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if the world was ending you'd come over, right ? ☽ sierran

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if the world was ending you'd come over, right ?
@Ilan Vanderbilt
lundi 3 octobre 2022

je veux surtout éviter te parler de dimanche. je veux pas te mentir et en même temps je veux pas avoir à te dire que j’ai passé la journée et la nuit avec Sim. ce serait pas juste et ça gâcherait surtout nos chances de passer une bonne soirée. on a dit qu’on faisait une trêve et je veux la respecter. j’en ai besoin. je pensais plus que ce serait le cas, avec ma vie que j’ai refais, Alec que j’ai rencontré. pourtant c’est bien le cas, j’ai besoin de ta tendresse, j’ai besoin de toi.  « ouais mon lit, ton canapé c’est pareil non ? » en tout cas pour cette nuit c’est mon lit. je te regarde t’appuyer sur le dossier de la chaise. mon dieu mais pourquoi tout tes gestes sont sexy ? je crois me souvenir pourquoi je refusais de te revoir maintenant ..  « mh t’as raison. je vais faire comme toi » ouais j’ai joué avec le feu, parce que j’adore ça. mais tu as raison. le mini short c’était nul. c’était mon côté provocateur qui ne peut pas s’empêcher d’aimer que tu me désires. je te regarde finir de débarrasser et quand tu viens poser tes lèvres sur le sommet de mon crâne je ferme les yeux quelques secondes. tu faisais toujours ça avant. toujours. je crois que si je devrais fais le top de nos habitudes, celle-ci arriverait dans le top trois. et bordel ce que c’est bon. des tas de souvenirs ce soir, des habitudes aussi qu’on reprend très, trop facilement. je me lève, retire mon short et enfile mon jogging avant de te retrouver dans la salle de bain.  « t’es un tricheur Vanderbilt » que je lâche en me dépêchant de fourrer ma brosse à dent dans ma bouche tout en essayant de rester devant le lavabo. t’avais la manie de toujours me pousser quand je voulais me rincer la bouche. ce qui m’a valu des loupés et des fous rire mémorables.
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@Sierra Brekker
lundi 3 octobre 2022

je te propose même pas de dormir dans mon lit et moi dans le canapé, je connais déjà la réponse et comme je la connais et que je te connais, je préfère juste te glisser l'idée que si tu le veux ça peut se faire. lorsqu'elle me rejoins dans la salle de bain, je suis tout de suite interpellé par le fait qu'elle n'est plus vêtue de la même manière qu'il y a a peine deux minutes. je fronce les sourcils mais pas possible pour moi de rétorquer quoi que ce soit pour le moment vu ma bouche pleine de dentifrice. sa remarque me fait sourire. je suis un tricheur mais surtout, j'ai de nombreuses fois gagné à ce jeu. et pour cette fois, je décide lui laisse un peu plus de place, un peu de galanterie ne fait pas de mal. je termine de me brosser les dents et puis, libre de pouvoir parler de manière claire je reviens sur le sujet du short. assis sur le rebord de la baignoire pour l'attendre, je désigne son jogging du doigt. t'avais froid? je me doute que non, il ne fait pas vraiment froid chez moi et elle vient d'un appartement pas chauffé depuis des jours.
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@Ilan Vanderbilt
lundi 3 octobre 2022


je secoue la tête à la négative. « nope, même si t'as changé les draps, je dors pas là où t'as .. » je m'arrête immédiatement. on a dit qu'on cherchait pas les emmerdes. je me contente de te regarder avant d'ajouter : « t'as compris ce que je voulais dire » tu vois, la Sierra responsable existe encore. celle qui ne cherche pas les disputes et qui sait rester raisonnable. je profite de ta traitrise pour changer le bas de mon pyjama et je te retrouve dans la salle de bain. petit coup de fesse pour que tu te pousses un peu et me laisse de la place devant le lavabo. une fois fait, je me lave le visage et étale ma crème, ton regard posé sur moi, alors que assis sur le rebord de la baignoire, tu m'attends, comme avant. « non » que je réponds avant de tout ranger et de me tourner vers toi. « c'était peut-être un tout petit peu trop.. dévêtue comme tenue. du coup c'est mieux que j'enfile un pantalon » parce que c'est toi qui a raison. je te répète en boucle qu'on doit pas craquer et je me ramène en mini short c'est pas juste. t'as plus de mentale que moi. ou alors je suis bien plus provocatrice que toi.
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@Sierra Brekker
lundi 3 octobre 2022

yeux qui se plissent à sa remarque, l'espoir qu'elle n'aille pas sur ce terrain là au risque qu'une nouvelle dispute éclate entre nous. mais elle s'arrête, se canalise. ouais, je vois très bien ce qu'elle veut dire. j'aurais aimé lui dire qu'il n'y a eu qu'elle dans ce lit, parce que pendant très longtemps, il n'y avait qu'elle. même après notre rupture, aucune fille ne venait chez moi alors dans mon lit encore moins. puis la vie a finit par reprendre son cours et ce serait lui mentir de lui dire que ça n'était pas arrivé, alors je ne préfère même pas réagir. je la regarde laver son visage, étaler sa crème, toutes ces choses que j'avais plus l'habitude de voir quotidiennement. l'odeur de sa crème me remémore pleins de souvenirs. ça me dérangeait pas bah non, au contraire, chaque parcelle de son corps est agréable à voir. tu voulais pas que je vois tes poils, c'est plutôt ça le problème ! mieux vaut rire de cette situation plutôt qu'à nouveau, la rendre dramatique. je me redresse afin de sortir de la pièce et de la laisser terminer ses soins. et quand je pars je pose une de mes mains sur ses hanches, mon corps effleure le sien, sans être dans le collage mais tout de même un peu quand même, pourtant la pièce est grande est j'aurais pu largement passer sans que nos corps se touchent. mais c'est toujours la même histoire, l'appel de son corps est une évidence que je ne peut nier. dans le salon, j'installe une ambiance cosy et adaptée pour regarder un film: pop corn, lumière plus que tamisée et la couette sur le canapé dans lequel je m'installe en l'attendant.
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@Ilan Vanderbilt
lundi 3 octobre 2022


je ne veux pas savoir combien de femmes ont foulés le sol de cet appartement. je ne veux pas savoir dans combien de bras, combien de corps tu as essayé de m'oublier. je ne veux pas connaitre le nombre de lèvres que tu as embrassé. la jalousie est un très vilain défaut, je le sais. il nous fait faire des choses insensé, nous faire prendre décisions impulsives et ronge les âmes. je n'ai jamais été du genre jalouse, jamais. pourtant à cet instant, quand je t'imagine m'oublier dans les draps d'une autre, mes tripes se tordent dans tout les sens et la nausée me submerge. je dois prendre une grande inspiration pour ne pas céder à ce sentiment destructeur. « pervers » ça me dérangeait pas que tu me regardes. c'est ce que je cherchais. mon côté toxique surement, celui qui voulait que ce soit toi qui cède, pour que je puisse te dire que c'est mal. c'est toujours plus acceptable pour moi que ce soit dans ce sens plutôt que de devoir me rendre à l'évidence que c'est moi qui ne suis pas capable d'être loin de toi. je te mets un coup dans l'épaule avant de rire doucement. « c'est misogyne comme réflexion Ilan, les poils c'est pas une honte ni un truc dont on doit se débarrasser obligatoirement. » je fixe tes yeux avant de descendre mon regard sur ton torse et d'effleurer ton torse. « t'en as pleins toi là, et je te dis rien » j'aime pas forcément ça, mais comme j'ai tout aimé de toi.. t'étais mon exception. ta main qui se pose sur ma hanche au moment où tu quittes la pièce, ton corps qui effleure le mien alors que je dois me concentrer pour ne pas te stopper et t'en demander plus. arrête de faire ça Ilan. le baiser sur la tête, la main sur les épaules, maintenant sur ma hanche. arrête de créer un lien physique entre nous parce que je ne suis pas sur de pouvoir mettre des distances encore longtemps. je profite de ton absence pour masser doucement mon épaule, ma clavicule. une douleur qui me lance, là où la balle m'a traversé de part en part. et quand je rejoins le salon, je ne me suis même pas rendue compte que je recommençais à saigner.
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@Sierra Brekker
lundi 3 octobre 2022

ma remarque était loin d'être une attaque concernant son épilation mais elle à l'air de l'avoir ressenti comme tel et elle s'attèle correctement à me faire comprendre que c'était déplacé. je fronce les sourcils, on ne s'est vraiment pas compris sur ce coup là. je m'en fou que tu aies ou non des poils. un ton un peu plus sérieux pour lui faire comprendre que peu importe la manière dont elle se présentait à moi, elle serait toujours la perfection incarnée. toujours étonné de savoir qu'elle n'a pas l'air de saisir réellement la place qu'elle a tenu, qu'elle tiens, dans mon coeur, dans mon corps, dans ma vie tout simplement. puis j'ai gagné le salon, je me suis installé et j'ai attendu, les pieds posés sur la table basse, qu'elle me rejoigne. dis-je ton assez fort pour qu'elle m'entende depuis la salle de bain, je l'interpelle bon, c'est quand tu.. et je la vois débarquer, enfin. mais un truc cloche et elle n'a pas l'air de s'en rendre compte. wow hey, viens t'assoir je me suis levé d'un bond et je l'ai escorté pour qu'elle s'assoit. attends, tu bouges pas l'inquiétude s'entend dans ma voix. la culpabilité aussi, de ne sûrement pas avoir prêté attention comme je le devrais, à sa blessure. aller-retour rapide dans la salle de bain, encore, pour ramener une boite à pharmacie. rempli d'anti-douleurs principalement, mais j'y trouve quand même de la gaze et du désinfectant. je voudrais pas la toucher, lui faire mal, et en même temps, mon envie de prendre soin d'elle est puissante.
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@Ilan Vanderbilt
lundi 3 octobre 2022

je fronce les sourcils me rendant compte du quiproquo « hey, c'était une blague Ilan. je sais que tu rigolais et moi aussi » je te fixe un petit moment tandis que tu quittes la pièce. t'es l'homme le plus tolérant, ouvert et respectueux que je connaisse. j'ai jamais douté une seule seconde que tu faisais une simple blague. je termine mes soins sans même me rendre compte que ma blessure s'est réouverte. je crois que je me suis habituée à la douleur. j'ai tellement voulu reprendre du service que j'ai dû faire avec, refusant les anti douleurs la plupart du temps. avec une mère toxico qui m'a laissé dans la rue un nombre incalculable de fois, j'ai pas super envie de tenter le diable. j'entre dans le salon, prête pour notre soirée film jusqu'à ce que je vois ton regard inquiet. « qu'est-ce qu'il y a ? » je te vois faire une aller retour, revenir avec une trousse de secours et je fronce les sourcils à nouveau avant de sentir mon t-shirt coller un peu à ma peau. je passe mes doigts dessus et remarque des traces rouge. je comprends assez rapidement. « c'est rien t'inquiètes pas, ça arrive parfois » quand je force trop et que je dis rien. comme aujourd'hui. moment gênant puisque pour me soigner je dois retirer mon t-shirt sous lequel je ne porte rien. je te fais signe de te retourner et je le retire pour ne placer contre ma poitrine et la cacher. « donne je vais le faire, j'ai l'habitude » j'ai pas envie que tu te forces à voir ça.
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@Sierra Brekker
lundi 3 octobre 2022

elle est bien trop sereine lorsqu'elle se rend compte qu'elle saigne, sierra. bien trop habituée à ce que ça arrive. c'est encore plus inquiétant. je comprends rapidement qu'elle n'est pas vraiment guérit et qu'elle a surement du échapper à l'oeil attentif du médecin du travail qui l'a autorisé à reprendre du service. les bras croisés sur mon torse, je me tourne comme elle me le demande. ridicule, j'ai pas quinze ans et je sais me tenir, surtout dans ce genre de situation. d'ailleurs je peux bien lui prouver, que la voir dénudée mais surtout blessée, je peux me retenir de lui sauter dessus ou de la scruter d'un peu trop près. je tiens une minute, grand maximum, dos à elle avant de défier l'ordre qu'elle m'a donné de ne pas la regarder. c'est bon, je vais t'aider. pas de négociation possible, je lui prend le tout des mains pour m'appliquer à la soigner. c'était déjà arriver que je me retrouve à panser ses plaies. pas aussi grave ceci dit. c'était pas beau à voir, mais j'étais pas très surpris et ça ne me dégoûtait absolument pas. je tamponne une compresse ou j'y ai déposé du désinfectant, de manière délicate. après ça, je dépose une nouvelle compresse, entière, où j'exerce avec ma main, un point de compression pour arrêter le saignement. des gestes d'urgences qu'on apprend à l'école de police, qu'on aimerait toujours devoir éviter de réaliser. ça va? je te fais pas mal? mes yeux sont plongés dans les siens, à la recherche d'une approbation négative. j'aurais pu lui faire la morale, lui dire qu'elle n'est pas sérieuse d'avoir repris si tôt, mais, qui suis-je pour lui faire de tels reproches. à sa place, j'aurais même repris avec le bras coupé.
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@Ilan Vanderbilt
lundi 3 octobre 2022

c'était un réflexe de protection je crois, de te demander de tourner la tête. c'était pas que je voulais pas que tu me vois, mon corps tu le connais par coeur. c'est plus la sensation de vulnérabilité d'un corps nu blessé à la vue d'une autre personne. je ne veux pas que tu me vois faible, en souffrance. j'aime cette idée que je dégage quelque chose de puissant et d'indestructible. mais t'es décidé à me faire comprendre qu'avec toi je ne suis qu'un être humain. ton visage qui se tourne vers moi alors que je n'ai pas terminé de cacher mon corps. et je baisse les yeux. je fixe la plaie qui saigne. tu attrapes la compresse et le désinfectant et fait ce qu'on a tous apprit à l'école de police. c'est douloureux quand tu appuies, mais je serre les dents. ma mâchoire qui se contracte. « non t'en fais pas » la vérité ? putain ça fait un mal de chien, ça irradie tout mon bras, ça me fatigue. je pose ma main sur la compresse propre que tu viens de remettre, attendant que tu scotch le tout. « dis le à personne, s'il te plait » que je suis pas guéris. que je devrais techniquement pas reprendre aussi vite. « je connais mes limites. je mettrais personne en danger, promis » mais ne m'enlève pas ce qui m'a le plus aidé à tenir.
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@Sierra Brekker
lundi 3 octobre 2022

un point commun qu'on a: faire comme si tout allait bien. ne pas montrer ses failles, ses faiblesses. c'est trop risqué. c'est laisser aux autres, la possibilité de vous attaquer quand ils veulent. mais sierra, même avec moi elle ne baisse pas la garde. et pourtant, si il y a une personne avec qui elle pourrait le faire, c'est sûrement moi. je lui force un peu la main pour lui apporter mon aide et elle se laisse finalement faire. j'ai pas des doigts de fée et j'ai pas fais médecin. mes gestes sont délicats mais aussi approximatifs. je vois bien qu'elle souffre mais qu'elle prends sur elle. à moi, elle ne me la fera pas. je connais assez son corps pour comprendre et appréhender ses réactions. je dirais rien la compresse scotchée, je range rapidement le tout dans la boite que je pousse à l'aide de mon pied. mais faut que tu fasses attention. plus à toi qu'aux autres sierra un ton sérieux, presque solennel. j'aurais pas envie d'avoir de nouveau une mauvaise nouvelle à son propos. je suis presque sûr que mes paroles entrent par une oreille et ressortent par l'autre de manière quasi immédiate, mais au moins je lui aurais dis et je n'aurais pas de regret. je me lève et disparait dans ma chambre quelques minutes. quand je reviens, je lui lance un t-shirt propre pour qu'elle l'enfile à la place du sien tâché de sang. et pour faire comme si rien ne s'était passé pour qu'elle ne soit pas mal à l'aise trop longtemps au sujet de ces saignements, j'enchaine sur autre chose. j'espère qu'il vaut le coup ton film !
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