Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJuliana&Ulysse - L'instinct animal
Le deal à ne pas rater :
Pokémon Évolutions Prismatiques : coffrets et dates de sortie de ...
Voir le deal


Juliana&Ulysse - L'instinct animal

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Juliana & Ulysse

L'instinct animal

• L’instinct animal reprenait souvent le dessus sur moi sans que je m’en rende réellement compte. J’étais ce genre de gars qui se moquait bien des répercutions de ces actes et qui n’avait jamais pris le temps de réfléchir avant de faire quelque chose. C’est mauvais pour moi à certain moment, mais j’suis malheureusement comme ça, et pour le moment, on peut rien y faire, je laisse sortir la bête qui est en moi et je vis avec, je vis grâce à elle. J’frape, j’insulte, je fonce dans le tat, je provoque, je fais chier, j’emmerde, je dérange, mais je n’ai aucune envie de changer, mon passé à fait ce que je suis devenue, mon futur fera de moi ce que mon passé a voulu. Je vis avec un œil posé sur le passé, et un autre sur le futur. Par moment j’me laisse aller, je ne pense à rien et j’attends, je laisse le temps défiler sous mes yeux sans chercher à l’arrêter, à lui dire « stop, laisse-moi reprendre le contrôle », et j’me réveille un ou deux jours plus tard. Le réveil c’est maintenant, c’est à ce moment précis où je croise cette jeune femme, cette blonde qui est passé dans mon lit il y a quelques jours suite à une soirée au Summer Camp. Je l’ai jeté comme une vieille chaussette troué par l’usure, mais, j’ai toujours fait comme ça, j’ai toujours considéré les femmes comme des jouets, à usage unique. Un jour je changerais, un jour je me poserais avec une femme et j’en ferais ma femme, la mère de mes enfants, mais pour le moment je n’y pense pas, pour le moment, je m’amuse, je profite d’elle comme un connard, comme le connard que je suis. Elle est là, assise à une table sans personne face à elle, alors je m’avance et je comble ce vide sur cette chaise devant elle. Lâchant un grand soupir, mon corps s’étend de tout son long sur cette chaise. « Fallait me le dire que tu m’attendais, j’serais arrivé plus tôt ! » Non, elle ne m’attendait pas, mais j’avais décidé qu’aujourd’hui, ça serait sa fête… •
Copyright Shenhua Design pour ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
I won't be denied by you, the animal inside of you (+ ulysse)


J'ai toujours été une véritable princesse, le genre de fille qui avait tout ce qu'elle voulait. Et j'ai toujours cru que mon argent pourrait tout payer, que ce soit l'amitié ou l'amour. Enfin, ce sentiment m'était encore inconnu, je n'aime que moi. On m'a toujours adulée, traitée comme une reine. Mais voilà, depuis quelques jours, j'ai ce goût amer dans la bouche qui ne veut pas partir. Pour la première fois de ma vie, j'ai eu le sentiment d'être une merde. En fait non, ce n'était pas la première fois. Mais cette fois-ci, c'était vraiment... inexplicable. Pour la première fois de ma vie, j'ai eu honte. Et je ne voulais plus jamais ressentir cette sensation, plus jamais. Je m'étais promise de me venger, que je ne me laisserais pas faire, que j'arriverais à changer la vision qu'il avait de moi. Mais pour la première fois, j'ai eu véritablement peur. Peur de me sentir encore une fois comme... comme rien. Depuis cette soirée, je le fuis. Je ne me suis encore jamais comportée ainsi, et sûrement pas devant un homme... C'était bizarre comme sensation en fait. Et ça me dégoûtait. Il me dégoûtait en fait. Mais je ne lui permettrais pas de me faire sentir encore aussi inférieure alors que je suis la fille Rockefeller. Il est là, juste devant moi, assis -ou plutôt affalé- sur cette chaise. « Fallait me le dire que tu m’attendais, j’serais arrivé plus tôt ! » Je le regardais, un air de dégoût sur le visage. Comment osait-il encore me parler, me regarder même?! « Pourquoi je t'attendrais toi ? Va-t-en. Immédiatement ! » Je n'attendais personne en réalité. J'étais juste venue boire un verre, seule. C'était le meilleur moyen pour qu'on m'accoste. Et pour que je puisse ressentir ce que j'ai toujours ressenti: le désir d'un homme à mon égard.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Juliana & Ulysse

L'instinct animal

• Après tout, je n’étais qu’un enculé parmi tant d’autre, un enfoiré de connard errant dans le monde comme un millier d’autre, j’étais un pion déposé pas je ne sais qui sur cette terre pour avancer pendant quelques années, puis redevenir poussière. Je ne sais pas si mon existence sur terre avait quelques choses de bénéfique ou non, j’veux dire, j’peux être quelqu’un de gentil, j’sais faire des blagues, j’sais faire plaisir aux gens, j’sais faire le bien autour de moi, mais j’ai un don pour faire tout le contraire pour ne pas vous mentir. Je démarre au quart de tour, j’suis plus impulsif qu’un impulsif, une vrai boule de nerf, un provocateur, je parle avec les poings et je me défends à coup de barre de fer, rien de bien flatteur. Mais j’m’en fou, je suis bien comme ça, j’aime cette vie que je mène, j’aime me réveiller le matin et sauter de la fenêtre de ma chambre pour sauter dans la piscine de ma villa, j’aime me dire que déjà à mon jeune âge, j’suis une personne influençable, j’aime me dire que mon compte en banque est encore plus rempli que les bourses du pape. Bref, aujourd’hui ma cible c’est cette petite blonde que j’ai traité comme toutes les autres en fait, c’est mal je le sais, mais j’en ai totalement rien à branler, j’ai pas envie de changer pour le moment, j’ai juste envie de profiter de ma vie tant que je le peux. « Pourquoi je t'attendrais toi ? Va-t-en. Immédiatement ! » Je lâche un petit rire à l’entente de sa phrase. C’est qu’elle a l’air de croire à ce qu’elle dit. « Non, j’ai pas envie, aujourd’hui, j’suis ton cancer, j’te quitte pas, j’reste là, tu pries pour qu’il parte, mais il empire de jour en jour… » J’me compare à un cancer, plus tordu que moi, y’a pas… •

Copyright Shenhua Design pour ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
I won't be denied by you, the animal inside of you (+ ulysse)


Sérieusement, comment pouvait-il encore venir me parler après ce qu'il m'avait fait?! Il pouvait très bien rester sur ses paroles et ne plus me voir, comme quand il m'avait viré de sa chambre ce matin-là après notre nuit torride. Je me sentais encore plus humiliée maintenant qu'il était là, devant moi. Je n'ai jamais rencontré un connard pareil. Je n'étais pas en état de réagir comme il le faudrait mais bientôt, il allait voir de quel bois je me chauffe! On ne traitait pas Juliana Rockefeller de cette manière-là! J'allais tout faire pour le laisser sans rien, le ruiner, drainer son compte en banque, tout ce qui fait de lui, l'homme qu'il est maintenant. Il comprendra ce que ça fait que de me mettre moi, à dos! Je lui avait demandé de partir, mais non, il restait là. Même pire, il se moquait de ma gueule! J'enserrais alors fortement mon verre de mes mains. Mes jointures blanchirent. Et si j'avais plus de force, le verre se serait sûrement brisé sous ma poigne. Sauf que je ne voulais pas blesser mes magnifiques mains. « Non, j’ai pas envie, aujourd’hui, j’suis ton cancer, j’te quitte pas, j’reste là, tu pries pour qu’il parte, mais il empire de jour en jour… » Ce gars était complètement malade. Il se comparait à un cancer carrément! Et par ses mots, il sous-entendait qu'il n'allait pas me lâcher de si tôt. Il allait même continuer, mais en pire. Je me levais alors, plaquant mes mains violemment sur la table. « Très bien, le cancer n'a qu'à rester là, le corps s'en va, il n'a même pas envie de l'affronter! Et j'espère qu'il finira par pourrir sans son hôte! » En gros, il n'avait qu'à rester ici, moi je préférais crever que de rester une minute de plus en sa compagnie. Je pris donc mon sac et sortait de table.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Juliana & Ulysse

L'instinct animal

• On est loin d’être exceptionnel, d’être une petite pépite d’or qu’il faut chérir, donc il faut prendre soin. Nous sommes tous une petite fourmi inexistante qu’on pourrait écraser en une seconde. Alors arrêtez de nous faire chier, arrêtez de vous prendre pour un Dieu ou je ne sais qu’elle merde du genre, vous n’êtes rien, vous n’êtes rien à part une petite merde, un tat de sperme en pleine décomposition. On est rien les gars, réveillez-vous, faites comme moi, amusez-vous jusqu’au jour où quelqu’un décidera d’enlever cette merde que vous êtes de sur son trottoir pour pouvoir marcher librement. Un jour, je serais ce gars qui déciderait d’enlever ces merdes, je le sais, c’est mon destin. J’ai longtemps hésité en fait, j’vais pas vous mentir, j’me suis vu comme un gars normal, un jeune avocat avec une vie de famille et toutes ces conneries, mais j’ai fini par être attiré par le mauvais côté de la force si on peut dire, j’ai choisi l’option de facilité, quitte à y perdre un jour la vie. Mon compte sera encore plus blindé qu’aujourd’hui, j’aurais encore plus d’homme à mon service, la vie de rêve quoi. Ouais, j’aime être servi, j’suis surement un gosse pourri gâté, mais j’me démerde seul désormais. En même temps, ma mère est morte devant mes yeux, mon père est en prison jusqu’à la fin de sa vie, j’ai pas vraiment le choix. Bref, parlons d’autre chose, concentrons-nous sur le moment présent, sur cette belle blonde avec qui j’ai aimé passer la nuit. J’me fou de sa gueule ouvertement, ça lui plaît pas, je le vois à sa façon de serrer son verre dans sa fine main bien entretenue. J’ai envie de rire, mais j’me contente de sourire, comme l’enfoiré que je suis. « Très bien, le cancer n'a qu'à rester là, le corps s'en va, il n'a même pas envie de l'affronter! Et j'espère qu'il finira par pourrir sans son hôte! » Madame décide de s’en aller, j’la vois claquer ces mains sur la table, se levant d’un trait et tourner les talons pour bouger un peu plus loin. C’est pas ça qui va m’arrêter, quand j’ai quelque chose en tête, je ne m’arrête pas si rapidement, dommage pour elle, non ? « Un cancer ça te quitte pas, un cancer c’est comme ton ombre, il te suit, il est là, toute la journée, il s’accroche, mais tu peux pas le faire partir, même si tu fais tout pour… Alors ma belle, tu peux partir, mais je reste derrière toi ! » Avais-je dit en me levant et en la suivant. J’étais quelques mètres derrière elle, et je n’attendais qu’une chose, qu’elle se retourne, qu’elle s’énerve… •

Copyright Shenhua Design pour ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
I won't be denied by you, the animal inside of you (+ ulysse)


Je savais que j'étais destinée à passer une belle vie, aussi belle que celle de mon enfance. Bon, bien sûr, certains événements et personnes l'ont quelque peu ternie mais je m'en étais débarrassée. Je ne voulais sûrement pas me retrouver avec un futur corrompu par des indésirables. Je faisais tout pour le moment pour m'en assurer. Des études que j'aimais, un avenir prometteur dans la mode, une renommée mondiale. On ne me connaîtra pas seulement comme Juliana Rockefeller, l'héritière de l'empire, mais aussi comme la créatrice de mode, à la tête d'une maison de haute couture. Ça, c'était mon futur et rien ne m'empêchera de le vivre. Sauf que, pour le moment, je n'en étais pas encore arrivée là. J'avais encore du chemin à faire, des obstacles à affronter, des personnes à évincer. Et Ulysse en faisait parti. Il se comparait à un cancer, il continuera à me faire du mal, à me faire sentir comme de la merde; à me ruiner la vie. Mais on arrivait à se débarrasser d'une maladie, difficilement, et avec du courage. Il devait le savoir pourtant. Avec de la détermination, du courage, de la motivation, on était capable de tout. Mais pour le moment, je manquais de tout ça. Alors je m'étais levée et j'avais fait quelques pas. Il était revenu à la charge. « Un cancer ça te quitte pas, un cancer c’est comme ton ombre, il te suit, il est là, toute la journée, il s’accroche, mais tu peux pas le faire partir, même si tu fais tout pour… Alors ma belle, tu peux partir, mais je reste derrière toi ! » Je me retournais au quart de tour. Il était toujours là. Et je savais qu'il mettra ses propos en action. Il allait me suivre comme mon ombre, il allait me pourrir jusqu'à la moelle. Il allait me faire souffrir surtout. Et je savais déjà que j'allais avoir mal à cause de lui. Terriblement que j'en pleurerais, que je voudrais que tout s'arrête. Je refis marche arrière et me planta devant lui. « Un cancer peut être vaincu, beaucoup de personnes y survivent. Et moi aussi d'ailleurs. Tu peux me suivre autant que tu veux, tu peux me faire du mal même. Mais j'en sortirais gagnante, retiens bien ça. Et tu finiras par disparaître de ma vie, je te le promets. » Mes yeux dans les siens, je ne démordais pas. Voilà que nous parlions maintenant en sous-entendus.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Juliana & Ulysse

L'instinct animal

• A vrai dire je me moque bien du mal que je peux faire au gens, ce ne sont que des personnes de passages dans ma vie, qui ne resteront pas pendant plusieurs années à mes côtés, à me supporter, à me faire rire et à me faire découvrir une belle amitié, ou bien l’amour. Alors j’suis méchant, provocateur, enfoiré, enculé, connard, toutes les insultes au monde que vous voulez, mais je sais qui je suis. Je n’ai pas besoin de me cacher derrière un déguisement pour devenir quelqu’un, pour plaire au gens, car j’en ai totalement rien à foutre, je suis déjà quelqu’un. J’sais que parfois j’abuse, qu’à certain moment je devrais peut-être me calmer et laisser les gens tranquilles, mais non, j’insiste, j’enfonce le couteau dans la plaie comme un juge qui ne veux qu’une chose, vous mettre en prison pour le restant de votre vie. C’est comme pour cette blonde que je suis en train de provoquer, de pousser dans ces retranchements, j’aurais très bien pu la laisser tranquille, j’aurais très bien pu ne pas aller la revoir après m’être servis d’elle, mais non, j’allais tourner encore et encore ce couteau taillé parfaitement pour s’accorder avec son corps. « Un cancer peut être vaincu, beaucoup de personnes y survivent. Et moi aussi d'ailleurs. Tu peux me suivre autant que tu veux, tu peux me faire du mal même. Mais j'en sortirais gagnante, retiens bien ça. Et tu finiras par disparaître de ma vie, je te le promets. » Elle c’était retourné, déterminée à me faire partir, et, face à moi, elle m’avait lâché cette phrase. On va donc se la jouer poète des métaphores, c’est ça ? Pas de problème j’suis plutôt doué pour ce petit jeu-là. Je voyais dans ces yeux toutes cette haine qu’elle pouvait avoir à mon égard, mais ça me fit sourire, j’aimais être détesté, j’aimais savoir que sur cette terre, des personnes voulaient qu’une chose, que je disparaisse. « Et si tu faisais partie des personnes qui le garde jusqu’à tes derniers jours ? J’serais ton boulet attaché à ta cheville que tu trainerais avec du mal. Tu sais comment je le sais ? Tu aurais très bien pu continuer ton chemin, ne pas me répondre, mais tu es là, face à moi, et même si j’vois toute cette haine dans tes yeux, je sais que ton cancer, tu vas l’entretenir… » Franchement, j’dois surement passer pour un vrai psychopathe… •

Copyright Shenhua Design pour ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
I won't be denied by you, the animal inside of you (+ ulysse)


Il voulait jouer les sangsues? Très bien, j'allais le laisser y jouer, mais j'allais surtout le lui faire regretter son comportement. Et ses paroles. Je le regardais toujours de mon regard noir. Sauf que mes paroles ne suivaient pas toujours le fond de mes pensées. Pourtant, j'étais réputée pour avoir une véritable langue de vipère, la plus venimeuse qui soit. Mon répertoire de piques et d'insultes pouvait même se retrouver dans une encyclopédie spécial Juliana Rockefeller. Mais rien ne sortait quand j'étais face à cet homme. Et ça me faisait encore plus grincer les dents. J'avais véritablement l'impression d'être faible face à lui. Il souriait toujours et je serrais mes poings. Je ne savais vraiment pas ce qui m'empêchais de faire ravaler cette expression de sa face. « Et si tu faisais partie des personnes qui le garde jusqu’à tes derniers jours ? J’serais ton boulet attaché à ta cheville que tu trainerais avec du mal. Tu sais comment je le sais ? Tu aurais très bien pu continuer ton chemin, ne pas me répondre, mais tu es là, face à moi, et même si j’vois toute cette haine dans tes yeux, je sais que ton cancer, tu vas l’entretenir… » Il y croyait vraiment en plus?! Certainement pas! Et pourtant, je savais que je n'arriverais jamais à l'ignorer totalement, tout simplement parce que je ressentais un truc pour lui. Cette colère, ce dégoût, cette folie. Il y a vraiment un truc qui cloche chez moi. Enfin bref. Et comme pour lui montrer qu'il ne disait que des conneries, je pris le verre d'eau qui se trouvait sur la table juste à côté et je le lui renversais à la figure. Et d'une voix sarcastique, je lui répondais: « C'est bon, cette eau a pu te réveiller? Parce que sache que jamais, je n'entretiendrais une pourriture comme ce cancer, comme tu le dis si bien. Vas au diable. » Je lui jetais un dernier regard noir avant de me retourner. Mon coeur battait à folle allure et sur le coup, je me rendais compte de ce que je venais de faire. Et j'avais peur des répercussions de mon geste. Je savais qu'il n'allait pas en rester là. Je voulais alors prendre mes jambes à mon cou et fuir. Sauf que je ne suis pas un couard. Je m'en irais la tête haute même si, dans ma tête, c'est carrément le 11 septembre 2001.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Juliana & Ulysse

L'instinct animal

• J’viens de me prendre un verre d’eau dans la gueule. Putain mais cette fille elle sait vraiment pas à qui elle a à faire en fait. Je m’appelle Alberto Ulysse Feliciano, je suis un fils de grand mafieux en prison, et je suis à la tête de cet empire, d’où elle me balance un verre d’eau en pleine figure ? Ça aurait été un garçon qui m’aurait fait ça, je l’aurais laissé pour mort, je lui aurais explosé la gueule dans une poutre, mais j’ai un minimum de respect pour la gente féminine, et je ne les frappe pas. J’regarde autour de moi histoire de voir si des gens m’ont vu, et là j’vois des têtes d’œufs qui me fixent, des connard à face d’ornithorynque ou encore de diplodocus, et j’ai juste une envie, leur dire à tous d’aller se faire voir chez les Grecs. « C'est bon, cette eau a pu te réveiller? Parce que sache que jamais, je n'entretiendrais une pourriture comme ce cancer, comme tu le dis si bien. Vas au diable. » J’me retiens, j’vous assure que je me contrôle à un point que vous n’imaginez même pas, je déteste me faire humilier, et là, elle a réussi, sauf que problème pour elle, elle ne sait pas à qui elle a à faire. Elle se retourna et traça sa route, tordant son petit cul. J’vais pas rester là à glander comme un rat mort, plutôt crever que de la laisser gagner. « Ca a un putain de [b]CLITO[/b ] et ça se prend pour [b]Angelina Jolie ! »[/color] Avais-je lâché avant d’avancer, c’est sans manquer la plaque d’air sous mes pieds qui me dit me la jouer à la Marylin Monroe devant je sais pas combien de personnes, putain mais c’est ma journée là. J’bouge de cette grille d’aération et j’arrive à la rattraper, je lui pince le cul et je continue mon chemin pour marcher à ces côtés. « Trois poils au cul et ça se prend pour un ours… Sauf que ce que tu c’est pas, la pourriture n’as pas besoin d’être entretenue, elle s’entretient seule, alors saches que tu pourras faire ce que tu veux, j’serais toujours derrière toi, pourquoi, je ne sais pas vraiment, surement mon instinct animal… Et ça, c’est pour le verre d’eau… » Directement après avoir fini ma phrase j’attrapa un verre à proximité et je lui jeta dessus, dans le dos plus précisément, car ouais, moi j’vise pas la tête, çà laisse des traces… •

Copyright Shenhua Design pour ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
I won't be denied by you, the animal inside of you (+ ulysse)


Ce n'était vraiment pas brillant de ma part mais qu'aurais-je pu faire d'autre devant tant de gens? Je savais que je venais de lui foutre la honte et bien fait pour lui, il l'avait cherché. D'ailleurs, j'avais remercié le vieux à qui j'avais emprunté l'eau par un clin d'oeil coquin et je remarquais tout de suite le sourire pervers qui s'était affiché sur sa gueule d'australopithèque. Ça m'a tout de suite dégouté mais je restais impassible et je quittais la terrasse. Sauf qu'une voix se fit entendre. « Ca a un putain de CLITO et ça se prend pour Angelina Jolie ! » Je claquais tout de suite ma langue contre mon palais. Mais qu'est-ce qu'il baragouine cet espèce d'hippopotame touffu?! C'est alors que je sentis des doigts pincer mes fesses. Putain, mais il allait se prendre mon poing dans la gueule celui-là! Mais vraiment! J'allais avoir un derrière de babouin s'il continue, cet espèce de chapelier fou. Si seulement j'avais un oursin dans la main, je n'aurais pas hésité à le défigurer. « Trois poils au cul et ça se prend pour un ours… Sauf que ce que tu c’est pas, la pourriture n’as pas besoin d’être entretenue, elle s’entretient seule, alors saches que tu pourras faire ce que tu veux, j’serais toujours derrière toi, pourquoi, je ne sais pas vraiment, surement mon instinct animal… Et ça, c’est pour le verre d’eau… » Je le sentis alors, ce liquide dans mon dos. Je lâchais alors un petit cri. Là, s'en était trop! Je me retournais alors et sans ménagement, je le giflais de toutes mes forces. « Ça aussi tien! Recommence donc, je me ferais un plaisir de foutre mon poing dans ton joli petit minois cette fois-ci! Continue à me suivre alors si tu l'oses! Parce que je peux te dire que cette petite gifle, ce n'est absolument rien à ce qui t'attends si tu continues à me harceler! » Et j'allais lui montrer que je pouvais me passer pour aussi cruelle que la Reine de coeur.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)