home sweet home | kale

@Kale Manning  tu ne connaissais pas la nouvelle-zélande mais cela faisait parti de ton top cinq des pays dans lequel tu finirais par y aller. quand, tu n'en avais aucune idée, mais tu ferais tout pour t'y rendre. — t'es originaire de là-bas ? lui demandas-tu par curiosité. — tu me la vends bien, cette nouvelle-zélande, souris-tu malicieusement. après avoir balancé quelques phrases en espagnol, tu te mis à traduire ce que tu avais dis bien que kale avait compris la plupart. sauf le plus important, que tu as dû répéter d'un anglais parfait. tu sentis tes joues virer au rouge. tu atténuas ce coup de chaud d'un geste de la main, t'éventant du mieux que tu le pouvais. kale s'approcha alors de toi, posant sa main froide sur ta joue. — tu m'donnes encore plus chaud en faisant ça, mais l'attention est bonne, souris-tu malicieusement. — sur ce, j'vais filer à la douche. l'avion m'a fait transpirer donc j'me dois d'être un minimum présentable ! tu peux te poser dans le salon en attendant, dis-tu en montrant la grande pièce lumineuse. — ou pas, fais comme tu le souhaites. tu déposas ta bière et filas vers ta chambre, pièce qui t'avait véritablement manqué. tu pénétras dans ta petite salle de bain, prête à te détendre sous l'eau froide.

j'ai grandi là-bas, jusqu'à mes dix-huit ans et mon arrivé à boston, lui raconte-t-il. il sourit, comme d'habitude. ouais, mais parce que quand tu vas là-bas, c'est un rêve éveillé. il ne regrette malgré tout pas d'être venu ici, boston lui a ouvert d'innombrables portes et il a connu la gloire, la richesse et le bonheur ici même. avec pas mal de malheurs, malheureusement. s'approchant de ludmilla, il pose sa main froide sur sa joue pour l'aider à se rafraîchir. désolé... lui dit-il, sans vraiment l'être réellement. non, il ne l'est pas et cela lui a permis d'avoir un premier contact avec elle. pas de soucis, prends le temps qu'il te faut. et il se pose sur le canapé présent dans le salon. sa bière dans la main, il en boit quelques gorgées et des pensées malsaines lui traversent l'esprit. il n'est qu'homme après tout. mais, il boit de nouveau pour effacer ses esprits mauvais. se levant, il découvre un peu l'appartement de la jeune femme, évitant de s'approcher de sa chambre. mais finalement, ses jambes l'y conduisent, passant devant la porte de celle-ci.

@Kale Manning — d'accord ! boston a clairement dû te changer, ça n'a rien à voir si je ne dis pas de bêtise ? supposas-tu. t'étais jamais allée en nouvelle-zélande donc tu n'en savais rien mais de ce que tu avais vu sur internet, ils semblaient être bien opposés. son approche ne te rafraichit nullement, bien au contraire, tu sentis ton corps s'échauffer davantage. — c'était plaisant, t'as nullement besoin de t'excuser, le rassuras-tu d'un clin d'œil complice. tu bus une ultime gorgée de ta bière et tu la déposas sur la table de cuisine. après l'avoir invité à se mettre à l'aise, tu filas dans ta chambre pour récupérer une serviette propre puis tu allas dans ta petite salle de bain. rien de mieux qu'une bonne douche froide après de nombreuses heures de vol. l'eau dégoulinante sur ton corps te fit un bien fou, te donnant la sensation d'être soudainement détendue, complètement relaxée. tu entendis un bruit venant de ta chambre. te doutant qu'il s'agissait de kale, tu esquissas un sourire. — tu peux entrer, j'mords pas, dis-tu tout en te savonnant le corps. 

il hoche vivement la tête. vraiment, vraiment, vraiment, rien à voir. disons, que c'est très différent. kale sourit, mais encore une fois, il ne regrette aucunement ses choix et pourtant, il en a eu des occasions pour retourner définitivement chez lui. elle s'en va à la douche, kale s'assoit de prime abord sur le canapé mais il a envie de visiter, de découvrir l'univers de son hôte. il marche, regarde les décorations puis avance jusqu'à la chambre. et il hésite, kale. il sait que ce n'est pas bien, mais la curiosité est bel et bien présente. et il l'entend de sa douche. pénétrant dans la chambre alors, kale lui répond : ta chambre est... à ton image. jolie, simple, il apprécie. je vais retourner dans le salon. lui dit-il. il ne veut pas la gêner dans ce moment d'intimité.

@Kale Manning tu filas à la douche, persuadée que c'était ce qu'il te fallait pour te détendre après un interminable vol. tu ne ressentais pas la fatigue de cette journée, ce qui était assez étrange puisqu'avec le décalage horaire, tu étais censée être complètement à l'ouest. mais tant mieux. tu allais donc pouvoir passer une tranquille soirée en compagnie de kale. l'entendant se balader dans ton appartement, tu l'invitas à venir, n'étant nullement pudique, mais il préféra retourner dans le salon. esquissant un sourire, tu rinças ton corps à l'eau et tu sortis de la douche. tu te séchas rapidement. enfilant une culotte propre, un jogging et un crop top, tu le rejoignis dans la pièce à vivre. — désolée, j'ai vraiment pas de style ce soir, rigolas-tu en indiquant la serviette de bain que tu avais enroulé sur ta tête. — mais au moins tu m'vois naturellement, souris-tu en t'installant à ses côtés sur le canapé. — t'as faim ? j'peux essayer de voir si je peux nous cuisiner un truc vite fait, lui proposas-tu.

séducteur et charmeur, ça, il l’est. pour autant, il n’en oublie pas ses valeurs notamment celle de sa fraternité lorsqu’il a été étudiant à la prestigieuse université de cambridge : être un gentleman. alors, il ne reste pas plus longtemps que nécessaire dans la chambre de son hôte et retourne au salon pour terminer sa bière. heureusement, ludmilla ne met pas longtemps à revenir. il sourit en la voyant, car malgré sa tenue et la serviette enroulée autour de sa tête, kale la trouve plus que ravissante. même encore plus que lorsqu’il l’a vu la première fois. ça va te faire bizarre, peut-être. mais la, je te trouve bien plus irrésistible. elle s’installe à ses côtés, proposant qu’elle peut cuisiner quelque chose s’il a faim. doucement, il hoche la tête de gauche à droite. non, ça va aller. tu n’es pas trop fatiguée toi, au moins ? après tout, elle a fait un voyage afrique vers l’amerique, ça doit être sacrément fatiguant. je ne veux pas profiter de ton temps si tu as besoin de repos.

@Kale Manning tu ne tardas pas à terminer ta douche et à rejoindre le garçon dans le salon. la tenue dans laquelle tu étais n'était pas glamour du tout. t'étais loin de la ludmilla du summer camp, en talons et en robe pailletée. mais tu t'en fichais puisque kale n'avait pas l'air d'être à cheval sur le paraître, ce qui se faisait rare ces temps-ci. tu te sentais à l'aise en sa compagnie, n'ayant nullement peur de venir à ses côtés avec le visage totalement démaquillé. — en même temps tu m'as vu après des heures d'avion. j'devais ressembler à un panda tellement j'étais cernée, rigolas-tu en te lovant confortablement contre les oreillers de ton canapé. tu lui proposas de cuisiner quelque chose. il déclina, ce qui t'arrangeait. tu te serais mise aux fourneaux si besoin mais tu n'avais pas la foi de jouer avec tes casseroles. — non ça va mais j'aurai bien besoin de quelque chose. le vol m'a fait mal partout donc j'dirai pas non à un massage, suggéras-tu d'un sourire malicieux.

elle a pas tort, mais kale n’en démord pas. c’est une jolie femme, elle lui plaît en tout point pour le moment. il y a une certaine alchimie qui s’est installée entre eux deux. ne te sous-estime pas, voyons. et souriant, il rajoute : en plus, les pandas, c’est tout mignon. kale a toujours trouvé cet animal un peu trop beau. alors qu’ils sont posés sur le canapé, kale ne veut pas déranger ludmilla, elle vient d’un long voyage et elle a peut-être besoin de se reposer. c’est si gentiment demandé, installe-toi. il se lève, puis lui dit : je vais voir dans ta salle de bains ce que tu as pour ça, ça te va ? rapidement, l’ancien sportif professionnel se dirige vers la salle de bain et y trouve les produits dont il a besoin : huile de massage. il revient : t’es prête ? il paraît que j’ai un petit don pour prodiguer de bons massages.

@Kale Manning les paroles de kale te firent sourire. tu sentis même tes joues rosirent légèrement, preuve que tu étais véritablement flattée par ses compliments. — merci, t'es adorable, souris-tu d'un clin d'œil complice. pas de cuisine à faire, voilà quelque chose qui t'enchantait. tu n'avais même pas faim, puisque tu avais un petit peu mangé durant le vol. tu avais simplement besoin de te détendre, de souffler un bon coup après le stresse de ce long voyage. tu lui suggéras un message, étant persuadée qu'il s'agissait de ce dont tu avais besoin pour relâcher la pression. tu quittas le salon pour regagner la chambre en sa compagnie. tu le laissas aller dans la salle de bains pour trouver ce dont il avait besoin. tu retiras ton haut, restant torse nu, et tu t'allongeas à plat ventre sur la lit, ta tête confortablement installée sur tes bras repliés. — j'suis prête, souris-tu en fermant les paupières. — mais empêche-moi de dormir, parce que si tu t'en sors bien, je risque fortement de plonger dans un profond sommeil, bâillas-tu, prête à découvrir les talents du jeune homme.

petit sourire en coin. elle va apprendre à connaître kale et savoir que ses paroles ne sont pas lancées en l’air, sincérité comme toujours. elle demande un massage, il s’exécute. ça ne l’a jamais dérangé de masser même si, évidemment, il préfère être masser. enfin, kale a déjà fait plusieurs long voyage et il sait ce que c’est d’être assis, inconfortablement sur un siège d’avion. allant à la salle de bain, il récupère l’huile de massage, parfumé à la coco. retrouvant le salon, ludmilla est déjà allongée sur le canapé, dos nu. se mettant sur le côté, kale étale l’huile dans ses mains qu’il chauffa en frictionnant ses mais l’une contre l’autre. si tu dors, c’est que je t’ai fait un super massage. rit-ol avant de poser ses mains sur le haut du dos de ludmilla et commencer à la masse délicatement mais fermement.