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sierran ☽ how to save a life

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des messages inquiétants de sa part et ça me fait bondir. j'avais pas prévu de bouger de mon canapé ce soir. à boston le froid commence à s'installer et je préfère largement m'enfermer chez moi plutôt que de trainer ma carcasse dehors juste histoire d'être dehors. mais quand il s'agit de sierra, de sa vie, de la protéger, y'a pas à réfléchir. en un éclair je suis habillé et dans ma voiture entrain de conduire en direction de chez la mère de sierra, bonnie. persuadé que bonnie l'a encore appelé parce qu'elle avait besoin de thunes et que sierra a rappliqué comme souvent. mais ce soir, sierra elle a pas l'air dans son assiette. un truc qui cloque. un truc qui sent vraiment pas bon et qui me fait dire qu'elle a besoin d'aide. ses messages sont comme des appels à l'aide, dissimulé par son envie de me repousser. sur le pas de la porte, j'espère à la fois que je la trouverais ici et à la fois qu'elle n'y soit pas. je ne sais pas ce qui serait la meilleure solution. une inspiration et je tape deux coups sur la porte.

@Sierra Brekker
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tw : mort - drogue

abandonnée. par mes émotions, mes principes et même mes rêves. j'ai tout cédé, j'ai laissé la place à la douleur et à la tristesse. contre coup des derniers évènements qui me reviennent en pleine figure, j'ai besoin de faire le vide. c'est ce moment là que Bonnie choisi pour débarquer à nouveau dans ma vie. les mêmes erreurs qu'elle répète encore et encore, feignant de vouloir avoir de mes nouvelles alors que la seule chose qui l'intéresse réellement c'est l'argent de poche que je vais pouvoir lui donner pour payer sa prochaine dose. mais cette fois je me sens si seule que j'accepte d'aller chez elle et de lui parler de Kale, du trou béant que j'ai dans ma poitrine depuis qu'il est mort. je lui parle de la peine qu'Alec me fait à ne pas comprendre que j'étais prête à me battre pour lui quand lui préfère baisser les armes et déserter. j'évoque les sentiments que j'ai à ton égard, ceux qui me sont revenus en pleine face quand je pensais avoir tourné la page. et contre toute attente elle m'écoute, caresse doucement mes cheveux quand je me mets à pleurer avant de me dire que j'ai besoin d'une nuit de lâché prise. et j'acquiesce. parce que j'ai tout essayé et rien n'apaise la douleur à part être dans tes bras. mais j'ai bien compris que ce n'était pas possible ni ce que tu voulais. Bonnie invite "quelques" amis à elle et très vite les pièces de l'appartement sont partagés entre ceux qui avale de la mdma pour danser sur de la musique forte, ceux qui préfère boire tout et n'importe quoi et ceux qui discute sur le canapé en se tapant un rail de coke. j'ai conscience du problème de la situation. en tant que citoyenne, que fille, que flic. mais la femme en moi est tellement perdue que j'imagine judicieux de tenter de la retrouver en baissant la tête sur la table basse du salon pour snifer un fix de coke. mon nez que touche en inspirant bien fort avant de m'adosser au canapé et de laisser mon esprit divaguer. c'est quoi ? le deuxième de la soirée ? j'ai perdu le compte. et quand ça tape à la porte, Bonnie me fait signe de rester tranquille, de profiter, qu'elle s'en occupe. complètement défoncée, j'essaie de soutenir le regard du mec à côté de moi mais j'ai l'impression que tout bouge trop vite, que les formes de mon environnement se font et se défont. il s'approche de moi, embrasse mon cou et même si j'en ai pas envie, je suis incapable de me pousser. de toute manière il me reste quoi ? ma super amitié avec Simeon. sauf qu'il n'est pas là. alors je pose ma main sur la cuisse de ce mec que je connais pas du tout, pour lui dire "allez vas-y mon gars, t'as quartier libre, je m'en fou". ses doigts qui se mêlent à mes cheveux et contre ma poitrine avant que sa bouche n'atteigne la mienne. je sais pas ce que je fous, surement de la merde, mais je le fais.

@Ilan Vanderbilt

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tw: drogue

j'ai pas réfléchi quand j'ai compris. je suis parti, bille en tête de la sortir d'un merdier très probable. je connais assez bonnie pour savoir ce dont elle est capable. je sais que sierra n'est que son objet d'intérêt et qu'elle n'a guère de compassion pour sa fille. tout l'inverse que ce que j'avais connu. une famille soudée et aimante. sur la route, j'avais émis à moi même un tas d'hypothèse du pourquoi du comment sierra s'était retrouvée là-bas. de ce qu'il pouvait être entrain de se passer. j'étais déjà énervé avant même d'avoir foutu un pieds chez bonnie. un quartier pourri, où les dealers trainent et sont à l'affut du moindre flic ou tête inconnue. bingo, je fais parti des deux catégories. après avoir tapé à la porte deux coups secs, j'ai pas attendu longtemps pour qu'on vienne m'ouvrir. un nuage de fumée accompagné de la musique assourdissante se présentent à moi ainsi que.. bonnie, elle même. je souffle longuement en la voyant, je vois à son expression qu'elle est défoncée. bonnie, fais sortir sierra de ce bordel lui lançais-je d'un ton très sérieux. si je pouvais éviter de rentrer là dedans, c'était bien. mais je savais bien que ça ne serait pas gagné d'avance.

@Sierra Brekker
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tw : drogue


l'atmosphère devient pesante et je commence à avoir du mal à respirer. surement à cause du mec pendu à mes lèvres depuis dix minutes, commençant à me grimper dessus. seulement voilà je réagis pas. la drogue qui s'infiltre dans mon organisme et m'empêche de réfléchir correctement. je veux juste que la douleur s'arrête. et quand il m'embrasse, même si je déteste ça, je pense plus à rien d'autre. alors je l'empêche pas de continuer. pendant ce temps Bonnie est allée ouvrir la porte et c'est face à toi qu'elle se retrouve. étonnée de te revoir après tout ce temps. c'est pas une mère aimante, c'est même pas une mère en vérité. alors tu l'a pas vraiment vu pendant les repas de famille du dimanche. t'as dû la croiser deux ou trois fois quand elle venait à la sortie du boulot me demander de l'argent ou cracher sur Hamilton comme quoi il lui avait volé son enfant. Ilan.. qu'est-ce que tu fais là ? qu'est-ce que tu veux ? qu'elle demande, le visage fermé et provocateur en même temps. « je vois pas de quel bordel tu parles. Sierra a besoin de décompresser et je l'aide. t'es la raison pour laquelle est a débarqué chez moi en pleurant. t'as rien à faire ici » qu'elle te claque dans la gueule. elle joue les mères protectrices et présentes. la vérité c'est que ça l'arrange que je sois son pantin, elle se sent moins seule dans ses conneries. et elle sait que je serais là pour payer la drogue. elle jette un coup d'oeil derrière elle et me voit sur le canapé avec John Doe. elle sourit avant de te pousser à reculer. « rentre chez toi. elle a pas besoin de toi » qu'elle lâche avant d'ouvrir un peu plus la porte d'entrée pour que tu me vois, embrassant ce mec sur le canapé de ma mère, l'odeur de la weed et de l'alcool qui plane, les sachets de coke sur la table basse.


@Ilan Vanderbilt

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rien d’étonnant de la part de bonnie que le boucan et les odeurs suspectes qu’il en ressort de son logement. ça sent tellement la weed que je pourrais presque être défoncé aussi. vu le bruit, je me demande si les voisins sont pas tous chez elle ou s' ils ont trop peur d’elle pour dire quoi que ce soit. quartier de merde. je plains les gens lambda qui se retrouvent à vivre avec ce genre de personne autour d’eux. je pense aux gosses de ce quartier qui côtoient les dealers et les toxicos, qui jouent entre les seringues et les flashs de vodka. aussi bien accueilli que je l’imaginais, bonnie me toise. la mâchoire qui se serre pour canaliser les nerfs qui montent. elle m’exaspère et j’ai passé le stade de prendre des pincettes avec elle. d’autant plus lorsque je sais qu’elle fou sa propre fille dans la merde. je t’ai dis ce que je voulais: sierra. je réitère ma demande, sans une once de gentillesse ou de politesse. je voudrais pas déroger aux bonnes manières, mais elle me pousse dans mes retranchements. provocante, arrogante. j’ai aucune confiance en ses dires et même si j’ai conscience de pouvoir faire de la merde des fois avec sierra, je doute qu’elle se soit mise dans cet état uniquement à cause de moi. elle ouvre un peu plus la porte laissant apparaître au grand jour l’état de l’appartement. yeux plissés, lèvres pincées, je me retiens de pas l’insulter, bonnie. te fou pas de moi, elle a rien à faire ici bonnes manières oubliées, plus de retenu mais juste les nerfs qui lâchent. je peux pas regarder ça et la laisser. instinct de sauveur, comme toujours. elle pourra me détester autant qu’elle voudra après mais j’aurais la conscience tranquille. je pose ma main sur la porte que bonnie s’apprêtait à me fermer à la gueule et je fou un pied dans l’appartement sans qu’elle m’est autorisé. t’avises pas de m’empêcher de faire quoi que ce soit sinon dans cinq minutes t’as une patrouille qui débarque pour tous vous foutre en taule des menaces que je peux rapidement mettre à exécution si elle fait quoi que ce soit. j’avance d’un pas déterminé vers sierra et surtout vers le mec qui semble pas capter que son comportement est déplacé. dégage toi, va te défoncer dans les chiottes je l’attrape et le fou plus loin sur le canapé. viens là dis-je en m’adressant à sierra que je m’apprête à porter.

@Sierra Brekker
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je n'ai aucune idée de ce qui est en train de se passer, à l'entrée de cet appartement. dans ma tête, un tri à été fait. après nos messages, j'ai juste abandonné. j'ai préféré oublier ton nom, ton visage et ce que je pouvais ressentir pour toi. j'ai préféré me dire que j'étais seule et que je devais me prendre en main plutôt que de continuer à être accro à toi. je dois arrêter tout ça Ilan. je peux plus t'aimer à ce point là parce que ça me détruit. petit à petit je commence à entendre le ton monter entre Bonnie et toi dans l'entrée. j'entends ta voix qui s'élève et j'ouvre les yeux pour te voir débarquer dans le salon.  Ilan non ! sors de chez moi ! que j'entends ma mère hurler. soudain le mec accroché à ma bouche se retrouve expédié à l'autre bout du canapé et moi je peine à comprendre ce qu'il se passe. « non je vais nulle part » que je te lâche. « je t'ai dis de pas venir Ilan, t'as rien à faire ici » je me lève non sans mal du canapé et j'attrape une bière au passage que je descends à moitié rapidement avant de la poser sur la table. « allez rentre chez toi c'est bon » c'est plus facile de te repousser, c'est plus simple de faire ça que de devoir me heurter à tout ce que tu représentes pour moi.



@Ilan Vanderbilt

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vaste scène de ménage qui se profile. bonne hurle, sa voix rauque de fumeuse n’atteins à peine mes oreilles. je fais abstraction de tout à ce moment, sinon je vais vriller. pas me retenir et tous leur foutre mon poing dans la gueule. ils sont tous complices de ce qu’il arrive à sierra. complices de la laisser se foutre le nez dans la poudre blanche qui enduit la table. elle me repousse sierra, m’indiquant bien qu’elle voulait pas me voir. j’en avais pas grand chose à faire de sa volonté. elle était défoncée et je la laisserais pas ici, pas comme ça. elle se lève, titube, chope une bière qu’elle siffle en grande partie. putain. c’est moi, le mec qui boit, qui ait envie d’éclater cette bière au sol pour pas qu’elle en touche encore une goutte. canalise toi, ilan, canalise toi. tu crois que je vais te laisser ici ? tu me connais pourtant, tu sais que ça arrivera pas. je vais pas te laisser te détruire non. et même si je suis l’objet de ton mal. je lui attrape des mains la bouteille de bière et de manière plutôt brutale, je la pose sur la table ce qui fait mousser le restant et la fait déborder. t’as envie de quoi en restant là? perdre ton taff si y’a quoi que ce soit ici ? te faire violer par un sombre… déchet ? je la regarde se traîner difficilement pour sûrement me pousser jusqu’à la porte et de l’autre côté, je sens une main se poser sur mon bras. quand je détourne le regard de sierra, c’est bonnie qui se trouve à ma droite pour m’inviter aussi à regagner la sortie.

@Sierra Brekker
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me fais pas ça Ilan, m'oblige pas à faire un moove à la Alec. me force pas à devenir méchante, à te forcer à dégager d'ici. laisse moi dans ma merde, laisse moi ici et casse toi. j'ai du mal à me diriger, je me sens complètement dans un autre espace temps. les murs ondulent, les gens ont des visages qui me font parfois peur, tout devient de plus en plus sombre et dans les ténèbres de mon esprit, une lumière blanche puissante enveloppe ton corps. j'ai l'impression de devenir folle, comme si ma tête essayait de me faire passer un espèce de message presque religieux, qui se traduirait littéralement par : tu es l'ange de ma vie. je secoue la tête, me répétant que tu dois sortir d'ici et me laisser tranquille. « pourquoi t'écoutes jamais ce que je te dis hein ? putain tu me fais chier Ilan » je sors des billets de la poche et les poses sur la table. « tiens Bonnie. désolée pour lui » que je lance en attrapant ma veste. je te connais par coeur, je sais que tu ne céderas pas tant que je ne partirais pas avec toi. et je ne suis clairement pas en état de laver mon linge sale en publique. tu vas me ramener chez moi, je vais me refaire un rail et attendre de redescendre. j'attrape d'ailleurs un petit pochon qui traine sur la table, le fou dans ma poche avant de m'avancer vers la porte d'entrée. je t'appelle demain ma chérie petit signe de la main à ma génitrice et je sors de l'appartement.



@Ilan Vanderbilt

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j’ai l’impression d’halluciner en voyant sierra déposer une liasse avec quelques billets sur la table. elle ne changera donc jamais. finalement, elle comme moi, on a tous les deux nos vieux démons qui nous hantent. je dirais rien à ce sujet, elle risquerait de se braquer, encore plus qu’elle ne l’est. c’est déjà à ma grande surprise qu’elle accepte d’être raisonnable et de sortir d’ici. je l’observe mettre un pochon de cocaine dans sa poche mais à nouveau, je ne réagis pas. on verra ça plus tard. je lui emboite le pas pour sortir d’ici. un regard noir jeté à bonnie pour en dire long sur ma pensée et elle claque la porte à peine à l’extérieur. je me retrouve seul avec sierra, dans la pénombre, un seul lampadaire qui clignote comme éclairage. ambiance plus que glauque, faut qu’on se tire. avance que je lui lance pas très sympathiquement il faut le dire. on va aller chez moi. froid, distant, j’ai tellement de colère qu’elle se soit infligée ça, que sa propre mère la relègue après sa cam. je suis blessé pour elle mais soulagé qu’elle soit en sécurité avec moi. monte dans la voiture et prends ça je lui fou un sac en papier dans les bras, histoire qu’elle vomisse pas partout dans la voiture. je sais à quel point l’alcool et la drogue peuvent ne pas faire bon ménage. j’préfèrerais qu’elle arrive à se retenir jusqu’à chez moi si ça devait arriver. j'entame une conduite sérieuse, moins rapide qu’à l’aller, et ça dans le silence. je sais pas quoi lui dire, j’ai pas les mots rassurants, les paroles douces ne viennent pas. pas pour l’instant. j’ai besoin de redescendre, peut-être même de boire un verre.

@Sierra Brekker
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je suis une boule d'émotions toutes plus contradictoire que différentes. je ne sais pas ce que je dois faire taire dans ma tête et ce que je dois laisser faire. et en même temps mon corps, physiquement est comme sur un nuage douillet et chaud. et si en temps normal j'aurais surement paniqué, à partir du moment où t'es entré dans la pièce, tout est devenu plus calme. le bourdonnement de ma tête est devenu moins fort, les émotions se mélangent en faisant beaucoup moins mal. tout semble s'apaiser et recommencer à faire mal quand tu t'éloignes. une fois dans ta voiture, tout est froid et distant. ta voix, ton intonation, ton comportement. et c'est pas plus mal. « non. dépose moi chez moi » je veux pas venir chez toi. je veux plus y mettre les pieds. le sac sur les genoux, je comprends pas trop ce que je fous avec ce truc. je suis pas une enfant. je regarde la route et je fronce les sourcils. « c'est pas la route pour aller chez moi ça.. je veux pas aller chez toi, ramène moi à mon appartement. » tu vas faire quoi ? me séquestrer ?


@Ilan Vanderbilt

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