C'est quoi cette merde ? ♥ kolizie

Mon passé me revenais alors en mémoire, à l'époque une personne très importante à mes yeux avait été à mes côtés, cette personne avait même été essentielle pour moi à l'époque, cette personne était bien sur Elizabeth, c'était elle autrefois qui me ramassait à la petite cuillère quand mon paternel ( si on pouvait réellement appelé ça un paternel, le mot géniteur lui irait beaucoup mieux ) me ruait de coups, c'était elle aussi la première à voir mes hématomes même si autrefois elle ne savait rien de la relation que j'entretenais avec mon père, je n'avais pas voulu la mettre au courant tout simplement parce qu'à l'époque et même aujourd'hui je n'étais pas fière de cette situation, et même si maintenant cela faisait déjà quelques années que tout cela était terminé j'avais toujours honte de ça, de cette faiblesse que j'avais laissé paraître. Tout chez elle, me rappelé aussi le passé, la relation que nous avions pu entretenir, cette facilité aussi que nous avions eu ... cette facilité qu'il était bien oublié aujourd'hui et surtout bien dissimulé, car oui rien n'était plus facile entre nous, même se voir tout court était devenu compliqué tout simplement car certaines personnes ne pouvait tout simplement comprendre notre relation. C'était réellement devenu dur à vivre ... mais malheureusement je ne pouvais pas arrêter de la voir, car tout d'abord elle était bien trop importante à mes yeux et que deuxième je n'aurais pas la force d'arrêter cela, nous n'aurions pas la force ... car oui dans cette histoire nous étions tout de même deux. Je l'aimais tant que je voulais retrouver son corps, mon désir était de voir nue Liz', de la retrouver toute entière une nouvelle fois ... je voulais en quelque sorte me faire pardonner de la connerie que j'avais pu faire, malheureusement aujourd'hui nous n'avions plus le droit à une deuxième chance, nous avions surement manqué cette véritable deuxième chance. « Moi aussi je t'aime...  » Je lui souris tendrement, dans un sens c'était tellement évident nous deux ... mais l'autre tellement impossible. « Tout le temps que je veux tu as dit ? » J'avais bien vu qu'elle voulait en profiter, mais nous n'aurions cependant pas un temps infini à notre disposition. « Oui dans la limite du raisonnable bien sur. »  Certes je n'avais pas envie de la quitter, mais j'avais quand même une autre vie, ma vie avec Keyla.

Cette danse des sentiments prendra-t-elle fin un jour ? Je ne sais pas. Il y avait juste toutes ses émotions, tous ses souvenirs avec lui qui remontaient à la surface pour venir me hanter, me torturer. Moi, mon cœur, mon corps tout entier. J’étais à la fois tellement déstabilisée par ses regards qu’il me lançait, mais à travers ses yeux je revoyais le jeune homme que j’avais connu, que j’avais aimé et je le désirais de nouveau. Je sais pas ce qu’il me retenait encore à lui, alors que cet amour impossible nous détruisaient, me détruisait. Il m’était impensable de ne plus le voir, de ne plus être près de lui, même si cela devenait de plus en plus rare. Même si cela en devenait de plus en plus dur et surtout interdit. On avait pris des chemins différents fut un temps, je le retrouvais même marié à une autre aujourd’hui, mais le destin semblait nous réunir de nouveau. Pour le meilleur ou pour le pire ? Je ne sais pas si c’était une chance ou non que la vie nous offrait, j’avais juste l’impression que cette seconde chance on l’avait laissé filé bêtement entre nos doigts et qu’on le regrettait à présent. Regardez-nous, on était en train de se dire ses mots doux à l’oreille, de dire toutes ses choses qu’on avait terrées trop longtemps dans le silence le plus absolu, de faire cette danse interdite. La preuve que tout cela était loin d’être terminé entre nous. Il finit par me sourire. Ce sourire qui me faisait décidément craqué. C’était fou à quel point je l’avais toujours trouvé incroyablement beau et il le restera toujours dans mon cœur. Tu veux pas qu’on aille ailleurs ? je commence à étouffer ici. lui avais-je demandé en lui prenant la main, sous prétexte, que je me sentais surtout observé, épié ici. Et qui sait Keyla ou même Milena pouvait débarquer à tout moment et nous séparer ce que nous ne voulions pas, bien sûr. Il était devenu tellement dur de nous voir que chaque minute auprès de lieu étaient précieuses.

Je ne pouvais pas imaginer ma vie sans Liz' ... qu'est-ce que je serais devenue hein ? Un pauvre type rongé par la colère ? Peut être ... car après tout c'était elle qui me ramenait sur le droit chemin la plupart du temps quand je n'allais pas bien, quand j'étais même au fond du gouffre à des moments. Mais aujourd'hui je me rendais compte que je ne lui faisais plus de mal que du bien ... c'était moi encore et toujours, moi la cause de tout ça ... Qu'est-ce que cela pouvait être difficile ... mais je l'aimais ... je l'avais toujours aimé après tout, c'était une évidence, mais aimer deux femme en même temps ce n'était pas possible malheureusement il fallait se résoudre à se tapir dans l'ombre tous les deux pour pouvoir passer des moments inoubliables comme celui-ci. Je caressais délicatement et discrètement ses courbes enchanteresses qui me renversé tout simplement la tête avec passion. On était destiné jusqu'à la fin à vivre comme ça tous les deux ? Tout était devenu aussi impossible que ça ? Je n'arrivais pas à y croire ! « Tu veux pas qu’on aille ailleurs ? je commence à étouffer ici. » Je lui souris, si elle voulait après tout et prendre l'air allé nous faire du bien. Liz' m'avait prit la main pour m'attirer loin de la foule. « Ou tu m'emmènes comme ça ? » Je me laissais porter, je lui aveuglément confiance.

Un sourire sur mes lèvres je lui avais demandé s’il voulait qu’on aille ailleurs. L’attente de ses quelques secondes pour avoir sa réponse me parut interminable, toujours dans la crainte que ce moment prenne fin trop vite. Je ne voulais pas ça, on ne voulait pas ça. Et finalement sa réponse positive ne fit que m’enchanter encore plus. Sans ajouter des mots de plus, le cœur battant, je lui avais pris la main, l’entrainant hors de la foule. Il me demanda d’ailleurs où je l’emmenais et je lui répondis un sourire espiègle aux lèvres Tu verras bien.. Peut-être l’heure de cette danse était finie, mais notre moment de complicité était loin de l’être. C’était devenu tellement dur de se retrouver tous les deux, que ses instants-là je ne voulais pas les oublier. Même s’il me faisait terriblement mal, mon cœur ne cessait de battre pour lui. Il était comme mon poison, ma drogue, qui me détruisait à petit feu, qui me faisait autant de bien que de mal. Mais je pouvais nier le fait que j’aimais qu’il soit proche de moi, que ses mots doux, ses caresses me faisaient tourner la tête et que j’en voulais à chaque fois un peu plus, un peu plus chaque seconde. Parfois mes pensées dépassaient la limite du raisonnable mais je n’arrivais plus à contrôler ses pulsions, ses envies dévastatrices. On s’était finalement retrouvé dehors, dans les jardins d’Harvard, loin de toute cette foule, loin de tout ce bruit. L’air frais de la nuit et ce ciel étoilé était bien plus agréable. On pouvait même apercevoir, non loin d’ici un petit banc. Je tenais toujours la main de mon Kol dans la mienne, comme si elle ne voulait pas la lâcher, de peur qu’il me file entre les doigts dans cette nuit sombre. On marchait et je finis par tourner ma tête vers lui, plongeant une énième fois mon regard dans le sien On est mieux ici, non ?

C'était incroyable tous ces sentiments qui pouvaient resurgirent comme ça après toutes ces années de séparations entre nous deux, j'étais carrément envoûté par le charme de la belle rousse. Je la voulais toute entière alors, c'était devenu un rêve pour moi, plus qu'un désir, un besoin. Je suivais aveuglément Liz’ qui m’avait pris par la main pour m’attirer loin de la foule, histoire qu’ont puissent respirer un peu tous les deux, et qu’ont puissent un peu plus profiter sans avoir à se cacher. « Tu verras bien.. » Je souris. Elle finit par m’entrainer jusqu’aux jardins d’Harvard, c’était vrai que la ont pouvaient effectivement tous les deux respirer. « On est mieux ici, non ? » Nos regards étaient de nouveaux plongés l’un dans l’autres, c’était incroyable cette connexion qui pouvait avoir entre nous deux, entre nos deux corps, en plus d’être émotionnelle, c’était physique. « Oui tu as raison c’est bien mieux ici ! » Je reposais encore ma main sur sa joue. Elle était belle, très belle, c’était certains.

Le secret. C’était peut-être la seule façon dont on pouvait vivre notre histoire aujourd’hui. Trop de choses nous opposées, trop de gens voulaient nous séparés, que cela en devenait insupportable. En débarquant ici, il y a quelques mois, je n’aurai pas imaginé une telle tournure à notre amitié. Je ne m’étais pas imaginée une seconde retomber sous son charme comme aux premiers jours. Peut-être que ses sentiments n’avaient jamais réellement quitté mon cœur. Notre relation se heurtait à chaque fois à un obstacle ou soit on attirait les foudres d’un de nos proches respectifs, on était peut-être maudit, mais inévitablement liés l’un à l’autre depuis la nuit des temps. C’était peut-être la mort qui arriverait à nous séparer un jour. Mon cœur avait tellement été bouleversé lorsque Kol avait été dans le coma que je ne pourrais revivre cela une seconde fois, à moins d’être complètement abattue. Notre amitié était des plus ambiguës, c’était un fait. Je semblais maladroite ou voir même hésitante à chaque fois, de peur de nous faire surprendre. J’avais l’impression de me retrouver moi, quelques années auparavant, alors que je n’étais qu’une ado… j’avais l’impression de redécouvrir Kol, comme je l’avais découvert lorsque nous étions ensemble. Et je ne pouvais nier le fait que me retrouver totalement seule avec lui, pouvait me faire défaillir à n’importe quel instant. Il allait me rendre folle à me caresser tout le temps la joue, que le rouge allait bientôt me monter au visage c’était certain. Mon regard était désespérément perdu dans celui du jeune homme. Sa main s’était posée sur l’une de mes joues alors que les miennes étaient venues se déposer autour de son cou pour être plus proche de lui alors qu’il me disait ses quelques mots. J’étais restée silencieuse, juste admirant la beauté de son visage. Je pense que je pourrais faire ça pendant des heures si je le pouvais Tu es beau Kol avais-je fini par lui dire. Oui c’était vrai, je le pensais. Je le trouvais incroyablement charmant et il le restera toujours à mes yeux.

J'étais irrésistiblement et irrévocablement attiré par elle - twilight - c'était certain, Liz' était mon premier amour, la première femme à qui j'avais offert mon cœur, moi aussi j'avais eu son cœur et je l'avais brisé en mille morceaux, je sais qu'en la trompant je lui avais fait beaucoup de mal, j'avais même cru la perdre à tout jamais ... mais aujourd'hui j'avais changé - enfin pas trop, mais un peu quand même hein - et aujourd'hui ont s'étaient retrouver enfin tous les deux à Harvard, j'avais plus jamais envie de la quitter, elle était bien trop importante pour moi, bien trop vitale aujourd'hui et si elle n'était pas la, ma vie ne serait pas aussi merveilleuse et aussi remplie qu'aujourd'hui j'en étais sur, même trop peut être car je ne devais pas oublier que j'étais un homme marié, aujourd'hui j'avais une vie, une femme, je ne pouvais pas me permettre de faire le con comme ça. A y repenser on se faisait du mal pour rien à vrai dire, car c'était évident nous deux ça ne pourra jamais plus être possible même si ont le désiraient. On était maintenant tous les deux, on s'était un peu éloigné de la foule pour allé s'installer dehors tranquillement, je comprenais Liz' on finissait par étouffer la dedans. On était de nouveau très proche physiquement, à croire que c'était une habitude chez nous deux. « Tu es beau Kol » Je lui souris, la serrant tendrement autour de moi. « Toi aussi Liz' ! Tu es magnifique. » L'alchimie était la, et à nouveau j'avais envie de l'embrasser, pour lui prouver mon amour.

J’étais envoûtée par tout chez lui. Ses traits doux, son sourire irrésistible, son regard dans lequel je pouvais me noyer pendant des heures, son odeur, son souffle contre ma peau. Tout me donnait le tournis chez le jeune homme, heureusement qu’il était là pour me retenir dans ses bras –j’avais envie de dire-. Heureusement qu’il était là tout court dans ma vie car je ne pouvais l’imaginer sans lui. Cela m’était impossible. J’aurai jamais imaginé un jour être aussi dépendante d’une personne qui vous fait autant de mal et de bien à la fois, qui vous fait autant pleurer et sourire à la fois, qui vous détruit autant votre cœur à petit feu et qui vous le fait battre à cent à l’heure en même temps. Cela semblait irrationnel mais pourtant c’était bien réel. Je pouvais sentir cette douleur profonde dans mon cœur et cette fièvre qui envahissait chaque parcelle de mon corps. J’étais à présente prisonnière dans les bras de Kol sous ce magnifique ciel étoilé, mais je trouvais cette situation des plus plaisantes, mes bras s’étaient même déposés autour de sa nuque. Mon sourire s’était encore plus agrandir sur mes lèvres à ses mots et je sentais que le rouge allait bientôt me monter aux joues si ça continuait. C’était assez difficile de se concentrer uniquement sur le regard du beau brun alors que mon corps entier me crier de l’embrasser, alors pour ne pas défaillir j’avais sortir l’excuse la plus minable du monde Quelque chose ne va pas pour que tu me regardes comme ça ?

Tout semblait ici l'endroit idéal pour apaiser ces pulsions dévorantes, qui consumaient tout mon être. Je savais très bien que cela ne se faisait pas mais mon corps ne pourrait pas résister à ses lèvres si pulpeuses et qui semblait si délicieuse. Une part de moi même ne voulait pas faire ça, ne voulait pas craquer, ce n'était pas possible, j'aimais bien trop Keyla pour ça, mais en ce moment c'était tellement la merde entre nous, que je voulais tout lâcher au moins l'espace d'un petit moment. Ici, maintenant, c'était nous, nous deux tout simplement. « Quelque chose ne va pas pour que tu me regardes comme ça ? » Je me mis à sourire, presque à rire même, car cela ce voyait, elle cherchait cette petite faille en moi, ce soir c'était peut être une autre Elizabeth que je découvert. Elle jouait, et j'aimais ça. Comme quoi, elle étaient loin de la petite fille mielleuse que j'avais connu autrefois, mais en même temps nous avions tous les deux changer après tout, c'était la vie, elle nous obligé à évoluer. « Tout va parfaitement bien au contraire. » Je décalais alors ma main qui était sur sa joue pour caresser délicatement avec mes doigts ses lèvres, j'étais effectivement à ce moment là sur la corde rouge, - je sais pas si ça se dit ça - mais après tout je m'en foutais, je voulais profiter de cette soirée.

Tout avait l’air si parfait à cet instant présent entre Kol et moi, mais tout était seulement une illusion du bonheur qu’on aurait pu avoir ensemble fut un temps. Je ne sais pas si cela me faisait plus de bien que de mal de partager ses moments presque interdit avec lui. Ils n’étaient absolument pas raisonnables, où cela allait nous mener ? Je me répétais sans arrêt cela dans ma tête mais mon cœur ne voulait pas l’écouter, plus fort que tout, plus fort que la raison en elle-même. Mais impossible face à lui, face à l’homme qui avait mon premier amour, qui m’avait fait sentir belle pour la première fois, qui m’avait sentir tellement de chose, l’amour, la passion, la haine, la jalousie, la déception. Mais ce soir, semblait être un autre soir pas comme les autres, il semblait nous offrir une seconde chance comme pour rattraper le temps perdu. Je me sentais tellement bien dans ses bras, puis son regard avait toujours été aussi beau… Tout m’envoûtait chez Kol que cela en devenait dur d’y résister. Sa main s’était finalement doucement décalée sur mes lèvres, la seule et derrière frontière qui pouvait nous séparer.Tu vas me faire perdre la tête Kol… avais-je murmuré avant d’approcher mon visage dangereusement du sien. La tentation était beaucoup trop forte, tout ça amplifié par l’envie et l’amour.