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Ô sweet winter, let's rub out a bit of the lines drawn this hot summer ft. Joyce (16-18.12)

Ji-hun Hwang

Âge : 28
Lieu de naissance : Hamheung, ville de la région de Hamgyeong du sud. La Corée du Nord l'a vu naître, l'a élevé. Elle a forgé une partie de l'homme qu'il est aujourd'hui, mais c'est sur un tout autre continent qu'il désire construire son avenir.
Quartier d'habitation / Colocation : Il a vécu la Pforzheimer House durant une année, l'a quitté en juillet pour s'installer provisoirement chez un ami, à Chinatown, Boston, le temps de déménager dans un studio au 499 Beacon St.
Situation sentimentale : Il a retrouvé les champs, un petit peu plus d'un mois avant le printemps. Maintenant que n'existe plus de pression, la relation peut enfin préparer sa floraison ; dans une relation avec Lilia, demoiselle qu'il connaît depuis un an déjà ; 2024년 2월 16일
Études / Métier : doctorant en pharmacologie, au sein du laboratoire de l'école de médecine, il assiste également son superviseur dans ses recherches et participe activement à des conférences. En-dehors de ça, il fait du tutorat en sciences et en coréen ; ça paye bien mieux que serveur à la Luna Caffe, même si sa passion pour les latte art ne s'est pas envolée.
Date d'inscription : 16/04/2022
Pseudo & Pronom(s) IRL : Huimei (elle)
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Faceclaim : Lee Jong-seok
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Multicomptes : Soo-min Woo (Yoo-jeong Kim)
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Awards:

Warnings : régime totalitaire, sanctions (ex : camp de concentration, travail forcé, exécution publique), patriarcat social / juridique, tortures / actes de barbarie, détention provisoire, violences policières (Japon), ablation d'un rein, 18+, racisme / discrimination / bashing subis, grossesse extra-utérine de son ex-copine / maladie : insuffisance rénale.
RPS : 932
Messages : 20233
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Ji-hun Hwang
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t146845-ji-hun-hwang-lee-jong-suk#6299836Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t171640-ji-hun-hwang-x-repertoire-rps#8363822Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155646-ji-hun-hwang-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t146952-meetsachussets-jhoComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t157483-ji-hun-hwang-complement-de-personnage#7065050
Bûches rapidement déposées dans le casier près de la cheminée, Ji-hun s’occupa de ramener la bouteille sur la table et de tirer le bouchon. Bien frais, le liquide remplit deux ballons en cristal avant de voir le serveur disparaitre près de la poubelle de la cuisine où atterrirent les restes des deux cigarettes qu’il avait fumées tout à l’heure. Geste banal pour lui, mais important pour elle, qui avait très certainement vu bien plus de personnes martyriser Mère Nature que de personnes l’ayant remerciée pour ce qu’elle avait à donner. Il retira finalement son manteau, après s’être imprégné de la chaleur que transmettait le foyer en proie aux flammes. Il le déposa sur la patère avant de s’installer sur la chaise qu’il supposait être sienne – question d’habitude. Ils se trouvèrent bien vite installés l’un en face de l’autre, devant deux plats fumants qui n’attendaient que d’être dégustés. Il leur faudra encore patienter un instant avant de sentir la cuillère fondre dans la soupe ou la fourchette se planter dans la quiche, car le nord-coréen décida d’agripper le verre et de le rendre au-dessus de la table, en direction de sa partenaire de voyage.

À quoi devaient-ils trinquer cette fois-ci ? Il lui laissa le soin de choisir parmi les innombrables possibilités, parce qu’il n’était pas certain de pouvoir trouver mieux de toute façon. La banalité aurait voulu qu’ils lèvent le riesling à leurs vacances hivernales, cette pause dont tout étudiant exemplaire rêvait mais ne pouvait que rarement s’offrir – à moins de s’être terriblement avancé sur les divers projets en cours, en tirant une croix sur bien des heures de sommeil. Pour sûr, d’ailleurs, que ça avait été leur cas. Alors, oui, se féliciter du rush des derniers jours pour s’en octroyer deux, loin des tensions des objectifs à tenir, aurait pu être une option, mais la biologiste en décida autrement. À nous , répéta-t-il à sa suite, même s’il ne comprenait pas vraiment le sens de ces deux mots ; à toi, à moi – à toi + moi ? Il n’y avait pas eu grand-chose entre eux. Messages furtifs, repas pris sur le pouce, pas de quoi mériter de célébrer. Il conclut donc que ça devait faire référence aux efforts qu’ils avaient fourni au sein de leur formation doctorale, et il était d’accord avec ça. Le vin blanc toucha les papilles du brun quand, demain, le tour du vin chaud et rouge viendra.

Le cristal eut à peine le temps de résonner, et les lèvres à peine le temps de s’imbiber proprement de l’alcool que Ji-hun enchérit sur les occupations de Joyce. Façon de savoir également ce qui avait bien pu la tenir si loin de lui, mais aussi ce qu’il avait bien pu louper de sa vie. Il n’attendit pas longtemps pour se prendre tout un tas d’informations dans la figure. Tant de choses desquelles ils auraient pu parler durant des heures mais qu’elle avait préféré garder de longues semaines rien que pour elle. Tout ça…, fit-il. Et s’il avait eu plus de facilités à faire monter des sentiments, bien entendu que sa voix aurait paru amère, mais il n’en fut rien. Il était un peu triste de ne pas avoir eu l’honneur de la soutenir comme elle l’avait fait durant ses rencontres sportives, ou bien dans la préparation de ses discours ; n'en avait-il plus le droit, ou n’en valait-il pas assez la peine ? C’était compliqué à comprendre, mais ça avait été ainsi, alors… Tu y as échappé, à la mononucléose , demanda-t-il, sincèrement désireux de s’informer. On pensait souvent au contact direct qu’offrait le baiser, mais la toux et les éternuements pouvaient aussi propager la maladie; avait-elle embrassé ce garçon ?

La probabilité qu’elle se soit rapprochée d’un homme avec lequel elle travaillait n’était pas nulle, et il ne pouvait lui en vouloir. En toute connaissance de cause, le doctorant serait même heureux pour elle si elle avait laissé au passé sa rupture avec Denzel à l’aide d’un nouveau compagnon de vie, quel qu’il puisse être. Il ne la regarda pas longuement, préféra contorsionner la tête vers le feu de cheminée, auquel il tournait le dos, pour s’assurer que les rondins faisaient encore leur travail. Il observa les flammes, sans trouver que dire. Il pensa au programme qui les attendait demain. Les pistes allaient probablement les accueillir, mais pas avant d’avoir rempli le frigo du chalet. Les corvées avant, le fun après, histoire de pouvoir pleinement profiter, puisqu’ils ne savaient pas exactement quand ils pourront s’offrir de nouveau ce luxe. Tu es plutôt ski ou planche, demanda-t-il avant de reporter le bord du verre à ses lèvres. Il préférait le snowboard, se sentait bien plus à l’aise dans ses mouvements qu’avec des bâtons au bout des mains. La discussion se poursuivit de banalités, identique aux échanges qu’ils avaient connus – pas plus, pas moins, ils avaient besoin d’un bon booster.

Après le repas Ji-hun se proposa pour faire la vaisselle, Joyce n’eut qu’à laisser assiettes, couverts et plats sécher à l’air libre ou bien se munir d’un torchon, à sa convenance. Elle s’était déjà occupée de la cuisine, le biochimiste ne pouvait se tourner les pouces ; il la remercia d’ailleurs, d’avoir pensé à apporter de quoi les nourrir. L’éponge retrouva sa place et une bûche fut déposée dans le foyer afin de raviver le feu. Je vais prendre une douche, prévint-il la jeune femme après avoir remis le pare-feu. C’est par là , demanda-t-il confirmation en pointant son index vers l’une des portes fermées du logement. Ça va faire du bien, après cette longue journée , ajouta-t-il. Ils avaient tout de même dû travailler puis subir un long trajet en voiture, le corps avait besoin d’être revigoré pour qu’ils ne s’effondrent pas tout de suite. Il monta l'escalier qui menait à leur chambre, et s’installa sur le lit afin de sortir tous les éléments dont il aura besoin pour se doucher. Pyjama, serviette et produits d’hygiène. Il n’oublia pas non plus sa lame à raser parce que, depuis que l'hiver s’était installé, il avait l’impression de voir ses poils pousser plus vite – ou il avait vieilli.

Il descendit, en prenant garde à ne pas louper la descente, car ses bras étaient pris. Il croisa naturellement la silhouette de la scientifique et ne put s’empêcher de s’arrêter sur le chemin qui l’emmenait à la salle d’eau. Qui aimes les douches à deux, ce n’est pas toi, l’interrogea-t-il, étonné de la voir patienter sans même prendre de l’élan à l’y rejoindre. Il haussa les épaules ; l’invitation était lancée en tout cas. Il marcha de nouveau en direction de cette porte qu’il ouvrit et laissa entrouverte, puis trouva un emplacement à chaque chose qu’il avait apportée. Il put enfin se défaire des vêtements. Un à un, ils quittèrent la peau du brun pour finir par être logés sur un meuble de coin. À présent nu, il n’eut qu’à faire deux pas en avant pour se retrouver dans la douche italienne de la maisonnette en bois. Pas très spacieuse mais refaite très récemment. Il tourna le thermostat pour le régler à une température agréable – ni trop chaude, ni trop froide, et les jets finirent par être activés. L’eau accueillit le soupir de bien-être de l’Asiatique aussitôt qu’elle eut commencé à glisser entre les mèches de ses cheveux épais.

Alors : était-elle en couple, était-ce simplement la fin de leur relation, ou bien allait-il la voir apparaître à ses côtés pour qu'ils puissent profiter, ensemble, de ce moment de détente ?

@Joyce Millett
(Ji-hun Hwang)



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Il était vrai que les dernières semaines avaient été plutôt chargées, riche en travail pour la doctorante. Elle ne le mentionnait cependant pas nécessairement si la conversation ne s’y portait pas, n’avait pas envie d’imposer un éventuel stress à d’autres – elle avait toujours été ainsi, à bosser en silence pour cette passion qui la portait plutôt qu’à se plaindre, le seul sujet qui la faisait soupirer au long de ses études était ce qui se rapportait à la chimie et, heureusement, cela s’estompait avec le temps. Les yeux de Joyce s’illuminaient en revanche beaucoup plus facilement lorsqu’elle était en contact avec des animaux marins et il suffisait de l’embrayer sur ce chemin pour l’entendre en parler pendant des heures ; ces derniers temps, cependant, elle avait moins eu de temps à leur consacrer, hibernation de sa passion pour laisser place à des sujets plus scientifiques et terre à terre. Jay, pourtant, aurait pu être l’occasion d’en discuter avec quelqu’un d’autre que ses collègues – il avait des connaissances en sciences et en biologie, assez pour suivre ses idées. Mais la doctorante était un peu trop habituée à ses relations passées où elle n’évoquait pas vraiment ses études, que l’idée d’en parler avec lui ne venait pas spontanément s’ils n’étaient pas en train de travailler l’un à côté de l’autre. Et étant donné l’éloignement de ces derniers temps… Joyce n’a cependant pas le temps de percevoir l’amertume déguisée sous les mots avant que le sujet ne rebondisse sur la mononucléose.

– Aucune chance, je l’ai eue au lycée !

La maladie des baisers… qu’elle n’avait même pas eu par ce biais-là ! Mais plutôt parce que Kathy Fischer avait passé une semaine entière à lui tousser dessus pendant leur TP de chimie – l’histoire n’était donc même pas vraiment intéressante, mais au moins l’avait-elle eue et cela lui permettait d’y être immunisée. Elle avait, dans son malheur, eu relativement de la chance puisque si le virus l’avait atteinte, il n’avait fait que peu de dégâts. Alitée pendant cinq jours – le temps de se refaire les premières saisons de FRIENDS –, elle avait ensuite pu retourner en cours et rapidement reprendre son rythme habituel entre les sorties à l’océan et le temps passer à veiller sur sa grand-mère qui s’enfonçait chaque jour un peu plus dans la maladie.
Ça lui semblait si loin, maintenant qu’elle y repensait, comme des souvenirs qui appartenaient à quelqu’un d’autre. Plusieurs vies la séparait de cette adolescente de 16 ans qui revenait à peine de huit années en mer. Il y avait eu sa grand-mère, le lycée, l’université, Denzel, l’enterrement, son déménagement à Boston, Harvard, Denzel à nouveau, le doctorat et puis… et puis Ji-Hun ? Un instant le regard de Joyce se perde sur les lèvres en face d’elle et le velouté qui s’en approchait, avant qu’il ne tourne le visage pour observer le feu se battre avec les bûches – et indéniablement gagner – dans l’âtre.
Une question la sort de sa torpeur et il lui faut quelques instants pour saisir le sens des mots, déstabilisation qu’elle tente de masquer en soufflant sur sa soupe.

– Je n’ai jamais fait de snowboard alors je ne peux pas vraiment comparer… Note que je n’ai skié que quatre fois dans ma vie, donc ce n’est pas vraiment glorieux.

Au moins, il saurait à quoi s’attendre ; elle viserait plutôt les pistes faciles en chasse neige – surtout dans les virages – et célébrerait certainement le fait de ne pas s’être cassée une jambe avec un peu trop de vin chaud. Il fallait pourtant bien passer par là pour apprendre une nouvelle chose ; personne ne naissait sur des skis. Et la navigatrice était têtue quand elle le désirait, même si elle préférait l’eau sous sa forme liquide, elle n’était pas prête de laisser la neige l’amadouer et la pousser à l’abandon.

Après le repas vient le moment obligatoire de la vaisselle ; certes, ils auraient pu se contenter de toute empiler dans le lavabo et de repousser la chose à plus tard ; mais ni l’un ni l’autre ne sont du genre à procrastiner. Jay se sacrifie pour cette étape, mais elle l’accompagne cependant à l’aide d’un chiffon pour essuyer bols mouillés et casserole ruisselante. Bientôt il ne reste presque plus rien et elle termine de ranger les derniers couverts alors qu’il annonce vouloir aller prendre sa douche ; elle le comprend, il n’y a rien de mieux que l’eau chaude pour se relaxer.

– Juste à côté, là c’est la porte qui mène à la buanderie.

Alors à moins qu’il n’ait envie de se laver dans la machine à laver, ce n’était certainement pas le bon chemin.
Le temps qu’il monte récupérer ses affaires de douche, Joyce se permet d’explorer le chalet, repérant un placard qui contient toute sorte de jeu de société. Ici, isolés du monde et des lumières de la ville, l’envie de retourner à des plaisirs plus simples fait forcément écho.
Occupée à découvrir les différents jeux du meuble, elle n’entend son compagnon de weekend que lorsque ses mots lui parviennent, mêlé à une invitation à laquelle elle ne s’attendait pas. C’est vrai ; elle apprécie les douches avec lui – et pas seulement pour des questions d’économie de l’eau. Surprise, elle n’a même pas le temps de balbutier une réponse qu’il disparaît déjà dans la salle de bain ; cependant, l’instant de stupeur passé, elle abandonne aussitôt monopoly et autre trivial pursuit sans même prendre la peine de refermer le meuble derrière elle, afin de se précipiter à l’étage. Si vite qu’elle en trébuche presque dans les escaliers ; on dirait une adolescente qui bouillonne d’hormones et pourtant, bien plus que le côté charnel et sexuel qui découle de l’activité humide, elle entrevoit surtout là la possibilité d’un moment pour se retrouver. Eux, comme ils étaient avant cette étrange et incontrôlable fêlure entre eux.

Joyce ouvre son sac, peste un instant contre sa serviette qui se trouve tout au fond, ne songe même pas à anticiper la suite en emportant son pyjama et dévale les marches pour revenir à l’étage du dessous, tout en attachant ses cheveux en un rapide chignon. Il ne lui en faut pas beaucoup plus avant de pénétrer dans .la pièce dans laquelle règne déjà les premières vapeurs d’eau chaude.
Sans un mot, elle pose sa serviette dans un coin de la pièce, puis se dévêt rapidement avant de rejoindre à son tour la douche, proche de la nudité de cet autre corps sur lequel venait ricocher quelques gouttes d’eau avant de venir s’accrocher à son propre épiderme.

– Tu me connais bien, répond-t-elle enfin, comme si l’invitation qui avait eu lieu dans le salon venait à peine d’être énoncée.

Elle se permet alors de poser une main le long de cette joue déjà mouillée et dont elle peut presque sentir un début de barbe inhabituel chez Jay. Comme attiré par un aimant, son corps se rapproche du sien, assez près pour que ses lèvres ne soient plus qu’à quelques centimètres des siennes, essentiellement séparé par leur différence de taille.

– Je peux t’embrasser ?

Parce qu’elle a besoin qu’il se penche pour effacer cette différence entre eux ; mais aussi parce qu’avec la distance creusée ces dernières semaines, elle n’est plus certaine de pouvoir s’arroger ce droit là.
(Invité)
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Warning : nudité, rapprochement physique

Astiquer la vaisselle était loin d’être une tâche à laquelle il aimait s’adonner, mais il préférait de loin ça à la cuisine. Il n’y avait pas besoin de réfléchir, il suffisait de placer un peu de produit au centre d’une éponge et de s’organiser en fonction de la place attribuée à l’activité. C’était bien plus simple lorsque la cuisine était munie de deux bacs, mais il s’était déjà retrouvé en face d’un seul, avait dû broder pour se montrer économe dans cette situation. Là, heureusement, l’évier était assez grand pour lui permettre de passer un coup d’eau sur la totalité des assiettes et couverts, de fermer le robinet et les nettoyer un à un. Empilés de l’autre côté il n’avait plus qu’à rincer les éléments à la fin et les passer à sa coéquipière, qui avait décidé de l’aider malgré tout ce qu’elle avait fait pour faciliter leur arrivée au chalet. Le tout fut très vite rangé, moment où Ji-hun informa sa partenaire de séjour qu’il allait prendre une douche. Et s’il n’avait jamais pour habitude de rester bien longtemps sous les jets, il trouvait le moment reposant, et plus agréable encore quand sa voisine de palier l'y accompagnait – il arrivait bien mieux à trouver le sommeil après son passage dans la salle de bains.

Juste à côté, d’accord, affirma-t-il avoir reçu l’information ; effectivement qu’il ne ferait pas grand-chose dans la buanderie. Il monta doucement les marches, plus lentement encore quand il ne vit pas la silhouette de Joyce le suivre. Arrivé en haut, il fouina dans son sac sans user de gestes vifs, prit un boxer, un jogging en molleton et un t-shirt, une serviette et ses produits d’hygiène, mais toujours pas de biologiste en vue. Ça l’étonna, parce qu’elle était celle qui s’était plainte de ne plus pouvoir profiter de moments intimistes dans une douche depuis qu’ils vivaient tous deux en Maison. Il l’aurait pensé plus réactive quant à la possibilité – enfin – de pouvoir se prélasser sous un pommeau en sa compagnie. Leur dernière tête à tête ainsi dévêtus remontait à la fois où ils avaient pris une chambre dans un hôtel pour se retrouver, alors autant dire que ça datait de quelques semaines. Bras chargés, il descendit l’escalier et ne put s’empêcher de l’interpeler à ce sujet. Il lui fit la remarque, indirectement il l’invita à se joindre à lui, puis reprit le chemin jusqu’à cette porte qu’elle avait pointée tout à l’heure. Il entra, mais ne le verrouilla pas, parce qu’il restait plutôt confiant.

Affaires posées sur un meuble qui faisait l’angle, il laissa tomber pull, sous-pull, jeans, sous-vêtement et chaussettes hautes pour entrer dans la cabine semi-ouverte. Le réglage de la tête de douche était d’ores et déjà parfait pour son mètre quatre-vingt-six, il n’eut plus qu’à jouer avec le thermostat pour obtenir une eau tiède et ouvrir le robinet. La pluie s’abattît aussitôt sur ses cheveux, et ruissela sur sa peau. Il soupira d’aise, car ses muscles se décontractèrent aussitôt. Son corps tout entier s’affaissa, malmené ces derniers temps par les diverses compétitions et les entrainements qu’il suivait à la lettre – malade ou pas. Après avoir passé plusieurs mois sans activité sportive, d’environ octobre à juin, Ji-hun sentait que ses performances en avaient pris un coup. Même si elles restaient d’un très bon niveau, il fallait être aveugle pour comprendre qu’il avait vieilli et allait signer bientôt sa retraite. C’était douloureux pour un athlète de son niveau, parce qu’il était persuadé que, sans sa fuite et les problèmes de santé qui en avaient résulté, et sans cette détention aux conditions pires que médiocres, il aurait pu aller encore plus loin. Combien lui restait-il avant qu’on le vire ?

Il cessa de réfléchir lorsque la porte de la salle de bains s’ouvrit et laissa apparaître sa comparse scientifique. Il remarqua tout de suite le rectangle éponge qu’elle tenait entre ses mains, et comprit bien vite qu’elle ne passait pas simplement en coup de vent. Il fit mine que l’une ou l’autre décision lui était égale, mais à l’intérieur un large sourire prenait place. Il continua d’humidifier ses mèches brunes en passant ses doigts entre, mais il ne détacha pas son regard de son effeuillage. Sans gêne, il la regarda se déshabiller devant le lavabo, et remarqua forcément sa hâte. Avant qu’elle ne pose un pied dans la douche italienne, il prit soin de baisser le pommeau, parce qu’il se rappelait qu’elle n’aimait pas avoir les cheveux humides quand elle n’avait pas décidé de les laver. Ça prenait un temps fou à sécher, ou ça les graissait vite – des raisons de ce genre, en tout cas. Les deux anatomies finirent par se retrouver proches l’une de l’autre, et le nord-coréen fit un pas en arrière pour permettre à la jeune femme de profiter de la chaleur sous forme de gouttes. Il ne fit aucune remarque à sa prise de paroles ; est-ce qu’elle avait réussi à douter même de ça ? Bien sûr, qu’il la connaissait bien !

Il suivit le mouvement de cette main qui se posa sur sa joue, et la sensation parût différente. Pourtant il s’était rasé moins de quarante-huit heures avant ; sa personne toute entière semblait avoir gagné quelques années en peu de temps. Ses yeux se plantèrent à nouveau sur le faciès de sa vis-à-vis, tantôt dans ses pierres marrons, tantôt sur ses traits, mais lui fut paralysé, incapable de savoir où poser ses mains – incapable de deviner où ils en étaient surtout. Joyce se rapprocha, et il ne faillit pas. Il resta statique, n’offrit aucune chance à la distance, parce qu’elle avait pris trop d’avance à son goût. Il pouvait sentir le souffle de sa dame de l’eau sur le bas de son visage, la chaleur de sa peau à quelques centimètres de la sienne, et pour sûr que leurs organes vivaient fort à l’intérieur à mesure que les secondes mourraient. La question de la doctorante fut pour le moins surprenante, à tel point qu’un soupir rieur s’échappa des narines du plus grand. Il finit par tourner la tête pour en rire, obligeant Joyce à suivre le mouvement de sa main, ou à la laisser tomber sur une autre partie de l’homme face à elle. Qu’est-ce que c’était que ça, comment étaient-ils arrivés à ce point là ?

Il réfléchit, pour lui donner une réponse aussi stupide que sa question. Mais il ne trouva pas aussi absurde, alors il rebroussa chemin. Son visage fit face à celui de la scientifique et il lâcha : ani… Il secoua la tête négativement pour faire comprendre le sens de ces syllabes coréennes fraîchement prononcées ; non ? Il plongea ses billes dans celles qui luisaient devant lui, et laissa le silence s’installer. Un peu seulement, parce qu’il articula : na… haejullae*. Il voyagea d’un œil à l’autre de sa semblable, puis ses cervicales cédèrent à faire perdre de la hauteur aux lèvres du brun, qui se précipitèrent pour retrouver la bouche postée une vingtaine de centimètres plus bas. Il marqua une légère pression, resta juste le temps de s’enivrer de son odeur en une simple inspiration, puis relâcha le tout, quittant alors les lippes qu’il avait accrochées. Il ne partit pas bien loin, car l’envie de recommencer le prit aussitôt. Le peu qu’il s’était éloigné, le plus il revint à elle. Il glissa ses phalanges pliées vers la joue de Joyce, là où ses pulpes trouvèrent une épiderme et des racines de sa chevelure à caresser. Sa mâchoire s’activa pour prolonger le baiser et faire rencontrer inlassablement les chairs.

Lèvres qui furent heureuses de se retrouver, si bien qu’il fut compliqué pour Ji-hun de trouver le bon moment pour mettre fin aux retrouvailles. Il décida qu’il était temps lorsqu’il sentit son organe génital commencer à réagir à leur proximité. Doucement il cessa de déposer des bisous sur la bouche de l’étudiante-chercheuse, et posa son front contre le sien. Il pinça sa babine inférieure, laissa glisser sa paume contre le cou de la demoiselle et effleura l’arête de sa mandibule de son pouce. Tu n’as trouvé personne, alors, supposa-t-il, le sourire bloqué en coin. Et même si elle avait été en couple, pas sûr qu’il aurait pu résister à l’invitation qu’elle venait de lâcher. Il aimait l’embrasser, et ça n’aurait pas été la première fois qu’il aurait aidé une femme à expérimenter l’infidélité – la  vraie, mais il avait deviné qu’elle n’était pas de ce genre-ci. J’ai failli y croire…, avoua-t-il avant de passer ses mains jusqu’aux palmes de la jeune femme pour les agripper. Il entrelaça tous leurs doigts, monta les étreintes de chaque côté de leurs corps rapprochés, à hauteur de la poitrine de Joyce, puis les laissa s’amuser entre eux : se séparer pour mieux se retrouver, s’effleurer puis franchement se toucher.

Pour cette plausible raison, il avait respecté la distance qu’elle avait imposée plus fort dans ses messages. Il ne comprenait toujours pas à quoi ça avait rimé, et il trouva ça bien plus bête et sans queue-ni-tête encore. Tout le weekend, de te faire l’amour je vais avoir envie, maintenant , l’informa-t-il. Mais avoir envie ne voulait pas forcément dire que ça allait être le cas, il sourit plus largement alors, et autorisa sa voix grave à lâcher quelques éclats. Par cette phrase, il avouait en toute discrétion qu’il était resté loyal à leur pacte, qu’il ne l’avait pas trompée avec une autre femme même si, il fallait être honnête, l’envie n’avait pas manqué, à chaque fois que l’occasion avait pu se présenter. Façon de s’assurer que c’était vrai pour elle aussi, car ne pas avoir de copain – ou de copine, ne voulait pas dire qu’elle était restée sage tout du long. Il recula son visage, et le tourna vers le seul élément avec lequel elle l’avait rejoint. L’odeur de mon gel douche, tu l’aimes tant que ça , questionna-t-il. Un simple coup d’œil avait confirmé qu’elle avait oublié ses propres produits 100% écolo. … Et… , laissa-t-il en suspens, ne remarquant pas de vêtements de rechange

Toute nue, tu comptes rester aussi, lança-t-il ; allait-elle se trémousser dans sa tenue d’Ève devant ses yeux, à chaque fois qu’ils se retrouveront rien qu’eux deux dans le chalet, du coup ? À ses risques et périls…

@Joyce Millett

* Moi, je vais le faire.
(Ji-hun Hwang)



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Elle devait être dans la Lune pour ne même pas avoir pensé à le rejoindre. Pourtant, Joyce gardait bien en tête cette image du corps de Jay nu sous la douche, l’eau ruisselant le long de ses muscles. Des souvenirs qui étaient parfois remonté dans son esprit les soirs solitaires sous ses draps alors qu’elle cherchait de quoi se réchauffer… Ça et quelques photos et vidéos héritées de leurs précédents échanges et qui avaient l’art de l’émoustiller. Elle n’avait pas osé, cependant, se relancer dans ce genre de discussion avec lui. Parce que ça aurait sonné un peu faux avec la distance qui s’était malgré tout installée et qu’aucun d’eux ne pouvaient véritablement niée. Et puis il avait d’autres choses auxquelles penser, comme ce séminaire qu’il avait préparé avec beaucoup de concentration, sans oublier tous les événements d’Halloween et son emploi du temps chargé, notamment avec les cours particuliers donnés à Liv…
Enfin toujours est il que, étonnamment, au-delà des souvenirs, l’idée de partager une nouvelle fois ce moment avec lui dans laine réalité bien tangible est présente, ne l’a pas traversée. Peut-être une forme de timidité qui s’exprime par ce biais-là, ou simplement la fatigue du trajet. Lorsqu’il redescend cependant tout aussi calmement qu’il est monté, les marches qui mènent au salon, et qu’il lui lance cette invitation déguisée – car c’était bien cela, non, elle n’espérait ne pas se maîtriser sur la phrase lancée négligemment.

C’est à son tour de rejoindre l’étage, bien plus rapidement cependant que celui qui vient d’en descendre. Le cœur qui bat un peu trop fort à cause de l’effort imprévu et précipité, elle vide la moitié de son sac, presque comme si une explosion avait eu lieu, jusqu’à trouver tout au fond de celui-ci, sa serviette. À croire qu’elle n’a pas vraiment réfléchi en préparant ses affaires – et c’est un peu le cas, d’ailleurs. Comme, d’ailleurs, elle ne réfléchit pas beaucoup plus avant de redescendre et de se précipiter dans la salle de bain qui commence déjà à s’embuer ; elle ne pense pas à son pain de savon à la lavande, ni à récupérer le T-shirt de Harvard qui lui sert de pyjama ainsi qu’une culotte propre. L’esprit bien trop occupé à ce qu’il se passe derrière la vapeur.
Rapidement, Joyce se déshabille. Elle sent bien le regard qui se pose sur elle, pourrait profiter pour en jouer, s’effeuiller avec plus de délicatesse et de tentation, lui laisser le temps d’apprécier la lingerie soigneusement choisie le matin même – car même si elle ne savait pas dans quelle direction partirait ce weekend, elle se rappelait en revanche de la fascination du doctorant pour la dentelle ou les jeux de transparence qui mettaient en valeur les formes de son corps. Elle n’avait, ce matin, pas pu prédire avec certitude qu’elle aurait l’occasion de lui montrer cela, mais elle s’était tout de même laissée allée à choisir soigneusement ce sur quoi il pourrait bien tomber si la chaleur remontait entre eux comme cela avait été le cas par le passé. Ça ne lui coûtait pas grand chose comme effort, dans le fond, à part laisser s’épanouir l’envie de séduire ; et le moment présent lui montrait qu’elle avait eu raison de ne pas s’en tenir à des dessous plus classique…
La dentelle rejoint le sol et Joyce, enfin libérée de ces couches de tissu superflues peut poser un premier pied sur la douche délimitée par un simple changement de couleur du sol. Corps qui peuvent aussitôt se frôler, alors que sa peau déjà humide ne tressaille pas tandis qu’elle se rapproche, toujours plus près, et que sa main remonte en direction d’une joue qu’elle caresse avec douceur. Picotement sur l’épiderme sur lequel fleurit à peine une jeune barbe dont elle moins l’habitude sur lui – peut-être la volonté de tenter quelque chose de nouveau, ou alors simplement un manque de temps, un oubli… Là n’était pas le sujet, le sujet était les lèvres hypnotiques et pourtant un peu trop loin, séparées de sa bouche par vingt bon centimètres qu’elle ne pouvait pas effacer toute seule, même en se dressant sur la pointe des pieds. Alors elle quémande plus qu’elle ordonne, un baiser et l’univers retrouvera peut-être tout son sens. La question, cependant, n’a pas véritablement l’effet escompté ; c’est plus un rire qui passe sur les traits de Jay et, si la réponse est en coréen et lui échappe, le mouvement négatif de la tête en revanche ne dissimule rien. Une myriade de sentiments affleurent sur le visage de la femme ; décontenance, surprise, vexation, déception, une pointe de tristesse également. Esquisse passagère cependant, puisque le temps s’accroche encore à quelques mots dans la langue a de son vis à vis, quelques coup d’œil qui dessinent une arabesque entre ses deux prunelles avant qu’enfin il ne se penche dans un geste sans équivoque. Joyce n’a que le temps de fermer les yeux avant de sentir frémir un baiser sur sa bouche ; agréable moment, trop court malheureusement. Cependant ils n’ont que le temps de reprendre leur souffle qu’il l’embrasse à nouveau, bien plus prononcé et ancré cette fois-ci. Joyce aurait pu s’y accrocher toute la nuit, oubliant l’eau qui voulait et son habitude pourtant de l’économiser, oubliant qu’une partie de son dos était exposé aux courants d’air mouillés de la pièce. Jay rompt cependant une seconde fois le contact et ce n’est qu’alors seulement qu’elle sent que son cœur s’est emballé – et cette fois-ci ce n’est pas parce qu’elle a monté trop vite des marches d’escalier.

Souffles entrelacés, elle savoure ce moment, leur front qui se touchent, les doigts du biochimiste qui se perdent dans son cou et les étranges dessins qui tournent sur la transparence désormais un peu plus opaque des vitres qui délimitent l’endroit. Si elle avait trouvé quelqu’un d’autre ? Bien sûr que non, elle n’avait besoin de personne d’autre, c’était ça la vérité, celle qui la prenait aux tripes d’honnêteté. Et lui qui avait pu imaginer cela, qu’avait-elle fait de faux dans toute cette histoire, était-ce ça ce sentiment angoissant d’éloignement qu’elle avait ressenti dernièrement ? Pensait-il qu’elle avait quelqu’un d’autre dans sa vie ? Qu’en elle avait éclot des sentiments pour un autre corps, pour d’autres rires ?
Pas si loin, pourtant, de la vérité, car des sentiments étaient bien apparu allant chiffon toutes les règles posées.

– Il n’y a personne.

C’est à son tour de hocher la tête alors que la phrase se termine toute seule dans sa tête : personne d’autre que toi. Que les fantasmes de leur corps réunis, ceux que même la distance n’a pas réussi à effacer. Personne dans le cœur ou sur son corps – personne même sur ses lèvres depuis un moment où elle avait voulu se prouver une absurdité qui n’avait résulté qu’en un cruel échec. L’exclusivité, en tout cas, était bien loin d’exploser pour sa part ; et ce n’était certainement pas elle qui serait contre l’idée de faire l’amour tout le weekend, quitte à oublier le ski – partie pendant laquelle elle risquait surtout de récolter des hématomes à force de tomber. Après tout, le lieu s’y prêtait…

– Quand tu veux… murmure-t-elle dans un sourire enjôleur.

Avoir son odeur collée à la peau… littéralement même , puisqu’il lui fait remarquer son omission au sujet de ses produits de toilette. Descente trop précipitée dont elle prend conscience à présent, oups articule sur ses lèvres contrites ; il faut dire que ce n’est pas la première fois qu’elle empruntera son gel douche. Et l’odeur qui s’en dégage a des arômes rassurants dans sa mémoire, sorte de savon de Proust…
Ce n’est cependant pas la seule chose qu’elle a oublié d’emporter dans la salle de bain, et la proposition de Jay lui tire une moue qui frôle la luxure.

– Peut-être bien…

Libérant ses doigts, elle laisse l’une de ses mains remonter derrière la nuque du sportif, pendant que l’autre passe dans son dos, juste au-dessus de ses reins.

– C’est un problème ?

Et si sa moue tend vers l’innocence, son ton lui ne dissimule rien de ses véritables intentions.
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Ji-hun Hwang

Âge : 28
Lieu de naissance : Hamheung, ville de la région de Hamgyeong du sud. La Corée du Nord l'a vu naître, l'a élevé. Elle a forgé une partie de l'homme qu'il est aujourd'hui, mais c'est sur un tout autre continent qu'il désire construire son avenir.
Quartier d'habitation / Colocation : Il a vécu la Pforzheimer House durant une année, l'a quitté en juillet pour s'installer provisoirement chez un ami, à Chinatown, Boston, le temps de déménager dans un studio au 499 Beacon St.
Situation sentimentale : Il a retrouvé les champs, un petit peu plus d'un mois avant le printemps. Maintenant que n'existe plus de pression, la relation peut enfin préparer sa floraison ; dans une relation avec Lilia, demoiselle qu'il connaît depuis un an déjà ; 2024년 2월 16일
Études / Métier : doctorant en pharmacologie, au sein du laboratoire de l'école de médecine, il assiste également son superviseur dans ses recherches et participe activement à des conférences. En-dehors de ça, il fait du tutorat en sciences et en coréen ; ça paye bien mieux que serveur à la Luna Caffe, même si sa passion pour les latte art ne s'est pas envolée.
Date d'inscription : 16/04/2022
Pseudo & Pronom(s) IRL : Huimei (elle)
Icon : Ô sweet winter, let's rub out a bit of the lines drawn this hot summer ft. Joyce (16-18.12) - Page 2 63dcf3a9b9de4d6723a9c5c91e63d0f83fef53f6-gifv
Faceclaim : Lee Jong-seok
Crédits : meteoraa (avatar) onlyjongsuk (gif)
Multicomptes : Soo-min Woo (Yoo-jeong Kim)
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Description (2) :
Awards:

Warnings : régime totalitaire, sanctions (ex : camp de concentration, travail forcé, exécution publique), patriarcat social / juridique, tortures / actes de barbarie, détention provisoire, violences policières (Japon), ablation d'un rein, 18+, racisme / discrimination / bashing subis, grossesse extra-utérine de son ex-copine / maladie : insuffisance rénale.
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t146845-ji-hun-hwang-lee-jong-suk#6299836Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t171640-ji-hun-hwang-x-repertoire-rps#8363822Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155646-ji-hun-hwang-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t146952-meetsachussets-jhoComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t157483-ji-hun-hwang-complement-de-personnage#7065050
Warning : nudité, rapprochement physique, mention : sous-entendus violences conjugales
Les lèvres se défirent progressivement, laissant la possibilité aux fronts de se souder à leur tour. L’inférieure fut prise entre les dents découvertes par un sourire joyeux, puis la chair fondit au ralenti pour retrouver sa liberté. Les doigts de la main droite quittèrent la joue et la naissance des cheveux de Joyce pour se loger dans le cou où chaleur résidait continuellement, et sous les nerfs de la paume Ji-hun put sentir le sang pulser dans l’artère, et ainsi deviner les battements du cœur ; le baiser avait fait son effet. Le pouce cajola la mâchoire de va-et-vient tendres et réguliers, et le silence s’installa pour les laisser profiter pleinement de ces retrouvailles, et de la proximité. Le brun n’aurait pourtant pas parié dessus, et ce même s’il l’avait ardemment désiré. Des scénarios avaient fait le tour dans sa tête pour expliquer la rupture brutale qui s’était faite entre elle et lui, dont celui du nouvel homme qui aurait apparu dans sa vie. En soi, ça n’aurait pas été une mauvaise nouvelle, car les règles étaient telles qu’ils étaient préparés à cette éventualité, mais il se serait attendu à ce que ça lui soit annoncé.

Pourtant, les histoires vécues avec Misty puis Aya lui avaient prouvé que la communication ne semblait pas être de coutumes sur le continent, alors il s’était fait une raison. Jusqu’à maintenant où, posté face à la demoiselle, il ne put s’empêcher de poser la fameuse question : tu n’as trouvé personne, alors ? Interrogation qui sonnait à moitié comme une évidence, parce qu’il ne pouvait imaginer Joyce se ruer sur ses lèvres alors qu’elles étaient réservées à un autre. Il avait compris qu’elle avait été très attristée par la trahison de son ex-compagnon, supposait donc que la jeune femme ne pourrait se permettre de faire vivre ça à une autre – mais là encore, comment en être persuadé ? Posée, qu’importait à présent la réponse. Le nord-coréen ne se sentirait pas honteux d’avoir appliqué ses chairs contre celles d’une femme en couple. C’était arrivé maintes fois par le passé, avec des jeunes demoiselles prêtes à se marier, d’autres plus mûres, épuisées par les comportements abusifs et violents de leur époux. Elles n’avaient jamais murmuré leur douleur, tout s’était fait par le regard.

Langage corporel qu’il était parfois plus facile d’interpréter que les mots. Ji-hun ne s’était jamais montré curieux avant d’être « libre » , mais il n’était pas assez bête pour ne pas comprendre ce qui poussait ces dames à fauter – et peut-être qu’il serait devenu comme ces hommes s’il n’avait pas quitté son pays, qui savait ? Il ne jugeait pas – ne jugera pas – parce que sa fierté masculine de la savoir revenir auprès de lui l’emportait sur tout le reste. La doctorante répondit et un souffle chaud épousa l’épiderme de son visage. Personne, répéta-t-il avant d’humidifier ses lèvres de sa langue, j’ai failli y croire. Tout supposait que ça avait été le cas, mais il était heureux de constater que les choses n’étaient pas encore terminées pour de bon, qu’il y avait encore un espoir de reconquérir le corps de sa dame de l’eau. La promiscuité et le baiser étaient déjà deux pas de réalisés vers cet objectif en tout cas. Il prit possession des doigts de l’étudiante-chercheuse, et les leva dans les airs pour jouer avec, d’une manière bien plus sensuelle que la fois où elle s’était permise de le faire.

Moment où, nez contre nez, il avoua sans détour qu’il aura envie d’elle. L’éloignement avait épuisé la flamme, et il avait pu faire sans ce rapprochement de leurs anatomies ces dernières semaines, se satisfaisant des photos d’elle – et parfois d’autres – uniquement. Il n’avait pas senti la pulsion le gagner lorsqu’ils s’étaient retrouvés à marcher le long de l’océan, ou lorsqu’ils s’étaient retrouvés pour manger. Pourtant, bon nombre de fois il aurait aimé être plus inventif pour lui proposer une autre alternative aux rendez-vous près de la machine à cafés. Oui, un bon nombre de fois… Alors il ne loupa pas l’occasion de s’exprimer, et il fit bien parce qu’il se prit dans la face comme une bouffée d’adrénaline ; « quand tu veux. » Ils avaient déjà pris des douches ensemble, s’étaient touchés et massés durant celles-ci, mais ils n’étaient jamais allés plus loin dans une cabine. L’idée émergea forcément dans l’esprit de Ji-hun, mais est-ce-qu’il était bien venu de brûler les étapes ? Il préféra faire remarquer l’absence de son produit d’hygiène et de ses vêtements de rechange, en rit et…




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Comment imaginer une autre personne, un autre corps se glisser entre ce qu'ils avaient ? Elle s'en sentait incapable, parce que quelque chose avait résonné en Joyce, une attirance qui allait bien au-delà du physique ; elle trouvait en Jay une sorte d'équilibre et c'était peut-être naîf de le concevoir ainsi, mais c'était un fait. Il la tirait vers le haut dans bien des domaines et elle appréciait sa présence et son attention permanente. Ca ne ressemblait peut-être pas au coup de foudre comme dans les films d'amour ou les romans qu'elle lisait, et c'était peut-être justement pour cela que c'était mieux, parce que les sentiments qu'elle ressentait s'étaient construits sur quelque chose de tangible et de réel, les avaient pris pour fondation. Mieux, mais aussi plus délicat, car elle ne savait pas ce qu'il en était de son côté ; ce n'était pas une question de passion et de chair - parce que, physiquement, ils se plaisaient, amicalement aussi d'ailleurs -, mais toute l'interrogation résidait dans ce que, lui, pouvait bien voir en elle. Si elle pouvait être plus que cette amante passagère, cette histoire figée dans leur jeunesse, un souvenir qu'il recroiserait chaque Chilseok avant de l'oublier pour partir dans une autre vie qu'il évoquait parfois ; celle où il se mariait avec une femme un peu plus jeune, dans une relation plutôt conventionnelle, mais plus tard parce qu'il devait d'abord terminer ses études. Joyce, elle, n'en savait rien si elle désirait un jour épouser quelqu'un ; elle ne savait pas non plus si elle voudrait avoir des enfants, fonder une famille - parce qu'il faudrait alors quelque part renoncer à certains de ses rêves, les écorcher pour un temps en tout cas. C'était flou l'avenir et elle n'était pas du genre à faire des plans sur la comète ; des plans tout court.
Pourtant, pourtant, le présent lui était bien ancré d'une certitude : elle le désirait bien plus qu'amicalement, elle s'était attachée et il n'y avait personne d'autre ; il n'y aurait personne d'autre. C'était lui et c'est tout.

- Personne, répète-t-elle, comme une confirmation.

Et s'il a failli y croire, c'est qu'elle devait avoir merdé quelque part, c'est qu'elle avait mal géré, mal considéré cet éloignement aberrant entre eux, cette faille qui creusait son coeur. Haley avait eu raison, un mois auparavant, quand elle lui avait conseillé de lui parler de ses sentiments. Joyce aurait dû le faire plus tôt, mais c'était délicat comme histoire et, mine de rien, la présence de Liv dans tout cela n'avait en rien aidé. Plus de stress qu'autre chose, et une pointe acérée de jalousie pour la biologiste qui avait pris sur elle au début avant de tout avoué - ce qui n'avait en rien aidé les liens à se rapprocher... Pourquoi est-ce que ces histoires étaient toujours aussi compliquées ? Jay aurait pu, lui, la laisser pour une autre, que ce soit la fille de sa marraine ou une inconnue rencontrée en boîte ou ailleurs... Comment aurait-elle pu alors le supporter ?

Nez contre nez, corps si proche qu'ils se frôlent, fantasme qui éclosent. L'envie émerge entre eux et se confirme sur la musique de leurs mots. Il désire lui faire l'amour tout le weekend ; elle l'y autorise parce que le feu brûle fort en elle. Elle a envie de ça, qu'ils puissent enfin se retrouver et quoi de mieux que cette intimité qu'ils maîtrisaient si bien pour cela ?
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