C'est quoi cette merde ? ♥ kolizie

J'étais tranquillement installé à la table, nous étions à peut prêt tous présent et rassemblé à la table. Ok c'était pas vraiment la joie entre nous tous, surtout que l'arrivé de Victoria m'avait un peu refroidit, mais je n'avais pas l'intention de faire la gueule toute la soirée, malheureusement un message me fis vite changer de tête en effet discrètement, je lu le message que j'avais reçu d'une personnes inconnu, étrange ... en effet j'avais de quoi être surpris car ce message était loin de m'avoir fait plaisir : « Inconnu ;
tu crois réellement connaitre la petite rousse qui se trouve prêt de toi à cette table numéro 8 ? Tu es loin de savoir tout ce qu'elle a pu faire ces derniers temps, en effet cette jeune femme que tu croyais aussi innocente que la vierge marie en personne et belle est bien en réalité une petit salope, et oui ta petite Liz' chérie qui semble encore ressentir quelque chose pour toi n'a trouvé qu'une seule solution pour t'oublier définitivement, coucher avec tous les mec qui croisent son chemin. Il bien loin le temps ou la belle rêvait encore de ton corps d’Apollon, aujourd'hui elle a trouvé bien mieux comme par exemple le président des Dusters, Jude Montgomery.
Digère bien petit Winthrop ! »
Non justement la je digérais pas, comment je pouvais le digérer ? Pour moi ça ce n'était pas du tout Liz' et il fallait que j'ai des explications avec elle. Je m'en foutais du regard des autres pour le coup, j'avais donc demander à Elizabeth de venir danser avec moi. Une fois sur la piste de danse, on commençait tous le deux à danser tranquillement avant que je ne prenne la parole. « Dis-moi t'aurais pas quelque chose à me dire ? » Je la regardais fixement, je n'avais pas l'attention de la lâcher.

L'ambiance était vraiment glaciale à table, qu'on se serait cru en antarctique. J'évitais absolument le regard de Keyla soit la femme de mon meilleur ami, pour éviter d'engendrer tous problèmes... Cela m'étonnait encore de voir la brunette toujours calme en ma présence. J'avais l'impression de me retrouver le cul entre de chaises, c'est le moins que l'on puisse dire. J'avais juste envie de fuir, fuir cette atmosphère oppressante, je n'aurai jamais pensé que mes retrouvailles avec Kol auraient été ainsi. Enfin depuis le début de la soirée, on n'avait pas vraiment eu l'occasion de parler. J'avoue qu'au fin fond de moi, je m'étais fait du soucis pour lui de ne plus avoir de nouvelles. Enfin c'est pas comme si je lui en avais donné de ma part non plus. Il voulait qu'on instaure cette distance entre nous mais depuis le début je savais pour moi que cela m'était impossible. Et d'un autre côté par pure politesse, je m'efforçais à rester assise sur cette chaise, puis je n'allais pas faire faux bond à mes amis lowell. C'est là, perdue dans mes pensées, contre toute attente que Kol me proposa que nous allions danser. Bon ou mauvais présage ? J'hésite un faible instant, avant qu'il ne prenne ma main dans la sienne pour m'entraîner sur la piste de danse. Je n'avais osé retourner mon regard pour ne pas m'attirer les foudres de Keyla. On danse tranquillement sur la piste, je n'ose pas vraiment le regard droit dans les yeux, repensant à toutes les conneries que j'avais pu faire entre temps. J'avais honte, énormément honte de cacher ça à mon meilleur ami. Puis là il me pose cette question piège. Instinctivement, je relève mon regard vers celui de jeune homme, hésitante. Mes mots n'osent franchir la barrière de mes lèvres Je ne vois pas du tout de quoi tu parles... avais-je minablement menti.

J’étais en colère tout simplement car elle n’avait pas à faire ça, elle était folle ou quoi ? Ok elle faisait ce qu’elle voulait j’étais loin d’être son père c’était sur mais quand même il y avait des limites. Elle était habituellement loin d’être comme ça, cette façon d’être ce n’était pas elle, ce n’était pas la Liz’ que je connaissais, loin de la. Cette danse certes n’allait pas plaire à tout le monde mais merde il fallait que je lui parle, c’était plus important que l’avis des autres sur mon comportement qui n’était de plus qu’amicale avec Liz’, depuis la dernière fois je m’étais raisonné, cette relation que nous entretenions n’était pas saine du tout pour nous deux et c’était bien pour ça que j’avais voulu instaurer de la distance entre nous deux, mais de la à retrouver ma meilleure amie de toujours ce comporter comme ça je ne pouvais pas l’admettre c’était carrément impossible. Je lui avais demandé si elle n’avait pas quelque chose à me dire par hasard, elle l’avouerait peut être d’elle-même qui sait ? Mais non c’était bien trop simple, de toute manière entre nous deux tout était d’une complexité extrême. « Je ne vois pas du tout de quoi tu parles... » Mais bien sur, elle croyait vraiment que jouer la carte de l’ignorance marcherait ? Elle était réellement stupide parfois. « Me prend pas pour un con Liz’, je te laisses encore une dernière chance, est-ce que tu as quelque chose à me dire ? » Elle avait peur de moi ou quoi ? A vrai dire elle pouvait car la c’était pire qu’une connerie ce qu’elle avait fait c’était vraiment de l’imbécilité pure et dure.

Mes mains se crispent dans les siennes à son ultime question, à cette derrière chance qu'il m'accorde. Je me sens terriblement mal de devoir lui cacher mes conneries mais j'ai pas la force de lui en parler à lui. Déjà que notre relation n'était pas au top, qu'est-ce que se sera après toutes mes confessions ? J'avais juste envie de fuir Tu veux savoir quoi Kol ? oui que tu m'avais une énième fois fait mal au coeur, que de te vois marier à cette pouffe et qu'en plus tu ne m'avais pas prévenue, moi, ta meilleure amie, que tu avais préféré faire ça dans mon dos ! Non je l'avais pas digéré. Peut-être que je ne le digérerais jamais. Oui Kol tu m'as fait terriblement mal au coeur que la seule façon que j'ai trouvé pour ne plus ressentir ses sentiments pour toi en ce moment même, c'était de me consoler dans les bras d'autres hommes. Je sais que c'était pas moi, moi la vraie Lizie que tu avais connu et que j'avais connu aussi plus jeune. Actuellement j'étais juste une Lizie, brisée, perdue et surtout stupide qui ne savait pas quoi faire dans toute cette merde.

Je savais que son comportement aussi odieux qu'il puisse être était du en grande partie à moi même, je ne pouvais m'en prendre qu'à moi même, c'est moi en partie qui avait fait naître cette Elizabeth, cette personne que je ne reconnaissait même plus. J'étais fautif, je le savais, j'étais mal, je lui faisais du mal, je lui avais fait tant de mal durant toute ces années, et même si je me promettais de ne plus jamais lui en faire, sans m'en rendre compte je lui en faisais quand même à croire que notre relation n'était plus que basé sur la souffrance, sur la douleur que l'on pouvait ressentir l'un pour l'autre, en effet j'en avais été malade de tout ça, ma descente aux enfers d'un peu plus tôt même si elle avait du au départ de ma soeur Lara, elle était aussi du en grande partie à la souffrance que j'endurais chaque jour pour luter contre les sentiments que je n'avais cessé d'avoir pour Liz'. Elle avait été présente durant pratiquement toute ma vie, nous nous connaissions par coeur, comment ne pas aimer une femme aussi extraordinaire qu'Elizabeth ? Comment ? Elle était unique, et a mes yeux elle le sera éternellement. Pourquoi c'était autant difficile, pourquoi tout ça ne pouvait pas être simple. La simplicité ... quel mot magnifique et que j'aimerais tant pouvoir dire, pouvoir prononcé quand je décrivais la relation que j'entretenais avec Liz', non bien au contraire je ne pouvais que prononcer le mot, complexité qui revenait à chaque nouvelle rencontre que nous avions tous les deux. Ce mot allé finir par me rendre complètement fou. « Tu veux savoir quoi Kol ? » Ce que je voulais savoir et bien c'était très simple. « Et bien ce que je veux savoir Liz' c'est la vérité ! » J'essayais de me calmer, je ne voulais pas plus m’énerver contre elle.

Mon regard est perdu dans le sien. J'ai peur de tout soudainement face à lui. Lui mon meilleur ami mais aussi mon premier amour avec qui j'avais tout partagé. Le meilleur comme le pire. Le bonheur comme la peine. L'amour comme la trahison. Comment on est était arrivé là pour que je lui cache de telles choses ? Oui j'avais honte de prononcer ça à voix haute, car je redoutais fortement sa réaction, déjà qu'on était au plus bas, qu'est-ce que ça sera après ? L'apocalypse ? La vérité sur quoi exactement Kol ? C'est vague c'que tu me demande J'essayais de toujours lui tenir tête, d'être forte pour ne pas défaillir. Et j'essayais de repousser ce moment tant fatidique. J'essayais de trouver des excuses en faisant mon innocente même si je ne l'étais plus trop vraiment ces derniers temps. Je nageais dans la crasse, dans la honte, la tristesse et même la culpabilité. Je m'en voulais terriblement, si vous saviez. Je m'en voulais surtout pour Kol car j'avais terriblement peur de le perdre. Je m'en voulais pour tellement de choses. Et dire que mes actes non réfléchis étaient en parti à cause de lui que ça me fendait le coeur.

Comment pouvais-je aimer cette nouvelle Liz' ? Comment pouvait-on changer à ce point ? J'étais resté moi même pendant toutes ces années - bien sur en ne comptant pas la partie sombre que j'avais vécu il y cela deux-trois semaines - mais ça bien sur Liz' n'était pas au courant et je tenais pas non plus à que ça se sache. Ce n'était pas le cas d'Elizabeth, Harvard était un lieu de vises et Liz' malgré ce qu'elle voulait paraître était une femme fragile, en pensant ça, il était vrai que j'étais un peu surprotecteur mais avec Elizabeth j'étais comme ça, et je ne pouvais me sentir que coupable de cette situation car c'était moi qui l'avait créé, j'étais le fautif, Liz' était la victime. Je ne supportais pas ça ... il fallait que tout ça s'arrête ... sinon j'allais devenir complètement fou, comment ne pas l'être dans ce genre de situation ? « La vérité sur quoi exactement Kol ? C'est vague c'que tu me demande. » Elle évitait à tout prit le sujet, ce qui était un peu normal, après tout ce qu'elle avait fait, c'était vraiment pathétique, je ne pouvais pas ne pas le penser même si c'était dur à penser. Je n'étais pas prêt de lâcher le morceau, je voulais qu'elle me le dise, elle même, en face à face. Je la regardais dans les yeux. « Tu sais très bien de quoi je parle Elizabeth, fait pas celle qui sait pas ! Maintenant dit le a voix haute ! Dit le ! J'ai besoin de savoir si c'est vrai ou pas ! J'ai besoin de savoir si ma meilleure amie à coucher avec des hommes juste pour m'oublier ! »

Ne me force pas à dire ce que je ne veux pas Kol, par pitié. Je sais que cela nous détruira encore plus, déjà que notre amitié est si fragile depuis ces dernières années, qu'à la moindre secousse, elle se brisera. Je ne veux pas te perdre, encore, je ne veux pas me sentir encore triste et brisée que je le suis actuellement. Je ne veux pas commettre les mêmes conneries que j'ai faite pendant notre break. Je ne veux plus de tout ça. Je veux juste une seule et unique chose. Nous. Retrouver notre ancienne complicité où tout allait bien, où tout était si simple. Je ressens ta colère dans le son de ta voix. Je ne t'ai encore rien avoué mais j'ai le pressentiment que tu en connais déjà une partie. C'est pour ça que j'ai autant de mal à te l'avouer. Ouais, vraiment, tu sais pas à quel point c'est dur pour moi. Et dire, qu'indirectement j'ai fait ça pour oublier mes sentiments pour toi. C'est si compliqué... J'aimerai tellement, je donnerai cher pour ce cauchemars sans fin j'arrête pour de bon. Je ne peux plus continuer ce jeu avec lui, où il va péter un câble. Ma voix est tremblante et je finis par lui avouer Oui, je l'ai fait. ça me déchirait de devoir lui dire ça pourtant c'était la triste vérité S'il te plait arrête de me crier dessus, j'ai déjà du mal avec tout ça... ouais c'était minable comme excuse.

Je l'aimais, je l'acceptais aujourd'hui simplement pour mieux l'oublier ensuite car notre amour n'était tout simplement pas possible, je ne pouvais pas mener une vie en parallèle comme ça, je ne voulais pas faire subir ça à Key' n'y même à Liz', je n'en avais pas le droit même si mon cœur était bel et bien partager entre deux femmes. c'était pour cela que j'avais voulu à tout prit instauré cette distance entre nous deux ... est-ce que cela servait réellement à quelque chose, je n'en avais aucune idée ... je n'arrivais pas à l'oublié pourtant. Et c'était peut être aussi pour ça que je n'acceptais mais pas du tout ce qu'elle avait osé faire ... coucher avec d'autres hommes tout simplement pour m'oublier c'était minable, ce n'était pas à faire ! J'avais voulu qu'elle le dise à haute voix, audiblement que je puisse l'entendre clairement, je voulais l'entendre de sa bouche, même si je le savais déjà. « Oui, je l'ai fait. » Je le voyais très bien qu'elle avait honte, je connaissais Liz', et bien sur je connaissais son caractère et ce n'était pas elle ça. « S'il te plait arrête de me crier dessus, j'ai déjà du mal avec tout ça... » Je savais très bien qu'elle n'appréciait pas ça, mais après tout c'était elle la fautive ... c'était tellement idiot après tout. « Si tu as honte Liz' c'est parce que ce que tu as fait n'est pas digne de toi, n'est pas digne de ta personne. » Je la regardais dans les yeux à ce moment la, toujours avec plus d'intensité. « Tu sais très bien que je t'aime toujours, et que ce petit temps déloignement n'y changera rien, on a vécu tellement de choses fortes tous les deux, tellement de bas, mais aussi tellement de hauts, que notre relation a deux à été magique. Je sais très bien que je ne devrais pas te dire ça, que c'est à cause de ces sentiments la que tu as fait ça, mais ce n'est pas comme ça que tu y arriveras, on ne peut pas oublié tout ce qu'on a vécu Liz', et c'est notre passé, notre présent et notre futur qui nous font ressentir ça, l'un et l'autre. Je t'ai aimé, je t'aime et je t'aimerai c'est indéniable, mais il faut tout simplement admettre la chose, on ne peut pas, c'est impossible, j'aime aussi Keyla elle est ma femme et elle le restera, mais toi tu resteras à jamais la première femme que j'ai su aimé malgré mon caractère, ma façon d'être. » dis-je tout bas, pour que personne d'autre ne puisse entendre. « Je ne veux plus que tu fasses ce genre d'erreur, est-ce que tu m'as compris ? »

Je ne savais pas comment cette danse allait finir. Mal ou bien ? Rien n'était certain avec Kol. Là j'avais juste l'impression que cela allait virer au drame. Il m'engueulait, me grondait. Je le comprenais d'un côté, mais c'était lui qui m'avait rendu ainsi. Oui j'ai honte. Tellement honte, mais je savais pas quoi faire. Je ne sais jamais quoi faire avec toi Kol. Je suis tellement perdue.. Dès que j'ai l'impression que tout rentre dans l'ordre entre nous, une bombe nous tombe dessus. Un coup tu me trompes, l'autre tu me fais un coma... J'ai vraiment cru que j'allais te perdre ce jour-là.. à jamais.. puis tu me dis que tu te maries. Comment tu veux que je réagisse face à ça ? J'ai craqué. C'était plus fort que moi, même si je t'aime toujours énormément. Plus que je ne le devrais.. ma voix tremblait à ses mots qui n'avaient jamais réellement osé franchir la barrière de mes lèvres. Comme on dit, l'erreur était humaine et je commençais à en faire une belle collection. Mais dans cette histoire je n'étais pas la seule à en faire. C'était même Kol qui avait commencé, si l'on reprenait tout depuis le début. Je restais sans mot face à ses dires, mon regard perdu dans le sien. Il ne voulait s'en décrocher. Ce qu'il me disait était tellement bouleversant. Notre relation était un peu un remake de roméo & juliette, une histoire d'amour totalement impossible. Il voulait que j'arrête de faire ces erreurs. Je lui répondis faiblement Je sais pas si j'y arriverais... Si seulement toi aussi tu me promets de ne plus jamais en faire car toute seule je ne saurais y arriver. oui on était deux dans cette histoire, liés, soudés, damnés. Puis j'avais aussi mes conditions à poser. On s'était rapproché car ce que nous disions ne devait vraiment être entendu de personne. Tu m'aimes encore Kol ? lui avais-je glissé à l'oreille. Cette question pouvait paraître flou mais en même temps tellement pleine de sens. Par là je ne lui demandais pas seulement s'il m'aimait toujours en temps que meilleure amie, ça j'avais compris que malgré tous ses hauts et ses bas, notre amitié était restée la même. Toujours aussi forte et faible à la fois. Mais il y avait toujours eu cette pointe d’ambiguïté dans notre relation, et peut-être qu'elle le restera toujours. Peut-être qu'on était damné à cet avenir depuis toujours. A cette fatale destinée. Ses mots m'avaient quelque troublée, même beaucoup, pour être tout à fait honnête. Je ne voulais pas croire, ou je n'avais pas la force d'y croire que c'était possible d'aimer deux personnes à la fois. Il venait bel et bien de me le dire. Je l'avais entendu de sa propre bouche. Je n'avais pas rêvé ?