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Moi je l'ai jamais oublié, cette soirée. - Lassa&Luke

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Quand tu te mordis la lèvre, mon coeur fit des loopings tellement t'étais sexy à cet instant là. J'essayais de ne pas le montrer, mais je craquer complètement pour ce que j'avais face à moi. Cet homme que tu étais. Je rougis carrément à ce que tu me dis quelques instants plus tard. Je me retrouvais dans ce que tu me disais, je te connaissais si peu, et pourtant t'avais envahi ma tête.

"J'ai pas arrêté ... Moi non plus"

Et puis merde, il fallait que je prenne mon courage à deux mains. Je te fis signe de me suivre un peu plus loin dans la rue, dans un petit renfoncement. Quand nous sommes arrivés, je n'ai pas attendu, je t'ai prit contre moi et posais mes lèvres contre les tiennes. J'avais envie de faire ça depuis bien trop longtemps, j'avais pas envie d'attendre plus.


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Comment nous étions nous retrouvés dans cette situation tous les deux, déjà? Depuis septembre, qu'on se cherchait subtilement. Septembre! Enfin, c'est ce que je croyais, parce que de mon côté c'était ça. Avant qu'on ne se retrouve dans le même lit, toi et moi, je pensais à toi lorsque je te voyais seulement. Mais depuis une semaine, je ne te sortais plus de ma tête, bizarrement. Tu m'attirais, tu m'intriguais, tu me faisais perdre mes moyens lorsque je te revoyais et que je te voyais fuir. À chaque jour ou moment de la journée où je te voyais déguerpir dès que nos regards se croisaient, ça me serrait le coeur. Et maintenant, je t'avais devant moi, et j'avais l'impression de ne pouvoir te résister. Et lorsque tu me dis que toi non plus t'avais pas arrêté d'y penser, je me sentis comme perdre pied, comme si tout d'un coup, ça allait vraiment bien. Je n'eus pas le temps de répondre quoique ce soit que tu me fis signe de te suivre un peu plus loin, ce que je fis sans répliquer, me posant tout de même des questions. Et là, mon coeur ne fis qu'un bond lorsque tu m'attira contre toi et que tu posa tes lèvres sur les miennes. Wah, quelle sensation merveilleuse je retrouvais avec toi depuis samedi passé. C'était un baiser doux qui mélangeait quand même fougue et passion, selon moi. De mon côté, je ne pouvais résister ou te repousser : je ne le voulais pas. Je passai donc mes mains derrière ton dos pour te coller contre moi et faire perdurer ce moment. Pour quelques secondes, je reculai mon visage d'à peine quelques milimètres, les yeux fermés, et je te murmurai : « Luke, qu'est-ce que t'embrasses bien... Tu sais pas comment tu me rends fou... C'était sorti tout seul, mais c'était vrai. Mes mains parcouraient doucement son dos et ajoutai avant de poser mes lèvres de nouveau contre les siennes, ces lèvres dont je ne voulais pas me passer, présentement. « Tu veux venir chez moi...? » Je me mordillai la lèvre encore un peu, juste devant son visage. Dieu qu'il était beau, aussi!
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Apparemment, tu n'avais pas l'air contre le fait que je t'embrasse car tu me pris contre toi et prolongea ce dernier. Tu peux pas savoir à quel point la phrase que tu m'as dite m'a retourné le coeur. Toi aussi tu me rends complètement fou, complètement fou de toi. Tu me proposes alors de venir chez toi, comment je pourrai refuser ? J'ai un énorme sourire collé sur la face, et je pense pas qu'il soit prêt à dégager de si tôt.

"J'en serai ravis"

Chez toi, ça ne serait pas pareil. Personne ne serait là pour nous voir, nous juger. J'avais du mal avec le regard des gens, j'avais toujours l'impression que le moindre de mes faits et gestes était épié, jugé. J'avais grandis dans les quartiers craignos de Londres, où les gays se faisaient tabasser par les autres gars, juste parce qu'ils ne comprenaient pas que l'amour pouvait être aussi unisexe.


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Ce baiser, cette merveilleuse sensation, je savais que depuis cette fameuse nuit, ce Samedi, je ne pourrais simplement plus m'en passer. Mais je tentais de m'en passer : il le fallait, après tout. Mais là, je ne pouvais simplement pas te résister, à toi et ton approche pour m'embrasser, à sentir tes lèvres contre les miennes, ton corps collé contre le mien, tout de toi me rendait fou, en fait. Je ne voulais pas que tu partes, ça me faisait peur, là, tout de suite, alors je te proposai de venir chez moi. Je fus vraiment trop content d'entendre que tu acceptais de venir... Moi aussi, je te souriais. « Faut y retourner en moto, par contre... » J'aimais bien la moto avec lui, surtout lorsque je le sentais s'aggriper à moi, comme il l'avait fait pour venir ici.

Je te fis un dernier baiser sur les lèvres, passant ma main à la base de mon cou et me mordillant la lèvre, avant de t'emmener avec moi vers ma moto. Je te tendis le casque de nouveau, et je te fis grimper en premier avant de te rejoindre. Je la fis démarrer, et puis rouler, pour nous rendre jusque chez moi. Et puis, arrivés chez moi, je te pris doucement la main pour t'entraîner à l'intérieur. Une fois à l'intérieur, je te regardai simplement dans les yeux, souriant, mais tout de même timide un peu. T'étais si beau, en plus... Je m'approchai de toi, ta main toujours serrée dans la mienne, je pouvais pas me reculer. Non, pas maintenant.
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Tu m'embrassas une dernière fois avant de me faire monter sur ta moto. Je me serrais contre toi pendant tout le voyage, au final, c'était vraiment cool, de monter sur une moto, surtout en ta compagnie. Nous arrivions devant chez toi, et tu me fis rentrer dans cet immense apart, bien plus grands que tous ceux que j'avais vu dans ma petite vie de londonien. Ca devait être carrément diffèrent que de vivre dans les chambres des différentes confréries étudiantes. Vivre chez les Mathers était cool, il y avait toujours une bonne ambiance. Et j'avais adoré vivre chez les Lowell, les soirées musiques étaient tellement fun. Enfaite, je pense que j'aurai pas été capable comme toi de vivre seul chez moi, j'avais trop besoin des autres pour me développer dans la vie de tous les jours.

Nos mains étaient toujours serrées et je te regardais avec un sourire en coin. Je savais pas trop quoi faire, c'était une première pour moi de me retrouver chez un garçon qui me plait, et à qui je plais, après nous être embrassé. J'étais complètement paniqué intérieurement, et une petite voix dans ma tête me disait de partir en courant. Pourtant j'étais là, perdu dans tes yeux. Tu t'approchais de moi et j'en fis autant approchant mes lèvres des tiennes qui m'appelaient terriblement depuis tout à l'heure, et t'embrasser à nouveau. J'en avais trop envie, trop envie depuis des semaines, alors j'en profitais maintenant.

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Le moment était parfait. Surtout parce que j'attendais ça depuis semaine. Je me souviens encore que le matin suivant où je me suis réveillé et que tu avais disparu, sans même un petit mot, je me remémorais toute la soirée et la nuit passées, me questionnant sur ce que j'avais pu dire ou faire de mal. J'étais paniqué, vraiment. Mais là, visiblement, tu ne m'évitais pas, même que ton baiser m'avait prouvé du contraire. Je voulais t'avoir dans mes bras, là, tout de suite, si tu savais... Je voulais te faire les même chose que je t'avais fait ce samedi, mais avec plus de douceur encore. Je ne saurais expliquer ça, mais j'en avais envie. Non pas que lorsque je te voyais c'était seulement de ça que j'avais envie : ce serait faux. Mais c'était vraiment...étrange. Je t'emmenai donc chez moi, dans mon immense appartement, en te tenant la main délicatement, sans te presser. Lorsque nous fûmes rentrés, on se regardait intensément pendant quelques secondes, qui semblèrent de longues minutes. J'avais le sourire aux lèvre, quoiqu'un peu timide. « Luke, je... j'ai envie que tu restes, d'accord..? »

Je ne savais pas ce qu'il dirait à cela, ce qu'il penserait ou comment il réagirait. Mais bon, pour l'instant, c'était un autre baiser. Doux, qui semblait plus que passionné, agréable, parfait. J'étais bien, terriblement bien. Sans même m'en rendre compte, je gardai mes lèvres contre les tiennes en passant mes deux mains dans ton dos. L'une caressa doucement ton dos, l'autre agripa tes cheveux avec une extrême douceur. Je ne voulais pas me libérer de cette étreinte, pour l'instant. Dans ma tête, je me disais : reste-là, ne t'en vas pas. Entre deux doux baisers, je murmurai contre tes lèvres, descendant ma main qui était sur ton dos vers ta main, entrelaçant spontanément tes doigts. Merde, c'était étrange...mais agréable! « Je suis vraiment désolé... Mais je peux pas résister... »
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Quand tu me dis que tu voulais que je reste je répondis juste par un sourire. Je pouvais pas te promettre que j'allais rester, parce qu'une partie de moi était déjà très loin d'ici. J'avais franchement la trouille de ce qui allait se passer, parce que c'était l'inconnu pour moi, et l'inconnu, c'est franchement flippant. Tu me plaisais, ça c'était sur, et j'avais envie au fond de moi de finir cette journée dans tes bras, mais j'étais tellement angoissé de me retrouver dans cette position. Certes, c'était déjà arrivé, mais le mal de crâne que j'avais eu le lendemain signifiait bien que j'avais abusé sur la boisson et les diverses pilules.

Nous continuions à nous embrasser quand tu me glissas sur les lèvres que tu ne pouvais me résister. Il en était de même pour moi. Je répondis de la même façon que toi, juste en murmurant contre tes lèvres si douces.

"T'as pas à t'excuser, je peux pas résister non plus."

Je me décollais de ton visage, et te regardait en souriant légèrement. T'étais tellement beau, encore plus beau que dans mes souvenirs, dans ceux où je t'observais souvent pendant ces derniers mois, et dans ceux de samedi derniers, nos étreintes, nos baisers. Je savais pas trop comment me comporter là tout de suite. Et puis c'était chez toi et on était encore juste à l'entrée depuis tout à l'heure.

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Intérieurement, je ne cessais de le supplier de cette voix quasiment douloureuse de rester. Je voulais que tu restes. Depuis que je t'avais vu seul dans le parking tout à l'heure, je n'espérais que ce moment-là, puisque la simple vue de ta personne ravivait mes souvenirs. De si bons souvenirs... Je voulais à tout prix ressentir ce que j'avais ressenti avec toi grâce à toi. Même si je savais que tu étais un peu bourré cette soirée-là, il n'en reste pas moins que tu savais très bien qui j'étais, que je ne t'avais en rien forcé donc que tu étais quand même conscient et que tu t'en souvenais. Je ne sais pas si je pourrai te l'expliquer, ou comment j'en serais capable, mais lorsque tu étais parti de chez moi, une larme avait roulé sur ma joue, et c'est là que j'avais commencé à ne cesser de me remémorer cela. Bizarre? Je sais. Mais je ne pouvais rien y faire. « Je....tu.. Je te trouve craquant, tellement craquant, Luke. »

Qu'est-ce qui me prenait de sortir des conneries pareilles ? C'était vrai. Oh oui, plus que vrai même ! Tu étais craquant, totalement. Mais je l'avais dit d'un ton et d'un air si coincés, si gênés, que je me sentais carrément idiot. Je me sentais dangereusement attaché à toi là. Devrais-te laisser prendre tes distances? Je ne voulais pas t’effrayer, non plus… Tes lèvres frôlaient les miennes, et j’avais encore envie d’y goûter, mais tu te reculas, m’observant intensément. Que pensais-tu à ce moment présent? Je réalisais que le temps continuait en fait d’avancer, et qu’on n’était pas figés comme de vulgaires statues. Je te pris la main doucement en t’attirant vers le salon. Je ne voulais pas aller trop vite, non plus. Sinon, je me sentirais mal, trop pressé, et je me ferais peur à moi-même. « Tu veux quelque chose à boire, à manger? J’ai vraiment envie… Et j’ai vraiment besoin, je ne vais pas te le cacher, de parler de cette soirée avec toi. De ce samedi. Et même des derniers mois… Tu veux bien?
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Je rougis légèrement quand tu me dis que tu me trouvais craquant. C'était tellement mignon, le genre de trucs d'adolescente, mais au fond, je détestais pas ça. Et puis moi aussi je te trouvais craquant, bien plus craquant que moi d'ailleurs. T'étais le genre de mec qui avait toutes les filles, et les mecs, à ses pieds, alors pourquoi moi ? Le petit geek fêtard, passionné de musique, qui fume beaucoup trop, et beaucoup trop de trucs.

Tu voulais parler, et moi j'avais tout sauf envie de parler. Tu voulais parler de samedi et de .... Ces derniers mois. Pile le sujet que j'avais pas vraiment envie d'aborder. Je perdis soudainement mon sourire et prit un air un peu plus froid, plus stoïque. L'air que j'avais habituellement quand tu n'étais pas en train de m'embrasser quoi. Je lâchais tes mains, pour mettre mes mains dans les poches de ma veste.

"Mmmh ... Si tu veux ... De quoi veux tu parler ?"

Je me dirigeais vers le balcon, apercevant un cendrier la bas. J'avais besoin de fumer parce que je sentais que cette conversation aller me faire chier. Je poussais la porte du balcon, et m'alluma une cigarette dont j'avais tant envie. Je m'adossais à la rambarde et attendais que tu commences à parler. Moi j'avais pas trop de chose à dire. J'avais adoré ce qui s'était passé samedi, et j'avais envie d'être avec toi depuis des mois. Mais jamais je te l'avouerai, enfin, pas le premier. J'ai bien trop de fierté.



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Je crois que je me surprenais à rêver, depuis maintenant une bonne heure, et même un peu plus qu'une heure. Une heure, le temps que j'étais avec toi, maintenant. Et c'était tellement agréable. Ton baiser que tu m'avais donné. Peu m'importait si tu me l'avais donné en nous éloignant des autres. C'était juste ton baiser, ta peau sous mes doigts, et voilà. Je te regardais autant avec attention, les yeux brillants, qu'avec peur, le regard triste et paniqué. Nous étions maintenant dans le salon, à nous regarder encore, lorsque je remarquai avec effroi que ton sourire disparaissait peu à peu. Qu'est-ce que j'avais dit ? Tu sortis dehors, juste sur le balcon. Tu te trouvais dos à moi. Ma bouche s'entrouvrit, essayant de sortir un son qui resta silencieux. Je me levai du canapé pour aller me positionner derrière toi, à une centaine de centimètres de toi. D'une voix basse, je dis : « Je suis désolé, Luke... Je voulais juste te demander si... au lieu de se croiser et de se regarder dans les couloirs d'Harvard sans s'adresser un seul mot pendant des mois...Si seulement tu pouvais venir quelques fois me voir ici... Écoute, cette nuit de Samedi, elle a juste, je crois, aidé à exprimé en quelque sorte ce que nous nous échangions comme regard dans les couloirs. On est intrigués l'un par l'autre, je peux pas le nier, toi non plus, ein...? »

Voilà c'était dit. C'était lancé. Comme une bombe à retardement, en fait, qui pouvait exploser à tout moment. Mais j'espérais simplement que cette bombe à retardement exploserait très tard. Très, très tard, du genre dans des milliers d'années, bien après notre mort à tous les deux. Pas tout de suite. Dans un soupir triste, je ne voulais pas t'étouffer non plus, je m'éloignai pour aller dans le cuisine, qui n'était pas bien loin du balcon. Je posai mes deux mains sur le rebord du comptoir en penchant la tête vers le bas, les yeux fermés, respirant un coup. Il murmura presque pour lui-même quelques mots : « J'suis si con... »
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