais non, tu te tapais Konrad. Le mec grand, bronzé, musclé, avec une gueule d'ange. Le mec dont toutes les filles rêvent qu'il leurs disent des mots d'amours mais c'est aussi un mec qui fait passer toutes les filles qu'il veut dans son lit. Certes, tu n'étais pas forcément mieux dans ton genre mais, tu te savais tellement amoureuse de lui que jamais cela ne te viendrait à la tête alors que pour Konrad la révélation de ses sentiments à était beaucoup plus compliqué et longue surtout. Tu ne sais pas pourquoi il n'a pas ouvert les yeux avant. Peut-être que tu ne lui plaisais pas. Ou peut-être qu'il te connaissait depuis bien trop longtemps et tu connaissais beaucoup trop de choses sur lui, notamment son déchirement la perte de sa soeur qui était l'une de tes premières et meilleure amie sur le campus. Enfin bref. Tu étais enfin là, la tête posait sur son torse, car c'était le tien. Il n'y avait plus de « t'es que ma pote Grace. ». Il ne t'appelait plus « chérie » ou « bébé » simplement pour te provoquer et c'était ça qui été bon. Tu souriais doucement lorsqu'il te dit qu'il ne pouvait pas rêver mieux que d'être avec toi. « Quand tu dis des choses comme ça, toi Konrad Sheffield je rêve de t'enregistrer puis de t'embrasser et de te faire l'amour jusqu'à l'aube. » Tu riais doucement alors que sa main passait sur ta joue. Il voulait rentrer mais à Cambridge. « C'est vrai que ma chambre partagée avec Gee et Elysia dans la mather house me manque un peu mais, notre chère Gwen s'est mise dans la tête de faire un élevage de husky donc en ce moment il y en a deux dans la chambre sauf qu'un husky ça ne reste pas bébé toute sa vie. » Tu riais de plus bel. Gwen était vraiment fêler mais c'était une amie en or. « Et puis, je n'ai pas envie de commencer cette année. Azela n'est plus là. Jeno non plus. » Tu soupirais doucement, baissant légèrement les yeux.
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L´amour c´est comme une cigarette. Ça brûle et ça monte à la tête.

On ne se préoccupaient même pas de la télé et des clips qui passaient, ça servait juste de musique de fond, non on discutaient et pas de n'importe quoi. On fondaient nos regard l'un dans l'autre, j'avais cette pensée dans la tête, partir mais contrairement à ce qu'elle pensait, c'était de retourner à Cambridge que je voulais, pas m'éloigner d'elle, et je le lui faisais comprendre et sa remarque comme réponse eu le don de me faire sourire Je sais, je sais. un petit clin d’œil avant un petit rire, je la rassurais en caressant sa joue et en lui disant que c'était chez moi que je voulais retourner, à Cambridge. Justement... je sais pas si tu seras ok avec ça mais... tu veux dormir tous les soirs chez moi ? en gros je lui demandais d’emménager avec moi mais j'avais tellement le chic pour dire les choses que c'était dit à ma sauce. Elle avait le seul car Jeno et Azela n'était plus là, je relevais sa tête du bout d'un doigt pour qu'elle me regarde Je suis là moi. Enfin... plus que pour cette année.. et oui une fois ma maitrise d'art en poche, c'est encore une nouvelle vie.

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Tu lui racontais un peu tous tes petits tracas mais, un truc venait de t'interpellais. Il venait de te proposer d'emménager avec lui ou tu rêvais ? Un léger sourire vint s'inscrire sur tes lèvres et tu venais posait ton avant bras sur son ventre, te mettant toi-même sur le ventre afin d'être plus à l'aise pour le regarder et l'écouter. « Tu.. tu me demandes de venir habiter chez toi, avec toi ou de simplement venir tous les soirs juste pour dormir et faire l'amour ? » C'est vrai que la question n'était pas très très clair et tu voulais en être sûre. Tu ne voulais pas te faire de faux espoirs mais, une chose et sûre c'est que n'importe la proposition qui se cache vraiment dessous tu accepterais après tout ce n'est pas précipité les choses si tu te mets à vivre avec lui. Cela fait deux ans que vous vous connaissez vous auriez très bien pu être simple colocataire. Tu lui avais aussi raconté pour Jeno et Azela. Konrad les connaissait plus ou moins surtout plus pour Jeno et il savait à quel point ces deux personnes comptaient pour toi. C'est donc avec un geste léger et doux qu'il relevait ton visage pour te dire qu'il était là mais, que c'était évidemment sa dernière année. Konrad étant âgée de quatre ans de plus que toi, il était évidemment rentrer à l'université avant et en ressortirais aussi avant. « Et voilà, vous m'abandonner tous. Je suis un bébé d'Harvard pour toi. » Tu riais doucement mais, au fond cela te faisait quelque chose de savoir que d'ici un an tu ne le croiserais plus dans les couloirs tous les jours. Peut-être même qu'il déciderait de partir on ne sait où. Tu ne voulais même pas y penser. « J'ai donc un an pour profiter de toi au maximum. » Tu souriais légèrement essayant de faire bonne figure.
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Plus de délires ou je ne sais quoi, franchement, on ne bougeaient presque plus, elle avait sa tête qui reposait sur mon torse, on étaient allongés dans son lit, on étaient bien. C'est vrai que j'ai envie de rentrer chez moi, celui de Cambridge, pas cette chambre que j'occupe durant le séjour ici et elle se faisait des idées mais jamais je m'éloignerais d'elle maintenant et en parlant de ça, je lui proposais d’emménager chez moi, enfin je lui avais demander à ma façon et là encore elle voulait plus de précisons. vivre avec moi, pas en tant que coloc mais en tant que copine, vivre avec moi parce que j'ai besoin de toi et tu connais mon appart mieux que quiconque à part Elysia. je souriais alors qu'elle faisait une sorte de mou eà cause de cette année qui allait commencé, Jeno et Azela n'était plus là, j'avais plus 'affinité avec Jeno, pour dire on étaient plutôt proche, comme Alexander, c'était un frère, un petit frère, je veillais sur lui quoi, enfin bref, je la réconfortais et la rassurais en relevant sa tête non t'es mon bébé, et je t'abandonne pas. je souriais embrassant ses lèvres T'as intérêt bébé..

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On était calme. C'était la première fois depuis le début du summer camp que tu te retrouvais au calme avec simplement une personne. Vous discutiez, vous ne vous engueuliez pas au contraire. Vous parliez de l'avenir de la rentrée mais, aussi de l'année prochaine. Du fait, qu'il ne sera plus là. Rien que d'y penser tu en avais des frissons et limite les larmes aux yeux. Malgré tout ce qui c'était passé Konrad c'était Konrad quoi. Le jour où ton frère va apprendre que tu sors avec lui, tu es bonne pour rester chez les bonnes soeurs. Tu l'entendais déjà dire qu'un St-James n'avait rien à foutre avec un gueux. Il n'était pas de ton rang, pas de ta qualité mais, pourtant c'était lui que tu aimais et les St-James auront juste à fermer leur gueule la-dessus. Bref, tu revenais à la réalité et te rendais compte que Konrad te proposer en effet de venir vivre chez lui en tant que copine. Tu riais doucement. « J'accepte mais, on fait chambre à pars jusqu'au mariage. » Tu riais de plus bel, c'était une petite taquinerie pour lui montrer que finalement leur relation n'était peut-être pas un truc comme ça mais de là à se marier c'était quand même pas possible. Le mariage pour toi ne signifiait pas grand chose, car rien ne tient chez les St-James que ce soit ta grand-mère ou ta mère elles sont toutes divorcés. Personnellement, tu n'avais pas envie de tenter le diable et encore moins avec Konrad (KOACE ✱ L´amour c´est comme une cigarette. Ça brûle et ça monte à la tête. - Page 2 1881463262). Il te disait ensuite que tu étais son bébé et qu'il ne comptait pas t'abandonner. Alors, qu'il te donnait un baiser que tu appuyais légèrement tu souriais. « Tu n'as pas intérêt à m'abandonner. Je te retrouverais de toute façon et à ce moment-là je te torturerais à coup de sac à main. » Tu riais doucement, avant de passer une de tes jambes entre celle de Konrad. « En attendant profitons. » Tu caressais doucement son torse et venait l'embrassait amoureusement.
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On parlaient du futur, et je voulais qu'elle vienne habiter avec moi à la rentrée, je sais que c'est pas mon style de poser ce genre de question et qu'elle à mal été formuler mais elle à accepter et ça peut me faire que sourire même avec sa taquinerie. Va te faire, ton cul va dans le même lit que le mien, et c'est non négo. je souriais alors que je la rassurais après sur l'année prochaine, j'étais là, je n'allais pas l'abandonner, c'est vrai que je pars à la fin de l'année prochaine mais on a une année, c'est énorme, on peut profiter T'auras pas à le faire, j'te rassures. sa jambe passait entre les miennes, ses doigts parcouraient mon torse et ses lèvres touchaient les miennes dans un baiser amoureux et profond, comme elle venait de le dire, profitons. mes mains venaient sur son fessier et j'amplifiais le baiser, lui monter que je l'aimais, que j'étais fou d'elle.

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Il l'avait bien prise la petite boutade mais, il ne manquait pas de te dire que c'était mort. Que tu allais dormir avec lui et que tu n'avais absolument rien à dire là-dessus. En gros c'était lui qui décidait et point barre. De toute façon tu ne te voyais pas dormir sur le canapé alors qu'il y avait un lit et des bras très chauds dans la pièce d'à côté. Même quand tu n'étais que son amie il t'arrivait de dormir dans ses bras sans qu'il ne se passe rien alors maintenant que vous êtes ensemble. Tu riais alors de plus bel et une nouvelle fois il te rassurait sur le fait que désormais plus rien ne vous séparerez. En tout cas, il ferait en sorte pour et toi aussi. Alors, que la télévision tournait toujours tu lui disais qu'il fallait arrêter de se poser un tas de questions et tout simplement de profiter. Profiter de la chance qu'ils avaient d'être ensemble et profiter de leur amour naissant. C'est donc pourquoi tu passais une de tes jambes entre celles de Konrad pour venir l'embrassais amoureusement alors que tes doigts venaient se loger dans le de son cou. Appuyant le baiser, il venait poser ses mains sur ton arrière-train alors que toi tu venais te mettre à califourchon sur lui afin de venir jouer avec douceur avec la langue du jeune dans laquelle la tienne s'entortillait et partait dans une danse infernale. Ses mains toujours sur tes fesses, tu venais posais ton bassin contre le sien afin d'être plus à l'aise.
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On avaient parlés et maintenant on allaient profiter de former un "nous". Oui cette fille je l'ai détester des millions de fois, j'ai aussi été attiré par elle des millions de fois mais maintenant je l'aime et plus que des millions de fois, je suis dingue d'elle, je m'en rend compte par ce baiser qu'on partage, si profond, si intense, on l'amplifient chacun notre tour, c'est juste magique. Mes mains sur ses fesses, ses doigts parcourant mon torse, je ne quittais plus ses lèvres, je ne pouvais plus et même lorsque son bassin venait se coller à moi, c'était toujours ce baiser qui durait, déjà plusieurs minutes et croyez mi c'est la première fois qu'on s'embrassent aussi profondément, amoureusement et aussi longtemps. Toujours en gardant mes lèvres aux siennes et que ma langue dansait avec la sienne passionnément je remontais mes mains, l'une venait dans sa nuque et l'autre sur sa hanche, je profitais de ma femme, de l'instant qu'on partageait, je profitais tellement qu'elle ne tardera surement pas à sentir une bosse, qu'elle a déjà senti tellement de fois, inutile d'en dire plus, j'ai les lèvres prises.

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Son corps t'appelait, il t'avait toujours appelé mais à présent il t'appelait pour partager un moment tendre et amoureux pas une partie de jambe en l'air qu'on aura oublié le lendemain matin. C'était comme-ci, il ne t'avait jamais touché. Tu voulais que cela soit comme votre première fois ensemble et pas comme une fois de plus. C'était le passé ça. Unissant alors ton corps aussi tu venais bougeait ton bassin avec sensualité, sans vulgarité. Quittant peu à peu ses lèvres, tu venais déposer les tiennes dans le creux de son cou puis sur son torse. Tu y allais toute en délicatesse et en sensualité. Tu avais envie de lui mais, tu voulais prendre ton temps. Tu voulais faire durer le moment, le faire languir un maximum. Pour le moment c'est toi qui avait le dessus c'est donc toi qui commandait vos ébats. Lui volant un petit baiser tu venais retirais ton débardeur que tu envoyais valser à l'autre bout de la pièce. Alors que tes lèvres se collèrent aux siennes, ta poitrine venait se mettre contre le torse du beau brun. Ton bassin ondulait toujours contre le sien tel un serpent. L'embrassant une dernière fois, tu venais vous retourner afin que désormais ce soit lui qui soit au-dessus.
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Je ne voulais pas coucher avec ou la baiser comme on l'avait fait avant, non cette fois je voulais lui faire l'amour, pas de sauvagerie, que de la tendresse, de la douceur, de la passion, de l'amour. On s'embrassaient depuis je ne sais combien de minutes mais j'avais l'impression que c'était un gout de renouveau, jamais ça n'avait durer aussi longtemps, c'était nouveau c'est sur vu qu'on étaient amoureux l'un de l'autre. Elle quittaient finalement mes lèvres pour glisser les siennes dans le cou pendant quelques instants, c'était juste trop bon, je me mordais la lèvre inférieure, elle me faisait trop d'effet puis elle les glissait ensuite sur mon torse, je profitais de cet instant, savourant chaque contact qu'elle déposait. Son débardeur volait dans la pièce, sa poitrine nue, elle aussi je la redécouvrais, si magnifique, elle revenait se coller à moi, faisant onduler son bassin pour m'exciter encore plus, encore quelques baisers et elle basculait sur le côté pour que je me retrouve sur elle, je souriais l'embrassant encore puis je venais à mon tour déposer des baisers dans sa nuque, quelques instants aussi, la faire languir, comme elle me fait, je voulais qu'elle savoure chaque contact, puis je venais embrasser ses seins, avec délicatesse, tendresse, douceur et sensualité, c'était les miens, je devais en prendre soin après tout. je descendais encore, mes lèvres glissaient jusqu'à son mini short, je déposais des baisers dessus, sur le fruit de son excitation, par-dessus le mini-short. mes mains venaient retirer ce bout de tissu et l'envoyer rejoindre le débardeur, en tenue d’Ève, elle était parfaite, bellissime, et je venais porter mes yeux sur elle avant de sourire et de les tourner vers ses lèvres inférieures que j'embrassais avec les miennes.

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