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ILEANA + les retrouvailles.

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Cela faisait même pas deux jours que tu étais arrivé au summer camp, tu n’avais pas pu quitter Boston avant car tu avais plusieurs transactions à terminer pour que l’argent soit envoyé à ton père. Qui pourrait croire que tu étais le fils d’un trafiquant d’arme ? Un jeune homme trempant dans l’illégalité, dans la mafia ? C’était une situation assez délicate, que tu devais à tout prix, gérer au mieux pour ne pas avoir de problème. Alors, tu avais décidé de repousser ton départ pour être certain, d’avoir absolument tout terminé et mettre en stand bye cette occupation. Une fois sur place, tu avais coupé tout lien avec le dark web et ce pendant au moins une ou deux semaines, c’était ton cousin qui reprendrait le temps que tu puisses souffler et profiter de tes vacances. Tu avais visité l’hôtel et ses environs, tu avais passé la soirée en compagnie de tes amis, mais tu n’avais pas trop abusé sur l’alcool. Tu étais pas mal crevé, alors autant se coucher tôt pour être en forme demain soir. Tu avais retrouvé sans trop de mal le chemin pour retourner dans ta chambre. Une fois dans ta chambre, tu avais allumé la télévision pour mettre un peu de bruit dans cette chambre, bien trop calme à ton gout. Après avoir fait un peu de sport, celui que tu n’avais pas fait depuis maintenant deux jours. Tu pris un bonne douche, bien chaude, laissant l’eau couler le long de ton corps. Fermant un instant les yeux, ce besoin de souffler, de te changer les idées. Tu étais resté un bon moment sous l’eau, difficile d’en sortir, tu passas rapidement la main dans tes cheveux, un coup de séché-cheveux, juste un boxer, après tout, il faisait déjà chaud dans la chambre. Tu te posais dans ton lit, zappant quelques chaines pour tomber sur un film d’action. Parfait pour préparer ton sommeil, allumant aussi par la même occasion la clim, tu n’allais pas supporter bien longtemps cette chaleur à crever dans ta chambre. Finalement, quelqu’un essaya de glisser sa clé dans la porte, certainement encore une personne qui se trompait de chambre. L’alcool ne faisait pas des miracles, c’était le cas de le dire. Finalement, cette personne décida de toquer à la porte, tu lâchas un soupire avant de te lever. Ouvrant la porte rapidement, d’un coup sec à la la limite de faire tomber la personne. « Ce n’est pas ta chambre. » soufflais-tu froidement, avant de reconnaitre cette personne, face à toi. « Ileana » lâchais-tu doucement.
@Ileana Pernaut
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L'été est le moment où je relâche toute la pression de l'année, où j'oublie mon côté sérieux habituel. Je suis moins rigoureuse et plus fêtarde. Non pas que je ne le sois pas le reste de l'année mais d'une manière différente. Ce soir en est la preuve, je suis sortie et j'ai un peu trop bu. Il faut dire qu'il m'en faut peu pour être vite dans un état second. Il doit être deux ou trois heures du matin quand je regagne l'hôtel, titubant légèrement dans les escaliers puis dans les couloirs. Je peine à me souvenir du numéro de ma chambre, en même temps, nous venons de changer de destination et donc d'hôtel. Pas facile de se repérer dans un nouvel endroit lorsqu'on a ingérer un peu trop d'alcool. Persuadée d'avoir trouvé ma chambre, j'enfonce les clés dans la serrure mais.. ça ne fonctionne pas. Je tourne, je retire la clé et la remet, je m'énerve un peu dessus et puis la porte s'ouvre de manière presque brutale. Je me redresse, les sourcils froncés, ne comprenant pas trop ce qu'il vient de se passer. Il me faut quelques secondes pour assimiler la situation. Ce n'est pas ma chambre, en effet, comme la personne en face de moi me le fait remarquer. Personne qui enchaine avec mon prénom, d'une voix étrangement familière. Je plisse les yeux, encore quelques secondes le temps que mon cerveau connecte. Alessio. La personne que je n'ai pas vraiment envie de croiser de manière générale. Mes yeux roulent dans leurs orbites. - Alessio je souffle longuement. - Fallait que je tombe sur toi et que... je regarde à droite puis à gauche, désignant les portes voisines, - que je sois très certainement ta voisine de chambre..

@Alessio M. Giodano
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Le passé n’est pas toujours évident à gérer, tu as fait beaucoup de chose dont tu n’es pas forcément fier. Tu fais comme si ça ne te touchait pas, tu as toujours gardé la tête haute. Jeune homme avec un fort potentiel, un caractère suffisamment fort pour tenir tête, pour garder toujours les pieds sur terre. Alors oui, quand tu te retrouvais face à cette femme, tu n’étais pas fier de ce que tu avais fait. La faire souffrir, car tu avais bien d’autre chose à faire, tu n’avais pas assez de temps pour elle. Alors oui, malgré le fait que tu n’as jamais montré tes sentiments, que tu as toujours apparu comme cet homme sans coeur. Dans le fond, tu sais que tu as toujours fait des mauvais choix, et tu t’en veux, mais trop fier pour le montrer. Alors, tu restes en face d’elle, la porte entrouverte, totalement bourrée. Une soirée un peu trop alcoolisée, mais elle gardait toujours ce magnifique visage, ce regard qui t’avait fait craquer la première fois. Tu ne savais pas réellement comment réagir car dans tous les cas, elle te faisait bien comprendre qu’elle ne désirait pas te voir. Normal, tu comprenais parfaitement, qui voudrait voir celui qui t’a blessé ? Personne. Tu restais calme face à elle, restant devant cette porte. Tu laissais un léger rire sortir de ta bouche, levant les yeux au ciel et croisant les bras sur ton torse. A moitié nu, seulement un boxer pour cacher tes parties intimes. « Je vois, embêtant quand on en se souvient plus de son propre numéro. » soufflais-tu doucement. Elle te faisait un peu pitié, ouvrant un peu plus la porte. « Ecoutes, entre, le temps que l’alcool descende. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. Tu t’écartais de la porte, allumant légèrement la lumière dans ta chambre. « Ça sera bien mieux que de dormir dans le couloir où de réveiller tous les voisins. » tu haussais doucement les épaules, ton regard toujours posé sur elle. Tu lui devais bien ça, l’aider dans un moment compliqué.
@Ileana Pernaut
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J'ai très certainement l'air ridicule à cet instant. Postée devant le pas d'une porte d'une chambre qui n'est pas la mienne et qui est surtout celle de mon ex. Ex qui est le premier mec a qui j'avais fais confiance. J'étais plus jeune et je m'étais bien trompée sur son compte. Depuis, de l'eau a certes coulé sous les ponts, je n'ai plus autant de rancœur contre lui, mais Alessio n'est pas la personne que j'aime croiser. De manière générale, on s'est souvent évité depuis la première fois qu'on s'est retrouvé par hasard à Boston. Des années après, je pensais avoir enterré cette partie de ma vie, pourtant, quand je le vois, je suis pas normale. L'alcool aidant, quand il me propose d'entrer, je ne me fais pas vraiment prier. Il a raison et j'en suis consciente, je suis pas dans l'état de retrouver ma chambre. Je pénètre donc dans l'antre de l'italien, sans rien ajouter pendant quelques secondes voire minutes. Je regarde autour de moi, j'inspecte la pièce. A la recherche de quelque chose, sans savoir vraiment quoi. J'ai le hoquet qui m'empare. Fais chier murmurais-je entre deux sursauts de hoquet. Après un moment passé debout, je me laisse tomber dans le canapé, le même que dans ma chambre. j'me permet hein, j'crois qu'on est plus à ça près. Ouais pas de gêne entre nous, après tout, pas besoin de faire de manières. Je fronce les sourcils en le regardant, parce que c'est à ce moment que je percute qu'il est à moitié nu. Je penche la tête pour le regarder, sans gêne encore une fois. Est-ce l'alcool ? Est-ce le fait que je me foute de ce qu'il peut penser? Aucune idée, mais je ne me laisse pas prier à le décrypter de bas en haut. T'as des bons goûts Ilé.. phrase pensée tellement fort que je le dit à voix haute. Oui l'alcool aide vraiment trop.

@Alessio M. Giodano
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Tu ne pensais pas du tout que ta soirée allait se passer ainsi, toi qui pensait pouvoir te mettre devant le film et t’endormir devant. Histoire de récupérer et d’être totalement prêt pour les soirées à venir. Malheureusement ce planning tombait à l'eau quand la jeune femme décida de s’énerver sur ta porte. A vrai dire, tu ne pouvais trop rien dire, tu avais déjà vécu ça. Par chance, il n’y avait eu personne dans la chambre et tu avais finalement trouvé la tienne. Contrairement à elle, elle allait certainement déranger plus d’une personne avant de trouver son chemin. Tu n’étais pas le pire connard, tu aurais très bien pu lui refermer la porte au nez et retourner à tes occupations, mais non. Tu lui proposas tout simplement d’entrer dans ta chambre, prendre le temps qu’il lui faudrait et une fois l’alcool diminué, elle retrouvera son chemin et le numéro de sa chambre. Tu lui proposas de rentrer, laissant le chemin libre, ouvrant plus grand la porte. Fermant celle-ci, une fois qu’elle était à l’intérieur, pas besoin d’avoir des spectateurs dans le couloir. Tu devais certainement avoir la même chambre que la sienne, que tous les autres étudiants. Tu aurais très bien pu te prendre une chambre plus spacieuse en payant de ta poche, mais celle-ci te suffisait amplement. Elle commença à avoir le hoquet, entendant son ronchonnement, qui te laissa échapper un léger rire. Tu pris une bouteille dans le frigo pour lui donner, dans le silence le plus absolu. C’était limite gênant, c’était bien la première fois qu’il n’était pas à son aise, simplement pour la simple et bonne raison que tu te trouvai face à elle. La demoiselle pris place sur le canapé, après tout, elle avait qu’à faire comme chez elle. « Tu as bien raison. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. Tu baissas le son de la télévision, avant de chercher du regard ton short. Histoire d’être un peu moins nu face à elle, même si finalement elle t’avait déjà vu sans rien. Surprise, tu n’aurais jamais pensé qu’elle penserait où dirait quelque chose dans ce type là. Tu attrapas rapidement ton short, l’enfilant et te posant sur le lit, face à elle. « Alors comme ça tu as des bons gouts ? » une pointe de moquerie dans tes paroles. « Je ne te dégoute plus alors ? » tu arquas un sourcil, cherchant à savoir ce qu’elle pensait de toi.
@Ileana Pernaut
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J'ai pris mes aises dans le canapé, meilleure idée de la soirée ou presque.. La meilleure c'est celle de retirer mes chaussures. Les talons, c'est sympa, c'est beau, mais qu'est ce que c'est douloureux. A la fin de la soirée, tes pieds sont des chamallow, tu marches sur des millions de picots. Je peine à retirer les boucles des chaussures qui me tiennent la cheville, mais je finis par y arriver. J'entend Alessio rire de mon hoquet et sûrement de mon état. Ce qui est compréhensible. Une fois la lourde épreuve des chaussures terminées, je m'affale d'autant plus dans le canapé: regroupant mes jambes sur le côté. Ma robe, déjà pas très longue, remonte un peu le long de mes cuisses. Mais à cette heure et dans cet état, je me fou un peu de savoir si on voit un peu plus un morceau de ma peau. Et quand bien même, la personne qui se trouve en face de moi à déjà vu bien plus que ce qui est déjà découvert. Même si, depuis, j'ai sûrement changé et lui aussi d'ailleurs. Je n'ai pas manqué de signifié mes états d'âmes à Alessio. Mon énervement, ma colère contre lui. En fait, la peine qu'il m'avait fait avait été représentative de comment je lui en avait voulu par la suite. Quand il relève ce que j'ai dis, je me rend compte que j'ai parlé à voix haute et un peu trop fort. Je me redresse un peu et alors qu'il me fait face en étant assis sur son lit, je pointe mon doigt vers lui. Vraiment une attitude de personne bourrée. Ouais, j'ai des bons goûts et non tu me dégoutes pas.. mais t'es un sacré connard ! J'agite mon index pour souligner mes propos. Puis je me focalise sur la bouteille d'eau qu'il m'a donné et je bois une bonne quantité. T'aurais pu rester a moitié à poil, ça me faisait pensé à autre chose que le fait que t'es un gros con! Je me sens obligée de le piquer. Incapable de me tenir cinq minutes à de la gentillesse. Surtout qu'il aurait pu me laisser galérer sur les paliers de toutes les portes.

@Alessio M. Giodano
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Qui aurait cru qu’elle serait là sur ton canapé, à moitié avachie ? Personne. Pourtant, c’était loin de te déplaire, même si tu savais parfaitement qu’elle ne te laisserais pas une seconde chance, ni même un plaisir d’une soirée. Elle était alcoolisée, mais tu n’étais pas du genre à profiter des femmes. Non, toi tu voulais leur consentements et tout ce qui allait avec, pas besoin d’avoir en plus des problèmes de transactions, des problèmes avec des plaintes pour des viols et attouchements. Tu faisais toujours attention, ne voulant pas que ça te retomber dessus. Tu la regardais se débattre avec ses chaussures, elle était bien assez grande, tu n’allais tout de même pas l’aider à se mettre à l’aise. Tu lui donnas une bouteille d’eau, plutôt fraiche et tu décidas à ton tour de te mettre un peu plus à l’aise. Enfilant le premier short que tu trouvais, histoire de cacher un peu plus tes attributs qu’un simple boxer. Tu pris place sur ton lit, le regard dirigé vers cette demoiselle où le bout de tissu qui lui servait de robe, remontait légèrement. Limite, elle pouvait se promener en sous-vêtement c’était un peu la même chose. Tu ne comprenais pas ce genre de vêtement, la plupart du temps c’était juste pour cacher le strict minimum. Ton regard se promenait un peu partout, se posant dans ses iris. Tu rigolais à ses insultes « J’entend souvent ça, je le prends comme un compliment donc merci poupée. » tu passas ta main dans tes cheveux pour les replacer rapidement. Tu te levas, prenant place à quelques mètres d’elle, sur le bord du canapé. Plongeant ton regard dans le sien, une proximité qui pouvait déranger, la déranger. « Tu veux que je te fasse autre chose pour te permettre d’oublier ce petit inconvénient ? » un regard profond, un petit sourire en coin.
@Ileana Pernaut
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J'ai du mal à réaliser que je suis vraiment là, assise sur le canapé de la chambre d'Alessio. Si on m'avait dit ça quelques heures plus tôt, j'aurais sûrement eu un fou rire. Pourtant c'est bien réel et je suis bien entrain de prendre mes aises dans ce même lieu. L'eau fraiche qu'il m'a donné me fait beaucoup de bien, il était temps que je m'hydrate avec autre chose que des boissons alcoolisées. Le mot poupée sort de sa bouche, et je suis ramenée sur terre immédiatement. Mon visage se crispe quelques secondes, je fronce les sourcils en le regardant. J'suis pas ta poupée, j'suis bourrée ok, mais n'en profite pas pour me sortir tes grands mots là. Je préfère mettre les limites entre nous, même si je ne suis pas vraiment au clair avec moi même puisque quelques minutes avant, je l'invitais à ne pas s'habiller plus. Je peux être d'une grande ambivalence, et surtout lorsque je suis remplie d'alcool. Mes yeux le suivent, il s'assoie plus près de moi: sur le canapé. Je ne comprend pas trop pourquoi il s'approche et sa question me perturbe d'autant plus. Euh.. c'est quoi cette proposition ? J'essaye de réfléchir, d'imaginer ce qu'il sous entend. Sa présence, sa proximité, deviendrait presque gênante. Mais presque seulement. Je me retrouve partagée entre apprécier qu'il se rapproche et le dégager avec un coup de pied. Finalement, notre "idylle" avait pris fin d'une manière plutôt brutale et dont il était à l'origine. J'avais peiné à m'en remettre à l'époque mais pourtant je sais que très certainement, je pourrais retomber dans ses griffes. Est-ce qu'on oublie vraiment quelqu'un qui a compté pour nous? Pas sûr. Parce qu'Alessio a compté, malgré le mal qu'il m'a fait. Mais ça, par fierté, je le reconnaitrais jamais. C'est une tentative d'approche pour m'avoir dans ton lit à nouveau ? Non parce que dit le directement, on évitera les faux semblants au moins je pose la bouteille d'eau au sol avant de lui vider sur la tête pour lui rafraichir l'esprit. Et puis on gagnera du temps par la même occasion Ouais en même temps, j'essaye de lui montrer que je suis une femme forte, qui résiste à la tentation qui brûle en elle.

@Alessio M. Giodano
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A vrai dire tu te moquais ouvertement d’elle, tu savais d’avance que tu allais la faire tourner en bourrique avec tes questions, avec tes gestes. Tu n’attendais rien d’elle ce soir, ni même les prochains jours. Tu n’étais pas débile, elle avait des frères et tu n’avais pas envie de les croiser de base encore moins si tu décides de rejouer avec elle. Elle n’était pas en état pour quoique ce soit, par contre tu n’allais pas pouvoir t’empêcher de la taquiner et de l’énerver. Le simple mot déclencha la première guerre entre elle et toi, et pourtant tu gardais toujours ce sourire sur tes lèvres. Provocateur dans l’âme, manipulateur, rancunier, bref tu n’avais pas beaucoup de qualité, du moins, tu ne les montrais pas souvent. « Tout de suite, c’est juste un surnom, mais je dirais Madame Pernaut alors. » levant les yeux au ciel, toujours l’air taquin, moqueur sur cette petite tête. Tu avais pris place face à elle, seulement un ou deux mètres te séparait d’elle. Il est clair qu’elle était toujours aussi belle, elle avait juste murie, juste grandie, mais elle avait toujours gardé cette beauté. Oui tu avais fait le con, et c’est d’ailleurs à la suite de cette relation que tu n’as plus désiré te mettre en couple. Car même si tu étais un beau connard comme elle l’avait bien dit, tu restais un homme avec un coeur. Bien caché, mais il était tout de même présent. « Je rigole, j’ai pas envie de coucher avec une femme qui ne sait pas ce qu’elle fait à cause de l’alcool, je suis un connard par un violeur quand même. » ronchonnais-tu, légèrement vexé par ses paroles. Ton regard se posa sur la jeune femme, restant à ta place, ne tentant absolument rien, comme tu l’avais bien stipulé. « Bref, tu veux regarder un film, dormir ? » lançais-tu rapidement.
@Ileana Pernaut
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Je ne sais pas trop comment agir face à Alessio. Il me déstabilise parce qu'il se moque de moi ouvertement, qu'il joue avec mes nerfs en utilisant des petits surnoms et en même temps, il se rapproche de manière physique ce qui peut me laisser insinuer tout et n'importe quoi. Mon imagination n'est pas débordante cela dit, merci l'alcool ingéré. Sinon, Ileana c'est très bien aussi. Je lève les yeux au ciel. Il est doué dans la provocation, et moi je plonge la tête la première dans son petit jeu. Je déteste être prise pour une débile et mon côté légèrement susceptible peut également prendre le dessus. Et quoi de mieux pour être blessant que de me dire qu'on ne veut pas coucher avec moi. Ça ne fait jamais plaisir d'être repoussée et de l'entendre le dire, c'est encore moins agréable. Forcément je me braque immédiatement et cela ne veut pas dire que je lui aurait laissé la possibilité de coucher avec moi. Qui t'as dis que j'voulais coucher avec toi ? dis-je d'un ton pas vraiment agréable. Je me redresse, difficilement, sur le canapé. Mon corps pèse vraiment une tonne à ce moment là, du moins, c'est l'impression que j'en ai. Je regarde le brun, observant qu'il ne tente aucune approche envers moi. Mes yeux se perdent quelques instants dans les siens et je suis ramenée hors de mes pensées avec le son de sa voix qui me propose de regarder un film, ou de dormir. Tu peux pas me proposer à manger plutôt, j'ai une dalle de malade! Et faut que j'éponge ce que j'ai bu sinon j'vais gerber. Je sens que mon estomac est trop rempli, boire autant d'eau d'un coup n'était pas l'idée du siècle. En réalité, je sais qu'il y a peu de risque que je finisse la tête dans les toilettes, mais je veux juste le faire chier. Par contre, j'ai vraiment faim et mon estomac crie famine. Si je mange, dans les cinq minutes qui suivent, je dors. Et potentiellement, si je m'allonge, je pourrais même m'endormir sans manger, mais mon envie de l'emmerder est plus importante sur l'instant.

@Alessio M. Giodano
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