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Juliana&Ulysse - L'instinct animal

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L'instinct animal

C'est la chaudière qui reproche à la marmite d'avoir le cul noir... Sérieusement, c’est du foutage de gueule à l’état pure. Y’a pas d’autres mots, pas d’autres expressions pour expliquer ce renversement de situation. Depuis quand c’est aux femmes de se la jouer dominateur et d’avoir le dernier mot ? Je déteste toutes ces Angelina Jolie, ces Nabilla, fruit pourri tout droit sortie de la télé, ils n’ont pas galéré dans leurs vies, ils ont fait les con, dit de la merde, et bim ont leurs a passer une eurocard MasterCard gold, je déteste ces femmes qui se croient tout permis, qui avec trois poils au cul se prennent pour des ours, c’est de la grosse connerie. A la base, j’suis Italien, donc vous comprenez un peu mon côté macho, ensuite, j’suis un putain de mafieux, et pour finir, je déteste toutes ces petites gamines pourris gâtés, mais étrangement, j’ai aimé tremper mon biscuit dans Juliana, j’ai aimé sa façon d’être, et contrairement à toutes ces autres petites gamines friqué jusqu’au trou du cul, elle avait quelques choses de plus que je devais découvrir. « Détrompe-toi. Je suis cette petite fille pourrie gâtée qui balance des verres d'eaux et gifle quand elle a pas ce qu'elle veut. Crois pas que j'suis genre, la meuf qui comble sa solitude avec son compte en banque. J'suis très bien comme je suis. Toi par contre, j'paris que t'es quelqu'un de très doux en fait. » J’étais en train de bouffer tout ce que je pouvais trouver dans la corbeille de fruit, jusqu’au moment où j’entendis la fin de sa phrase, putain la conne, elle me fait m’étouffer avec une olive, j’ai l’air d’un abruti qui tape sur la table pour la recracher, c’est la galère, j’suis en train de crever j’crois, j’deviens aussi rouge qu’un tomate, aussi rouge que la Reine de cœur, j’galère, et j’arrive à la recracher par terre après quelques secondes… « Putain mais qu’elle merde ! Ne redis plus jamais des conneries comme ça okay, j’ai bien failli crever ! J’suis pas doux, désolé de te l’apprendre, j’suis aussi piquant qu’un oursin, mais même si tu dis être la petite fille pourrie gâté, j’suis sûr que y’a possibilité de faire quelque chose avec toi, mais va falloir te secouer… » J’savais très bien que j’allais devoir être méchant avec elle à un moment où un autre, que j’allais devoir la pousser à bout pour savoir vraiment qui elle était, de quoi elle était capable… •


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J'étais sûre de moi, hautaine même, et je lui montrais que j'étais vraiment celle qu'il décrivait, et pas plus. Je ne comprenais pas pourquoi tous ces gens voulaient absolument découvrir le fond des gens. Je veux dire, on ne peut plus être superficiel? Pas tout le monde a un caractère profond, sûrement pas moi. Oui, je suis pas une fille profonde moi. Bon, je ne suis pas totalement stupide comme Nabilla -ya pas pire qu'elle de toute façon- mais je reste très superficielle. Je montre ce que je veux montrer et c'est tout, il n'y a vraiment pas à chercher plus loin. À peine avais-je prononcé mes mots que j'entendais Ulysse tousser. Je tournais ma tête vers lui quand je l'entendis frapper la table, aussi fort qu'un hippopotame qui se déplacerait. Bref, il faisait presque trembler le bar. Je le vis devenir aussi rouge qu'un homard bien cuit et au lieu de l'aider, je pinçais mes lèvres pour ne pas éclater de rire. Ce serait tellement stupide de mourir étouffé par une olive! Ça, c'était le genre de truc auquel je n'aurais jamais imaginé. Enfin, personnellement, j'aimerais quand même mieux mourir de mon vivant. Finalement, il arriva à recracher la cause de sa presque mort, à terre. Et là, je ne tins plus. Je lâchais un petit ricanement avant de souffler, tordant ma bouche pour éviter de me moquer encore plus de lui. Si ça se trouve, il aurait vraiment pu y passer et moi, je me serais faite enfermée pour non assistance en personne en danger. Quelle merde quand même. « Putain mais qu’elle merde ! Ne redis plus jamais des conneries comme ça okay, j’ai bien failli crever ! J’suis pas doux, désolé de te l’apprendre, j’suis aussi piquant qu’un oursin, mais même si tu dis être la petite fille pourrie gâté, j’suis sûr que y’a possibilité de faire quelque chose avec toi, mais va falloir te secouer… » Je levais les yeux au ciel. « Crois ce que tu veux alors, mais je persiste à dire que t'es un mec sensible au fond. Suffi de voir comment tu t'es comporté avec le chien. » Et retour à l'envoyeur!
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Sacrebleu, j’suis limite en train de crever et la seule chose qu’elle trouve à faire, c’est se foutre de ma gueule, j’entends ces ricanements pendant que moi je m’étouffe, mais bordel, en plus d’être une petite fille à papa pourrie gâtée c’est un monstre qui te laisse crever. Putain, j’crois que j’ai trouvé mon double au féminin ahah, sauf que va falloir que je lui fasse du mal, j’ai pas le choix, c’est plus fort que moi, j’veux la détruire de l’intérieur, la balancer dans une bétonnière, qu’elle soit en miette et qu’elle se reconstruise pour devenir quelqu’un de bien, et pas cette petite gamine au gros boobs qui se la joue princesse Raiponce. C’est limite si j’me suis pas débagoulé dessus à cause de cette putain d’olive, qui est le connard qui a inventé les olives sérieusement ? Non mais nom d’une pipe, imaginez un instant que ma vie aurait dû s’arrêter maintenant, qu’aujourd’hui, je serais devenue un homme mort, j’aurais bien été dégouté ! De toute façon, aujourd’hui, c’est pas ma journée, j’me prends un verre d’eau dans la gueule, ensuite une gifle, et maintenant je m’étouffe, j’aurais dû m’en douter de toute manière, on m’a toujours dit jamais deux sans trois, espérons que maintenant tout rentre dans l’ordre et qu’il ne m’arrive plus de couille ! J’me baisse pour ramasser l’olive que je viens de cracher et je commence à l’analyser dans tous les sens, j’regarde mes traces de dents, la gueule du noyau, j’commence à la mesurer, à essayer de comprendre pourquoi je me suis etouffé avec, je la met devant ma bouche, je la repose sur la table, j’me prend pour un gars des experts Miami, vous savez, les gars qui arrivent sur une scène de crime à trois heures du matin avec des lunettes de soleil… « Crois ce que tu veux alors, mais je persiste à dire que t'es un mec sensible au fond. Suffi de voir comment tu t'es comporté avec le chien. » Elle essaye de retourner la situation contre moi, sauf que ça marchera pas, j’suis bien plus intelligent que ça. Alors, prenant un accent Slave, je répondis. « Tou te tlompe je te li dis… Jy kiffé el chien cal y peu beaucu rapolté poul comba chien ! » J’arrête mes conneries et je reprends ma voix d’origine. « Mais le sujet n’est pas là, on est pas ici pour parler de moi, mais pour essayer de comprendre ce qui va pas chez toi ! » Et bim, on retourne jamais la situation à son avantage avec moi… •

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J'aurais vraiment pu l'aider en fait, en tapotant son dos ou quoi. Mais au lieu de ça, je me marrais, me faisant passer pour aussi sans coeur et sournoise que la Reine de Coeur. À force de s'étouffer, il était passé du rouge écrevisse à bleu comme le Grand Schtroumpf. Et moi, je continuais à l'observer. Vraiment sans coeur, j'vous le dis moi. Le pauvre, il ne lui arrivait que des couilles aujourd'hui. Le verre d'eau, la gifle et maintenant, une olive. Fallait sans douter, jamais deux sans trois comme on le dit si bien. Et voilà que maintenant, il se la joue Horatio Caine des Experts Miami à examiner l'arme du crime! Enfin, il ressemble plus à Eric qu'Horatio. Mais là n'est pas la question. Il avait de la chance de s'en être sorti de ce petit accident. Dans tous les cas, ce n'était qu'un petit truc, pas comme celui de St Jacques de Compostelle. Mais bref. Je lui avais ensuite dit qu'il n'était pas ce qu'il prétendait être et son comportement avec le toutou me l'avait prouvé. Lui aussi avait un coeur, et il n'était pas seulement un cancer ou je-ne-sais-quoi-d'autre comme il voulait le faire croire. Soudain, il prit un accent slave qui me fit froncer les sourcils. « Tou te tlompe je te li dis… Jy kiffé el chien cal y peu beaucu rapolté poul comba chien ! » Et je levais les yeux devant tant d'idiotie. Il aurait pu au moins se la jouer Captain Jack Sparrow, ça lui irait mieux. « Mais le sujet n’est pas là, on est pas ici pour parler de moi, mais pour essayer de comprendre ce qui va pas chez toi ! » Franchement, il devenait vraiment lourd là. Je claquais ma langue contre mon palais, lui montrant bien que tout ce charabia m'énervait et ne mènerait strictement à rien. « T'es lourd! Je suis tout à fait normal bordel! C'est quoi ton problème? Je t'intéresse tant que ça?! Désolé mais c'est pas réciproque. » Non mais il croyait quoi? Qu'après une nuit, j'allais tout lui dévoiler de ma personne et qu'on allait vivre une histoire d'amour à la Twilight? Bon sang, il ne faut pas confondre secouer les nouilles et se nouer les couilles!
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• Un cancer, un ulcère, un boulet, pire que l’ombre qui te suis, encore plus grand que l’égo de Nabilla, plus venimeux qu’une vipère, je suis ton pire cauchemars, le gars que t’espère ne pas croiser, pire qu’un céréale Killer en manque de sang, j’avais décidé de lui faire vivre un enfer, de lui faire savoir que la vie n’était pas aussi rose que dans un Disney, je déteste ce genre de fille, ces petites filles à papa gâté jusqu’au fond du trou du cul et qui pense pouvoir avoir ce qu’elle désire en claquant seulement des doigts, j’veux lui faire découvrir le vrai monde, qu’elle accepte la réalité, qu’elle se rende compte que vivre comme ça, ça ne la mènera à rien, que rester superficielle l’empêchera d’avancer réellement. Y’a pas de prince charmant qui va venir la chercher sur son fidèle destrier pour l’emmener je sais pas où, elle verra plutôt un espèce de petit merdeux dans sa Lamborghini qui lui dira de monter en l’échange d’une pipe. « T'es lourd! Je suis tout à fait normal bordel! C'est quoi ton problème? Je t'intéresse tant que ça?! Désolé mais c'est pas réciproque. » Madame commence à s’énerver, et bien, il était temps, c’est qu’elle arrive tout de même à garder un minimum le contrôler d’elle ! A défaut de m’étrangler avec des olives, cette fois ci j’me met à jongler avec tout en posant mes pieds sur la chaise en face de moi. « Blablabla, t’as pas l’air d’avoir compris le but de ton cancer en fait… S’il reste là, c’est pour de un, connaitre tous les recoins de ton corps, et de deux, pour te montrer comment la vie marche vraiment, que faire la petite fille pourri jusqu’à la moelle ne sert à rien, le cancer, il va te faire réaliser des choses dont tu te doutais même pas, mais avant faudrait que t’acceptes le fait que t’en ai un… » Plus cinglé que moi, tu crèves… •

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Je ne comprenais pas comment je pouvais l'intéresser. Enfin, je veux dire, je suis genre, mille fois plus canon qu'Angelina Jolie et 100% naturelle contrairement à Nabilla. D'ailleurs, je remerciais mère nature pour cette bénédiction divine. Je peux parfaitement comprendre que mon physique pouvait attirer les mâles, mais Ulysse semblait vouloir autre chose et je ne savais pas quoi. Oui, il m'avait fait comprendre qu'il voulait me connaître réellement, mais je ne savais vraiment pas pourquoi il s'est mis cette idée en tête. Il ne pouvait pas simplement me laisser vivre en paix?! Si jamais su que ça se passerait ainsi, j'aurais mieux fait de ne pas avoir fini ma nuit avec lui. Si seulement je pouvais retourner dans le passer, rembobiner cette partie du film de ma vie grâce à une télécommande. Mais c'était impossible. Je soupirais alors. Et voilà qu'il se mettait à jongler. Il se croyait à un carnaval ou quoi? Manquait plus que des ballons et un âne genre Bourriquet et le tour était joué. « Blablabla, t’as pas l’air d’avoir compris le but de ton cancer en fait… S’il reste là, c’est pour de un, connaitre tous les recoins de ton corps, et de deux, pour te montrer comment la vie marche vraiment, que faire la petite fille pourri jusqu’à la moelle ne sert à rien, le cancer, il va te faire réaliser des choses dont tu te doutais même pas, mais avant faudrait que t’acceptes le fait que t’en ai un… » Je soupirais, complètement exaspéré par ses conneries. Et puis pourquoi est-ce que j'accepterais d'avoir un cancer? Je n'en avais pas un déjà. Enfin, le seul que je pourrais encore avoir, ce serait un ulcère pour consommation trop importante d'alcool mais bon, j'étais encore bien jeune. « Écoutes-moi bien Ulysse. Je n'ais et n'aurais jamais de cancer donc n'attends pas de moi d'accepter un truc que je n'aurais pas, ou même de changer pour tes beaux yeux! Continue à me suivre comme mon ombre, tout ce que tu récolteras, sera une injonction d'éloignement de ma part. Et j'en suis capable! Même si tu ne m'auras absolument rien fait, j'arriverais à créer des magouilles, tu m'as bien comprise?! » J'étais restée calme en disant ça. Je savais que j'étais capable de mettre mes menaces à exécution mais en aurais-je vraiment le courage? Ça, je n'en savais rien parce que, peut-être qu'au fond, j'appréciais quand même sa présence et que toute cette attention renforçait mon égo.
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• J’me demande parfois comment j’en suis arrivé là, comment ma vie a pu autant dérivée. A la base, je viens d’Italie, j’ai dû quitté ce pays je ne sais plus pour qu’elle raison, surement des conneries de mon père, il voulait agrandir son pouvoir, ou une merde du genre. J’me souviens de ma mère, cette junky qui enchainer cartouche de cigarettes sur cartouche, qui rêvait d’un big bang prochain, laissant mon père la commander avec une télécommande comme un vrai sims. Je l’entends encore jacasser dans la cuisine à propos de je ne sais plus qu’elle merde, et puis, la dernière image que j’ai d’elle est celle d’un corps inerte, allongé sur le sol, recouverte de bave blanche qu’on aurait pu confondre avec de la bave d’escargot qu’aucun morceau de papier cul aurait pu nettoyer. A quoi ça sert d’avoir un coffre rempli de saphir, un garage avec plusieurs voiture de luxe tel une Lamborghini, une piscine creusé, une immense villa pour soit, alors qu’au fond, on est qu’un simple pion sur cette terre, obligé d’endurer les calomnies des hommes d’affaires lorsqu’ils parlent de ton père qui finit ces jours en prison. Ma seule envie est de débagouler sur tout le monde, d’écraser vos gueules dans des radiateurs à températures ambiantes, de vous voir souffrir lorsque je mettrais chaque morceau de votre corps dans une bétonnière. Bien sûr qu’au fond de moi je souffre, bien sûr que tous les matins j’ai l’impression de marcher sur des oursins, mais ma vie n’est pas un foutu Disney, alors j’ai dû m’y habituer, j’ai dû accepter ce destin de mafieux qui était mien, enfiler ce costume d’enculé de service, à ne jamais être couard devant l’ennemi, à me montrer fort pour réduire à néant tous ceux qui chercherait à se mettre en travers de mon chemin. Qui pisse contre le vent se rince les dents, et, en ce moment, j’étais en train de me les rincer puissance quinze. J’avais dans ma ligne de mire cette petite blonde prénommé Juliana, loin d’être cloche, elle avait su attirer mon attention, et me donner l’envie de connaitre réellement qui elle était, sauf qu’elle n’était pas vraiment du même avis que moi… « Écoutes-moi bien Ulysse. Je n'ais et n'aurais jamais de cancer donc n'attends pas de moi d'accepter un truc que je n'aurais pas, ou même de changer pour tes beaux yeux! Continue à me suivre comme mon ombre, tout ce que tu récolteras, sera une injonction d'éloignement de ma part. Et j'en suis capable! Même si tu ne m'auras absolument rien fait, j'arriverais à créer des magouilles, tu m'as bien comprise?! » J’peux pas m’empêcher de sourire à sa réponse, elle pense vraiment qu’elle va arriver à m’éloigner, à me rayer de sa vie aussi facilement que ça ? C’est mal me connaitre. Je suis pire qu’un serpent venimeux, je mors et je ne te lâche plus, à petit feu je te fait périr pour mieux te faire remonter. Je te noie comme une crevette rose pour mieux te repêcher. J’arrête de jongler en laissant tomber les olives à terre, pour porter mon attention sur elle. « Sérieusement, tu crois qu’une injonction m’empêcherait de venir te pourrir la vie ? Je pourrais la faire sauter en un claquement de doigt, ce que tu ne sais pas, c’est que t’as un adversaire beaucoup plus fort que toi en face de toi, et je finirais par te connaitre vraiment, que tu le veuilles ou non… » Une pourriture, une sangsue, un vrai fromage qui pue, je suis pire que tout ça, je reste, je m’accroche, et me faire partir est presque impossible… •

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Je savais très bien que c'était extrême comme recours, et que j'exagérais peut-être un tout petit peu, mais ce ne sont que des menaces. Parce qu'il m'énervait à croire qu'il pourrait me changer du jour au lendemain. Je m'étais toujours assumée et si un jour, je changeais vraiment, ce serait pour moi et certainement pas pour lui, et encore moins à cause de lui. Je savais très bien que je n'étais pas la fille la plus agréable au monde, que ma langue acérée en énervait plus qu'un, que mes bondieuseries était sujet à des moqueries. Et surtout, mon caractère hautain donnait envie de débagouler par moment. J'étais totalement consciente que certains voudraient même me voir périr dans une bétonnière, genre finir comme dans jeu d'enfants, pourquoi pas. Nonobstant tous mes défauts, certains m'appréciaient quand même. Ben oui, j'ai des amis, vous croyez quoi? Même la pire personne au monde en a. D'ailleurs, j'étais certaine qu'Ulysse devait aussi en avoir. Bon, sûrement pas des masses, il devait quand même pouvoir les compter sur les doigts de ses mains. Il souriait toujours et à n'importe quel de mes réponses. Ça avait vraiment le don de me rendre cinglée. Je terminais mon verre d'une gorgée tandis qu'il finissait enfin son comportement simiesque. Je jetais ensuite un coup d'oeil sur la carte. J'avais bien envie d'une petite glace ou quelque chose dans le genre. C'est qu'il fait d'une chaleur quand même. Et c'est là que je le vis. Ce petit bâtonnet de mon enfance. Je le commandais alors, les yeux brillants, ne faisant même plus attention à Ulysse. Et je mis en bouche mon Mr. Freeze, le suçant allègrement. Mais rapidement, sa voix me ramena à la réalité. « Sérieusement, tu crois qu’une injonction m’empêcherait de venir te pourrir la vie ? Je pourrais la faire sauter en un claquement de doigt, ce que tu ne sais pas, c’est que t’as un adversaire beaucoup plus fort que toi en face de toi, et je finirais par te connaitre vraiment, que tu le veuilles ou non… » Sa réponse m'étonna grandement. Était-il vraiment aussi puissant qu'il le dit? Je le regardais alors, suspicieuse. En réalité, je n'étais même pas certaine de prendre le risque de mettre ma menace à exécution. Et après ça... « Qui es-tu? Pourquoi est-ce que je te laisserais me connaître alors que moi-même, je ne te connais pas? Je suis une Rockefeller je te signale, je fais partie d'une des familles les plus puissantes des États-Unis et toi, tu dis que tu l'es encore plus que moi? Pourquoi devrais-je te croire? » Alors là, il avait piqué ma curiosité. Comment osait-il dire qu'il nous surpassait? Les Rockefeller avaient une renommée mondiale et les traders de tous les coins du monde se réjouissaient de pouvoir travailler avec nous. Comme si nous avions échappé à la crise économique en l'espace d'un nycthémère (ou presque). Suffi de voir la Lamborghini de mon père et notre yacht de la taille du Titanic
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• Petit à petit, j’me taille une réputation, non pas à coup de meurtre ou je sais qu’elle connerie mais plutôt à coup de pioche dans la gueule. J’suis le genre de gars qui ne déconne pas, qui n’est pas là pour rigoler et se fendre la gueule comme une cloche devant un vieux Disney. J’aime pas grand-chose non plus, je ne m’extasie pas devant un carnaval, j’en ai rien foutre de tous ces films sur les superhéros comme Superman ou Batman, j’ai d’autres choses à faire, beaucoup trop de chose en tête qui passent bien avant tout ça. Comme si ce n’était pas assez, j’ai la constante impression d’avoir un scalpel qui s’amuse à me taillader de haut en bas, pour ne pas me faire oublier le passé, ne pas me faire oublier cette image de ma défunte mère gisant sur le sol, cette image de mes anniversaires raté, où mon père compensait son absence par une multitude de ballons, de cadeau plus gros d’années en années, comme si son but était de me faire gouter au luxe, de m’empêcher de devenir quelqu’un de normal, de passe partout, aimant la cuniculiculture ou passer ces après-midi à jouer à la console, aller faire ces courses les mardi soir ou je ne sais qu’elle connerie du genre. Non, j’avais droit à une encyclopédie pour grandir ma culture générale et le suivre de temps en temps dans son travail, j’peux vous assurez que depuis mon plus jeune âge, la violence a pris le pouvoir sur moi, et que jamais elle ne disparaitra. Embrouillamini est mon quotidien, la luxure est mon plaisir. J’ai souvent hésité à tout envoyer chier, à ne pas suivre les traces de mon père, ne plus suivre tous ces sbires à la carrure escogriffe, loin d’être foutriquet, ne plus donner d’ordre à tous ces sims, j’ai souvent plongé dans un spleen baudelairien, mais à chaque fois, j’ai remonté la pente, à chaque fois j’ai trouvé quelque chose me motivant, et malgré tout ça, malgré tout ce que le mal, toutes ces calomnies apporté à ma famille, j’ai fait mon choix, j’ai décidé de reprendre cette empire qui me revient et d’être à la tête de cette mafia une fois mes études terminée, et ça, même si je me retrouve souvent Espanté par toutes ces merdes. L’honneur de ma famille est en jeu, et la fierté de mon père est beaucoup plus importante qu’autre chose. C’est pour ça que les menaces de la belle blonde ne me faisait ni chaud ni froid, mais plutôt rire. « Qui es-tu? Pourquoi est-ce que je te laisserais me connaître alors que moi-même, je ne te connais pas? Je suis une Rockefeller je te signale, je fais partie d'une des familles les plus puissantes des États-Unis et toi, tu dis que tu l'es encore plus que moi? Pourquoi devrais-je te croire? » J’avais attiré sa curiosité, tel est pris qui croyais prendre, n’est-ce pas ? Elle me sort son nom, pensant peut-être me déstabilisé, mais, j’ai l’habitude de faire face à ce genre de situation, de me retrouver avec des personnes assez influentes, et malgré le fait que son père soit une personne mondialement importante, je n’avais pas du tout peur de ces menaces. « Je ne t’ai jamais interdit d’apprendre à me connaitre… Mais, le fait que tu sois une Rockefeller ne change rien pour moi, car que tu le veuilles ou non, j’ai des moyens de pressions qui pourrait faire flancher n’importe qu’elle famille, j’ai les moyens de contrôler tout ce que je désire… Alors met tes menaces à exécutions, mais ta famille passerait pour des rigolos… » J’attaquais les points faibles, parler de la famille, rabaisser sa famille, et ça, une personne normalement constitué détestait ça… Et puis, j’me voyais mal lui balancer que j’étais de la mafia hein… •

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Je savais que j'ai un égo démesuré, mais mon nom n'aidait pas non plus. Être une Rockefeller apportait énormément d'avantages, notamment le fait d'être invitée partout, surtout à mon âge. J'avais accès VIP à toutes les boîtes de nuit malgré que je sois encore mineure. Bon, normalement, je ne pouvais pas accéder au carré majeur mais personne ne me disait non, surtout avec ma Mastercard Platinum ou Gold, qu'importe. Et ce n'était pas tout non plus. J'avais mon nom sur la liste de tous les galas, de tous les événements du haut gratin, l'élite de l'élite, toujours escortée par des escogriffes en tenue de pingouin. C'était mon monde ça et je ne le changerais pour rien au monde. Plusieurs générations de riche, j'étais bien plus importante que ces nouveaux CEO qui pouvaient s'offrir une villa aux Hamptons seulement maintenant. Parce que l'ancienneté comptait aussi et je ne voulais sûrement pas qu'on m'associe avec ces foutriquets de nouveaux riches qui n'avaient, en réalité, aucune étiquette. Non mais franchement, trois poils au cul et ça se prend pour un ours. Mais dans tout cet embrouillamini, nous restions polis, totalement hypocrite. Le monde n'était fait qu'hypocrite, il fallait ouvrir ses yeux. Et moi, je le savais pertinemment; je ne me cachais donc pas. Je montrais mon hypocrisie à tous ceux qui voulaient le voir et ça ne plaisait pas. Faux-semblant, encore et encore. Et mon comportement espantait tout ceux qui croisaient ma route. Parce que moi, je n'étais pas fausse. Du moins, c'était l'estime que j'avais de ma personne. Et pour moi, c'était la perfection, à la fois aussi sainte que la vierge mais avec ce côté aussi venimeux qu'une vipère. « Je ne t’ai jamais interdit d’apprendre à me connaitre… Mais, le fait que tu sois une Rockefeller ne change rien pour moi, car que tu le veuilles ou non, j’ai des moyens de pressions qui pourrait faire flancher n’importe qu’elle famille, j’ai les moyens de contrôler tout ce que je désire… Alors met tes menaces à exécutions, mais ta famille passerait pour des rigolos… » Ses mots me transpercèrent comme une pioche transperce la terre. Il menaçait ma famille et ça, c'était bien la seule chose que je ferais tout pour ne pas perdre. Je ne prenais jamais aucun risque pour eux. Des scandales, je préférais encore en causer moi-même et qu'à moi. Je ne voulais pas que mes parents se retrouvent dans la ligne de mire de ces tabloïdes; ces déchets que même les camions poubelles ne pourraient s'en défaire; ces pages qui prenaient la place de papier cul quand on allait chier un cake; une immondice de conneries, aussi gros que des encyclopédies. Il me disait que je pouvais apprendre à la connaître, sauf que ce qu'il me dit me fait frissonner. Réellement. En fait, il était peut-être réellement dangereux, peut-être pire qu'un prisonnier de Prison Break. « En fait, t'es de la mafia, c'est ça? » J'avais sorti cette phrase comme ça, un sourire moqueur aux lèvres, je n'y croyais pas du tout. Après ce qu'il m'a dit, c'était sans doute la seule chose qui me vint à l'esprit. Et puis, il est d'origine italienne. Et tout le monde a vu le film "The Godfather". « Sérieusement, je ne mettrais jamais ma famille dans la merde, elle est vraiment trop importante à mes yeux pour prendre un tel risque. Et si ce que tu dis est vrai... » Je venais de perdre toute mon assurance. Parce que face à lui, toute la puissance de mon nom ne semblait être rien d'autre qu'une étoile parmi les autres.
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