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must be love on the brain (Sierran)

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must be love on the brain  ★ ─
w/ @Ilan Vanderbilt
30.10.2022



le sourire presque complique que ta mère m'offre au moment de partir me réchauffe le coeur. ta main contre ma taille alors qu'on les remercie pour nous avoir accueilli ce week-end pourrait laisser penser de loin, que nous ne sommes ni plus ni moins qu'un jeune couple qui rentre chez eux après un moment en famille. pourtant, loin de tout ça, c'est ce sentiment d'unité qui tout à coup me balance une décharge de bonheur dans le coeur. hier soir à marqué une petite pause dans notre combat l'un contre l'autre. tes bras m'ont entourés de chaleur quand vous êtes venus, toi et la couette, me rejoindre sur les marches. quelques secondes contre ton coeur avant de me joindre à toi dans cette chambre d'ado, pour m'endormir rapidement contre ta peau. j'ai envie de tenter. j'essayer cette bulle dont tu m'as parlé. de laisser mon cerveau sur le côté et de n'agir qu'avec ce morceau de coeur qui ne bat que pour toi. je veux passer ces trois derniers jours à ny avec toi comme si c'était notre vie, comme si aucune autre ne nous attendait à Boston, comme si on était dans un univers parallèle. je veux au moins essayer, pour ne pas le regretter. je sais que Kale m'aurait poussé à le faire, qu'il m'aurait encouragé à passer du temps avec toi et qu'il serait fière de voir que j'arrête d'assurer en permanence mes arrières. parce qu'à être obsédé des conséquences, j'ai parfois arrêté de vivre. une fois arrivée dans ton appartement, je me mets en quête de l'observer avec précision. faut dire que je n'ai pas vraiment eu le temps mercredi dernier, je suis arrivée à 3h du matin et aussi vite réveillée, qu'on était chez tes parents. sac de sport posé dans l'entrée, manteau retiré, j'ai l'air d'un inspecteur des travaux finis.  « c'est sympa chez toi » j'évite de penser aux nombres de femmes qui sont entrés ici et à ce que vous avez pu y faire. pas envie de déclencher une nouvelle guerre. je m'approche de la grande baie vitrée qui donne une vue imprenable sur les magnifiques buildings de la ville. ny dort alors que je sens mon coeur se déchainer en sentant l'odeur de ton parfum se rapprocher de moi. mes doigts glisses doucement sur le collier que tu m'as offert hier soir et un sourire étire mes lèvres.  « encore merci pour le cadeau » que je glisse en me retournant pour voir ce que tu fais.


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w/ @Sierra Brekker
30.10.2022



j’ai posé mes valises à new york il y a maintenant une semaine. autant dire que le temps passe vite puisque j’ai l’impression que cela remonte deux ou trois jours maximum. le temps s’est quelque peu arrêté depuis qu’elle est partie, belly. j’étais loin de m’attendre à ça, la perdre, à tout jamais. les journées étaient plus longues, plus fades. et puis y’a sierra qui est arrivée. mêlée à tout ce joyeux bordel qu’est le deuil, parce qu’elle aussi elle a perdu quelqu’un de cher. je crois qu’il y a quelque chose qui s’est installé entre sierra et moi, d’encore plus fort, d’encore plus électrisant. quelque chose que j’aurais préféré ne jamais connaître. parce que notre tristesse, nos peines, ont des répercussions. sur notre humeur et donc sur notre relation. se détester c’est si facile. plus simple que de s’aimer et d’être heureux. la complexité d’une relation qui renaît dans le chaos.
une accolade à chacun de mes parents, ma soeur doit sûrement encore dormir lorsque sierra et moi quittons la maison familiale. j’intercepte un regard complice que ma mère échange avec sierra qui me fait sourire. ma main posée sur la taille de sierra l'amène à quitter le pas de la porte pour qu’on s’en aille. une scène qui me ramène à deux ans en arrière, lorsque notre couple était officiel. une trentaine de minutes plus tard on se retrouve à l’autre bout de la ville, chez moi. merci… fais comme chez toi répondais-je à sierra qui, je sais, devait analyser chaque recoin et s’imaginer tout et n’importe quoi. pendant qu’elle se poste devant la vue des buildings je range les quelques courses pour les trois jours restants et une fois fini je reste à la regarder de loin. garder ses distances avec sierra relève d’une mission presque impossible. c’est un aimant, mon aimant. je suis content qu’il te plaise.. j’attrapais alors un paquet de cigarettes enfoui dans la poche de ma veste que j’avais déposé sur le porte-manteau à l’entrée. la baie vitrée ouverte donnait accès à l’immensité de la ville depuis le balcon. t’en veux une? je lui tendais le paquet de cigarettes, laissant l’une d’elle dépasser pour qu’elle l’attrape. je laissais mon corps tomber sur un des fauteuils et j’allongeais mes jambes sur la table basse. tu sais pourquoi j’ai new york? la cigarette portée entre mes lèvres laissait s’échapper une épaisse fumée que je recrachais aussitôt.



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w/ @Ilan Vanderbilt
30.10.2022



le temps passe bien trop vite et on ne le voit malheureusement pas filer. il y a encore une semaine Kale était là. on se moquait de ma vie sentimentale bordélique. on parlait de son avenir et maintenant tout est terminé pour lui. il n'est plus là pour surveiller mes arrières. le vide qu'il laisse dans mon coeur est énorme. il creuse les parois de mon palpitant, laisse place à un trou béant, que je me sens incapable de combler. et bon sang ce que ça me fait mal. pourtant j'espère toujours. j'espère que réveiller du cauchemar, qu'il sera devant chez moi quand je rentrerais à Boston, qu'il va m'appeler, qu'il va m'envoyer un message et me dire qu'il est toujours là. voilà pourquoi je m'en suis voulu ces derniers jours. parce que j'étais heureuse avec toi alors que mon meilleur ami venait de mourir. en partie parce que je ne réalise pas. mais aussi parce que j'entends sa voix dans ma tête, qui me dis d'écouter mon coeur. et faut croire que celui-ci m'a mené à NY à tes côtés.
mais compliqué de faire comme chez moi quand je sens bien que ce n'est pas mon odeur sur les draps de ton lit, que la dernière personne à avoir posé ses mains sur cette table devait très certainement être Juliet. je ne sais pas pourquoi j'ai bloqué sur cette fille. peut-être parce que tu m'as dit que tu pourrais t'attacher à elle. peut-être parce que tu l'a emmené à NY. surement parce que je la déteste, à avoir peur que tu deviennes son Roméo. le visage face à la skyline de NY, le regard fixé sur l'horizon, je t'entends t'affairer derrière moi. l'odeur de la cigarette qui vient chatouiller mon nez et camoufler ton odeur à toi. un mélange de musc, quelque chose de très masculin, un peu vanillé pour la douceur et de tabac froid. une odeur que j'ai bien trop souvent eu l'impression de sentir, même dans mes rêves. « je savais pas que tu décidais tout à coup d'entrer dans une bijouterie pour acheter ce genre de cadeau » pour le coup je te connais assez pour savoir que c'est clairement pas le genre de cadeau que t'as pu faire à Juliet ou les autres. ça le rend encore plus spéciale. mon regard qui se tourne vers toi quand tu me proposes une cigarette que j'attrape, le briquet que je récupère en faisant attention de ne pas frôler la peau de ta main. parce que maintenant que nous sommes seul, tout est différent. finalement chez tes parents de faisait un cirque parce que tu refusais de me toucher, mais maintenant qu'on est que tout les deux j'ai la peur de beaucoup trop aimer cette interlude de trois jours, qui me reprend aux tripes. pourtant je me connais assez pour savoir que je suis incapable de rester loin de toi trop longtemps. doux paradoxe. toujours debout face à la baie vitrée, ta voix vient de nouveau de derrière moi. « non dis moi » raconte moi l'histoire d'amour entre NY et toi. je pourrais passer des heures à écouter le son de ta voix.


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w/ @Sierra Brekker
30.10.2022



elle a laissé un vide dans mon existence, belly. un trou, un néant, une absence qui ne saura jamais être comblée par quelqu’un d’autre ou presque. parce que mine de rien, sierra, elle est la lumière au fond du tunnel. l’étoile qui éclaire mon ciel.  le rire qui réveille mes sens. peut être que c’est ça la clé. elle. mais elle a ses démons, ses souffrances et ses réticences.
dans ses yeux je le vois, ce regard animé de nervosité, qui crie qu’elle est jalouse. jalouse de celles qui ont foulé ce parquet, de celles qui ont dormi dans ces draps, dans mes bras. la dernière en date, et presque la seule à être passée par ici, répondait au doux nom de juliet. envolée aussi vite qu’elle est apparue dans ma vie, aussi vite qu’on s’étaient presque entichés, apprivoisés.
tu dis ça comme si je t’avais jamais rien offert de sympa.. bon ok, c’était peut-être l’un des plus beaux cadeaux que je lui avais fait. à vrai dire, je me souviens pas vraiment de ce que j’ai déjà pu lui offrir. mais ce collier, quand je l’avais vu, j’ai su tout de suite qu’il lui irait à merveille. je me pose sur le balcon, dans l’un des fauteuils, une clope à la main. une latte, deux lattes puis une troisième. juste à la regarder de haut en bas, admirer sa beauté, sans un mot et en laissant le silence dire à quel point elle compte. la fumée qui l’entoure me ferait presque penser qu’elle n’est qu’un mirage. c’est beau, c’est grand et petit à la fois, speed et calme. en fait, tu trouves toujours ce que tu cherches ici. et si tu veux pas qu’on te trouve, tu peux aussi. réponse aussi mystérieuse que réelle. je me suis caché bien des fois dans new york. perdu bien d'autres. oublier dans les bras de la grosse pomme. fuyant mon désarroi. tu veux pas t'asseoir? on dirait que t’es prête à partir en courant, à te rétracter d’être là.. on va pas le cacher, j’ai peur. peur qu’elle change d’avis et qu’elle décide de prendre ses affaires et de tourner les talons. retourner a boston. casser la bulle. notre bulle.




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w/ @Ilan Vanderbilt
30.10.2022




« à notre anniversaire des un mois, tu m'as offert un collier de nouilles Ilan » que je dis en rigolant. ce jour là, j'avais passé une journée horrible. à l'unité anti gang c'était vraiment pas facile. je dis pas qu'aux renseignements c'est facile. je dis juste que l'équipe, c'était compliqué. et quand je suis rentrée chez moi, t'étais là, avec ta petite boite en carton. tu m'as offert un collier de nouille et j'en ai ris pendant des heures. j'ai adoré, j'ai trouvé ça drôle et c'était surprenant. la vérité c'est que cette boite et ce collier, je les ai toujours dans un placard de mon appartement. je te regarde te poser sur le fauteuil de ton balcon, je reste plantée devant la vue, incapable de regarder ailleurs. je commence à tirer sur ma cigarette, relâchant la fumée, brouillant le paysage sous mes yeux. « c'est beau la manière dont tu parles de cette ville. ça se sent que tu l'aime. » j'aime ny, parce que je la vois à travers tes yeux. je me retourne à ce que tu me dis, sourire aux lèvres. « je vais nul part » que je lâche en venant m'assoir sur tes genoux. « en plus j'ai pas du tout envie de courir » sourcil que je lâche pour faire un effet à ma blague.


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w/ @Sierra Brekker
30.10.2022




tu vois, j'offre toujours les meilleurs cadeaux! un sourire s'inscrit sur mon visage. je me remémore ce soir où je lui ai offert le collier de nouille. c'est presque comme si c'était hier. sauf que c'était deux ans auparavant et qu'entre temps, c'était plus un collier de nouille mais de diamant. ouais j'avais pas rigolé sur la marchandise, c'était mon côté vanderbilt qui reprenait le dessus sur ce coup. lorsqu'elle vient s'assoir sur mes genoux, je me permets de l'entourer de mes bras pour qu'elle s'installe le plus confortablement possible sur moi. je devenais ahuri rien qu'à son parfum. son odeur qui me plonge dans une spirale que je suis incapable de contrôler: un truc sentimental, romantique, un truc de mec amoureux. j'esquisse un nouveau sourire à sa remarque. profitant une nouvelle fois de ma cigarette.  j'aime autant cette ville que... c'est mon refuge tu vois. j'me sens en sécurité ici. pourtant, on peut se sentir si petit, seul ou écrasé.. je voulais te le dire, que je t'aime. mais cette phrase, ces mots, ils sont durs à sortir. j'ai réussi par message, mais oralement, le pas est plus compliqué à sauter. alors si tu veux pas courir, faut que tu me dises ce que tu veux faire ce soir? de ma main libre, je dégage son visage cachée par ses cheveux. mes doigts effleurent sa peau et j'en aurais presque des frissons dans tous le corps.




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w/ @Ilan Vanderbilt
30.10.2022



« les meilleurs cadeaux ouais » que je répète en rigolant. c'est vrai que c'était la première fois, c'était inattendu et à l'heure actuelle, je trouve ça encore adorable et drôle. je viens m'installer sur tes genoux, prend cette place que j'aime tant, entre tes bras. je pose doucement ma tête sur ton épaule, tire une latte dont j'envoie la fumée dans le ciel. tu aimes autant cette ville que... je cherche pas à creuser. je me doute de ce que tu aurais pu dire et j'ai pas envie de forcer. je me laisse juste bercer par le son de ta voix. « je peux comprendre ouais. je comprends même complètement » et là je pense pas à Boston ou à Cuba. je pense à toi. parce que c'est ce que je ressens quand t'es avec moi. « alors déjà je veux prendre une longue douche chaude. ensuite je veux qu'on se fasse un bon repas, qu'on fume encore devant cette magnifique vue et qu'on refasse le monde ensemble. qu'on parle de Belly et Kale, qu'on passe du temps ensemble » j'ai envie de profiter de ces trois derniers jours, avec toi. ta main qui dégage les mèches de cheveux de mon visage, tes doigts effleurent ma peau et me font frissonner. je tourne le visage vers toi, contemple tes yeux, avant de venir poser mes lèvres contre les tiennes.




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w/ @Sierra Brekker
30.10.2022




j'écoute sa tirade sur la soirée qu'elle veut passer. un descriptif précis d'un programme plutôt prometteur. et puis elle évoque belly et kale. j'ai un pincement au cœur qui me fait rappeler la raison pour laquelle on se retrouve là. tous les deux traversant un orage. une passade trop peu agréable qui finalement a fait se croiser nos chemins. belly. douce âme qui hante mes pensées. tu sais j'éclaircis un peu ma voix, enroué par la cigarette et peut-être même par l'émotion qui me gagne en évoquant les défunts. je crois que t'es la seule personne qui pourra combler son absence simplement parce que sierra est la personne, ma personne. j'aimais belly, comme une soeur, peut-être avec une once l'ambiguïté parfois, mais rien d'assez sérieux. mais sierra, c'est autre chose. pas le même amour. pas la même intensité. son regard se plonge dans le mien et ses lèvres viennent à la rencontre des miennes, non pour me déplaire. quelques secondes intenses et plaisantes qui ne devraient jamais se terminer. rien que pour ça que je glisse suavement alors que nos lèvres se séparent de quelques centimètres. je comprends donc que madame voudrait que je lui fasse couler de l'eau brûlante et que je la laisse s'y prélasser pendant que je... fais le lit par exemple? il ne faudrait pas griller d'étapes ce soir. pas de douche ensemble, c'est sûrement ça qu'elle me faisait comprendre.


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w/ @Ilan Vanderbilt
30.10.2022



t'es la seule personne avec qui j'ai réellement parlé de Kale depuis que j'ai appris la nouvelle. malgré les messages d'Alec et l'appel avec Caleb, j'ai préféré être évasive et ne pas m'attarder sur ma douleur. pourtant avec toi c'est différent. j'ai étonnamment moins de mal à poser des mots sur mes souffrances. Kale est ... était mon meilleur ami. il était celui qui supportait mes colères du boulot ou parce qu'Alec avait encore été un gros con. il était celui qui m'avait ramassé à la petite cuillère quand toi et moi on s'était séparé. il m'organisait des soirées pizza pour me changer les idées, m'emmenait voir des match de la NFL. j'ai des milliers de souvenirs avec lui. des souvenirs qui me font l'effet d'un étau qui se ressert autour de mon coeur quand j'y pense. tes paroles qui me sortent de mes pensées et me font sourire, doucement. « je crois que c'est pareil pour moi » personne ne comblera jamais cet sensation de plénitude que je pouvais ressentir avec lui, sauf toi. à tes côtés j'ai cette sensation de confiance ultime. en toi, en moi. tu me fais me sentir sure de moi, capable de déplacer des montagnes, aimée, respectée. mes lèvres que je viens doucement poser sur les tiennes. besoin d'une connexion physique. je me sens extrêmement triste et si heureuse à la fois, paradoxe poussé à son paroxysme. « non c'est pas ce que j'ai dit. puis t'aurais le temps de faire huit fois le lit. » je ris doucement. « viens prendre une douche avec moi » que je te demande doucement. « mais une douche sage. c'est promis » j'ai envie d'y aller doucement. même si on a pas le temps. c'est juste que je veux de la douceur ce soir, on verra demain pour réveiller notre côté sauvage.



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30.10.2022



intimement persuadé il y a une semaine de ça, que rien ni personne ne pourrait panser ma tristesse, je me retrouve à dire à sierra qu'elle pourrait être ma seule bienfaitrice. la seule qui me comprends dans cette épreuve parce qu'elle la traverse également. la retrouver dans ce genre de moment pourrait être digne d'une mauvaise série tragique. au lieu de ça, c'est tout l'inverse qui se produit. j'vole. comme sur un petit nuage, transcendé par un truc inexplicable. quelque chose qu'elle dégage qui me rend dingue. et à chaque baiser c'est un peu plus fort, je suis un peu plus ensorcelée. et quand son étreinte s'éloigne un peu de la mienne, c'est un manque presque immédiat qui s'installe. un putain de dépendance physique mais pas que. tu peux pas te passer de mon corps, c'est fou ça! utiliser l'humour pour se protéger, c'est peut-être une meilleure solution que de se braquer. ma cigarette consumée par les lattes enchainées, j'arrive au filtre par ma dernière bouffée sur celle-ci alors je me penche vers la table basse, tant bien que mal puisque sierra se trouve sur moi puis je jette le mégot dans le cendrier. mes mains libérées me permettent de me relever et de porter la jeune femme qui entourent mes hanches de ses jambes. sa cigarette à son tour terminée, je rentre dans l'appartement, ferme la porte vitrée et me dirige dans la salle de bain. une douche sage donc que je répète comme elle l'a bien précisé. l'eau de la douche que j'allume pour qu'elle soit chaude, des serviettes que je dépose sur le sèche-serviette et quand je me retourne elle est déjà dévêtue. le sourire aux lèvres je me permet de la regarder l'espace d'un instant avec tendresse et bienveillance et je détourne le regard juste à temps lorsqu'elle se retourne pour certainement m'interpeller. deux secondes trente pour retirer à mon tour mes vêtements et la rejoindre. sans la toucher, sans l'effleurer, je me mets sous les jets d'eau du plafonnier, yeux fermés et tête sous l'eau. c'est un peu chaud quand même là, non? dis-je sans lui laisser le temps de goûter l'eau par elle même puisque je l'attrape pour la mettre à ma place, sous l'eau. blague enfantine qui a pour vocation de détendre l'atmosphère.



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