(Flashback) Apple & Marshall ∆ old times. (hot)

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Je l’embrassais langoureusement en ne cessant pas de me répéter que ça allait être douloureux, comme on me l’a toujours promis. « Tu verras, la première fois, ça fait toujours mal ! » Ugh… Mais pourquoi hein ? Pourquoi ? Hum. Non-seulement ça fera mal, mais j’n’étais pas sure de ce que je m’apprêtais à faire. Peut-être que j’devrais m’arrêter là et retourner voir Ocean… J’n’en sais rien. Marshall dévia les baisers à mon cou, puis remontai tranquillement à mon oreille. Relaxe… tout ira bien Apple. Paf. J’me suis calmée en 2s chrono. J’avais besoin qu’il coupe le silence, apparemment. Besoin qu’il me rassure, et en mots. Finalement, peut-être que j’avais fait le bon choix en me laissant tomber dans ses bras… ? Il me caressa doucement la joue et j’ouvris tranquillement les yeux pour l’admirer. Je sais. Je me pinçais les lèvres et baissais les yeux à son torse. Ouais… J’étais prête. J’n’avais rien à m’inquiéter. ... T'm'aide à finir de me déshabiller... ? Murmurai-je, en parlant évidemment des deux pièces de sous-vêtements qui me restaient. J’allais au moins lui laisser le plaisir de découvrir… mais c’était aussi parce que j’n’avais pas l’courage d’le faire.

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Puisque mes caresses n’étaient pas suffisantes, j’avais décidé de dire à voix haute à Apple que tout irait bien. Je savais à quel point ça pouvait être stressant la première fois et je ne voulais pas qu’elle se prive du plaisir de cette expérience sous prétexte qu’elle était nerveuse. Apparemment, ça fonctionna puisque je la sentis se détendre immédiatement. «Je sais. » Je lui souris et l’embrassai sur le front. «... T'm'aide à finir de me déshabiller... ? » J’hochai lentement la tête en déglutissant. Serais-je donc finalement le premier à voir le corps nu d’Apple Kovalevski? Je ne pouvais m’empêcher d’être honoré. Passant lentement une main dans son dos, je détachai habillement son soutien gorge et glissai les bretelles sur ses épaules et ses bras avec une douceur que je me connaissais à peine. Après quoi, je me redressai pour m’assoir et la soulevai pour changer de place avec elle. Je lui retirai lentement sa petite culotte et la laissai tomber au sol avant de contempler son corps. « Tu es magnifique… »

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Beaucoup plus calmée, plus confiante, je demandai à Marshall s’il voulait terminer de me déshabiller. Je n’arriverais certainement pas à le faire toute seule, sans doute un peu trop nerveuse pour ça et puis ce n’est pas plus amusant pour lui d’le faire de toute manière ? Deux pierres d’un coup. Marshall hocha la tête, incapable de refuser l’offre alléchante que je lui proposais. Bien évidemment qu’il serait le premier, c’est connu… Apple est vierge, c’est presque devenu un concours entre les étudiants pour m’avoir. Sans plus tarder, le jeune homme se mit à l’œuvre, commençant par mon soutien-gorge… Une fois retiré, Marshall se positionna à son tour au-dessus de moi et retira finalement le dernier morceau. Tu es magnifique… Je lui souriais légèrement, gênée mais à la fois flattée… Ça allait bien se passer, vraiment, je n’avais rien à m’inquiéter ! Je glissais mes mains sur son torse et descendis jusqu’à son boxer, pour tenter de le retirer doucement…

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Les mains d’Apple glissèrent sur mon torse et jusqu’à mon boxer, m’arrachant quelques frissons et je ne pu m’empêcher de venir prendre à nouveau ses lèvres. D’une main mal assurée, mais tout de même habile, elle réussit à me retirer ce dernier vêtement et je me sentis terriblement libéré. Vous n’imaginez même pas à quel point j’étais à l’étroit là dedans. Bref, il était temps de passer aux choses sérieuses. J’embrassai encore Apple pendant un moment, caressant doucement sa poitrine d’une main relativement ferme. Puis, je descendis lentement vers son ventre, embrassant chaque parcelles de peau qui se trouvaient sur mon chemin, m’arrêtant seulement une fois tout près de l’objet de mon désir. Je levai les yeux sur elle pour m’assurer que tout allait toujours bien. Lorsque je fus certain qu’elle n’allait pas me donner un coup de pied en pleine gueule, je glissais sensuellement ma langue entre ces lèvres en écartant ses cuisses pour avoir un peu plus de place.

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D’abord incertain du résultat, je ne regrettai finalement pas d’avoir décidé de glisser lentement la langue entre les lèvres bien rose d’Apple. Elle méritait de découvrir ce plaisir et, au vu de ses réactions, elle appréciait le geste. Continuant ainsi quelques minutes, et lorsque je sentis qu’elle s’était suffisamment détendu, je glissai doucement un doigt à l’intérieur d’elle. Faisant de lent vas-et-viens, je voulais m’assurer de ne pas lui faire subir de douleur inutile lors de la pénétration. Un deuxième doigt rejoint le premier et tout semblait bien se passer. Ma langue ne quittait pas son clitoris que je léchais rapidement pour lui donner un maximum de plaisir et qu’elle oublie les douleurs que pourraient apporter la pénétration.

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Je continuai mon manège pendant encore quelques minutes, sentant toujours qu’elle était de plus en plus à l’aise et confortable avec mes caresses. Tant mieux. Puis, je quittai lentement son intimité pour venir prendre à nouveau ses lèvres, l’embrassant tendrement et lui caressant la joue. Plongeant mon regard dans le sien, j’attendis un signe de réticence qui ne vint jamais. Elle ne m’en empêchait pas… parfait. Je pris mon membre dans ma main et doucement, centimètre par centimètre, je m’insérai en elle dans un soupir d’aise à peine audible.

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Ouvrant lentement les yeux, je continuai mes mouvements en plongeant mon regard dans celui d’Apple. Mon visage était à quelques millimètres à peine du sien, et je la regardais tendrement, m’assurant qu’elle ne souffrait pas le martyr. Allait-elle me dire d’arrêter si c’était trop douloureux? Je cherchai un signe dans son regard. Certes, elle ne semblait pas prendre son pied, mais elle ne semblait pas non-plus vouloir que j’arrête. J’y allai donc d’autant plus doucement, m’enfonçant lentement en elle et ressortant tout aussi lentement. Bientôt, je l’espérais du moins, elle aurait du plaisir et je pourrais y aller un peu plus rapidement. J’embrassai son front, puis le bout de son nez et finalement le coin de ses lèvres. Je voulais vraiment qu’elle ait un bon souvenir de sa première fois.

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