(flashback) bain de minuit [val]

Olivia avait toujours aimer jouer avec les nerfs des gens, pas seulement pour un plaisir sexuelle, juste par plaisir simple, elle aimait bien énerver, mais elle comprit que Valentin voulait plus et comme elle en avait envie aussi, elle décida d'arrêter son petit manège alors qui l'amena par la nuque à l'embrasser. Il passait ses mains sur son corps et lui provoquait une chaire de poule intense, sans oublier une sensation de désir au bas ventre. Oli passait ses mains sur la nuque du jeune homme, elle n'était pas bien placer pour toucher autre chose, elle finit par l'embrasser franchement, passionnément.  Elle passait sa langue doucement sur la sienne, elle resserra ses jambes sur ses hanches, colla sa poitrine sur son torse. Olivia n'avait pas envie de se séparer du jeune homme, ni même de ne prononcer un mot, ce n'était pas nécessaire, ils se désiraient tout les deux, elle lui faisait clairement sentir. Ses reins se cambraient tout seul, son corps ondulait dans l'eau sous l'effet du désir. Il y avait longtemps qu'elle n'avait pas eu se genre de sensation pour un homme. bien sur, elle avait couché avec certain, vraiment le désir qu'elle ressentait pour Valentin n'était pas ordinaire.

J'avais accéléré la cadence, ne sachant plus trop me retenir pour continuer à jouer. Je la voulais contre moi, l'embrasser et la toucher. Les femmes savaient mieux se contrôlaient que nous c'est bien connu, et là je suis à un stade où je ne peux plus resté très longtemps proche d'elle sans la toucher et provoquer encore plus nos désirs. Elle se laissa faire pour mon plus grand plaisir et partagea davantage nos baisers. Je sentais son corps remuer contre le miens, surtout au niveau de ses reins, chose qui me rendait encore un peu plus fou. Une chose était certaine, je n'allais pas résister encore bien longtemps, bien que c'était le genre de défi encore plus excitant. Bizarre, je sais. Mais autant l'un que l'autre, on voulait profiter de cette nuit, alors pourquoi se presser. La dernière fois que je l'avais fait dans l'eau, c'était dans un baignoire et c'était certainement plus pratique que notre position actuelle, mais j'avais l'impression que l'eau devenait de plus en plus chaude jusqu'à même oublier son existence tellement j'étais subjugué par ma partenaire, ses formes carrément délicieuses et sa peau si douce. Je finis d'ailleurs par m'aventurer dans son cou et lui déposer davantage de baisers, histoire de calmer aussi un peu le rythme effréné de nos langues. Je sentais que je n'allais pas tarder à me diriger vers le bord de la plage et la prendre à même les vagues qui finiraient par nous monter dessus.

Olivia aimait faire durer le plaisir, mais là, elle n'en pouvait plus, elle voulait Valentin, là maintenant. Son désir grandissait à mesure où elle faisait onduler son corps sr celui de son homme. Elle voulait l'avoir toute la nuit, l'embrasser, le toucher le sentir en elle. Elle l'embrassait, ne détachait pas ses lèvres des siennes, comme si elle y était attachée. Les baisers de Valentin dans son cou l'excitait d'avantage, elle poussa un peu petit gémissement, elle avait toujours été extrêmement sensible au niveau du cou. Ses baisers calmèrent un peu la cadence, mais pas la cadence du corps de la jolie blonde qui sentait le membre plein de désir de son partenaire contre elle et qu'elle ne pouvait résister à le caresser avec son propre corps. Olivia était complètement hypnotisée par Valentin, il pouvait bien l'amener où il voulait, la prendre dans l'eau ou sur la plage une ou plusieurs fois, elle le voulait, toute la nuit et sa se voyait dans se yeux pétillants et par les mouvements de son corps. Elle retrouva ses lèvres pour l'embrasser encore plus intensément, pour se rapprocher de lui, la poitrine lourde plaquer sur son corps. Oli avait les jambes bien serrée autour des hanches du jeune homme, elle ne pourrait pas être plus proche.

La tension et l'envie montait de plus en plus, autant chez moi que chez elle, je pouvais bien le sentir par rapport à sa façon de bouger sur moi. Je restais un instant dans son cou avant qu'elle ne rattrape mes lèvres pour s'embrasser de nouveau et elle se serrait davantage contre moi, pour bien me faire comprendre qu'elle non plus elle ne voulait pas attendre davantage. Comme une drogue dont on ne pouvait pas se passer, un manque insurmontable et impossible de faire demi-tour. Cette envie soudaine avec une totale inconnue m'intriguait carrément, mais je ne voulais qu'une seule chose pour ce soir. Elle. Et c'était bien parti. C'est pour ça que je ne me mis ni réfléchir, ni à penser davantage que je me démerdais enfin à rentrer en elle. Délicatement, doucement, mais sûrement. La première rentrée était toujours plus ou moins compliquée, mais une fois fait, je pus aisément lui donner quelques coups de rein, et m'agripper à sa chevelure blonde pour éviter de la faire trop sauter. Je n'avais pas su attendre de me déplacer jusqu'à la plage, mais d'ici quelques instants, j'allais bien vite me fatiguer, et le pratique allait remonter face au fantasme. Même si au final, les deux l'étaient tout autant.

Olivia avait besoin de se sentir désirer, elle aimait se sentir désirer et ça l'excitait toujours plus. Valentin lui faisait bien comprendre qu'elle l'était et ça l'amenait à le désirer, lui, encore plus qu'elle ne le voulait déjà. Son corps ondulait sur le siens, naturellement, mais aussi poussée par les vagues, ses cuisses frôlait le sexe de valentin, elle l'embrassait à pleine bouche, prête à être prise. Valentin finit par entrer en elle, doucement, mais surement. Elle poussa un petit gémissement de soulagement et elle continua à onduler sur lui. Leur position n'était guère idéale, mais Olivia s'en fichait pas mal, tout ce qu'elle voulait c'était qu'il soit en elle, qu'il lui fasse ressentir sa présence et il s'exécuta avec un bon coup de rien qui la surprit, mais qui la fit sourire. Elle garda sas jambes bien serrée autour du jeune homme pour être le plus près de lui, elle l'embrassa doucement dans le cou alors que les vagues remontaient doucement sur elle.

J'avais l'impression qu'à nous, nous réchauffions l'eau tellement nos corps étaient bouillants de désir l'un contre de l'autre, tellement que je ne sentais plus la fraicheur de l'eau. Je ne sentais que son corps, que ses formes sur les miennes pour nous donner encore plus de plaisir. J'avais du mal à me stopper, à me calmer. Ça me changeait tellement, c'était tellement différent. Mais aucunement déplaisant, au contraire, et ça aurait pu me faire peur dans d'autres circonstances, mais là, je voulais juste prendre mon pied et faire jouir cette belle demoiselle que je venais à peine de rencontrer. Dès que j'eus une petite crampe qui me forçait à me calmer, je me mis à marcher au bord de l'eau et la posait délicatement sur le sable mouillé où les vagues venaient encore s'échouer. Je l'embrassais de nouveau sur la bouche avant de descendre sur sa jolie petite poitrine puis de recommencer à bouger en elle. De façon douce mais sèche pour ensuite passer de plus en plus rapidement. Je m'en foutais complètement que les vagues venaient sur nous, on était assez loin pour lui éviter la tasse c'était déjà pas mal, et j'en avais rien à foutre que quelqu'un passe par là, parce que j'avais trop envie d'elle pour m'arrêter en si bon chemin.

Olivia ne ressentait plus l'eau sur son corps, out ce qu'elle ressentait c'était valentin en elle et c'était bien tout ce qui la préoccupait. Ressentir un corps chaud en elle, vibrant, ça lui avait manqué. Elle ne voulait toutefois pas que le tout se termine trop rapidement, elle voulait faire durer le plaisir, elle voulait le ressentir le plus longtemps possible. Le jeune homme. Oli s'agrippa à Val qui se mit à marcher, mais ne cessa toujours pas son mouvement, elle se fichait qu'elle soit en train de bouger, elle n'allait pas cesser. Il la déposa gentiment et commença à l'embrasser pour aller vers sa poitrine, elle poussa de petits gémissements, elle se sentait bien, désirer, le plaisir montait et elle aimait ça. Elle se fichait d'être sur une plage ou des gen pouvaient passer, elle se concentrait sur Valentin. Elle garda ses jambes bien serrées autour de lui, cambrait les reins pour pouvoir continuer son mouvement de va et viens.

C'était carrément jouissif de faire ça au gré des vagues et avec une autre femme, tout aussi attirante que mon ex. Je ne pensais plus à rien, il n'y avait que le moment présent qui comptait et je me voyais mal arrêté en si bon chemin. Il n'y aurait que les flics qui auraient ce pouvoir. Et c'était ça qui était davantage excitant. Ça faisait longtemps que je n'avais pas défié la loi, que je n'avais pas fait de choses aussi excitante, et l'effet de l'eau sur moi est toujours belle et bien présente. Moi qui croyait que c'était seulement avec Sateen. Il y a des tas de belles femmes sur cette terre et particulièrement à Harvard. Je n'ai pas de raison de me priver pour le coup. Je continuais donc mon avancé vers la libération et l'orgasme pour elle et je sentais que ça allait bientôt se finir. Déjà oui. Mais j'avais du mal à me retenir avec tout ça. Toute cette nouveauté que je n'avais pas connu depuis toutes ces années. Je calmais alors un peu la cadence, en profitant pour embrasser de nouveau la belle, tout en finissant par lui offrir un sourire tendre et bouger lentement en elle pour reprendre de plus belle.

Il n'y avait rien dans la tête d'olivia, tout ce passait dans son bas ventre et elle se sentait plus que bien. Tout ce qu'elle voulait c'était ressentir Valentin en elle et il lui offrait plus que ce qu'elle avait ne serait-ce espéré. Elle ressentait son plaisir grandissant et ça l'excitait, elle voulait le faire monter au sommet de son plaisir et elle se cambrait et ondulait pour augmenter son plaisir à lui et aussi le siens. Elle sentait qu'il allait bientôt finir par exploser et lorsqu'il ralentit pour finalement recommencer plus rapidement et l'embrasser il arracha un cri à la jeune femme qui se sera encore plus fort sur lui. Il lui faisait vivre le plus de plaisir qu'elle avait eu en un sacré bout de temps elle s'approcha de son oreille pour murmurer doucement. « continue... » La jeune femme était aux anges et s'il voulait bien continuer comme ça, elle pourrait bien l'amener là où elle était aussi.

Elle me murmura au creux de mon oreille de continuer et c'était bien ce que je comptais faire. J'accélérais de plus en plus la cadence et heureusement que l'eau venait s'échouer sur nous parce que je commençais à avoir un peu trop chaud et l'eau était bénigne dans ces moments-là. Le sable et l'eau nous enfonçaient petit à petit et je décidais de faire relever la demoiselle et de la faire s'asseoir sur moi pour continuer nos ébats. Mais bientôt ce serait à mon tour de trop m'enfoncer. Mais pas sûr que je tienne longtemps surtout dans cette position, parce que même si je suis le roi des machos, c'est toujours bien plus excitant quand la demoiselle se retrouve au dessus. Je ne m'étais pas senti aussi chaud depuis longtemps, à croire que j'avais vraiment eu besoin de changement. Bien que je penserais toujours à mon ex et que je ne pourrais pas m'afficher au bras d'une autre fille en sa présence.