Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityChilseok festival ft Joyce (04.08) - Page 3
Le Deal du moment : -23%
(Black Friday) Apple watch Apple SE GPS 44mm ...
Voir le deal
199 €


Chilseok festival ft Joyce (04.08)

Ji-hun Hwang

Âge : 28
Lieu de naissance : Hamheung, ville de la région de Hamgyeong du sud. La Corée du Nord l'a vu naître, l'a élevé. Elle a forgé une partie de l'homme qu'il est aujourd'hui, mais c'est sur un tout autre continent qu'il désire construire son avenir.
Quartier d'habitation / Colocation : Il a vécu la Pforzheimer House durant une année, l'a quitté en juillet pour s'installer provisoirement chez un ami, à Chinatown, Boston, le temps de déménager dans un studio au 499 Beacon St.
Situation sentimentale : Il a retrouvé les champs, un petit peu plus d'un mois avant le printemps. Maintenant que n'existe plus de pression, la relation peut enfin préparer sa floraison ; dans une relation avec Lilia, demoiselle qu'il connaît depuis un an déjà ; 2024년 2월 16일
Études / Métier : doctorant en pharmacologie, au sein du laboratoire de l'école de médecine, il assiste également son superviseur dans ses recherches et participe activement à des conférences. En-dehors de ça, il fait du tutorat en sciences et en coréen ; ça paye bien mieux que serveur à la Luna Caffe, même si sa passion pour les latte art ne s'est pas envolée.
Date d'inscription : 16/04/2022
Pseudo & Pronom(s) IRL : Huimei (elle)
Icon : Chilseok festival ft Joyce (04.08) - Page 3 63dcf3a9b9de4d6723a9c5c91e63d0f83fef53f6-gifv
Faceclaim : Lee Jong-seok
Crédits : meteoraa (avatar) onlyjongsuk (gif)
Multicomptes : Soo-min Woo (Yoo-jeong Kim)
Description (1) : Chilseok festival ft Joyce (04.08) - Page 3 NPSpyu1W_o
Description (2) :
Awards:

Warnings : régime totalitaire, sanctions (ex : camp de concentration, travail forcé, exécution publique), patriarcat social / juridique, tortures / actes de barbarie, détention provisoire, violences policières (Japon), ablation d'un rein, 18+, racisme / discrimination / bashing subis, grossesse extra-utérine de son ex-copine / maladie : insuffisance rénale.
RPS : 932
Messages : 20233
Préférences de jeu
veritas
Ji-hun Hwang
est en ligne
PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t146845-ji-hun-hwang-lee-jong-suk#6299836Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t171640-ji-hun-hwang-x-repertoire-rps#8363822Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155646-ji-hun-hwang-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t146952-meetsachussets-jhoComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t157483-ji-hun-hwang-complement-de-personnage#7065050
Warning : 🔞



@Joyce Millett

* C'est si bon...
(Ji-hun Hwang)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
(Invité)
Ji-hun Hwang

Âge : 28
Lieu de naissance : Hamheung, ville de la région de Hamgyeong du sud. La Corée du Nord l'a vu naître, l'a élevé. Elle a forgé une partie de l'homme qu'il est aujourd'hui, mais c'est sur un tout autre continent qu'il désire construire son avenir.
Quartier d'habitation / Colocation : Il a vécu la Pforzheimer House durant une année, l'a quitté en juillet pour s'installer provisoirement chez un ami, à Chinatown, Boston, le temps de déménager dans un studio au 499 Beacon St.
Situation sentimentale : Il a retrouvé les champs, un petit peu plus d'un mois avant le printemps. Maintenant que n'existe plus de pression, la relation peut enfin préparer sa floraison ; dans une relation avec Lilia, demoiselle qu'il connaît depuis un an déjà ; 2024년 2월 16일
Études / Métier : doctorant en pharmacologie, au sein du laboratoire de l'école de médecine, il assiste également son superviseur dans ses recherches et participe activement à des conférences. En-dehors de ça, il fait du tutorat en sciences et en coréen ; ça paye bien mieux que serveur à la Luna Caffe, même si sa passion pour les latte art ne s'est pas envolée.
Date d'inscription : 16/04/2022
Pseudo & Pronom(s) IRL : Huimei (elle)
Icon : Chilseok festival ft Joyce (04.08) - Page 3 63dcf3a9b9de4d6723a9c5c91e63d0f83fef53f6-gifv
Faceclaim : Lee Jong-seok
Crédits : meteoraa (avatar) onlyjongsuk (gif)
Multicomptes : Soo-min Woo (Yoo-jeong Kim)
Description (1) : Chilseok festival ft Joyce (04.08) - Page 3 NPSpyu1W_o
Description (2) :
Awards:

Warnings : régime totalitaire, sanctions (ex : camp de concentration, travail forcé, exécution publique), patriarcat social / juridique, tortures / actes de barbarie, détention provisoire, violences policières (Japon), ablation d'un rein, 18+, racisme / discrimination / bashing subis, grossesse extra-utérine de son ex-copine / maladie : insuffisance rénale.
RPS : 932
Messages : 20233
Préférences de jeu
veritas
Ji-hun Hwang
est en ligne
PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t146845-ji-hun-hwang-lee-jong-suk#6299836Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t171640-ji-hun-hwang-x-repertoire-rps#8363822Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155646-ji-hun-hwang-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t146952-meetsachussets-jhoComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t157483-ji-hun-hwang-complement-de-personnage#7065050
Warning : 🔞



@Joyce Millett
(Ji-hun Hwang)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
(Invité)
Ji-hun Hwang

Âge : 28
Lieu de naissance : Hamheung, ville de la région de Hamgyeong du sud. La Corée du Nord l'a vu naître, l'a élevé. Elle a forgé une partie de l'homme qu'il est aujourd'hui, mais c'est sur un tout autre continent qu'il désire construire son avenir.
Quartier d'habitation / Colocation : Il a vécu la Pforzheimer House durant une année, l'a quitté en juillet pour s'installer provisoirement chez un ami, à Chinatown, Boston, le temps de déménager dans un studio au 499 Beacon St.
Situation sentimentale : Il a retrouvé les champs, un petit peu plus d'un mois avant le printemps. Maintenant que n'existe plus de pression, la relation peut enfin préparer sa floraison ; dans une relation avec Lilia, demoiselle qu'il connaît depuis un an déjà ; 2024년 2월 16일
Études / Métier : doctorant en pharmacologie, au sein du laboratoire de l'école de médecine, il assiste également son superviseur dans ses recherches et participe activement à des conférences. En-dehors de ça, il fait du tutorat en sciences et en coréen ; ça paye bien mieux que serveur à la Luna Caffe, même si sa passion pour les latte art ne s'est pas envolée.
Date d'inscription : 16/04/2022
Pseudo & Pronom(s) IRL : Huimei (elle)
Icon : Chilseok festival ft Joyce (04.08) - Page 3 63dcf3a9b9de4d6723a9c5c91e63d0f83fef53f6-gifv
Faceclaim : Lee Jong-seok
Crédits : meteoraa (avatar) onlyjongsuk (gif)
Multicomptes : Soo-min Woo (Yoo-jeong Kim)
Description (1) : Chilseok festival ft Joyce (04.08) - Page 3 NPSpyu1W_o
Description (2) :
Awards:

Warnings : régime totalitaire, sanctions (ex : camp de concentration, travail forcé, exécution publique), patriarcat social / juridique, tortures / actes de barbarie, détention provisoire, violences policières (Japon), ablation d'un rein, 18+, racisme / discrimination / bashing subis, grossesse extra-utérine de son ex-copine / maladie : insuffisance rénale.
RPS : 932
Messages : 20233
Préférences de jeu
veritas
Ji-hun Hwang
est en ligne
PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t146845-ji-hun-hwang-lee-jong-suk#6299836Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t171640-ji-hun-hwang-x-repertoire-rps#8363822Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155646-ji-hun-hwang-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t146952-meetsachussets-jhoComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t157483-ji-hun-hwang-complement-de-personnage#7065050
Warning : 🔞



Il l’encercla de nouveau et la fit basculer sur le côté avant de la serrer tout contre lui. Avant de bouger, des vitamines de toi j’ai besoin de puiser, expliqua-t-il d’une voix faible, semblable à un murmure. Il posa son menton sur le haut de son crâne et clôt ses paupières. Les inspirations et expirations gagnant un rythme plus régulier, il se laissa porter par le calme ambiant de cette chambre qui venait tout juste de voir vivre le chamboulement de leur relation. De connaissances, ils avaient passé nombreuses étapes sans jamais pouvoir conférer une appellation concrète à leur duo. Ils n’étaient pas amis, parce que l’amitié avait une importance propre aux yeux de Ji-hun, et il ne pouvait concevoir de toucher ses potes femelles, alors de penser avoir des rapports avec frôlait le ridicule. Ils n’étaient pas non plus amants, parce qu’ils ne vivaient pas que de parties de jambes en l’air, savaient tirer de l’intérêt dans les conversations qui fusaient de leurs retrouvailles. Et encore moins amoureux, parce qu’elle était encore attachée d’une certaine façon à son ex-copain, parce qu’il ne supportait pas l’idée que l’amour puisse l’empêcher de mener à bien ses projets ; qu’étaient-ils ?

Il ne sut s’il trouva le sommeil, câlinant ainsi la douce et belle navigatrice. Il caressa du bout de ses doigts la peau nue de celle qui fera partie de ses camarades doctorants à la rentrée, mais les aiguilles des minutes firent de nombreux tours du cadran entre le moment où il ferma les yeux et les rouvrit sur la fenêtre de laquelle une lueur orangée faisait irruption dans la pièce à dormir. Il soupira contre la chevelure épaisse de l’étudiante avant de demander : tu dors ? Le repos avait sans doute été indispensable pour se remettre de ces émotions ; cela faisait des mois qu’il n'avait pas expérimenté ça. Une douche, tu devrais prendre, pour te défaire de…ça , proposa-t-il ; à comprendre de son sperme, des ramyeon, je vais pouvoir te préparer. Il suggéra, parce que l’heure de retour de ses propriétaires approchait, et qu’il lui était impensable de la laisser repartir le ventre vide. Il embrassa ses cheveux du bout des lèvres avant d’ouvrir ses bras pour lui rendre sa liberté. Il se redressa mais, avant de quitter le lit, passa sa bouche sur l’un des suçons qu’il avait dessinés sur son oblique, puis bisouta sa hanche et le côté de sa cuisse.

Une serviette, je vais te chercher, prévint-il avant de se mettre sur pieds et partir à la recherche de son boxer qu’il enfila. Devant l’armoire, il tira sur un long rectangle éponge qu’il posa au bas du lit, et finit par se rhabiller de son jeans et son t-shirt. De te détendre, prends ton temps, l’invita-t-il à profiter des jets multi-positions, et pourquoi pas de la fonction massage de sa douche. Le seul bémol était qu’il ne possédait que des gels douche aux senteurs masculines. Sauvage de chez Dior, déclaration de Cartier ou invictus de Paco Rabanne, rien qui ne collait aux douces effluves présentes dans les produits réservés aux dames, mais ça lui permettait de faire sans parfum ; il n’utilisait pas de déodorant non plus, ne pourrait la dépanner. Pour dix minutes j’en ai, mit-il l’accent sur la rapidité du dîner qu’il allait lui préparer. Il prévoyait de rapporter dans la chambre un bol de nouilles instantanées dans lequel quelques pousses de haricots mungo et d’épinards seraient plongés, cuits dans le bouillon légèrement épicé, accompagnés de shiitake déshydratés, mais aussi une petite omelette roulée aux fines herbes qu’il s’était entraîné à préparer, cuite juste à point.


@Joyce Millett
(Ji-hun Hwang)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Elle sourit de le sentir si proche, sans oser poser des mots sur tout ce qui s'était passé cette après-midi. Quelque chose de nouveau s'était ouvert entre eux, et des deux navigateurs sur les flots à dormir l'un contre l'autre dans une couchette, ils étaient devenus ces deux amants qui se serraient l'un contre l'autre, bercés par les respirations qui s'apaisaient après la montée du plaisir et de l'ocytocine. Pique d'adrénaline presque addictif et dont elle n'avait pas envie de décrocher.
Parfois, Joyce se demandait ce que ça serait de partir seule, pendant des longs mois, poursuivre son rêve sur l'océan. Elle l'avait vécu gamine, sans avoir ces même besoin physiologiques et psychologiques qui la pressaient depuis son adolescence. Et elle ne pouvait même pas poser la question à ses parents, eux l'avaient toujours vécu à deux, couple amoureux qui surmontaient toutes les tempêtes. Mais elle, n'aurait-elle que ses doigts et l'horizon à perte de vue ? Jay lui avait un jour demandé si elle n'avait pas peur de la solitude et elle avait juré que non ; c'était la vérité. La solitude ne l'effrayait pas tant, et pourtant elle savait que certaines personnes lui manqueraient. Prendrait-il un jour une place si importante dans sa vie qu'il en ferait partie ? À Alexandrie, il lui avait manqué, en tout cas.

Ce sont sur ses pensées qu'elle s'endort, sans voir le jour tomber derrière la fenêtre, blottie contre le corps qui l'encercle, leurs jambes enlacées, presque mélangées malgré eux. Et lorsque la voix de Jay la tire d'un sommeil sans rêve, elle papillonne quelques instants des paupières avant de se rappeler ce qu'elle fait là, sa nudité sertie entre ses bras. Quelques instants de plus et elle se demande si elle a bêtement bavé comme il peut parfois lui arriver quand elle s'endort trop profondément et soudainement, et elle passe rapidement le dos de sa main contre la commissure de ses lèvres, soulagée de constater que ce n'est pas le cas.

– Salut toi, murmure-t-elle pour lui répondre et le rassurer ainsi sur son éveil.

L'envie de protester lui traverse un instant l'esprit lorsqu'il lui propose de se doucher. Elle est bien là, tout contre lui, et n'a pas nécessairement envie de se défaire de cette étreinte. Son ventre cependant n'est pas du même avis et gargouille rien qu'à l'idée de manger.

– La spécialité du chef ! Comment résister ?

Elle le taquine alors que les bras s'écartent pour la laisser se redresser légèrement sur ses coudes, quittant le refuge de cette chaleur qui l'a englobée durant leur sieste. L'étudiante ignore combien de temps ils sont restés ainsi endormis, mais un coup d'œil par la fenêtre lui indique que la nuit n'est plus très loin, ce qui en été indique une heure plutôt tardive. L'après-midi aura connu des prolongations.
Elle l'observe se retirer doucement du lit, laissant une ultime trace de ses lèvres sur sa peau nue, riant aux chatouilles que cela lui procure et découvrant par la même occasion le dessin tacheté réalisé par l'artiste sur son ventre. Peinture abstraite qui orne sa peau, un souvenir comme pour ancrer un peu plus fort ce moment à deux et qui se rappellera à elle lorsque cette nuit, en plein rêve érotique, elle s'éveillera dans le creux de son lit avant de raviver la flamme brûlante qu'il a allumée entre ses jambes.

– Ça chatouille.

Ses doigts caressent son menton avant que Jay ne se relève totalement, s'habillant rapidement avant d'aller lui chercher une serviette pendant qu'elle même se remet sur pied, rassemblant ses affaires sur un coin du lit et attrapant en souriant le tissu éponge qu'il lui tend. Elle hoche la tête avant de disparaître dans la salle de bain, certaine que les dix minutes attribuées devraient lui être largement suffisantes.
Une fois dans la douche, elle attache ses cheveux en un rapide chignon sur le haut de son crâne grâce à l'élastique autour de son poignet, avant d'allumer l'eau fraîche qu'elle accueille dans un soupir de bonheur. Elle vient faire rougir sa peau, jusqu'à ce qu'elle ne la coupe, humant les différents savons qu'il possède – plus vraiment habituée à les voir sous forme liquide – avant de prendre celui qui lui fait le plus penser à elle, comme si elle pouvait emporter un petit bout du biologiste dans le sillage qui la ramènera chez elle.
Quelques instants plus tard, un peu avant la limite des dix minutes, elle ressort de la salle de bain après un coup d'œil au miroir pour s'assurer qu'aucune trace de coussin n'a jugé bon de s'installer sur sa joue, la serviette enroulée autour de sa poitrine et l'estomac qui gargouille toujours. Cette fois, c'est elle qui a besoin de vitamines !
(Invité)
Ji-hun Hwang

Âge : 28
Lieu de naissance : Hamheung, ville de la région de Hamgyeong du sud. La Corée du Nord l'a vu naître, l'a élevé. Elle a forgé une partie de l'homme qu'il est aujourd'hui, mais c'est sur un tout autre continent qu'il désire construire son avenir.
Quartier d'habitation / Colocation : Il a vécu la Pforzheimer House durant une année, l'a quitté en juillet pour s'installer provisoirement chez un ami, à Chinatown, Boston, le temps de déménager dans un studio au 499 Beacon St.
Situation sentimentale : Il a retrouvé les champs, un petit peu plus d'un mois avant le printemps. Maintenant que n'existe plus de pression, la relation peut enfin préparer sa floraison ; dans une relation avec Lilia, demoiselle qu'il connaît depuis un an déjà ; 2024년 2월 16일
Études / Métier : doctorant en pharmacologie, au sein du laboratoire de l'école de médecine, il assiste également son superviseur dans ses recherches et participe activement à des conférences. En-dehors de ça, il fait du tutorat en sciences et en coréen ; ça paye bien mieux que serveur à la Luna Caffe, même si sa passion pour les latte art ne s'est pas envolée.
Date d'inscription : 16/04/2022
Pseudo & Pronom(s) IRL : Huimei (elle)
Icon : Chilseok festival ft Joyce (04.08) - Page 3 63dcf3a9b9de4d6723a9c5c91e63d0f83fef53f6-gifv
Faceclaim : Lee Jong-seok
Crédits : meteoraa (avatar) onlyjongsuk (gif)
Multicomptes : Soo-min Woo (Yoo-jeong Kim)
Description (1) : Chilseok festival ft Joyce (04.08) - Page 3 NPSpyu1W_o
Description (2) :
Awards:

Warnings : régime totalitaire, sanctions (ex : camp de concentration, travail forcé, exécution publique), patriarcat social / juridique, tortures / actes de barbarie, détention provisoire, violences policières (Japon), ablation d'un rein, 18+, racisme / discrimination / bashing subis, grossesse extra-utérine de son ex-copine / maladie : insuffisance rénale.
RPS : 932
Messages : 20233
Préférences de jeu
veritas
Ji-hun Hwang
est en ligne
PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t146845-ji-hun-hwang-lee-jong-suk#6299836Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t171640-ji-hun-hwang-x-repertoire-rps#8363822Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155646-ji-hun-hwang-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t146952-meetsachussets-jhoComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t157483-ji-hun-hwang-complement-de-personnage#7065050

Ji-hun ne s’était pas rendu compte qu’il avait sombré dans un sommeil réparateur, épuisé par les entraînements tout juste repris, et par ce qui venait de se jouer sur son lit. La présence de Joyce dans ses bras l’avait porté rapidement jusqu’au repos, parce que, même s’il avait l’habitude de s’endormir seul une bonne partie de ses nuits, il trouvait agréable d’encercler un corps et le serrer contre le sien. Il avait avoué préférer sentir son dos frôler son torse dans leur étreinte nocturne, mais le face à face n’était pas mal non plus – tant qu’elle ne l’obligeait pas à allonger sa colonne contre le drap. Leurs torses se soulevaient ensemble et regagnaient peu à peu un certain niveau de sérénité. Le souffle chaud qui rythmait chacun de ses sommeils s’écrasait sur l’oreiller où la tête de la biologiste reposait. L’inactivité de leurs enveloppes nues aurait pu les mener à frissonner de froid malgré la chaleur étouffante qui subsistait en soirée, mais la peau chaude en tout temps, toute saison, du nord-coréen les maintint dans un cocon fort plaisant.

Les aiguilles tournèrent dans le cadran du réveil posé sur la table de chevet, et le soleil continua sa course, disparaissant peu à peu derrière les immeubles de Boston, ne laissant qu’une lueur orangée percer la fenêtre de la chambre. Les minutes s’étaient presque transformées en heure lorsqu’il rouvrit les paupières, il inspira profondément avant de demander à la belle qu’il tenait encore entre ses membres supérieurs si elle dormait. Il fallut quelques secondes à l’étudiante pour lui répondre, et ces mots qui sortirent d’entre ses lèvres rappelèrent au brun ce premier matin où ils s’étaient réveillés enlacés dans le même drap. Un bien-être semblable s’en dégagea, et il sourit contre cette chevelure contre laquelle son visage avait glissé. Il n’eut pas besoin de réfléchir bien longtemps pour se souvenir de ce qui s’était passé, ni du fait qu’elle avait reçu de sa semence sur le flanc. Ce fut alors naturel pour lui de lui proposer d’utiliser sa salle de douche. Il se redressa alors, mais ne partit pas sans déposer de nouveaux baisers sur son corps.

Ça la chatouilla, parut-il. Information qu’il aima retenir, dans le cas où il se voudrait un jour taquin et tactile. Il remit un à un ses vêtements, et apporta une serviette éponge au bout du lit pour la jeune femme. Il attendit qu’elle disparaisse dans la pièce accolée avant de sortir et rejoindre la cuisine. Il prit soin de fermer la porte derrière lui, pour éviter que Mister Shining vienne faire des siennes. Le chat se trouvait toujours en haut du vaisselier, se prélassant sous un dernier rayon de soleil. Il se présenta rêveur et contorsionniste. Ji-hun se lava les mains avant de s’affairer. Casserole, poêle et bol sortis pour cuisiner. Paquet de nouilles, pousses d’haricots et d’épinards, œufs et fines herbes posés sur le plan de travail. Deux recettes simples mais qui étaient un véritable défi pour le jeune homme qui n’avait aucun talent. Il s’était toutefois entraîné à plusieurs reprises pour maîtriser la cuisson de l’omelette roulée, semblable à l’attention qu’il fallait porter aux œufs brouillés. Onze minutes passées lui suffirent pour réaliser les plats et faire la vaisselle.

Le plateau fut porté dans la chambre où il retrouva Joyce dans le long et doux tissu. Il posa un regard furtif sur l’ensemble de son anatomie – les parties dissimulées et non dissimulées – avant de rejoindre le bureau. L’ordinateur, le mettre sur le lit, tu pourrais, lui demanda-t-il poliment, afin qu’il puisse le remplacer par la planche de service. Il mit en évidence baguettes, grosse cuillère et fourchette avant de lui proposer la chaise de travail. Assieds-toi , l’invita-t-il en lui tenant le dossier pour éviter qu’elle ne tourne. Une fois qu’elle fut en place, il se permit de remettre quelques mèches de cheveux dans son chignon haut, les coinçant de nouveau dans l’élastique afin qu’elles ne puissent la gêner durant le dîner. Autant que tu as faim, mange, lui dit-il, parce qu’il n’avait pas encore d’appétit , avait l’habitude de manger bien plus tard depuis qu’il travaillait également à la réception et au room service de nuit d’un hôtel. Il espérait que ça allait lui plaire, ne pouvait de toute évidence pas faire mieux que ça ; jamais il ne sera un très bon cuisinier, et pour cette raison cherchera une femme qui saura faire.

Une douche, je vais aller prendre, aussi, prévint-il. Il avait besoin de se rafraîchir et de changer de vêtements. L’absence de porte leur permettra, de toute façon, de garder contact et converser. Il alla chercher sa serviette sur la patère, là où il avait l’habitude de la sécher, loin de l’humidité de la pièce d’eau, et chopa un nouveau boxer et des fringues plus décontractées. Il dépassa ensuite l’encadrement et se déshabilla devant le lavabo. Les tissus rejoignirent le sol, il entra dans la douche et ferma le pan mobile  derrière lui. Il enclencha le jet et l’eau commença à couler. J’y pense, commença-t-il en parlant un peu plus fort, histoire que sa voix puisse passer au travers des bruits de l’eau, si tu préférais les plus jeunes ou les plus vieux, jamais tu m’as répondu. Ça avait été une question qu’il avait posée sur l’un des messages, juste avant qu’ils ne partent en voyage sur l’océan , mais elle n’avait jamais donné d’indication ; comme lui n’avait jamais donné son âge. Quatre garçons et deux filles, est-ce-qu’elle avait toujours été la plus jeune ?

Pour les plus âgées, j’ai une préférence , fit-il ensuite, tout en frottant la racine de ses cheveux. Parce qu’elles étaient logiquement plus expérimentées et qu’il prenait bien plus son pied avec des femmes de trente ou quarante ans. Elles y mettaient plus d’émotions, cherchaient la jouissance suprême. Les demoiselles, elles, voulaient jouir plusieurs fois, désiraient un rythme plus cadencé qui ne lui convenait pas, à lui ; mais le plaisir des dames avant tout. Il préférait les plus âgées, oui, mais il y avait quelques exceptions. Joyce avait prouvé qu’elle avait cette maturité sexuelle qu’il appréciait tant chez les plus mûres, pourtant elle avait tout juste vingt-cinq ans. Mais, avec une de mon âge, je me marierai , ajouta-t-il. Parce qu’il savait la gente féminine penser au mariage plus facilement, et avec un certain empressement, il ne se voyait pas accepter de s’unir officiellement avant ses trente ans. Et le mieux serait même de lui laisser le temps de finir ses études, et de trouver un emploi stable, histoire qu’il puisse être capable d’assurer un toit à sa future épouse.

Et en ce qui concernait son âge ? Il aimait tenir cette information secrète. Certaines le pensaient plus jeune, d’autres le pensaient plus vieux. Particularité liée à ses origines asiatiques dont il se délectait. Toutefois, il demanda une chose à Joyce, pour la mettre sur la voie : dis «oppa». Il arrêta de passer sur son corps le gel douche, de façon à savourer le moment où ce simple mot passerait les lèvres de Joyce. Terme utilisé par les femmes pour appeler un homme plus âgé. D’ordinaire, il signifiait simplement « grand-frère », mais il était aussi source d’une affection pour un ami plus vieux. « Oppa » était aussi le surnom qu’une demoiselle donnait à son petit-ami, et en ce sens, ça faisait inlassablement jubiler le garçon. Leur lien particulier ne les mettait dans aucune de ses catégories, et ce fut peut-être pour cette raison que c’eût une réjouissance encore plus particulière. Encore, demanda-t-il, avant de pincer sa lèvre inférieure de sa canine. Parce que je suis plus vieux, tu peux utiliser ça , l’informa-t-il enfin, de ta bouche, ça sonne mille fois mieux.

Là, sous la douche, il ressentait une énorme satisfaction. Impossible toutefois de la décrire, c’était propre à la culture coréenne, à l’importance personnelle qu’il donnait à leur relation, au degré d’intimité qu’il posait sur ce mot qu’elle avait tout spécialement prononcé. Un peu semblable à l’émotion à laquelle on s’exposait quand on lâchait le premier « je t’adore » à un nouvel ami, - le tout premier « je t’aime » à la personne qui gagnait notre cœur. Joyce était la première étrangère à lui adresser ce surnom. Et même s’il le lui avait demandé, qu’elle ne l’avait pas sorti de son plein gré, c’était assez pour expliquer le frisson qui le couvrit dans son intégralité.

@Joyce Millett
(Ji-hun Hwang)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il est toujours étrange de se réveiller de ce genre de sieste intempestive, l'impression pendant quelques instants d'avoir décrocher pied avec la réalité, d'avoir tellement dormi qu'un siècle s'est écroulé, comme la Belle au Bois dormant et la perle de sang oubliée au bout de son doigt en filant. Il faut un petit moment à Joyce pour retrouver pied avec la réalité, se laisser encore blottir contre la chaleur réconfortante du corps contre le sien – comment ne pas s'abandonner dans les limbes du sommeil dans un tel cocon de confort. Elle finit pourtant pas ouvrir les yeux pour découvrir le visage de Jay près du sien, ce qui lui tire un sourire et des souvenirs de leur après-midi enlacés. C'est loin d'être désagréable comme réveil, et elle resterait bien là un moment encore, à faire et défaire le monde, mais il semble avoir d'autres projets en tête et lui propose une douche avant de se relever, une chape de froid étrange s'abattant soudain sur les membres délaissés de l'étudiante.
Elle aime ces moments autour de cet instant charnel, ceux qui y conduisent, des rapprochements des lèvres, les cœurs qui tambourinent d'anticiper ce qui pourra bien se dérouler, cette première timidité de découvrir une personne sous une toute nouvelle couture, celle bien plus vulnérable de la sexualité. Et ceux après également, où les relations se jouent probablement ; parce qu'il y a ceux qui s'enfuient, qui délaissent les draps avec des excuses, ceux qu'on ne revoit plus sauf certains soir de solitude, quand des êtres cherchent un peu à oublier leur mortalité avant de s'enfuir à nouveau. Et puis il y a ceux qui restent, la douceur puisée dans ces instants partagés, l'impression de n'avoir pas juste morcelé des désirs, mais que ça va un peu plus loin. Peut-être qu'elle intellectualise trop les choses, Joyce, mais c'est son ressenti, celui qui ne lui donne pas juste envie d'attraper ses vêtements, de claquer une bise et de retourner à son quotidien.
Peut-être que Jay doit le ressentir, car ses lèvres agrippent soudain sa peau, ce qui lui tire quelques frissons et rires, sensible sous ces chatouilles inattendues accrochées à son épiderme. Mais bien vite le temps reprend son cours et il disparaît dans la cuisine alors que c'est l'eau qui remplace les baiser sur les côtes de la dame de l'eau, léchants les dernières marques sur son flanc, mais incapable pour autant d'effacer celles plus foncées qui parsèment son ventre et qu'elle découvre à cet instant, amusée. Nul doute qu'on risque de lui poser quelques questions si elle venait à découvrir son ventre en allant se baigner ou pour bronzer, perspective qui l'amuse après tous ces mois où la solitude a été la seule présence dans son lit. Elle en viendrait presque à rire, à se demander pourquoi elle a attendu aussi longtemps, l'ocytocine encore présente dans ses veines, alors qu'elle sait très bien en réalité qu'il y a des deuils qui prennent du temps. Mais son état d'esprit est bien loin, dans cet instant où les gouttes envahissent sa peau, de sa précédente histoire, aussi pesante ait-elle été ces derniers mois. Et ça fait du bien. Ça ne durera probablement pas toujours et il faudra bien un jour affronter la réalité et ce sentiment que tout n'est pas complètement achevé, qu'elle est encore dans cette phase de colère contre Denzel, qu'il y a trop de points de bascule, mais là tout de suite, avoir tout oublié pour simplement se laisser aller dans les bras de Jay, ça fait vraiment beaucoup de bien.

Elle finit par sortir de la salle de bain, enveloppée dans l'épaisse serviette alors que le cuisinier revient avec des effluves qui embaument la pièce de son plat signature. Suivant son indication, elle décale l'ordinateur sur le lit qui a accueilli leur ébat et l'observe poser le plateau avant de se laisser aller aux attentions qu'il lui offrait – lui tenir la chaise, dégager quelques mèches de son visage. La nourriture éveille d'autant plus l'appétit de celle qui ne tarde pas à goûter les fameux ramens qui lui ont l'air tout à fait bon, même si elle n'a pas tant de points de comparaison que ça. Du coin de l'œil, elle l'observe disparaître à son tour en direction de la douche, mais l'aménagement des murs fait qu'elle ne peut qu'imaginer son corps se déshabiller. Images cependant encore bien assez fraîches pour alimenter l'idée qu'elle se fait de lui, se rappelant encore de ses doigts qui parcourent sa peau et découvrent les muscles, les formes géométriques qui le composent, les différentes textures. Ses mains gardent en mémoire, probablement encore bien mieux que ses yeux, cet instant partagé un peu plus tôt dans l'après-midi. Et elle s'imagine un instant être cette eau qui jaillit du pommeau pour rouler sur la peau, imagination soudain prise en faute, interrompue par une voix qui la fait presque rougir alors qu'elle doit se forcer à se concentrer pour revenir à la conversation et à la nourriture.

– Je crois pas avoir de préférence particulière à ce niveau-là, j'ai connu les deux. Je dirais surtout que l'important pour moi c'est que ce soit quelqu'un de ma tranche d'âge, trois… quatre ans de différence tout au plus.

Plus que ça, elle aurait peur que les décalages soient trop grands ; des envies décalées d'avoir des enfants, de se marier, de fonder un foyer, un appartement, et toutes les expériences déjà faites ou non d'un côté ou d'un autre. Bien sûr, l'âge n'était de loin pas toujours représentatif de tout ça ; il y avait des personnes très jeunes qui souhaitaient se marier et enfanter, comme d'autres bien plus âgées qui ne rêvaient que de faire la fête. Mais elle était surtout attentive à cette sorte de rythme qui marquaient les vies, et bien souvent se retrouvaient dans les mêmes tranches d'âge, mais également dans les occupations – être encore étudiante changeait probablement sa perspective en comparaison d'une personne déjà plus impliquée dans le monde du travail. Ça n'avait pourtant jamais été un problème dans sa précédente relation, peut-être parce qu'ils avaient trop l'habitude d'avancer au jour le jour, sans jamais trop projeter, une manière de voir le monde puisée dans ces longs mois de séparations dus à l'armée.

Jay, de son côté, semble assez sûr de ses préférences et, même si elle ignore l'âge de celui qui l'accompagne, un rapide calcul lui fait pencher vers l'idée qu'il doit être un peu plus âgé, tout au plus avoir le sien. Ils vont tous les deux commencer un doctorat, alors à moins que les études soient plus courtes en Corée du nord… Elle ignore son âge véritable, mais doute soudain d'être vraiment dans ses goûts. Enfin… enfin une préférence ne déterminait pas absolument tout, non ? Et elle pense bien lui avoir prouver qu'ils pouvaient s'entendre sur bien des points… à moins que ce soit sa manière à lui de la repousser ; plutôt que de partir, il essaie de lui faire comprendre en douceur que ce moment-là ne se reproduira pas ? Elle tâche de repousser toutes ces pensées qui envahissent son esprit en ne gardant qu'une seule certitude : elle pense trop.
La suite des mots qui lui parviennent de la douche l'amuse en revanche, tant ils vont bien avec la personnalité qu'elle découvre du biologiste. Il a parfois des certitudes, comme s'il imaginait toute sa vie déjà construite, projetée, quand pour elle l'avenir lui apparaît comme un océan miroitant de possibilités.

– Et si tu tombes amoureux d'une femme plus jeune que toi ? ne peut-elle s'empêcher de le questionner, surtout dans le but de le taquiner.

Elle reprit son dîner alors que l'eau de l'autre côté de la cloison s'arrête soudain, sûrement pour qu'il puisse se savonner. Mais le silence lui n'est pas constant et est bientôt brisé par une étrange demande à laquelle elle obtempère pourtant sans poser de question, se doutant que l'explication émergera bien un jour. "Oppa." Deux fois. "Oppa." Elle laisse rouler les syllabes entre ses lèvres avant qu'il ne l'éclaire sur leur signification, abondant ainsi dans le sens de la conclusion posée par Joyce ; il est en effet un peu plus vieux qu'elle, sans qu'elle soit pourtant capable de lui donner un âge précis – elle a toujours été terriblement mauvaise pour ça ; donner des âges aux humains en tout cas, pour les créatures marines c'est bien différents.
Soudain mue par le mouvement, elle délaisse son plat à moitié entamé et la chaise pour se relever et s'approcher de la salle de bain, s'appuyant contre l'encadrement sans porte de l'entrée de la pièce, observant le corps à peine dissimulé par la cloison translucide de la douche et la buée. Sourire aux lèvres, elle l'observe un petit moment avant de demander :

– Tu as besoin de quelqu'un pour te frotter le dos, Oppa ?
(Invité)
Ji-hun Hwang

Âge : 28
Lieu de naissance : Hamheung, ville de la région de Hamgyeong du sud. La Corée du Nord l'a vu naître, l'a élevé. Elle a forgé une partie de l'homme qu'il est aujourd'hui, mais c'est sur un tout autre continent qu'il désire construire son avenir.
Quartier d'habitation / Colocation : Il a vécu la Pforzheimer House durant une année, l'a quitté en juillet pour s'installer provisoirement chez un ami, à Chinatown, Boston, le temps de déménager dans un studio au 499 Beacon St.
Situation sentimentale : Il a retrouvé les champs, un petit peu plus d'un mois avant le printemps. Maintenant que n'existe plus de pression, la relation peut enfin préparer sa floraison ; dans une relation avec Lilia, demoiselle qu'il connaît depuis un an déjà ; 2024년 2월 16일
Études / Métier : doctorant en pharmacologie, au sein du laboratoire de l'école de médecine, il assiste également son superviseur dans ses recherches et participe activement à des conférences. En-dehors de ça, il fait du tutorat en sciences et en coréen ; ça paye bien mieux que serveur à la Luna Caffe, même si sa passion pour les latte art ne s'est pas envolée.
Date d'inscription : 16/04/2022
Pseudo & Pronom(s) IRL : Huimei (elle)
Icon : Chilseok festival ft Joyce (04.08) - Page 3 63dcf3a9b9de4d6723a9c5c91e63d0f83fef53f6-gifv
Faceclaim : Lee Jong-seok
Crédits : meteoraa (avatar) onlyjongsuk (gif)
Multicomptes : Soo-min Woo (Yoo-jeong Kim)
Description (1) : Chilseok festival ft Joyce (04.08) - Page 3 NPSpyu1W_o
Description (2) :
Awards:

Warnings : régime totalitaire, sanctions (ex : camp de concentration, travail forcé, exécution publique), patriarcat social / juridique, tortures / actes de barbarie, détention provisoire, violences policières (Japon), ablation d'un rein, 18+, racisme / discrimination / bashing subis, grossesse extra-utérine de son ex-copine / maladie : insuffisance rénale.
RPS : 932
Messages : 20233
Préférences de jeu
veritas
Ji-hun Hwang
est en ligne
PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t146845-ji-hun-hwang-lee-jong-suk#6299836Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t171640-ji-hun-hwang-x-repertoire-rps#8363822Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155646-ji-hun-hwang-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t146952-meetsachussets-jhoComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t157483-ji-hun-hwang-complement-de-personnage#7065050

Une question était restée en suspens juste avant qu’ils ne prennent le bateau pour s’évader de Boston, et Ji-hun était bien curieux de savoir pour lesquels des plus jeunes ou des plus vieux Joyce marquait une préférence. Elle fut toutefois certaine de ne rien exiger de tel, tant que la différence d’âge n’excédait pas trois ou quatre ans. Un rapide calcul permit au nord-coréen de faire une remarque : vingt-et-un ans, les restrictions tout juste se sont envolées. À peine la majorité internationale. Accepter de côtoyer des personnes qui passaient ce pallier allait encore, mais de là à se voir les fréquenter, c’était tout autre chose. Néanmoins, il fallait prendre en compte que la biologiste était plus jeune, et qu’elle était peut-être de celles qui laissaient la chance aux relations de se créer sans se laisser influencer par des préjugés. Il en était autrement pour lui, si bien qu’il avoua être attirée sexuellement par les femmes plus âgée, mais qu’il se voyait épouser une demoiselle de son âge – à plus ou moins un an près.

Une femme qui aspirerait un peu plus à une vie de famille que lui, histoire de lui permettre de se détourner de temps en temps de cette ambition professionnelle qui prenait beaucoup de place dans son quotidien – dans son monde. L’une de celles qui aurait foi en l’amour, et pourrait lui en faire découvrir certains aspects, sans pour autant exiger qu’ils tombent passionnément amoureux. Parce qu’à contrario du respect, de la loyauté et de l’affection, la passion avait tendance à demander bien trop d’efforts pour être inébranlable ; il l’observait que trop bien. Une experte dans son domaine, de façon à ce qu’ils puissent partager leurs savoirs, et converser lorsqu’ils se retrouveront sous le même toit. Parce qu’il allait passer le plus clair de son temps dans un laboratoire, il espérait que les moments en commun puissent être agréables pour l’un et l’autre, ponctués de sujets sérieux, intelligents, et drôles aussi. Les sourires, les rires, devraient avoir leur place entre les murs de leur appartement, et son ventre toujours rassasié, parce qu’il aimait manger.

Ji-hun savait d’ores et déjà ce qu’il désirait. Avenir tout tracé vers lequel il se destinait, et il ne manquait que quelques années à son présent pour y accéder. Il savait qu’il serait exigeant, autant qu’il l’était dans ses travaux. Alors quand l’étudiante lui demanda ce qu’il ferait s’il tombait amoureux d’une fille plus jeune que lui, la réponse fut toute trouvée. Impossible, rit-il, bien qu’il était plus que sérieux. Parce qu’il se connaissait, ferait en sorte de garder un peu de sa rationalité, même si son cœur venait à tambouriner - pour la première fois - pour une semblable féminine. Il voulait avant tout être en phase avec sa future, ne pas avoir à attendre qu’elle se sente prête à cohabiter, à se marier et à fonder une famille, quand les études du brun demandaient déjà de patienter plus d’années que d’ordinaire. Il ne voulait pas ressembler à tous ces couples qui se déchiraient et se détruisaient pour un oui, pour un non, trouvera son idéale dans le flot de survivantes nord-coréennes, dans les connaissances du paternel ou, en dernier recours, son identique américaine.

Il mit fin à l’écoulement de l’eau pour se savonner, quand une envie soudaine lui vint en tête : celle de lui faire articuler ce surnom que les jeunes femmes de Corée donnaient à leurs aînés – ceux qu’elles appréciaient. Comme demandé, elle dit « oppa » à deux reprises, enchantant le plus vieux qui, dans sa douche, jubilait d’entendre ces syllabes sortir de la bouche de l’étudiante. Il lui expliqua la raison pour laquelle elle pouvait lui dire, avouant ouvertement qu’il était né avant elle, mais ne dit rien quant aux frissons qui l’avaient parcouru. Il reprit les massages sur sa peau, frottant interminablement son ventre, de gauche à droite, porté bien loin dans ses pensées pour remarquer la présence de Joyce dans l’encadrement. Ce fut sa voix qui le ramena à la réalité. Il regarda dans sa direction, et put deviner sa position à travers la paroi à l’aspect légèrement dépoli. Les cases de notre liste, de toutes les cocher, tu as prévu de faire aujourd’hui, demanda-t-il, amusé, qu’on se reverrait, je comptais dessus… Que ce n'était pas la dernière fois qu’ils se voyaient,…

… Ni la dernière qu’ils partageaient un moment aussi intime que celui qu’ils venaient de vivre un peu plus tôt. Profitant du robinet éteint, il ne réfléchit pas bien longtemps avant d’ouvrir la porte de la douche et de tendre ses doigts à l’extérieur pour l’inviter à entrer plus franchement dans la pièce et à se rapprocher de lui. Les phalanges goutèrent à nouveau à leurs semblables, et elles s’accrochèrent pour mener le corps de la femelle dans l’espace exigu où se trouvait le mâle. Un partenaire pitoyable j’ai été , commença-t-il avant de poser ses yeux sur la serviette qui entourait les formes de la scientifique, à te proposer de le faire pour toi, je n’ai même pas pensé. Il sourit chaleureusement avant de la questionner : est-ce que… me rattraper je peux ? Est-ce qu’elle l’autorisait à lui ôter le tissu et à poser d’une façon plus chaste ses paumes sur elle ? Ce fut bien évidemment plus par politesse qu’autre chose, puisque sa simple présence à la séparation de la chambre et la salle de bains avait déjà répondu à la question.

Il posa ses trois premiers doigts à l’endroit où l’un des coins du rectangle éponge avait été coincé, et il tira dessus, laissant glisser la douceur du linge contre l’épiderme de Joyce. Il le retint, lui évitant de tomber et d’être trempé par les petites flaques d’eau qui étaient restées à leurs pieds, puis le jeta à l’extérieur de la cabine. Ji-hun les enferma, pour ne pas risquer d’inonder l’appartement, et enclencha de nouveau les jets d’eau. La tiédeur les caressa, laissant un fin soupir d’aise s’échapper d’entre les lippes du plus vieux. Il se pencha ensuite vers l’anatomie de la jeune femme qui lui faisait face -  anatomie vêtue à nouveau de son plus simple et plus bel habit – et sentit le parfum du gel douche qu’elle avait utilisé. Peut-être l’avait-elle pris au hasard, peut-être l’avait-elle choisi pour une raison ? Ce qui fut le plus marrant, dans l’histoire, - et probablement le plus important à retenir -, c’était qu’ils avaient décidé d'appliquer le même. Notes franches et raffinées de cardamome, puissantes et dynamiques de bois de cèdre ; Déclaration – compatibilité confirmée.

Enveloppes suffisamment humidifiées, il tourna la gâchette pour mettre fin à l’écoulement de l’eau, et prit l’emballage correspondant aux effluves qui s’étaient accrochées à l’épiderme de sa vis-à-vis, avant de mettre une noisette dans le creux de sa main. Il la fit mousser énergiquement entre ses paumes avant de passer celles-ci sur l’arête des épaules de sa comparse - pour commencer. Pour les massages, pas vraiment doué je suis, avoua-t-il, un peu désolé, de ça, que tu te contentes, malheureusement il faudra. Le contact restait tendre, est-ce qu’on pouvait vraiment se plaindre de ce genre de douceur ? Il finit par atteindre lentement les omoplates de la biologiste, leva alors son regard pour le planter dans le sien. Elle est agréable à caresser, ta peau, lui dit-il, tout en souriant. Il prenait plaisir à laisser ses empreintes se calquer sur sa chair colorée par le soleil égyptien, dessinant chaque parcelle de son squelette à l’aveugle, - parce que les yeux étaient bien trop accaparés à accepter l’exil dans son regard d’agates. Impossible pourtant de lire le fond de ses pensées.

Chilseok, différemment je vois maintenant, confia-t-il l’esquisse rieuse. L’histoire lui avait été contée de façon à se terminer sur la note romantique d’un couple qui se retrouvait sur le pont formé par les oiseaux, mais le mythe ne disait pas ce qui se passait par la suite, ni comment les deux amoureux profitaient de leur vingt-quatre heures. La légende, moins pure elle me paraît, tout à coup, éclata-t-il de rire ; adieu innocence de l’enfant – Jiknyeo et Gyeonwu devaient bien en profiter une fois les feux des projecteurs tous éteints. À chacun toutefois d’user de sa propre imagination, parce que les astres jamais ne nous dévoileront tous les secrets.


@Joyce Millett
(Ji-hun Hwang)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
- La majorité sexuelle dans cet état est fixée à 16 ans, réctifie-t-elle. C'est une échelle de toute manière. Je crois pas avoir jamais fréquenté quelqu'un qui avait 4 ans de moins que moi.

Elle avouait ne jamais avoir demandé une carte d'identité pour autant, si elle avait tout de même une bonne idée de l'âge de la plupart des personnes qu'elle avait fréquentées, il y en avait bien au moins une dont elle était incertaine pour l'avoir rencontrée dans un bar - cela dit, un bar, c'était forcément que cette personne avait au moins 21 ans, ou une très bonne fausse carte d'identité. De toute façon, tout comme elle s'arrêtait au fond peu sur le genre de la personne, ce n'était pas non plus son âge qui lui importait beaucoup. C'était plutôt quelque chose d'inexprimable, une sorte de charisme, d'atomes qui crochaient ensemble, elle devait se l'avouer à elle-même, même la biologie ne pouvait pas toujours avoir une réponse à tout.
Avalant un bout d'omelette, elle l'écoute lui expliquer qu'il préfère les femmes plus âgées - ce qui lui tire une grimace de déception, elle espère ne pas en avoir été une pour lui - avant de décrire son futur avec tant d'assurance que le rire la saisit presque. Il semble tellement persuadé de cette destinée qu'il a dessinée, ce mariage avec une femme plus jeune, route toute tracée et sans surprise, comme si c'était une évidence alors que le lendemain même de Joyce lui paraît parfaitement flou. Aucun caillou ne semble pouvoir s'insérer dans le rouage parfaitement huilé qu'il lui décrit, comme si tout avait été écrit, organisé, soigneusement choisi, à se demander presque même s'il ne sait pas exactement quelle femme il épousera déjà, la date, le lieu, et la robe qu'elle portera. Un futur dénué de la moindre surprise à laquelle elle n'arrive cependant pas à croire ; la vie lui apparaît comme un enchevêtrement d'incertitudes, un instant on pense pouvoir passer son adolescence sur les flots et l'instant d'après on apprend que sa grand-mère est malade ; un instant on tombe amoureuse de celui qu'on pense être l'amour de sa vie et l'instant suivant il en aime une autre ; un instant on s'attache à un blanchon et l'instant suivant il décède.

- C'est pas ça pourtant, le pouvoir de l'amour ? Rendre l'impossible possible ?

C'était ce que lui avaient fait croire les livres qu'elle avait parcouru toute son enfance, mais peut-être les livres avaient tort après tout. À croire que l'amour permettaient de bouger des montagnes, on ne voyait même plus ceux qu'on aimait flancher pour une autre et on noyait des promesses et des bagues de ses larmes. Dans le fond, peut-être que Jay avait raison de voir l'amour et les relations de cette manière ; calmement et pragmatiquement. Ca brisait certainement mois les cœurs.
Mais Joyce n'a pas forcément envie de réfléchir à tout ça aujourd'hui, elle souhaite plutôt se laisser porter par le moment, se laissant envahir par ces syllabes qu'il lui offre, ce Oppa qui tinte entre ses lèvres alors qu'elle se lève pour le rejoindre dans la salle de bain, devinant ce corps qu'elle a exploré un peu plus tôt dans l'après-midi, derrière la vitre de la douche et la buée.

- On n'a pas besoin d'une liste pour se revoir. Il suffit de le vouloir.

Elle sourit lorsqu'il ouvre la paroi de la douche, invitation qu'elle accepte lorsque ses doigts s'accrochent au sien pour le rejoindre jusqu'au sol d'acrylique où l'eau marque son territoire, ses pieds immédiatement chatouillés par les traces qui sont loin de s'être évaporée malgré que le robinet soit éteint.

- Tu étais occupé à me préparer à manger, je ne peux pas vraiment me plaindre, sourit-elle tout en écartant les bras pour l'inviter à dérouler la serviette qui dissimule sa peau et ses courbes.

Elle le laisse décrocher le tissu qui, bien rapidement la dévoile avant d'être jeté un peu plus loin dans la salle de bain, à l'abri de l'humidité qu'il dégage. Porte refermée, les jets peuvent être remis en marche, léchant les épidermes de leur tiédeur alors que le soupir qui s'échappe des lèvres du biochimiste amuse Joyce. Elle aime bien le découvrir ainsi, mouillé et entièrement nu, deux caractéristiques qu'elle a pu constater différemment et qui se lient bien ensemble ; elles lui rappellent qu'ils se sont promis de se baigner sans rien un jour, une case de la liste qu'ils ne pourront probablement pas réalisé aujourd'hui, et tant mieux ; ils ont encore de longues années devant eux avant qu'il n'achève son doctorat le premier - elle ignore si, ensuite, il souhaite rester à Boston ou changer d'horizons.
L'eau s'arrête et un petit frisson s'esquisse le long des bras de l'étudiante qui ne peut réfréner un petit mouvement pour se rapprocher de la chaleur dégagée par Jay alors qu'il verse un peu de gel douche au creux de sa main.
Sous le contact de ses doigts, elle sent son corps qui se détend, ses épaules qui se relâchent alors que les paumes descendent jusque sur ses omoplates ; elle est loin de trouver le contact désagréable, douces caresses qui viennent tracer des esquisses abstraites contre son dos en glissant grâce au mélange de l'eau et du savon qui laissent une odeur masculine sur leur passage.

- J'ai l'habitude de mettre de la crème hydratante depuis que je suis enfant. Pour compenser avec le sel.

Elle a l'impression d'être une fée qui révèle ses secrets et un rire cristallin lui échappe alors que les pupilles brunes de l'étudiant viennent s'agripper aux siennes, comme s'il espérait en apprendre toujours plus, faire couler de cette source nouvelle secrets et merveilles encore plus sûrement que l'eau ne jaillissait du pommeau de douche.

- J'espère que ce n'est pas une mauvaise chose...

Il ne fallait pas non plus que cela défigure complètement ses souvenirs d'enfance, teintant d'une lueur lubrique le visage des deux amants qui se retrouvaient. Elle désirait qu'il garde cet air émerveillé devant les théâtres de marionnettes, comme ces gamins qui applaudissaient gaiement à la fin de l'histoire.

Puis, ce fut son tour d'attraper le flacon qui embaumait la pièce de son essence, avant d'en verser une noisette sur sa paume et de lui faire un petit signe de sa main libre.

- Tourne toi, s'il te plaît.

Il était trop grand pour qu'elle puisse se contenter de passer ses mains derrière lui comme il l'avait fait. Elle attend qu'il suive ses ordres avant de poser ses doigts sur son dos, se contentant d'appliquer le savon dans un premier temps puis, une fois la peau lubrifiée, appuyant plus durement sur les muscles dans le but de les détendre avec le massage qu'elle lui avait un jour promis. Elle sentait bien les croissances créées par la natation, les mouvements longtemps répétés qui avaient fait pousser la musculature sous la peau, offrant ce dos qu'elle parcourait de ses paumes, des épaules jusque tout en bas, s'égarant parfois jusque sur ses fesses, loin d'être un élément désagréable dans ce paysage.
Enfin, espérant que ses gestes aient pu lui avoir fait du bien, elle se laisse avoir par ses envies, ses mains glissant sur ses côtes jusqu'à apparaître sur le torse du nageur, l'entourant de leur chaleur alors que son propre corps à elle l'enfermait dans une étreinte, ses seins caressant son dos pendant que son menton venait se planter juste sous sa nuque.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)