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People say goodbye in their own special way. ♤ (ROBBIN & SPENCER)

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Je songeais sérieusement à déménager. Pas loin de Cambridge, non, mon poste me retenait et puis c'était la ville natale d'Alice. J'aurais simplement voulu changer d'appartement. Je détestais l'actuel. Il y a quatre ans, il me plaisait beaucoup, il apparaissait comme parfait mais à l'époque, tout était différent. Emma était encore là. Je sentais encore sa présence dans les pièces alors que deux ans s'étaient déjà écoulés et je détestais ça. Alice grandissait un peu trop vite à mon goût. Elle n'avait que quatre ans et j'avais déjà l'impression qu'elle filait loin de moi. J'avais à l'initial prévu de passer la soirée dehors, histoire de changer un peu d'air mais je m'étais finalement ravisé. Je crois que l'envie n'y était plus du tout. J'avais décommander la baby-sitter et Alice jouait dans sa chambre, me laissant seul, tranquille même si elle m'appelait en permanence pour me montrer ce qu'elle était en train de faire. Alors que, paquet de cigarettes dans une main et canette de bière dans l'autre je m'apprêtais à me caler devant un mauvais programme télévisé, quelqu'un tapa à la porte. Fronçant les sourcils, je me dirigeais vers la porte d'entrée. Je n'avais prévu de voir personne, pas ce soir. Ne prenant pas la porte de couvrir mon torse, j'alla ouvrir. Oui, je peux vous aider ? Une fille se tenait devant moi. Une de mes étudiantes sans doute. Il me fallu quelques instants pour me remettre les idées en place. Vous êtes la baby-sitter.
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" People say goodbye in their own special way."
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J’avais beaucoup de mal à oublier ce que je venais de vivre ces dernières semaines, mais je faisais tout pour ne pas le montrer et pour continuer de vivre normalement. Hendrix m’avais brisé le cœur en retournant dans les bras de Briony, la reine des grenouilles vertes, alors que j’essayais de me remettre comme je le pouvais d’une tentative de viol dont j’étais la victime. J’avais eu du mal à remonter la pente, mais j’étais enfin déterminé à voir le bout du tunnel et cela grâce à Elios qui travaillait jour et nuit pour me faire oublier tous les malheurs dont j’étais victime en ce moment. Il me forçait à reprendre le chemin de la patinoire, me disant qu’il croyait en moi dur comme fer et que j’avais les capacités pour me diriger lentement, mais surement vers un quatrième titre mondial. Il me faisait retrouver le sourire et reprendre gout en la vie tout en essayant de briser ma timidité. Il savait que je n’aimais pas vraiment le monde de la nuit, du coup il me proposait quelques alternatives pour côtoyer du monde, comme aller faire du baby-sitting, un moyen, d’après lui, de gagner quelques billets et de parler à du monde, à des inconnus. J’acceptais, ne pouvant lui refuser. Il avait déjà un nom, une adresse. La petite fille que je devais garder s’appelait Alice et était la fille de l’un des professeurs de Harvard, monsieur Slader. Je ne le connaissais pas. Je n’avais jamais entendu son nom, mais j’acceptais et puis de toute façon, je n’allais avoir à faire qu’à la petite fille pour la soirée, rien de bien effrayant en somme, je n’avais qu’à me contenter de dire bonjour à son papa et puis le laisser s’enfuir pour sa soirée avant de m’occuper de la gamine, de m’amuser avec elle et de finir en regarde un bon petit dessin animé à ses côtés. Facile, mais tout de même effrayant en somme. A l’heure et en tenue correcte, voilà que je venais frapper à la porte de l’adresse qu’Elios m’avait donné. Je passais l’une de mes mèches de cheveux derrière l’une de mes oreilles tout en attendant bien sagement. La porte ne tardait pas à s’ouvrir et à laisser apparaître un homme ayant entre vingt-cinq et trente ans. Oui, je peux vous aider ? Il ne semblait pas attendre quelqu’un. Je devais peut-être me tromper d’endroit. Je me sentais bête, idiote, d’autant plus que j’avais du mal à détacher mes yeux de lui. Je n’avais pas l’habitude qu’on m’accueille torse nu et encore moins que ce soit un homme aussi séduisant. J’ouvrais la bouche, mais incapable d’articuler le moindre mot. Vous êtes la baby-sitter. Non, finalement je ne m’étais pas trompé d’endroit. Je devais très certaine être arrivé un petit peu trop tôt, pendant qu’il se préparé et je le dérangeais. Pour répondre à sa question, j’hochais positivement la tête, lui adressant un sourire timide. « Je … peux repasser un petit peu plus tard si vous le désirez. » Tout en disant cela je reculais d’un tout petit pas, puis de deux.
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Son visage ne me disait rien, je ne la connaissais pas, elle ne devait pas être l'une de mes étudiantes mais je ne fut pas trop long à comprendre qui elle pouvait bien être. Il n'y avait pas de nombreuses solutions après tout. Ce qu'elle faisait là en revanche je n'en savais rien. Sa présence aurait été logique et désirée si je ne lui avais pas envoyé il y avait maintenant près de deux heures un message afin de la prévenir qu'il n'était plus nécessaire qu'elle vienne garder Alice ce soir. Elle avait l'air hagarde, visiblement intimidée, elle eu un mouvement de recul. Je décidais de rompre le bref silence. J'ai envoyé un message, finalement mes plans pour la soirée sont tombées à l'eau. Je suis désolée que vous vous soyez déplacée pour rien je me mis à expliquer, justifiant un peu ma tenue et mon attitude. Je devais avoir l'air d'être totalement à la ramasse en ce moment. Je restais immobile, d'en l'encadrement de la porte, la fille à l'extérieur. Je sentais le léger malaise et cela suffisait à me gêner moi-même. La timidité chez les autres, c'était toujours un peu délicat pour moi, qui plus est cette attitude un peu méfiante me rappelait sur quelques points Emma. Penser à elle, ce n'était pas une bonne idée. Je refoulais cette pensée avant de décider de faire évoluer la conversation. Mais entrez prendre un café, ça me gêne de vous laisser sur le pallier comme ça je m'écarta légèrement pour lui laisser la place de passer.
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Je ne pouvais pas le nier, j’étais assez intimidé par cet homme, encore plus qu’en temps normal. Je ne savais pas vraiment ce qu’il se passait. Peut-être s’agissait-il du fait qu’il soit le torse à l’air lors de notre première rencontre ? Très certainement. J’avais d’ailleurs bien du mal à détacher mes yeux de sa poitrine. J’étais gênée, voire très timide même. J’arrivais tout juste à articuler quelques mots et à commencer à prendre la fuite lorsqu’il ouvrait la bouche. J'ai envoyé un message, finalement mes plans pour la soirée sont tombées à l'eau. Je suis désolée que vous vous soyez déplacée pour rien. Je l’observais, fronçant très légèrement les sourcils. Etrange, je n’avais pourtant reçu aucun message. Par instinct, je venais sortir mon téléphone de mon sac à main pour le consulter discrètement. « Je suis désolé, mais je n’ai rien reçu. » Et s’il avait envoyé le message sur le portable d’Elios qui avait, comme par hasard, complètement oublié de me prévenir ? Et s’il n’avait pas le bon numéro ? Tout un tas de questions se bousculaient alors dans ma tête. Je faisais un pas de plus en arrière. Je ne voulais pas le déranger, ce n’était pas dans mes habitudes. « Bon et bien, je va… » Pas le temps de finir ma phrase ou de rajouter quoi que ce soit de plus que déjà le professeur venait prendre la parole. Mais entrez prendre un café, ça me gêne de vous laisser sur le pallier comme ça. Je répondais un sourire timide. L’invitation était alléchante, mais je ne pouvais pas m’incruster de la sorte chez les gens et encore moins lorsqu’il s’agit d’un professeur de l’université dans laquelle j’étudiais. Je ne savais pas ce que j’allais bien pouvoir lui raconter. « Je ne voudrais pas vous déranger et puis vous devez, très certainement, avoir mieux à faire que de discuter avec moi. » Mes joues viraient au rouge, alors que mes mains venaient se joindre dans mon dos. J’avais l’air d’une enfant toute sage, toute mignonne. Je continuais à reculer tout doucement, m’éloignant peu à peu de lui avant de faire volte-face soudainement, coupant tout contact visuel entre son visage et le mien. « Au revoir. »
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Peut-être que je m'étais trompé de numéro. Dans ce cas, une personne de mon répertoire avait dut froncer les sourcils en lisant mon message annonçant que la personne en question n'avait pas à garder mon bébé ce soir. Enfin, cela n'était pas bien important. Etrange commentais-je avec un petit haussement d'épaule. C'était bizarre mais un bizarre agréable. J'aimais bien la succession d'événements inattendus que cette histoire était en train d'engendrer. Elle peinait à décoller son regard de moi et j'ai eu un sourire furtif à cette idée. Je l'observais moi aussi, énumérant les ressemblances que je lui trouvais avec la maman de ma fille. J'avais toujours du mal à penser à Emma sans que mon regard s'assombrisse sur le champ. Je redoutais déjà le moment ou Alice viendrait me réclamer des détails. Elle savait que sa mère n'était plus là mais elle n'avait que deux ans lorsque on l'a perdue tous les deux. Elle n'avait pas dut bien comprendre et je n'étais pas certain d'être en mesure de le lui expliquer un jour. Si la perspective de ce genre de conversations me dérangeaient, la présence de cette jeune femme sur le pallier ne m'était pas désagréable du tout. Elle commença à s'éloigner et je fronçais les sourcils. Je me mis à avancer, faisant quelques pas à l'extérieur de l'appartement derrière elle. Je ne voulais pas m'éloigner pour pouvoir entendre Alice si elle m'appelait. Pourquoi je faisais ça, suivre une inconnue ? Aucune idée mais je ne voulais pas qu'elle parte. Je vous propose un café, déduisez-en que vous ne me dérangez pas j'accéléra un peu la cadence de mes pas pour pouvoir faire volte face devant elle, voyant à nouveau son visage. Je m'appelle Spencer.
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Je me sentais bête en face de lui. Il ne s’attendait pas à voir quelqu’un ce soir et voilà que je débarquais comme une fleur pour venir plomber sa soirée. J’avais envie de prendre mes jambes à mon cou et de m’enfuir le plus loin possible tout en priant pour que je n’ai pas à le recroiser un jour. D’ailleurs, c’est ce que je faisais. Bredouillant quelques excuses et déclinant son invitation, je venais lui tourner le dos pour rentrer chez moi. J’avais déjà mon téléphone en main, prête à appeler une agence de taxi qui se ferait un plaisir de me raccompagner chez moi. Derrière moi, je pouvais nettement distinguer des bruits de pas. J’en déduisais que monsieur Slader me suivait. Pourquoi ? Je n’en avais pas la moindre idée, mais j’étais certaine que je n’allais pas tarder à le savoir. Je vous propose un café, déduisez-en que vous ne me dérangez pas. Allez savoir pourquoi, mais un sourire venait prendre possession de mes lèvres. Je ralentissais et mes yeux venaient se poser sur le bitume, signe de ma grande timidité. Lorsque j’osais enfin lever la tête, je sursautais presque, le voyant devant moi, un sourire aux lèvres. Je m'appelle Spencer. Je pouvais sentir mes joues qui me brulaient. J’étais certaine que ces dernières étaient écarlates. Gardant un conseil de ma grand-mère en tête, je venais discrètement me pincer le lobe de l’oreille, comme pour éviter de ressembler à une tomate par la suite. « Enchantée, moi c’est Robbin. » Le sourire que je portais sur les lèvres s’intensifiait très légèrement avant que je ne regarde brièvement autour de moi, tournant la tête pour apercevoir l’intérieur de l’appartement du professeur, par la porte d’entrée grande ouverte. « Juste un alors. » Et finalement j’acceptais son invitation, sans vraiment savoir pourquoi, juste par envie, par curiosité même. Cet homme m’intriguait.
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Je n'avais jamais manqué de confiance en moi. Quand bien même j'avais fréquemment fait des erreurs et j'en faisais d'ailleurs encore beaucoup même désormais adulte, je n'avais jamais cessé de croire en ma propre personne. Je la mettais définitivement mal à l'aise, il suffit de voir la façon dont son visage s'était empourpré. Je trouvais cela mignon et je n'hésitais pas à en jouer : après tout, j'aurais très bien pu me couvrir un peu avant de la suivre dans le bâtiment. J'acquiesçais, souriant. Je m'autorisais à insister à nouveau. Elle céda finalement. Toujours ce sourire doux et amusé affiché sur le visage, j'hocha la tête en direction de la porte de mon appartement. Allez, viens, allons le boire ce café lançais-je sans attendre de réponse car je me dirigeais déjà à nouveau vers l'appartement. Je n'aimais pas laisser Alice toute seule, même quand j'étais à quelques pas d'elle. Cela me rendait nerveux quand bien même Robbin ne devait pas le percevoir. Je la fis passer devant moi alors qu'on se tenait devant le pas de la porte et referma la porte derrière nous. L'appartement était plutôt mal rangé. J'avais toujours été un tantinet bordélique. Je n'avais pas l'habitude de me poser quelque part pour une longue durée et donc, j'en avais profiter pour m'éparpiller le plus possible. Désolé pour tout ce bazar, je n'ai jamais été un grand adepte du rangement.
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Je ne savais pas ce qu’il me prenait d’accepter une invitation de la part d’un inconnu, cela ne me ressemblait tellement pas que je m’en étonnais moi-même. Non, ce n’était pas la fraicheur de la nuit qui me donnait envie de rentrer me mettre au chaud dans ses appartements, mais bel et bien la curiosité, l’envie de passer un peu de temps avec lui. J’avais le sentiment étrange d’être à la fois attiré par sa personne et pourtant j’avais envie de prendre mes jambes à mon cou, seulement je ne pouvais plus faire marche arrière maintenant. J’en venais presque à regretter mes paroles, mais son sourire me faisait bien vite changer d’avis, tout comme le son de sa voix. Allez, viens, allons le boire ce café. Il m’adressait un dernier sourire et là je ne pouvais me résoudre qu’à le suivre. C’était étrange, je me sentais comme hypnotisé par cet homme. Sur le pas de la porte, il m’invitait à entrer la première, avant de passer derrière moi et de refermer la porte sur nos deux silhouettes. Ce n’était qu’à ce moment-là que je prenais conscience du danger que j’étais peut-être en train de courir. Peut-être que j’étais en compagnie de l’un de ces tueurs en série dont on voit le portrait dans tous les commissariats de la ville ? Peut-être qu’il allait se jeter sur elle pour l’assassiner et qu’on ne retrouverait jamais mon corps ? J’en étais presque terrifié sur le moment. Désolé pour tout ce bazar, je n'ai jamais été un grand adepte du rangement. Sa voix me sortait de mes rêveries. Je me tournais vers lui adressant un énième sourire avant de bredouiller : « Ce n’est rien et puis vous n’aviez pas prévue de recevoir du monde. Je ne peux pas vous en vouloir pour si peu. » C’était à ce moment-là que mon regard se posait sur une photo qui trainait dans le salon. On y voyait une petite fille âgée que trois ou quatre ans dans les bras de Spencer. Ils étaient souriants. « C’est votre petite fille ? » Je continuais d’observer la photo avant de, finalement, poser mes yeux sur lui et de lui sourire. « Elle est vraiment très jolie. »
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Les affaires s'accumulaient dans tous les coins, pas au point de former des piles instables dans l'appartement mais cela ne saurait tarder mais tant pis, j'aimais mon bordel et Alice l'aimait aussi, ajoutant le sien par dessus. Heureusement que ma gamine n'était pas encore une maniaque du ménage. Je fis volte face pour voir Robbin. Elle s'était arrêtée devant une photo. Je vins la rejoindre pour avoir une meilleure vue sur le cliché. La photo avait été prise il y a un an environ, je me trouvais l'air fatigué dessus. Alice était mignonne cependant, relevant le niveau de notre famille sur cette photo. Oui, c'est Alice en prononçant ce prénom, je me tournais vers le couloir et la port de la chambre de la petite fille ouverte. Des brides de sa voix me parvenait. Elle devait être en train de jouer à la poupée. Je me retournais à nouveau vers Robbin. Elle ressemble beaucoup à sa maman j'avais toujours du mal à utiliser le passé. Je me sentais penaud d'un coup et cela devait bien se ressentir en me regardant, je devais avoir mon air perdu. Tâchant de m'en défaire, je cesse de regarder la photo. Je trouve que je n'ai pas l'air bien dessus, l'air que je dois avoir à peu près en ce moment.
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Sur une étagère, un cadre contenant une photo retenait mon attention. On pouvait y voir monsieur Slader en compagnie d’une petite fille au visage fin et rieur en train d’enlacer son père comme si sa vie en dépendait. Lui, semblait fatigué. Oui, c'est Alice. Un sourire venait se dessiner sur mes lèvres alors que je pouvais distinguer quelques brides de voix d’une enfant un petit peu plus loin. Je me taisais, écoutant ce que disait la petite fille. Elle semblait jouer à la poupée et l’entendre dialoguer avec la figurine en plastique me faisait sourire encore plus. Je ne pouvais m’empêcher de penser à moi, lorsque j’étais gamine et que je jouais avec mes poupons. En fille unique modèle, je faisais la même chose, parlant à mes poupées tout en espérant qu’elles me répondent un jour. « C’est un très jolie prénom. » Alors que mes yeux venaient se poser sur lui, une nouvelle fois, je remarquais qu’il avait l’air totalement dans un autre monde. Elle ressemble beaucoup à sa maman. Je lui souriais un petit peu gênée avant de regarder tout autour de moi. Il n’y avait pas d’affaires féminines dans l’appartement. Une petite grimace s’emparait de mes lèvres avant que je ne vienne dire : « Je suis peut-être un petit peu trop curieuse, mais … vous êtes divorcé ? » Je baissais la tête, rougissant de ma question. Cela était personnel et ne me regardait pas. Je comprendrais s’il ne voulait pas me répondre.
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