(ludaia) instant volé.

@Ludovic Halstead — En entrant dans le bâtiment, Laia sentait l’excitation monter en elle. Son plan était déjà bien ficelé dans sa tête. Ludovic ne se doutait de rien, et c’était exactement ce qu’elle aimait dans cette situation. Elle se dirigea vers le secrétariat, prenant une grande inspiration avant de pousser la porte. Elle s’efforça de paraître calme et détachée. — Excusez-moi, dit-elle d’une voix douce mais pressée. — J’ai un message urgent pour Ludovic Halstead. Pourriez-vous l’appeler par le haut-parleur ? La secrétaire leva les yeux, visiblement habituée à ce genre de requêtes, et acquiesça sans trop de questions. Quelques secondes plus tard, la voix résonna dans tout le bâtiment : « Ludovic Halstead, veuillez vous présenter au secrétariat immédiatement, merci. » Laia réprima un sourire malicieux et quitta rapidement la pièce avant que Ludovic n’ait le temps de comprendre ce qui se passait. Elle se dirigea vers une salle qu’elle avait repérée plus tôt, une petite pièce isolée au bout d’un couloir souvent désert à cette heure. C’était parfait pour ce qu’elle avait en tête. En entrant dans la salle, elle referma doucement la porte derrière elle et s’assit sur le bureau, attendant l’arrivée de Ludovic, l’excitation grandissant en elle. Elle imaginait déjà la confusion sur son visage, et ça la faisait sourire. Quelques minutes plus tard, elle entendit des pas résonner dans le couloir. La porte s’ouvrit brusquement, et Ludovic apparut, cherchant visiblement une explication à cet appel soudain. Laia ne put s’empêcher de sourire, son cœur battant légèrement plus vite. Il ne s’attendait clairement pas à ça. Elle aimait l’idée d’avoir créé cette petite diversion pour passer un moment seul avec lui, loin de l’agitation de l’université. Elle croisa les bras, toujours assise sur le bureau, et le regarda avec un air espiègle. — Surprise. L’adrénaline montait en elle alors qu’elle voyait son regard passer de la confusion à l’amusement. Elle se leva lentement, se rapprochant de lui, savourant ce moment où elle avait réussi à le surprendre. — J’avais envie de te voir... sans que personne ne nous dérange.

J'essaye de me concentrer sur le cours, mais le professeur ne fait que parler. C'est normal pour un cours, je sais, mais il s'éparpille et ça m'énerve. Je tape sur le clavier de mon ordinateur, retransmet le bordel qu'il raconte. Le micro du camps se met à réveiller tout le monde, ce qui me fait rire, mais beaucoup moins quand on me demande au secrétariat. Qu'est-ce qu'il se passe ?, j'espère que Léonie n'a pas de soucis. Je range mes affaires dans mon sac, puis rejoins le secrétariat d'un pas rapide. La secrétaire me dit que c'est une petite brune qui ma fait demandé, mais qu'elle n'est plus là. Je fronce les yeux et pars à sa recherche. J'ouvre plusieurs portes, avant de trouver la bonne. Dans la salle de cours, qui est vide, je découvre Laia assise sur le bureau. - Ah ouais, je ne m'attendais pas à ça, dis-je dans un rire, refermant la porte à clé derrière moi. - Je pensais que ma sœur avait un soucis, mais non heureusement et tant mieux, j'ajoute d'un air malicieux, alors qu'elle se rapproche de moi. - Ah oui et pourquoi faire ? Tu vas me donner un cours privé ?, je la taquine, posant mes mains sur ses hanches, une fois avoir posé mon sac à terre.

w/@Laia Duque

@Ludovic Halstead — Laia ne pouvait s’empêcher de sourire en voyant l’air surpris, puis amusé de Ludovic lorsqu’il franchit la porte. Son plan avait parfaitement fonctionné, et maintenant, ils étaient seuls dans cette salle vide. Elle se mordit légèrement la lèvre en le regardant refermer la porte à clé, un petit frisson de satisfaction parcourant son dos. C’était exactement l’effet qu’elle recherchait. — Je t’ai bien eu, hein ? ança-t-elle, amusée, en s’approchant lentement de lui, ses talons résonnant légèrement sur le sol de la salle. Elle voyait dans son regard cette étincelle malicieuse, celle qui l’avait attirée depuis le début. Quand il mentionna sa sœur, Laia leva un sourcil, faussement innocente. — Oh, ne t’inquiète pas, je ne comptais pas te causer de stress… juste te faire une petite surprise. En se rapprochant de lui, elle sentit ses mains se poser sur ses hanches, la chaleur de son toucher lui faisant oublier le monde extérieur. Son plan était simple : passer un moment avec lui, loin des distractions habituelles, et profiter de cette connexion unique qu’ils partageaient. À sa remarque sur un « cours privé », Laia éclata de rire doucement, ses doigts glissant sur son torse. — Un cours privé ? répéta-t-elle en se mordillant la lèvre, son regard pétillant de malice. — Peut-être bien… mais pas celui auquel tu penses. Elle s’arrêta juste devant lui, leurs corps presque collés l’un à l’autre. Elle laissa ses mains remonter doucement jusqu’à sa nuque, ses doigts effleurant ses cheveux. — Je me suis dit que tu aurais peut-être besoin d’une pause... et que j’étais la personne idéale pour ça. Laia se rapprocha encore plus, ses lèvres frôlant doucement les siennes, un sourire amusé toujours accroché à son visage. Elle aimait jouer avec cette tension entre eux, cette alchimie qui ne cessait de croître à chaque rencontre.

En arrivant dans la salle, je suis surpris de voir que c'est Laia qui m'attend dans la salle. Elle continue de me surprendre de plus en plus et j'aime beaucoup ça. Je prend soin de fermer à clé la porte, puis m'approche de la jeune femme qui s'avance elle aussi vers moi. - Ça c'est une surprise oui, je répond d'un air amusé, mentionnant ensuite mon inquiétude pour ma sœur. - Ne t'inquiète pas, je suis content de ma surprise, dis-je en la rapprochant de moi. Je crois qu'une fille ne m'a déjà fait ça et je dois dire, que j'adore ça. Laia est surprenante et entreprenante, je trouve ça kiffant. Je plaisante sur le fait qu'elle vienne me donner un cours privé, sa réponse me faisant rire. - Et à quel cours privé je pense ?, je demande tout en levant un sourcil, sentant ses mains qui caressent mon torse. Ses doigts remontent jusqu'à ma nuque, pour se perdre dans mes cheveux. - Tu as raison, j'ai besoin d'une pause, en même temps j'ai la tête ailleurs, je murmure contre ses lèvres, laissant mes mains l'attraper par les cuisses, pour venir la reposer sur le bureau. - Et tu avais quoi en tête ?.

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@Ludovic Halstead — Installée sur le bureau, je sens ses mains fermes sur mes cuisses, me rapprochant encore plus de lui. Mon cœur bat plus vite alors que je le regarde dans les yeux, ce petit sourire amusé sur ses lèvres. C’était exactement ce que j’avais en tête en montant ce plan. Le surprendre, le faire sortir de sa routine, et maintenant qu’il est là, je sens cette alchimie grandir, presque palpable. Je souris en coin, jouant avec ses cheveux, et je laisse mes doigts glisser doucement sur sa nuque.  — Oh, je pense que tu sais très bien à quel genre de cours privé tu pensais, je murmure, ma voix légèrement taquine, mes lèvres à quelques centimètres des siennes. Ludovic sourit à son tour, et ce simple geste me donne encore plus envie de profiter de cet instant avec lui. — Ce que j’avais en tête… c’était de te faire oublier tout ce qui se passe dehors. Juste toi et moi. Je sens nos respirations se synchroniser, l’intensité entre nous montant d’un cran. Je me rapproche encore, mes lèvres effleurant les siennes, juste assez pour créer cette anticipation qui me fait frissonner. — Et pourquoi tu as la tête ailleurs ? je murmure doucement. Je ne résiste plus et l’embrasse, un baiser doux mais chargé de promesses, mes mains glissant sur son dos pour l’attirer encore plus près de moi. Nos corps se collent l’un à l’autre, et tout ce qui existe en dehors de cette salle semble disparaître. Quand je me détache doucement, nos regards toujours liés, je souris, mes lèvres encore proches des siennes.

Le rapprochement est déjà fait, nos corps s'appellent comme une besoin de se sentir, de se toucher. Je la dépose délicatement sur le bureau, ne lâchant pas ses hanches de ma prise. Un frisson me parcours, quand ses mains se promènent jusqu'à ma nuque. - Seulement le genre que tu me mets en tête, je m'amuse à lui répondre, tout en glissant à nouveau mes mains sur ses cuisses, que je caresse tendrement. On joue, on se cherche comme toujours. - Je crois que c'est déjà un peu le cas, je répond en effleurant ses lèvres des miennes. Elles s'entrouvrent, mais pourtant résistent à se saisir des pulpeuses de la brune. Elle est une vraie tentation pour moi, mais j'aime ce jeu qu'il y a entre nous. Je n'ai pas le temps de répondre à sa question, mais lèvres sont prises d'assaut par les siennes. Je ne répond pas, trop occuper à approfondir ce baiser. Ma main dans sa nuque pour la soutenir, l'autre dans le creux de ses reins pour la rapprocher encore plus. - La tête là, avec toi, je murmure contre son oreille, glissant mes lèvres dans son cou que j'embrasse.

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@Ludovic Halstead — Le sentir me déposer doucement sur le bureau, ses mains fermement posées sur mes hanches, fait monter en moi une vague d'excitation. Nos corps sont si proches que chaque mouvement, chaque geste semble amplifier cette tension délicieuse entre nous. Ses mains, glissant doucement sur mes cuisses, m'arrachent un frisson tandis que je me perds dans l'instant. Je ris doucement à sa réponse, mes doigts continuant de caresser sa nuque, jouant avec ses cheveux. — Seulement ce que je te mets en tête, hein ? Je murmure, amusée. On sait tous les deux qu’on joue ce jeu depuis un moment, mais c’est exactement ce qui rend tout ça si intense. Je sens ses lèvres frôler les miennes, et l’anticipation grandit. Il sait exactement comment prolonger ce moment, et je dois avouer que ça me rend folle. Je me retiens, savourant cette attente, mais finalement, je ne résiste plus et je l’embrasse, mes lèvres cherchant les siennes avec une urgence douce, mais irrésistible. Quand sa main se pose sur ma nuque pour approfondir le baiser, je me sens presque défaillir. Mon corps tout entier répond à lui, mes bras se resserrent autour de lui, cherchant toujours plus de ce contact. Sa main glisse dans le creux de mes reins, m’attirant encore plus contre lui, et je perds toute notion du temps, me laissant emporter dans ce baiser. Puis, il murmure à mon oreille, sa voix chaude me faisant frissonner une nouvelle fois. Ses lèvres se glissent sur mon cou, et je ferme les yeux, savourant la sensation de sa bouche contre ma peau. Chaque baiser semble éveiller tous mes sens, et je ne peux m’empêcher de soupirer doucement, mes doigts s'accrochant à ses épaules. Je penche la tête légèrement pour lui laisser plus d’accès, mes mains glissant le long de son dos, pressant son corps contre le mien. — C’est exactement ce que je voulais, je murmure doucement, un sourire aux lèvres, tout en me perdant dans le plaisir de ses baisers dans mon cou. Je sens cette intensité grandir, et je sais que nous sommes à un point où tout pourrait basculer. Mais je me laisse porter par l'instant, profitant de chaque seconde, savourant chaque contact.

La tension est là, déjà bien présente entre nous deux. Nos mains jouent de nos corps, il faut résister à cette tentation, pourtant j'ai très envie d'y céder. - Exact', tu peux en conclure que c'est de ta faute, je ris. Elle finit par mettre fin à cette attente, en m'embrassant. Mon corps se laisse aller, ma bouche en redemande. La chaleur gagne mon corps tout entier, pressant sa cuisse entre mes doigts. Ma tête est avec elle, c'est la simple vérité. Elle s'est comment piquer ma curiosité, comment faire en sorte à ce que je lui réponde toujours favorablement. Et la tension monte d'un cran, quand mes lèvres viennent goûter à la douceur de sa peau. Je sens ses mains dans mon dos, qui me rapproche de son corps. Les jambes de la belle écartés, je prend place un peu plus contre son corps. - Et tu en veux plus ?, je demande, mon souffle s'écrasant sur sa peau. Je me redresse un peu, plonge mon regard dans le sien, en attendant sa réponse. Mes mains contre sur ses hanches, la rapproche de plus belle contre moi. Nos bassins collés, je sens le mouvement de sa respiration à travers sa poitrine qui bouge contre mon torse.

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@Ludovic Halstead — Je laisse échapper un léger soupir lorsque nos bassins se pressent l'un contre l'autre, cette proximité créant une vague d’excitation qui se répand en moi. Ses mots, soufflés contre ma peau, m’arrachent un sourire. Sa voix grave résonne en moi, et je peux sentir son regard brûlant, attendant ma réponse. Je lève les yeux vers lui, nos regards se croisent, et dans ce moment, je sais que la tension entre nous a atteint un point où il est difficile de faire marche arrière. Mon souffle se mêle au sien alors que je me rapproche encore, nos corps déjà si près l’un de l’autre que chaque mouvement semble amplifier ce lien invisible entre nous. — Peut-être bien que oui je murmure doucement, mon sourire malicieux revenant sur mes lèvres alors que je me hisse un peu plus contre lui. Je peux sentir la force de ses mains sur mes hanches, son désir de me garder contre lui, et cela ne fait qu'attiser le mien. Mes doigts glissent sur son torse, traçant des lignes imaginaires sur sa peau, tandis que mes jambes l'enveloppent légèrement pour le garder encore plus près. Je respire profondément, savourant chaque seconde, chaque frisson que ce contact crée en moi. — Tu sais exactement ce que tu fais, Ludovic, je murmure, un sourire espiègle aux lèvres, avant de poser mes mains sur ses épaules, mes doigts effleurant sa nuque. Mon corps tout entier est tendu vers lui, avide de plus, mais je prends plaisir à prolonger cet instant, à jouer avec cette tentation qui monte en nous. Je ne veux pas tout précipiter, je veux savourer chaque geste, chaque souffle, et prolonger cette alchimie qui nous entoure.

L'excitation se fait de plus en plus présente, à chaque mouvement de nos mains, à chaque fois que nos corps se resserrent l'un contre l'autre. Il est difficile de se retenir, de se calmer dans un tel moment. J'essaye de me retenir, mais sa peau m'appelle. Nos corps se rapprochent encore, à la recherche d'un endroit où ils ne sont pas encore en contact et pourtant, on ne pourrait rien faire passer entre eux. Je souris à sa réponse, prend un air de garçon innocent. - Je ne fais rien, je répond aux attentes de madame, dis-je en mordillant son cou.

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