Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityChilseok festival ft Joyce (04.08) - Page 4
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Chilseok festival ft Joyce (04.08)

Ji-hun Hwang

Âge : 28
Lieu de naissance : Hamheung, ville de la région de Hamgyeong du sud. La Corée du Nord l'a vu naître, l'a élevé. Elle a forgé une partie de l'homme qu'il est aujourd'hui, mais c'est sur un tout autre continent qu'il désire construire son avenir.
Quartier d'habitation / Colocation : Il a vécu la Pforzheimer House durant une année, l'a quitté en juillet pour s'installer provisoirement chez un ami, à Chinatown, Boston, le temps de déménager dans un studio au 499 Beacon St.
Situation sentimentale : Il a retrouvé les champs, un petit peu plus d'un mois avant le printemps. Maintenant que n'existe plus de pression, la relation peut enfin préparer sa floraison ; dans une relation avec Lilia, demoiselle qu'il connaît depuis un an déjà ; 2024년 2월 16일
Études / Métier : doctorant en pharmacologie, au sein du laboratoire de l'école de médecine, il assiste également son superviseur dans ses recherches et participe activement à des conférences. En-dehors de ça, il fait du tutorat en sciences et en coréen ; ça paye bien mieux que serveur à la Luna Caffe, même si sa passion pour les latte art ne s'est pas envolée.
Date d'inscription : 16/04/2022
Pseudo & Pronom(s) IRL : Huimei (elle)
Icon : Chilseok festival ft Joyce (04.08) - Page 4 63dcf3a9b9de4d6723a9c5c91e63d0f83fef53f6-gifv
Faceclaim : Lee Jong-seok
Crédits : meteoraa (avatar) onlyjongsuk (gif)
Multicomptes : Soo-min Woo (Yoo-jeong Kim)
Description (1) : Chilseok festival ft Joyce (04.08) - Page 4 NPSpyu1W_o
Description (2) :
Awards:

Warnings : régime totalitaire, sanctions (ex : camp de concentration, travail forcé, exécution publique), patriarcat social / juridique, tortures / actes de barbarie, détention provisoire, violences policières (Japon), ablation d'un rein, 18+, racisme / discrimination / bashing subis, grossesse extra-utérine de son ex-copine / maladie : insuffisance rénale.
RPS : 932
Messages : 20233
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veritas
Ji-hun Hwang
est en ligne
PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t146845-ji-hun-hwang-lee-jong-suk#6299836Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t171640-ji-hun-hwang-x-repertoire-rps#8363822Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155646-ji-hun-hwang-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t146952-meetsachussets-jhoComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t157483-ji-hun-hwang-complement-de-personnage#7065050

Le contact se fit sans rougir, les mains savonneuses se glissèrent sur l’arête des épaules pour les caresser avant de descendre sur les omoplates et profiter de la fine musculature qui suivait de près sa colonne vertébrale. Les nombreuses années à se satisfaire de plonger dans l’océan de la balustrade d’un bateau, ou d’un haut rocher, fonçant tête la première ou pieds en avant dans les profondeurs de l’eau salée. Il aimait sentir le résultat de ses nages se dessiner sous ses doigts – brasse, crawl, dos, papillon, et la douceur de sa peau glisser contre sa paume. Il ne put s’empêcher de lui avouer qu’il trouvait le toucher agréable. L’un des premiers, et d’une longue série à venir il l’espérait. Tu fais bien, commenta-t-il en suivant les dos d’âne dorsaux jusqu’à la partie lombaire qu’il malaxa à son tour, jamais t’arrêter tu ne dois. Pour la qualité de son épiderme, adoucie et hydratée, pour elle, parce que ça devait être plaisant de s’appliquer de la crème, et pour ces autres qui auront le droit d’y goûter ; pour lui qui en baisera chaque parcelle jusqu’à ce que leur histoire tarit.

Il profita du moment autant qu’elle. Il en était certain, parce qu’il avait senti son corps se détendre à son passage. Les yeux dans lesquels il était plongé ne dévoilaient pas grand-chose, mais ces lueurs et différentes teintes marronnées étaient agréables à contempler. Il appréciait le changement qu’il y lisait, seule information qu’elle acceptait de partager, sans doute. Les pensées secrètes mais l’évolution de son cœur mise à nue. Quelques jours plus tôt, elle avait confié avoir grandi, se sentir bien moins chamboulée par son ancienne histoire, et probablement que c’était cet aveu qui avait poussé Ji-hun à penser que c’était le bon moment. Le bon moment de céder à cette tension qui avait mûri entre eux ; l’ « un jour peut-être » transformé en aujourd’hui. Absolument rien, ça change , rassura-t-il sa vis-à-vis. Chilseok restera à jamais une belle légende dans son souvenir. L’un des seuls couples de qui on avait conté le mythe, et qui valait pour exemple à suivre ; respect, loyauté et affection, c’était la devise qu’il voudrait rendre réelle plus tard.

Le flacon de gel douche dans les mains de Joyce, les siennes quittèrent le creux de son dos et le nord-coréen coopéra. Il se tourna, offrant à son tour le verso de son anatomie aux passages délicats des empreintes de sa comparse scientifique. Elle fit des croquis en de petits et larges cercles pour faire mousser le produit puis appliqua plus nettement sa signature sur les parties endolories par les heures de natation de la veille. Muscles malmenés qui avaient gonflé sous l’assaut des interminables répétitions de séries. Il serra la mâchoire au début, mais lorsque les chairs épaisses et tendues finirent par lâcher prise, il ferma les yeux et soupira de bonheur. Son avant-bras se colla à la paroi qui se tenait droite juste devant lui, et son front vint se calquer tout contre. Tête baissée, il profita des va-et-vient appuyés de sa nuque à ses fesses. Massage promis par écrit qui devint concret sous les jets reposants du pommeau qui coulaient encore sur leurs corps. Le silence fut le bienvenu pour accueillir cette quiétude où la femme donnait autrement une partie d'elle à l’homme.

Ses mains glissèrent sur ses côtes, quittèrent le chemin qu’elle avait tracé jusqu’ici pour aller se réfugier sur son torse. Étreinte qui réveilla le mâle de son micro-sommeil. Les paupières s’ouvrirent sur ses pattes adorables posées au-dessus de ses pectoraux, et il vint en saisir une de la sienne sans mettre fin au contact de la paume de Joyce et de son poitrail. Câlin accepté dans le plus profond mutisme. Les secondes se succédèrent sans qu’il ne veuille y mettre un terme. L’espace rien qu’à eux, le temps ne compta plus. De la chance ils ont, les personnes avec qui tu couches, s’avoua-t-il vernis d’un sort favorable lui aussi. Elle était la tendresse qu’il désirait – avait besoin. Il aimait donner beaucoup de sa personne sans jamais obliger un quelconque retour, mais il fallait être  menteur pour affirmer que ça ne faisait pas du bien de recevoir aussi. Ça soulageait les maux invisibles, et même s’il n’en était pas vraiment conscient, Ji-hun en avait un sacré paquet en stock. Il serra davantage ses doigts aux siens, le myocarde tranquille sous son toucher.

Le corps masculin trouva la force de se redresser. Les minutes s’étaient écoulées autant que l’eau. Il refit lentement face à sa complice, et ses phalanges longilignes se logèrent de chaque côté de son visage, pouces en action sur ses joues. Il lui sourit, en la dévisageant avant d’attacher ses agates sur ses lèvres. Il les contourna à leur tour de ses pulpes, mais ménagea l’envie de les goûter à nouveau. Déjà parce qu’il ne se l’autorisait pas, mais aussi parce qu’il savait qu’il fallait garder le cœur des femmes intact, et pour ça préserver certaines limites, ne pas les dépasser. Il déporta son regard sur une mèche victime qui, pensant échapper au chignon haut, s’était retrouvée mouillée. Il la prit entre ses doigts et grimaça. Pour ça, tu vas m’en vouloir, demanda-t-il, se rappelant qu’elle ne supportait pas savoir ses cheveux humides quand elle ne l’avait pas elle-même décidé. Un sèche-cheveux j’ai, la rassura-t-il, en espérant qu’elle minimiserait le tragique accident. Après tout, leur union valait bien une chevelure un peu trempée, pas vrai ?

Tarder, on ne devrait pas, proposa-t-il à Joyce de sortir de la douche et de se préparer, les propriétaires, rentrer ils vont, bientôt. Et ils avaient été clairs là-dessus : ils ne voulaient pas d’invités sous leur toit quand ils étaient présents dans le logement. Ça avait été la seule règle qu’ils avaient stipulé à la signature du contrat de location, et l’asiatique ne désirait pas en déroger. C’était dommage toutefois, parce qu’il aurait bien passé la nuit à ses côtés. Dormir avec elle sur le bateau avait été fort plaisant, tant et si bien qu’il se languissait de pouvoir réitérer l’expérience. Jusqu’au matin ensemble on restera, la prochaine fois, dit-il. Invitation à se retrouver qu’il ne tut pas, l’adressant comme un appel à lui envoyer un signal lorsque son envie de lui et de ses bras se fera sentir. Il ferma le robinet de la cabine et laissa sortir la jeune femme en première. Il la suivit aussitôt, posant ses deux pieds près des siens. Il se pencha pour récupérer la serviette qu’il lui avait prêtée, et s’entoura de la sienne avant de frictionner son corps pour le sécher.

Jusqu’à l’arrêt de bus, je vais t'accompagner , la prévint-il alors qu’il commença à se vêtir de ses habits décontractés. Son quartier était plutôt familial, et ne craignait pas lorsque la nuit était tombée, mais il ne se voyait pas la laisser sur le pas de porte, comptait bien avoir droit à son little kiss avant qu’elle ne disparaisse dans le transport en commun pour rejoindre la Dudley.



@Joyce Millett
(Ji-hun Hwang)
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Les muscles roulent sous le contact de ses doigts et Joyce s'applique à les détendre au mieux, aidée par le savon qui rend la peau plus glissante, sans attache qui pourrait faire mal à Jay. Elle aime ces mouvements qui permettent au corps sous ses mains de se détendre, prend plaisir à le sentir se relaxer après ce moment qu'ils ont partagé ensemble. Tout comme elle aime également ce corps de nageur, fin et musclé, qu'elle devine puissant sous les cercles qu'elle peint sous l'épiderme, l'odeur masculine du savon s'attachant à leur propriétaire avec assurance. La douceur et la simplicité qui se dégagent de ce moment lui plaît, un peu comme une métaphore de toute leur relation ; tout lui paraît toujours plus facile avec lui, elle n'a qu'à tendre la main pour que ses doigts se glissent entre les siens, fermer les yeux pour sentir le contact de ses lèvres. Ils ne se connaissent que depuis quelques mois à peine, mais la biologiste est heureuse de cette rencontre qui, si elle s'est faite dans des circonstances assez dramatiques, lui apparaît comme heureuse aujourd'hui. Un dernier cadeau de Loki avant son voyage final ? Le mammifère marin toujours si joyeux et bondissant, aurait-il cherché à lui laisser un message, celui de toujours sourire, de toujours trouver de nouvelle raison au bonheur ? Sa vie s'est tellement morcelée le semestre dernier, que chaque instant passé avec Jay est comme retrouver la surface pour une profonde inspiration salvatrice ; sirène qui remonte à la surface et accepte de laisser les flots la séparer du marin, déchirant cette relation qui a pris l'eau depuis longtemps, mais qu'elle refusait de laisser partir. Tout a explosé dernièrement, il ne reste plus de Denzel que l'image de ce bateau, presque une épave, qui coule avec lui. Et dans la mer qui s'est calmée, un poisson s'est glissé pour rencontrer la lionne. Il faut savoir tourner la page, et l'histoire qu'a écrite l'étudiant entre ses cuisses aujourd'hui est particulièrement jolie.

Le dos de Jay brille sous les néons de la salle de bain, trésor auquel elle ne résiste pas, enroulant ses bras autour de son torse, une joue posée contre l'odeur du savon, alors que bien vite ses mains sont rejointes par d'autres dans cette étreinte improvisée et mouillée. Le calme de deux respirations qui se trouvent, peau contre peau et corps contre corps, Joyce ferme les yeux pour mieux profiter de cette chaleur qui se dégage tout contre elle, son ventre, ses seins, son visage trouvant refuge le long de la colonne vertébrale de l'homme. Le calme de la mer qui l'envahit, le bruit lointain du pommeau qui laisse couler l'eau alors qu'elle s'échappe dans le flot de ses pensées, saisissant l'instant présent tout en l'ancrant profondément.

– Celles qui couchent avec toi aussi.

Même si, un peu égoïstement, elle espère qu'elles ne sont pas trop nombreuses, celles qui s'abandonnent sous les caresses de ses doigts et de sa langue, la jouissance au bord des lèvres. Jay est un amant attentif, pas de ceux qui souhaitent simplement tirer un coup dans le recoin sombre d'un bar, elle la sent cette envie d'offrir le plaisir, comme il aime à faire sourire les gens qui l'entoure, et cette générosité de cœur la touche. Haley a raison ; il faut qu'elle soit prudente dans cette relation si elle ne veut pas franchir la seule interdiction qui se dresse entre eux : celle de tomber amoureuse. Parce qu'il serait si facile de glisser dans cet encart, laissant abonder des sentiments nouveaux nés sous toute cette attention qu'il lui donne. Facile, mais imprudent, peut-être même douloureux. Meilleure manière en tout cas, de tout perdre. Et Joyce n'a pas envie de renoncer à celui qui s'escrime à la faire sourire par tous les moyens qu'il peut, pas tout de suite en tout cas, pas quand ils passent du si bon temps ensemble.
Elle le sent se redresser et bientôt la chaleur qui l'enveloppait la quitte, fin frisson qui se dessine contre son ventre alors que les peaux se séparent pour qu'il puisse lui faire face à nouveau. Ses yeux posés sur elle, elle croit un instant qu'il va l'embrasser, mais ses lèvres ne s'abaissent finalement jamais, seule quelques gouttes se déposent sur les deux pétales roses qui lui font face avant que son attention ne soit détournée par une mèche de cheveux qu'il pince entre deux doigts.

– Je suis sûre que tu trouveras un moyen de te faire pardonner.

Le moment qui s'était suspendu reprend son cours sur ce simple échange et il est déjà temps de sortir de la douche s'ils ne veulent pas vider l'intégralité de la réserve d'eau de Boston. D'autant que Joyce comprend à ses mots que les gens chez qui il vit ne souhaite pas forcément qu'ils ramènent quelqu'un chez lui – qu'importe, la prochaine fois il n'auront qu'à aller chez elle. Elle frissonne soudain à cette idée, réalisant ce qu'elle implique, une prochaine fois, et ça lui convient bien.

– Ça me va, sourit-elle.

Ils sortent ensuite et elle s'enroule rapidement dans sa serviette, se frictionnant avec le linge éponge avant de retourner dans la chambre pour y retrouver ses habits – pas forcément agréable à remettre juste après une douche, mais elle ne va tout de même pas prendre le bus toute nue. Une fois habillés, ils peuvent rejoindre la rue et elle ne résiste pas, une fois à l'extérieur, à entremêler ses doigts aux siens, réflexe qui s'est tissé entre eux au fil du temps passé ensemble. L'arrêt n'est pas bien loin et le bus, pour une fois un peu trop ponctuel au goût de Joyce, arrive peu de temps après eux. Elle n'a que le temps de se dresser sur la pointe des pieds, hésitant entre la joue et la bouche de Jay un instant, avant de se décider pour les lèvres en voyant qu'il ne se détourne pas. Baiser plus léger que ceux partagés dans le lit de l'homme quelques temps plus tôt, pressée par le véhicule qui ne va pas tarder à repartir, mais elle se promet mentalement de se rattraper très vite. Après tout, ne se sont-ils pas promis à demis mots une prochaine fois ?

– À bientôt.

Et elle lui accorde un dernier sourire avant de grimper dans son bus, le cœur voltigeant de légèreté dans sa poitrine.
(Invité)