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Chilseok festival ft Joyce (04.08)

Ji-hun Hwang

Âge : 28
Lieu de naissance : Hamheung, ville de la région de Hamgyeong du sud. La Corée du Nord l'a vu naître, l'a élevé. Elle a forgé une partie de l'homme qu'il est aujourd'hui, mais c'est sur un tout autre continent qu'il désire construire son avenir.
Quartier d'habitation / Colocation : Il a vécu la Pforzheimer House durant une année, l'a quitté en juillet pour s'installer provisoirement chez un ami, à Chinatown, Boston, le temps de déménager dans un studio au 499 Beacon St.
Situation sentimentale : Il a retrouvé les champs, un petit peu plus d'un mois avant le printemps. Maintenant que n'existe plus de pression, la relation peut enfin préparer sa floraison ; dans une relation avec Lilia, demoiselle qu'il connaît depuis un an déjà ; 2024년 2월 16일
Études / Métier : doctorant en pharmacologie, au sein du laboratoire de l'école de médecine, il assiste également son superviseur dans ses recherches et participe activement à des conférences. En-dehors de ça, il fait du tutorat en sciences et en coréen ; ça paye bien mieux que serveur à la Luna Caffe, même si sa passion pour les latte art ne s'est pas envolée.
Date d'inscription : 16/04/2022
Pseudo & Pronom(s) IRL : Huimei (elle)
Icon : Chilseok festival ft Joyce (04.08) - Page 2 63dcf3a9b9de4d6723a9c5c91e63d0f83fef53f6-gifv
Faceclaim : Lee Jong-seok
Crédits : meteoraa (avatar) onlyjongsuk (gif)
Multicomptes : Soo-min Woo (Yoo-jeong Kim)
Description (1) : Chilseok festival ft Joyce (04.08) - Page 2 NPSpyu1W_o
Description (2) :
Awards:

Warnings : régime totalitaire, sanctions (ex : camp de concentration, travail forcé, exécution publique), patriarcat social / juridique, tortures / actes de barbarie, détention provisoire, violences policières (Japon), ablation d'un rein, 18+, racisme / discrimination / bashing subis, grossesse extra-utérine de son ex-copine / maladie : insuffisance rénale.
RPS : 932
Messages : 20233
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Ji-hun Hwang
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PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t146845-ji-hun-hwang-lee-jong-suk#6299836Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t171640-ji-hun-hwang-x-repertoire-rps#8363822Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155646-ji-hun-hwang-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t146952-meetsachussets-jhoComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t157483-ji-hun-hwang-complement-de-personnage#7065050
La chaussette avait rejoint sa jumelle sur l’assise d’une chaise posée dans un coin de la pièce, et le t-shirt avait été rapidement plié pour retrouver le short de sport qui tenait en équilibre sur le dossier. L’excuse de l’entraînement avait été bien trouvée, cela dit, sa chambre ressemblait toujours à ça. Elle n’était jamais parfaitement rangée, on pouvait trouver des vêtements qui jonchaient le sol comme aujourd’hui, une bouteille d’eau vide oubliée près d’une patte du bureau comme ça avait été le cas la veille, une serviette éponge tombée de sa patère et qui avait vécu plus d’une journée à terre, comme l’avant-veille. Il n’était pas ordonné, - son armoire aurait pu parler pour lui, s’il ne lui avait pas manqué la parole -, discipline et organisation uniquement retrouvées en sciences et natation. Natation dont les entraînements avaient repris tout juste, lui faisant redécouvrir l’existence de muscles qu’il avait omis de travailler ces derniers mois.

Trois heures d’un coup, avait-il fait en revenant auprès de Joyce, une torture c’était. Une torture qui lui avait fait du bien, malgré tout. Six heures étaient programmées par semaine pour commencer, mais l’entraîneur avait bien spécifié qu’il ne fallait pas s’attendre à ce rythme toute l’année. Il avait déjà marqué le tempo lors d’un meeting, et exigeait qu’aucun des sportifs ne se la coule douce. Ji-hun avait alors contacté un coach sportif coréen qu’il avait eu l’occasion de rencontrer lors de soirées réservées aux habitants de la péninsule, et il lui avait ajouté cinq heures supplémentaires de préparation corporelle et une heure de relaxation et massages. Un programme de haut niveau qui lui rappelait l’exigence de sa Corée natale. Après les performances d’hier, ses muscles s’étaient réveillés dans la nuit, chauds et tendus, des pectoraux aux mollets. Une sensation qui, décrite ainsi, paraissait désagréable, mais bien plus satisfaisante.

Mais ils n’étaient pas là pour parler de son engagement dans le club sportif d’Harvard, si bien qu’il avait attiré son attention sur l’équipement de son bureau. Il ne s’était pas arrêté sur les livres, ni sur l’ordinateur qu’il avait laissé en veille, le clapet ouvert, mais bien sur le microscope qu’il avait acquis récemment. Il avait trouvé là une belle façon de faire la transition sur ce qu’il avait à proposer à Joyce. Proposition qui leur permettrait de ranger loin derrière cette histoire de mission. Il l’avait observée s’asseoir et placer la plaquette sous la lentille. Elle avait manié les réglages et porté ses yeux contre les oculaires. Il n'était question que d’une goutte de pluie, mais les microorganismes présents dans celle-ci pouvaient être analysés avec tellement de précision que ça en devenait fascinant ; ressentait-elle, elle aussi, l’envie d’aller plus loin dans ses expériences ? Lui avait trouvé impensable de s’arrêter là, avait cherché d’autres particules à admirer – passion qui les anime.

Pourtant, s’il avait ressenti cette émotion grimper en flèche à l’utilisation du Nexcope, Ji-hun n’avait pas vraiment le cœur à s’extasier davantage, et l’engouement de Joyce n’avait pas aidé non plus. Il l’avait regardée trop  sérieusement pour qu’il ne soit question que de son récent achat. Après un long soupir, il avait commencé par affirmer ce qui était une évidence. Joyce souriait à nouveau, seules quelques situations rendaient incommodes son bonheur, mais c’était à elle de passer outre, de faire cette partie du travail. Le nord-coréen ne pouvait rien faire contre l’amour qu’elle portait à son ex-compagnon. Mission terminée qui insinuait alors qu’il était temps pour lui de la laisser tranquille. Mais impossible pourtant de se résoudre à la laisser filer. Les moments qu’ils avaient passés ensemble avaient été une joie partagée, et en vivre d’autres lui était complètement envisageable. Il n'y était pas allé par quatre chemins, lui avait demandé d’être sa deuxième paire de mains.

Il avait pensé que l’idée lui aurait plu, mais cette réflexion qu’il perçut dans les mouvements de ses yeux, comme si elle énumérait les taches qu’elle avait déjà en cours et celles qui allaient se rajouter à la rentrée, le mit mal à l’aise. Ji-hun eut la sensation affreuse de lui en demander trop, et il regretta un temps soit peu son élan. Sûr ? Il ne l’était plus tant que ça, contrarié par le travail supplémentaire qu’il pourrait lui ajouter. Il ne répondit rien alors, même si avoir passé autant de temps à ses côtés lui avait prouvé qu’elle était digne de sa demande ; ce n’était de toute façon pas la mer à boire. Elle était elle aussi doctorante à la rentrée, elle bossait autant que lui pour réaliser son rêve d’exercer le métier de passion qui l’animait, elle avait des parents scientifiques et une expérience générale dans le domaine dans lequel ils avaient choisi tous deux de se ranger. Et oui, il avait également une confiance aveugle en elle, et ça on ne pouvait pas toujours l’expliquer.

Elle se releva pour prendre ses deux mains dans les siennes, geste sur lequel il baissa ses billes marrons, mais il imagina le quotidien de la biologiste crouler sous les orages et les tempêtes par sa faute. Il voyait les éclairs, entendait les grondements, percevait les couleurs noirâtres, sentait la sensation terrible de l’humidité et vivait la panique. C’était stupide, rit-il, tentant de réfréner sa gêne et sa nervosité. Stupide et égoïste. Il retira ses doigts des siens pour venir tâtonner les poches de son denim, mais il ne sentit pas le paquet de cigarettes. Un coup d’œil furtif sur les meubles, il se rappela ensuite l’avoir laissé sur la table du salon. Une clope je vais me chercher, et je te raccompagne, l’informa-t-il avant de disparaitre derrière la porte. Il la laissa entrouverte, et partit à grandes enjambées jusqu’à la pièce de vie où, comme prévu, il mit la main dessus ; il valait toujours mieux de respecter sa parole. Ainsi serait-il.

Prêt à retrouver sa chambre, il vit une masse poilue s’y glisser ; Mister Shining. Il accourut alors et prévint Joyce : fais attention, un tueur en série c’est, ce chat ! Il ne fallait pas tenter de l’approcher, ni de le toucher. Il avait fait plusieurs victimes avant aujourd’hui , dont Ji-hun qui se retrouvait très souvent marqué des griffes et morsures de l’animal. Pas sociable du tout, tout était un bon prétexte pour tester la fermeté de l’épiderme de ces médiocres humains qui lui donnaient tout de même sa pâtée. Mister Shining, appela-t-il en regardant un peu partout dans la chambre, Mister Shining. Il fit, en se couchant à terre pour vérifier s’il n’avait pas pris la fuite sous un meuble. À vue sous le lit, l’Asiatique se glissa dessous pour espérer attraper le mammifère qui, mal luné comme toujours, ne cessa de cracher. Le félin se colla au mur, donnant des coups de pattes pour prévenir son mécontentement mais l’étudiant réussit à le choper par la peau étendue du cou.

Il le hissa doucement, crocs à moitié plantés dans l’avant-bras et le porta à bout de bras. Mis difficilement à la porte, l’agile bête au corps touffu finit par monter sur le vaisselier et ne plus bouger ; c’était ça où il aurait trouvé le meilleur moment pour attaquer les jambes des doctorants. Ce chat…, fit Ji-hun, à moitié désespéré, en jetant un regard sur les énième marques qu’il lui avait laissé. Rien à déplorer, si ce n’était une petite goutte de sang à chaque trou qu’avaient laissé les dents de l’animal sauvage, et des lignes discontinues sur la longueur ; regret d'être obligé de porter un t-shirt pour l'été. Heureusement, vacciné je suis, plaisanta-t-il avant de prendre un tube du paquet. Il avait eu son lot entier de vaccinations à son départ du Japon, pour être en ordre avec les exigences sanitaires des États-Unis, et il s’en rappelait, comme si c’était hier. Bouche serrée sur le filtre, il ne mit pas le feu tout de suite.

Il passa ses yeux bridés sur le corps de la jeune femme face à lui, et s’inquiéta : te toucher, il n’a pas fait, hein ? S’assurer qu’elle allait bien avant de l’escorter jusqu’à la ligne de bus - ou du métro - qui la menait d’ici à la maison Dudley.


@Joyce Millett
(Ji-hun Hwang)
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Trois heures de natation, c'était un sacré entraînement… surtout qu'il ne devait sûrement pas se contenter de barboter comme elle le faisait quand elle passait du temps autour du bateau, à faire la planche ou à enfiler masque et tuba pour découvrir les abysses sous l'ombre de l'embarcation. Impressionnée, elle ne cache pas son expression même si, dans le fond, ce n'est pas si étonnant. Elle l'a vu nager dans l'océan et a pu constater sa rapidité sous l'eau. Et c'était sans parler de la musculature dévoilée lorsqu'il était en maillot de bain…

– Je veux bien imaginer !

Elle se note qu'il faudra qu'elle aille le voir, à l'occasion, lors d'une compétition. Même si les courses ne sont pas forcément ce qu'elle préfère – malgré son attrait de la solitude, elle est plus du genre collaborative –, ça lui ferait plaisir de le voir dans cet élément qu'il partageait, même si lui était un peu plus habitué au chlore, et elle à l'iode. Et puis ça lui donnerait toujours une raison supplémentaire de passer du temps en sa compagnie…
Joyce a le cœur lourd quand il évoque cette mission qu'il estime achevée, et si elle avait envie de protester, elle se retient cependant, attentive à la suite de ses mots. Qui lui font étrangement peur, non pas à cause de l'engagement requis – elle ne dort pas beaucoup de toute manière, et elle a bien passé toute l'année à assister un professeur sur un projet, elle trouvera toujours le temps de tout cas –, mais doute plutôt de ses capacités. Elle n'a pas envie de saboter le travail d'un ami pour des maladresses, surtout quand ce n'est pas son domaine de prédilection – en particulier sur l'aspect plus chimique. Il serait bête de gâcher ce qu'il y avait entre eux – qu'est-ce qu'il y avait exactement entre eux ? – pour une virgule mal placée. Même si la proposition la touche, elle la touche même tellement qu'elle attrape les mains de Jay pour le lui dire.
Mais voilà qu'il fait machine arrière et rend le contact entre leurs mains et elle se sent stupide soudain, presque abandonnée. C'est pourtant elle-même qui s'est mise dans cette situation en émettant une retenue, mais elle se sent ridicule là, ridicule et repoussée. Est-ce que ça signe la fin du temps passé ensemble ? Un été, juste un court été entrecoupé de son voyage en Égypte, des souvenirs au bord de la piscine et sous les étoiles de l'océan, mais rien de plus que l'été. Et le goût amer que tout n'a pas été achevé ; certes, il l'a aidée à surmonter la mort de Loki – sans qu'elle en oublie le phoque pour autant –, à accepter un peu mieux la rupture avec Denzel. Il a été les premières – et les seules – lèvres embrassées depuis Hera, le prétexte d'une aventure en pleine mer et l'envie de redevenir une étudiante insouciante qui sortait à une pool party sans limites. Alors c'est triste d'imaginer que tout puisse s'achever ainsi.

Mais avant qu'elle n'ait le temps de lui dire tout ça, il s'éclipse dans le salon à la recherche de ses cigarettes, et la voilà seule à observer le jardin qui se dessine derrière la fenêtre de sa chambre, et à se maudire. Mais quelle idiote. À peine un murmure qui lui échappe et qui pourtant résume bien son état d'esprit. Elle a l'impression d'avoir perdu quelque chose de précieux parce que son syndrome de l'impostrice a choisi le plus mauvais moment pour s'imposer à elle, parce que ce qu'elle n'a pas su trouver les bons mots. Bien joué, Joyce.
Le temps qu'il revienne, une boule de poils se glisse dans sa chambre et elle a à peine le temps de la voir apparaître qu'elle file sous le lit comme un éclair. Elle y a pourtant reconnu la forme d'un chat, et pas n'importe lequel. Mr Shining apparemment, et si elle croit les dires de Jay, il porte plutôt bien son nom, il ne lui manque peut-être qu'une hache pour achever ses victimes.
Suivant des yeux le locataire des lieux, elle l'observe se baisser pour traquer le félin sous les meubles avant de se glisser sous le lit. D'où elle est, elle ne manque rien du concert de feulement de l'animal qui finit attrapé par le collet  et banni sans réquisitoire possible de la chambre, se postant en hauteur et surtout sans les lâcher du regard, prêt à réattaquer à la moindre inattention de leur part. Réattaquer, parce qu'il a bel et bien profité du moment sous le lit pour planter ses crocs dans le bras de Jay, du moins elle le déduit en voyant perler une goutte de sang à cet endroit et elle ne peut s'empêcher de s'approcher pour observer la blessure.

– Tu devrais quand même désinfecter. Je suis sûre que tu sais encore mieux que moi toutes les bactéries qu'ils peuvent transporter… Attends.

Et elle se permet de s'aventurer dans la salle d'eau attenante à la chambre, vérifiant d'un coup d'œil dans sa direction qu'il ne s'oppose pas à ce qu'elle ouvre l'armoire à pharmacie – qui sait ce que les gens peuvent y dissimuler. Une fois rassurée, elle fait pivoter le miroir au-dessus de l'évier et extrait un désinfectant ainsi qu'un rond de coton avant de revenir pour s'occuper du blesser, pansant rapidement la blessure, mais sans non plus l'étouffer sous un pansement vu sa petite taille. C'est plus les infections qu'il faut redouter dans ce genre de cas.

– Tu sais Jay, j'ai juste envie… de passer du temps avec toi.

Elle n'ose pas le regarder dans les yeux en avouant cela, comme si elle se trouvait honteuse de l'exprimer à voix haute. Mais, pour une raison qu'elle ne s'explique pas – et qui n'a, finalement, pas besoin de plus d'explication, elle apprécie passer du temps avec lui, malgré leur regard différent sur le monde. Peut-être justement à cause de ça ; ils se retrouvent sur certains points, se complémentent sur d'autres.

– Voilà ! Besoin d'un bisou magique ?

Sourire taquin sur ses lèvres alors qu'elle se rappelle encore ceux qu'il avait quémander dans la piscine et qui s'étaient transformé en quelque chose d'un peu plus profond, sans qu'aucun des deux n'ait jamais pris le temps d'en reparler.[/color]
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Ji-hun Hwang

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Études / Métier : doctorant en pharmacologie, au sein du laboratoire de l'école de médecine, il assiste également son superviseur dans ses recherches et participe activement à des conférences. En-dehors de ça, il fait du tutorat en sciences et en coréen ; ça paye bien mieux que serveur à la Luna Caffe, même si sa passion pour les latte art ne s'est pas envolée.
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Warnings : régime totalitaire, sanctions (ex : camp de concentration, travail forcé, exécution publique), patriarcat social / juridique, tortures / actes de barbarie, détention provisoire, violences policières (Japon), ablation d'un rein, 18+, racisme / discrimination / bashing subis, grossesse extra-utérine de son ex-copine / maladie : insuffisance rénale.
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Ça va, la rassura-t-il lorsqu’elle s’inquiéta des traces laissées par le félin, mais elle semblait bien trop déterminée à désinfecter les petites plaies qu’il ne trouva pas la force de l’arrêter. Il posa son regard sur le visage de Joyce, qui était concentrée à examiner les dégâts avant de la voir disparaître dans la salle de douche privée incluse dans sa chambre. Je t’en prie, l’invita-t-il à continuer lorsqu’elle hésita à ouvrir la porte de la petite pharmacie suspendue au-dessus du lavabo. Il n’avait rien à cacher, pas même des boîtes de préservatifs comme on en trouvait dans celle d’autres étudiants. Juste de quoi soigner les petits bobos de l’hiver tels que les rhumes, et panser les blessures. Une crème de jour, une pince à épiler et des rasoirs. Le minimum qu’il était conseillé de posséder, tout simplement. Elle était revenue avec le nécessaire, et il l’avait laissé faire sans dire un seul mot, suivant la douceur de ses gestes qui appliquaient l’alcool.

Il releva les yeux sur sa personne lorsqu’elle avoua apprécier sa compagnie, mais il ne put rencontrer ses pupilles des siennes, bien qu’il avait tenté de les chercher. C’était déstabilisant de ne pouvoir lire la sincérité dans son regard. Uhm, lâcha-t-il tout de même, opinant de la tête pour lui affirmer qu’il avait bien entendu ce qu’elle venait de lui dire. Il reporta son attention sur les derniers coups de coton qu’elle donna à sa peau avant de la remercier. Il admira le résultat , ne s’attendant pas à ce qu’elle lui propose un… ; quoi ? Qu’est-ce que c’était, ça ? Il fronça les sourcils, pas très sûr de la réponse à donner. Est-ce que c’était dangereux un bisou magique ? Magie blanche ou magie noire ? Et pourquoi est-ce qu’elle mêlait le mystique à ses plaies ? Tu ne me regardes pas, préféra-t-il soulever, tu ne le fais pas, pourquoi ? Ça l’intriguait, plus que tout. Mais il ne lui laissa pas l’opportunité de répondre, commença alors à exprimer maturément sa réflexion.

Sceptique, je te sens, c’est la première fois, dit-il, se rappelant qu’elle n’avait jamais remis ses paroles en doute jusqu’à aujourd’hui, et le ton qu’il employa supposa qu’il ne comprenait pas, qui t’a mise mal à l’aise, que j’ai dit, ou fait quelque chose le mois dernier, je ne vois pas. Il pensait peut-être aux messages un peu plus explicites, à ces moments qu’il avait avoué désirer retrouver avec elle, comme cette nuit sous les étoiles, et d’autres qu’il aimerait approfondir, comme ce baiser laissé en suspens ; est-ce qu’il avait été trop rentre-dedans pour Joyce ? Si c’est le cas, vraiment je m’excuse, ajouta-t-il avant de passer à l’explication de sa demande. En nous baladant, te prendre la main et…,en dormant ensemble, t’enlacer, et n’importe où te laisser m’embrasser , j’aime beaucoup, énuméra-t-il brièvement, puisque ce n’était qu’une infime partie des choses qu’ils pouvaient faire tous deux, et de façon tendre qui plus était, mais… avec des amies filles, je ne fais pas ça. Il ne pouvait pas la considérer comme telle.

«Tout paraît plus joyeux quand tu es là», ce que tu as répondu à la piscine, c’est ça…, répéta-t-il mot pour mot, mais viendra peut-être un jour où faire tout ça, possible ça ne sera plus Probablement qu’elle tombera amoureuse d’un homme, une fois son ex oublié, et qu’ils devront arrêter d’agir ainsi ; que leur restera-t-il ? J’ai pensé… durant nos études, d’être partenaires, une chance ça me laisserait de… malheureuse de ne pas te rendre. Elle avait dit ne pas être sûre de pouvoir continuer à sourire s’il devait la quitter ; pour une soirée, alors qu’est-ce que ce serait pour la vie ? Ils n’auraient plus ce petit côté flirt dans leur relation, mais pourraient rester soudés par leur intellect parce que, ça aussi, dans leurs échanges, c’était tout aussi important. Il aimait passer du temps à ses côtés pour cette tendresse qu’ils savaient se donner, sans ne jamais rien se promettre, mais ils avaient aussi ces connaissances à mettre en commun.

Assurer un avenir commun plus long, le but c’était ça , lui sourit-il ; rien que pour ne pas voir son sourire disparaître par sa faute – juste pour assurer davantage de temps avec elle. Il ne voulait aucunement lui mettre la pression. Il dévia son regard sur le bureau, vers l’armoire qui se situait derrière l’étudiante, et passa furtivement ses prunelles sur le lit défait avant de la regarder à nouveau. Tu me plais, ne ressentit-il aucune gêne à prononcer ces mots. Physiquement ; il adorait la forme de son visage, son petit nez à l’arête bien marquée, ces fines tâches de rousseur qu’il avait remarquées à leur deuxième nuit sur le bateau. Il aimait ses cheveux colorés, les courbes de son corps et sa petite taille. Il trouvait que leurs doigts se mariaient bien ensemble et que leurs bouches savaient se goûter. Il retira la cigarette qu’il avait laissée entre ses lèvres. Intellectuellement ; elle était lui au féminin, un idéal qu’il n’aurait jamais pensé rencontrer.

Il ne ressentait pas le besoin de tomber amoureux, et n’avait pas l’intention de s’engager dans une relation qui ne ferait que le détourner de son objectif premier, mais ne se refusait pas les plaisirs d’une affinité ; il aimait donner, après tout. Une affinité avec un grand «A» à défaut de l'amour. Beaucoup, tu me plais , insista-t-il en baissant momentanément ses pierres sur la bouche de sa vis-à-vis. Il passa sa langue sur la sienne, comme pour l’humidifier en vue de ce qui s’apprêtait à se passer. Kisu…*, commença-t-il avant d’entrouvrir ses lèvres et de relever les agates dans les siennes, kisu hae juseyo…* Ça restait plutôt clair... Malgré que ça avait été demandé dans sa langue natale ; non ?


@Joyce Millett

* Embrasse ...
* Embrasse-moi, s'il te plaît.
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Il minimisait la blessure, mais avec les chats il n'était jamais possible de savoir où ils avaient bien pu laisser trainer leurs crocs, dans quelle motte de terre, quel oiseau, quel rat, et l'infection, même avec tous les vaccins à jour, n'était jamais totalement impossible. Même si le sang avait à peine coulé, il l'avait tout de même fait que Joyce avait appris à être prudente, à prévenir plutôt que guérir, parce que guérir c'était retourner à terre et devoir quitter la mer, c'était faire un détour sur le trajet du voyage. Alors elle ne lui laisse pas le choix, s'arrêtant à peine pour quémander une autorisation qu'il lui offre, et ouvre la porte de la pharmacie pour en extraire ce dont elle a besoin, scannant l'endroit sommairement organisé. Il n'y a rien, en tout cas, d'extraordinaire ou de surprenant, pas de vice caché ou d'objet qui ne paraît pas à sa place, ça pourrait même être l'armoire d'une salle de bain Ikea, celle que l'on voit en magasin pour aider les gens à se projeter. Et ça l'amuse un peu, finalement, parce que ça lui correspond si bien, la surprise sous l'apparence presque attendue, il faut craqueler le verre du miroir pour tenter d'y apercevoir, mystère ou tentation.
Elle s'applique pour panser la blessure sans trop lui faire mal, tamponnant l'alcool avec une certaine douceur, la même qu'elle utilise pour lui avouer son sentiment, sa peur qu'il puisse disparaître, son envie que ces moments tous les deux puissent durer toujours. Des choses qu'elle avoue timidement, sans oser le regarder, de peur de sentir un jugement ou de l'incompréhension, parce qu'il aborde la vie et les relations d'une manière bien différente Jay. Et si elle ne sait pas définir ce qui peut bien les lier, elle sait qu'elle n'a pas envie de se ridiculiser devant lui. Alors Joyce préfère se cacher derrière des souvenirs d'enfance, se rappelant de ses bisous que sa mère appliquait sur ses blessures lorsqu'elle se faisait mal et qui anesthésiait la douleur ; prémisse de l'effet placebo.

Mais le fait qu'elle évite son regard ne passe pas inaperçu et il le soulève ce qui réchauffe ses joues, presque honteuse alors qu'elle cesse de se dérober à ses yeux, montant enfin ses prunelles dans sa direction, effleurant le brun de ses yeux comme pour s'y plonger. Elle est timide soudain, pas vraiment capable de gérer tout ça, parce qu'il n'y a pas de cadre, pas de notation scientifique ou de calculs bien précis, on entre dans de la sociologie et ça lui échappe un peu.
Mais non, elle a envie de lui dire qu'il ne l'a pas mise mal à l'aise, bien au contraire, il l'a tirée d'une certaine déprime dont elle ne pensait pas sortir ainsi. À toujours voir le joli côté de la vie, à encourager ses sourires et ne pas s'attarder sur ses défauts, à vouloir la voir avancer, il lui a offert des ailes pour s'envoler. Mais elle n'a pas envie de prendre ce ciel nouveau, ce ciel qui s'épanche vers elle, toute seule. Elle a envie de le partager, de continuer à se déployer en sa présence, parce qu'elle a l'intime conviction qu'ils peuvent s'épauler, se faire beaucoup de bien l'un à l'autre. Alors elle se sent encore plus bête d'avoir hésité à sa proposition.

Elle se tait cependant, le laissant continuer, et bientôt ses mots la surprennent ; avec des amies filles je ne fais pas ça. Que voulait-il dire ? Qu'il le faisait avec des amis garçons ? Et si elle s'était trop imposées, si elle avait mal lu les signes et l'avait embrassé contre son gré à la pool party, si lui n'avait accepté que pour lui faire plaisir, que pour lui accorder un verre à défaut d'autre chose. Était-ce ça qu'il voulait dire ? Alors si c'est le cas, elle s'en veut d'avoir présumé de son orientation, d'avoir flouté les signaux, de s'être persuadée de mensonges.
Mais Joyce n'a pas le temps de lui poser la question que tout rebascule alors qu'il lui explique qu'il voulait juste pouvoir la rendre heureuse un peu plus longtemps, se donner l'occasion de passer du temps avec elle, comme elle a envie de passer du temps avec lui et, surtout, qu'elle lui plaît. Il le dit clairement et il n'y a pas une once de plaisanterie dans ses yeux, que de l'honnêteté à laquelle elle a envie de se raccrocher.

- Toi aussi tu me plais, murmure-t-elle, avec force néanmoins.

Il se dégageait quelque chose de particuliers de lui, une sorte de bonheur presque insolent qu'il dispersait dans son sillage et qui se fragmentait pour toucher tout ceux qui voulaient bien ouvrir leur corps. Et puis il y avait l'attirance physique inévitable, la tentation de toujours tendre sa main pour que ses doigts rencontrent les siens, la facilité avec laquelle elle se glissait contre son torse, la chaleur qu'il dégageait quand il la prenait contre lui. Il lui plaisait dans cette alchimie si particulière qui s'était développée entre eux ; et puis il y avait autre chose également, la sensation d'être comprise quand elle parlait de ses études, de l'océan, de la biologie. Même si leurs recherches ne portaient pas exactement sur la même chose, il saisissait là où elle voulait en venir, posait les questions juste, celles qui bousculaient son raisonnement et la poussait à chercher plus loin, à complexifier sa pensée. C'était précieux, ça.
Il décroche la cigarette à ses lèvres et elle suit chacun de leurs mouvements ; quand elles se déforment pour lui répéter à quel point elle lui plait, quand sa langue s'y accroche comme pour les humidifier, comme pour les préparer à autre chose. Une bouche qui l'attire et, sûrement que ce sentiment doit être partager puisqu'il fixe la sienne, dans cet instant de silence qui précède des moments de douceur et d'importance, jusqu'à ce que le coréen teinte ses paroles, s'attache aux syllabes. Elle ne saurait traduire exactement ce qu'il a dit, mais l'idée lui paraît claire, et puis ce n'est pas si éloignée de l'anglais après tout... Kiss...Kisu..., embrasse, embrasse ces lèvres qui sont comme des ailes de papillons que l'on a envie d'écarte pour découvrir ce qui peut bien se cacher, ce corps fragile de l'insecte avant qu'il se s'envole, à peine sorti de la chrysalide.
Alors Joyce ne réfléchit pas beaucoup plus et accède à sa demande, se dressant sur la pointe des pieds pour accueillir la douceur d'un baiser, le loger quelque part au fond d'elle, pour les soirs de solitude où, dans quelques années, il fera froid sur le bateau.
Elle se laisse basculer, s'accrochant fermement à ses lèvres, d'abord presque timidement, puis en s'affirmant, ses mains glissant derrière sa nuque pour se maintenir contre lui, son corps se rapprochant inexorablement du sien. Elle a oublié Mr Shining, elle a oublié tous les mots qui les ont porté à ça, ne compte plus que l'instant qui vibre et l'impression d'avoir une nuée de papillons qui s'envolent, quelque part sur cette Terre.
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Ji-hun Hwang

Âge : 28
Lieu de naissance : Hamheung, ville de la région de Hamgyeong du sud. La Corée du Nord l'a vu naître, l'a élevé. Elle a forgé une partie de l'homme qu'il est aujourd'hui, mais c'est sur un tout autre continent qu'il désire construire son avenir.
Quartier d'habitation / Colocation : Il a vécu la Pforzheimer House durant une année, l'a quitté en juillet pour s'installer provisoirement chez un ami, à Chinatown, Boston, le temps de déménager dans un studio au 499 Beacon St.
Situation sentimentale : Il a retrouvé les champs, un petit peu plus d'un mois avant le printemps. Maintenant que n'existe plus de pression, la relation peut enfin préparer sa floraison ; dans une relation avec Lilia, demoiselle qu'il connaît depuis un an déjà ; 2024년 2월 16일
Études / Métier : doctorant en pharmacologie, au sein du laboratoire de l'école de médecine, il assiste également son superviseur dans ses recherches et participe activement à des conférences. En-dehors de ça, il fait du tutorat en sciences et en coréen ; ça paye bien mieux que serveur à la Luna Caffe, même si sa passion pour les latte art ne s'est pas envolée.
Date d'inscription : 16/04/2022
Pseudo & Pronom(s) IRL : Huimei (elle)
Icon : Chilseok festival ft Joyce (04.08) - Page 2 63dcf3a9b9de4d6723a9c5c91e63d0f83fef53f6-gifv
Faceclaim : Lee Jong-seok
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Multicomptes : Soo-min Woo (Yoo-jeong Kim)
Description (1) : Chilseok festival ft Joyce (04.08) - Page 2 NPSpyu1W_o
Description (2) :
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Warnings : régime totalitaire, sanctions (ex : camp de concentration, travail forcé, exécution publique), patriarcat social / juridique, tortures / actes de barbarie, détention provisoire, violences policières (Japon), ablation d'un rein, 18+, racisme / discrimination / bashing subis, grossesse extra-utérine de son ex-copine / maladie : insuffisance rénale.
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t146845-ji-hun-hwang-lee-jong-suk#6299836Répertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t171640-ji-hun-hwang-x-repertoire-rps#8363822Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155646-ji-hun-hwang-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t146952-meetsachussets-jhoComplément de personnage : https://www.i-love-harvard.com/t157483-ji-hun-hwang-complement-de-personnage#7065050
Warning : rapprochement physique

Il avait simplement voulu se raccrocher à un rôle qui leur aurait donné plus de légitimité, quand il avait réfléchi au jour où lui tenir la main, la prendre dans ses bras et l’embrasser ne pourraient plus être d’actualité. Devenir coéquipiers, assister l’autre dans ses recherches, avait été ce qui lui avait semblé être le plus plausible parce que, dès lors qu’ils s’étaient touchés de façon plus osée, il ne pouvait la considérer comme une amie. Sa définition de l’amitié n'était pas identique à celle des occidentaux ; jamais il n'aurait eu le courage de donner un baiser à sa meilleure amie, pas même pour un défi Tiktok. Il n’avait toutefois pas supposé que cette demande aurait pu la troubler au point de se mettre à rendre les paroles du nord-coréen dénuées de sens. Elle l’avait déstabilisé, parce que, jusqu’à aujourd’hui , elle n'avait jamais remis sa parole en doute. Ji-hun se savait assez honnête et réfléchi, et sa réaction l’avait peut-être un peu blessé, au final. Il avait voulu la laisser tranquille alors, mais la douceur avec laquelle elle s’était occupée de lui avait donné de l’élan aux confessions.

Elle lui plaisait. Et malgré le fait qu’il ne pouvait lui promettre une relation sérieuse, par souci d’envie et de besoin, il semblait lui plaire tout autant. Ils n’avaient pas détaillé les raisons qui leur faisaient ressentir ça, mais on pouvait deviner qu’elles étaient – en presque tous points – identiques. Physiquement d’abord. Visuel loin d’être désagréable, attirance de deux corps, qui trouvaient plaisir à se rencontrer. Intellectuellement ensuite. Chamboulement des savoirs, conversations profondes, qui se posaient entre quelques sujets plus généraux. Les similitudes et différences que leur duo faisaient ressortir sans que le jugement ne soit le bienvenu. Ils s’étaient bien trouvés et, pour cette raison, espéraient naturellement ne pas avoir à se séparer. Mission terminée, une autre prendra doucement le relais. Celle de donner à l’autre ce qui était bon à prendre. Et tant pis si elle semblait éphémère leur relation aujourd’hui, ils auront tout le temps d’y penser demain. L’alchimie se trouvait ailleurs en cette fin d’après-midi, dans quelque chose qu’ils n’avaient pas encore exploré.

Lèvres humidifiées, il attendit que Joyce réponde à sa demande. Celle de l’embrasser, parce que leurs bouches ne s’étaient pas retrouvées encore. Malgré le mois passé éloignés l’un de l’autre, ils n’avaient pu s’autoriser à dévoiler ce rapport particulier qu’ils entretenaient à la fête d’anniversaire de la biologiste ; pas devant toutes ces personnes, pas devant tous ses amis. Les regards échangés avaient dit long parfois, mais ils avaient su garder la distance et se retenir. Il y avait bien eu une fois où Ji-hun avait osé effleurer subtilement les doigts de la jeune femme des siens, mais il n’avait pu réitérer l’expérience, au risque de se faire prendre la main dans le sac. Ils avaient alors vu le festival de Chilseok comme l’occasion rêvée de se retrouver de façon plus confortable et moins calculée, de se laisser aller à la tendresse qui leur plaisait, et que les échanges de messages avaient révélé aussi. Ce besoin de se rapprocher ; et plus si affinités. Plus, si les douze coups de minuit ne résonnaient pas. Il était bien trop tôt pour craindre de les entendre, alors…

Il accueillit le baiser de la plus jeune et y répondit. Paupières à moitié closes de façon à la dévisager dans la proximité de l’étreinte, il ne cessa d’apposer sa bouche à intervalles réguliers sur la sienne. Il profita d’être près du bureau pour déposer la cigarette qu’il n’avait pas allumer avant d’entourer la taille de la jeune femme d’un de ses bras, pour la plaquer davantage contre lui, et s’assurer qu’elle ne s’enfuirait pas. Sa main droite vint dégager quelques mèches de son visage avant que ses doigts viennent glisser contre ses racines, moment où les coups de mâchoires se firent plus francs. Il décida à ce moment de plonger ses yeux dans le noir pour profiter pleinement de ce qu’ils étaient entrain de vivre, sans se laisser distraire par l’endroit où ils se trouvaient, ni par ce qui se passait à l’extérieur. La pièce était encore bien éclairée, mais il faisait nuit noire dans son esprit ; plus rien n’existait, si ce n’était elle, lui – eux -, et ce baiser qu’ils partageaient, ressentaient, vivaient. Il tenta une première approche de sa langue, tâtonna habilement avant de la joindre de façon plus nette.

Le muscle buccal rencontra sa jumelle, et l’invita à se laisser tenter par un slow. Danse lente et suave qui donna envie au nord-coréen de passer sous le haut de sa vis-à-vis. Il baissa ses deux mains pour les faire se rencontrer dans le dos de Joyce, et il retira les accessoires en acier que ses doigts et son poignet portaient. Bagues et bracelet se retrouvèrent jeter sur le meuble en bois, juste à côté de la pile de livres scientifiques. Si la droite retrouva la chevelure colorée de l’étudiante, l’autre glissa jusqu’au bas du tissu qu’il souleva de ses doigts, avant de s’engouffrer à l’intérieur et venir caresser l’épiderme nue de Joyce. Il suivit les vertèbres de sa cambrure, épousa ses pulpes tout du long, pratiquant inlassablement des caresses ; de haut en bas, et de bas en haut. Le baiser s’était voulu plus passionnel encore. Les langues s’adonnaient ouvertement à un tango à présent, rendant la respiration de Ji-hun plus forte, et provoquant l’éveil de son trois-pièces.

Souffle chaud qui s’écrasait contre celui de Joyce, il attrapa subitement la lèvre inférieure de celle-ci entre ses dents avant de reprendre l’échange de plus bel. Tout son corps criait l’envie, et ce fut pour cette raison qu’il la conduisit à se déplacer jusqu’au bord du lit. Pas tranquilles réalisés à l’unisson quand les lippes se dévoraient encore, il stoppa progressivement le baiser. Assieds-toi , lui suggéra-t-il de prendre place sur la couverture. Il pinça ses propres lèvres, le regard animé par le désir de consumer l’alchimie. Il s’accroupit devant elle, posa un genou à terre et commença à lui voler des bisous tout en défaisant d’une main de maître ses chaussures ; lanières ou lacets, ils n’avaient aucun secret pour lui. Des baskets aux escarpins, il avait eu l’occasion d’en ôter plusieurs genres avant ça. Ça va, voulut-il s’assurer qu’elle se sentait à l’aise avec ce qui était entrain de se passer ; l’autre avant lui, toujours. Il la dévisagea avant de la pousser à reculer jusqu’au milieu du lit, la suivant de très près ; au pire, ils pourront simplement s’y enlacer.

Il se défit de ses chaussures de quelques mouvements de pieds avant de venir s’allonger à ses côtés, une jambe coincée entre les siennes. Il posa une main à sa taille et ses lèvres contre la bouche de sa dame de l'eau plusieurs fois d’affilées, avant de les utiliser pour en caresser le contour. M’arrêter, si tu veux, commença-t-il en glissant ses doigts sur le bas de son ventre, près à plonger sous son t-shirt et aller à la rencontre de sa poitrine, c’est maintenant. Si elle ne se sentait pas encore prête, elle pouvait encore le stopper sans qu’il ne se sente totalement frustré.


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Les baisers de la fête au bord de la piscine étaient éloignés dans sa mémoire désormais, et pourtant, tout avait pris un sens naturel lorsqu'elle avait rapproché sa bouche de la sienne, saisissant l'ourlet de sa lèvre entre les siennes, les yeux déjà clos pour se laisser fondre contre le simple plaisir du toucher alors que ce simple mouvement créait déjà de l'effet dans le reste de son corps. Il y avait quelque chose de presque alchimique et, alors que Joyce avait longtemps redouté que d'autres lèvres puissent effacer le souvenir de Denzel, elle n'y pense pas lorsque sa bouche goûte celle de Jay, comme si tout cela relevait de l'évidence. Et c'est tellement agréable de se sentir attirée par quelqu'un d'autre, d'avoir le sentiment d'être désirable pour quelqu'un, et pas seulement d'un point de vue physique, parce qu'elle a la nette impression que ce qu'il y a entre eux dépasse ce stade là et que, derrière l'apparence – qui lui plaisait déjà beaucoup –, c'est aussi ce qu'il dégage et son regard sur la vie, l'intelligence dont il faisait preuve à chacune de leurs conversations, la passion qui l'anime. Elle n'avait aucune idée de où ça pourrait bien aller eux deux, parce qu'il ne désirait aucune relation, parce qu'elle ignorait ce qu'elle voulait dans sa vie en dehors de son amour immense pour l'océan et de son rêve de retourner vivre dessus, mais ça importe peu dans le moment. Ce qui importe c'était ce baiser qui s'enflamme, s'emporte, s'approfondit lorsque sa langue rentre en contact avec sa bouche et qu'elle entrouve les lèvres pour lui délivrer un passage qui l'autorise à inviter la sienne à danser, deux dauphins qui s'amusent entre les vagues ensemble, jonglent avec leur plaisir.
Ça faisait un bout de temps qu'elle en avait envie, songeant parfois, sous la chaleur égyptienne, à ce qui s'était déroulé dans cette piscine. Quelques jours plus tôt, lors de son anniversaire, ses yeux avait plusieurs fois effleuré sa bouche et son corps qui l'attirait avec certitude, sans qu'elle n'ait la possibilité de se laisser aller à ses pulsions. Pas devant ses amis, même si elle était plutôt certaine que Haley, à qui elle avait parlé de Jay et qui était toujours attentive à ce genre de choses, avait dû remarquer les regards échappés. Et depuis, ils n'avaient pas eu le temps de se revoir entre leur boulot et les différentes choses à mettre en place avant la fin de l'été, alors cet après-midi ensemble, c'était également l'occasion de rattraper tout ça. Pas de coups de minuit pour les couper en plein élan, juste leurs désirs qui s'étalaient alors qu'elle ne réalise même pas qu'il ôte les bijoux à ses mains, mais qu'elle sent en revanche parfaitement le moment où sa main glisse sous son haut, longeant sa colonne vertébrale alors que les corps fébriles se rapprochent un peu plus et qu'une sensation un peu plus dure au niveau de son ventre l'informe qu'il est loin d'être impassible au moment qu'ils vivent ensemble.

Exactement comme sur la piste de danse un mois auparavant, lorsqu'il l'avait fait tournoyer sous la musique qui pulsait dans le jardin, elle suit ses pas dans la chambre en s'accordant sans problème au sien, emboîtant son allure dans la sienne malgré la frénésie qui commence à naître dans son estomac. Bientôt, ses mollets atteignent le rebord du meuble qui a dissimulé Mr Shining quelques instants plus tôt – cette anecdote lui paraît déjà tellement éloignée – et progressivement leur baiser se coupe jusqu'à ce qu'elle ouvre les yeux pour découvrir le visage au-dessus du sien qui lui demande de s'asseoir.
Elle obtempère et le voit alors s'accroupir pour défaire les lacets de ses baskets avant de les lui retirer. Elle ne pensait pas que ces gestes, aussi banals dans son quotidien, pouvaient être autant érotiques et pourtant Jay a l'art et la manière de les transformer en quelque chose de particulièrement émoustillant. Est-ce elle ou la température vient soudain de monter d'un cran ?
Lorsqu'il lui demande si ça va, elle est bien incapable de répondre, à bout de souffle de cet émoi et se contente de hocher la tête pour lui confirmer que tout va bien avant qu'il ne grimpe à son tour sur son lit, la poussant un peu plus au fond, jusqu'à ce qu'elle puisse s'allonger sur les draps, le corps brûlant à côté du sien qui se débarrasse rapidement de ses propres chaussures avant de la rejoindre entièrement, leurs jambes s'entrelaçant et leurs lèvres se rejoignant. Elle avait tellement envie de se laisser emporter, suivant simplement cet instinct qui la poussait au rapprochement, à la découverte de ce nouveau corps qu'elle ne connaissait pas encore, qu'elle avait simplement pu observer à la piscine ou dans l'océan.

– Je n'ai pas envie que ça s'arrête.

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Les lippes de Ji-hun épousèrent les lignes qui délimitaient celles de Joyce, quand ses doigts n’enfreignirent aucune autre parcelle de sa peau, pas avant d’en obtenir l’autorisation, pas avant de s’assurer qu’elle en avait vraiment envie, elle aussi. Même si son corps et ses baisers semblaient parler pour elle, il n’y avait rien de plus certain que des mots exprimés. Même la logique n’était pas si logique, on pouvait toujours mal interprété les signaux que l’autre nous envoyait. Et ils furent concis. De sa bouche ils sortirent sans qu’elle n’ait besoin d’y réfléchir. Le scepticisme qu’il lui avait connu plus tôt n’avait pas été le bienvenu cette fois-ci, et il lui sourit, avant de confirmer du chef, sans avoir à reculer son visage du sien, qu’il en était de même pour lui. Il n’avait pas envie de connaître la fin de ce désir qu’ils s’apprêtaient à satisfaire sur les draps, ni la liaison qu’ils avaient construite, et qui ne se limitait pas à de simples rapports physiques. Ni juste amis, ni juste amants. Pas amoureux, non plus.

Il y avait peu, il s’était acharné à vouloir retrouver cette demoiselle rencontrée sur la toile, avec qui il avait connu une nuit bien particulière. Nombreux avaient été les soirs durant lesquels il s’était connecté sur l’application dans l’espoir de tomber sur elle et de discuter des suites à apporter à leur expérience commune. Parce qu’à défaut de pouvoir donner son cœur, il n’offrait son dévolu qu’à un seul corps à la fois ; fidèle dans son affection, jusqu’à ce que la fin soit annoncée. Depuis son aventure avec Clary, il avait embrassé quelques femmes, mais n’avait plus parcouru d’anatomies – pas avant aujourd’hui. Il avait été prêt à mettre de côté tous ses sens, et à se satisfaire de plaisirs en ligne si tel aurait été le souhait de la paramédic, mais ses vaines recherches eurent raison de sa patience. Les échanges de plus en plus explicites entre les deux scientifiques avaient fini par changer la donne, et ouvrir une possibilité jusqu’alors insoupçonnée.

Joyce ne le savait pas encore mais, en offrant son corps au nord-coréen, en ce jour de Chilseok, elle lui faisait promettre loyauté envers elle. Dès lors que ses mains auront fini de parcourir sa silhouette dans son intégralité, elles ne pourront se permettre de suivre les courbes d’une autre jeune femme qu’au moment où leur relation atteindra son terme. Et il sourit davantage au moment où elle leva son t-shirt pour offrir son tronc à sa vue, parce qu’il ne voyait pas cette exclusivité comme une punition. Il regarda alors le tissu effleurer son épiderme, découvrir ses côtes apparentes, ce soutien-gorge en dentelles sombres et ses clavicules marquées, avant de pouvoir de nouveau la dévisager. Faciès aux traits fins qu’il allait parcourir dès lors d’un tout autre regard. Il humidifia ses lèvres avant qu’elle ne vienne s’en emparer. Ses doigts grimpèrent enfin jusqu’à sa lingerie, puis il trouva l’un de ses seins de sa paume avant de le presser doucement en de légers mouvements réguliers.





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