she's sweet like candy in my veins | satan

@Sana Bukovski | Oh non Sana, il savait qu'il était comme elle l'australien. Il était du genre à tout faire pour avoir ce qu'il voulait et bien souvent, il y arrivait. En particulier avec les femmes. La Russe était pareille. Les deux formaient un duo plus que fusionnel, atout qui consolidait fortement leur amitié. Amitié à laquelle Stan tenait vraiment pour qu'une histoire de cul vienne la gâcher. Raison principale pour laquelle il refusait catégoriquement tout rapprochement avec elle. Jusqu'à ce soir. L'alcool et la drogue y était sûrement pour beaucoup mais quelque chose d'autre l'avait aussi encouragé à ne pas repousser la brune, sans qu'il ne sache trop quoi. Elle lui confie avoir envie de recommencer et son regard en dit même plus. Recommencer et aller plus loin il le savait. Ce serait mentir de dire qu'il n'en avait pas envie non plus après ce baiser et la proximité qu'elle garde entre eux.  "Sana.." Il se mord la lèvre intérieur, ce qu'il allait faire n'était pas croyable. Tellement pas son genre de refuser les avances d'une femme. "Arrête..." lui demande-t-il doucement, reculant sa tête et passant une main sur son épaule pour retirer la sienne. Instaurer une distance, c'était le but. "On devrait même pas." Comme si sa tête reprenait le dessus et tenter de rattraper les quelques minutes précédentes. Tout son corps auraient envie de la même chose qu'elle, mais dans la tête il en était autrement. Pour une fois qu'il avait des principes et qu'il n'en faisait pas qu'à sa tête, c'était un jour à noter dans un carnet sérieux.

SHE'S SWEET LIKE CANDY IN MY VEINS TW DROGUE @Stan Rutherford — Désormais plus proche que jamais depuis ces dernières minutes, elle laissait le contrôle à ses lèvres d'aller explorer l'étendu que lui offrait les siennes. Le corps de Sana fut parcouru de multiples frémissements. Le jeu se poursuivait à son rythme et nul ne savait quand cela allait cesser ni jusqu’où cela pouvait aller. Les mains de la Russe aussi légère qu'une toile d'araignée, remontèrent le long du torse du garçon, l’effleurant du bout des doigts avant que ses bras se nouent autour de son cou pour l’enlacer. Son corps bouillonnant se pressa contre ce dernier et alors qu'elle s'apprêtait à le goûter de nouveau, elle reçoit une petite piqûre de rappel. Et aux premières syllabes de son prénom, elle soupire...— non. Léger murmure avant de se voir repousser. Elle l'écoutait, plantant ses dents affilées dans la chair tendre de sa propre lèvre inférieure. — c'est injuste. Front qu'elle laisse tomber sur le torse de Stan. Elle en avait envie, il en avait envie, où est donc la logique ? Finalement, elle relève la tête et explose de rire. — t'as gagné. T'as trop un mental d'acier. Tête qu'elle secoue positivement avant de se relever brusquement. — mais je vais rentrer. Parce que moi, je ne suis pas certaine de pouvoir rester de marbre. Pas après ce qui vient de se passer. Pas après avoir goûté à tes délicieuuuuuuuuuuses lèvres ! Qu'elle hurle comme ça tout peinard en levant les bras au ciel. Demoiselle le regarde ensuite se redresser et s'élance vers lui pour poser ses charnues sur sa joue, telle une petite gamine de cinq ans. — Alors bonne nuit et bonne fin de soirée ! Balbutiant pendant qu'elle marchait en direction de l'hôtel, elle s'arrêta soudainement et se retourna pour courir vers lui, mais une fois à sa hauteur, elle se contente juste de lui donner une bien forte claque sur les fesses, grimace et tirage de langue qui va avec. — CIO ! Rire qui s'empare à nouveau d'elle. Elle n'a pas envie de rester sage surtout après ce premier contact électrisant et pour elle, le mieux c'est de se casser.

@Sana Bukovski | Il avait résisté. Résisté à l'irrésistible tentation d'aller plus loin, de recommencer jusqu'à ce qu'ils n'en veulent plus. Elle aurait bien aimé continué il le savait mais sa tête l'empêchait de sauter totalement le pas. A croire que vivre ce rapprochement charnel avec elle avait servi de piqure de rappel. Du genre ok,  goûte un peu à ce que ça pourrait être mais ne fonce pas tête baissé là dedans. Teste, teste mais résiste. Il la repousse en douceur et heureusement il est inconsciemment soulagé de la voir réagir assez bien. En même temps, il aurait été inconcevable qu'elle le prenne mal. Elle était prévenu de ses barrières à l'australien. Il se relève finalement et elle décide sciemment de le planter ici, tout seul sur cette plage où le temps de la fête semblait s'être arrêter. "Quoi ? Tu me plantes ici tout seul comme un con ?" qu'il lui crie en la voyant s'éloigner plus loin sur le plage. Cette soirée ne se déroulait véritablement pas de la façon dont il l'avait imaginé au départ. La brune vit volte face et entama une course des plus rapide pour venir, à sa plus grande surprise, lui claquer fortement les fesses. "Mais... T'es vraiment pas nette meuf." lu dit-il en éclatant de rire. L'australien attrape la bière qui était restée dans le sable pour en terminer le contenu. "Allez c'est ça, rentre donc dormir et te remettre de tout ça. Teste la douche froide, parait que ça calme les ardeurs." lui dit-il un sourire en coin. Terminant la bière, il plie la canette dans ses mains avant de s'approcher de la Russe pour lui poser brusquement le déchet dans les mains.  "J'vais en faire de même d'ailleurs." lâche-t-il en prenant la direction de l'hôtel via la plage, se retournant d'un coup vers Sana. "Et fais gaffe je t'ai à l'oeil, garde tes distances !" qu'il lui jette d'un air amusé, la tenant à distance avec son bras comme barrière de protection.

SHE'S SWEET LIKE CANDY IN MY VEINS TW DROGUE @Stan Rutherford — Si Sana n'avait pas de la drogue dans le sang, il serait clair qu'elle aurait été un peu dans le mal, mais la substance ne lui permet pas de rester sérieuse deux secondes. —  et c'est toi qui dis ça ? Après m'avoir repoussé comme une malpropre ? Bon elle exagère, mais à charge de revanche dirons nous. Elle se venge un peu à cause de ses foutus principes-là. Elle revient d'ailleurs à la charge et lui gratifie d'une claque bien placée sur les fesses. Puis elle reprend sa route, mais en marchant presque comme une tortue parce qu'elle le connaît, et elle sait qu'il ne laissera pas les choses passer comme ça. Il termine d'ailleurs la canette et vient la poser dans sa paume, décidant lui aussi de l'imiter et de retourner dans sa chambre. Elle se tourne et le regarde faire son petit numéro. Évidement, Sana lui balance sa canette et bizarrement, elle est plutôt douée pour viser lorsqu'elle est out. — En plein dans ta tronche de bite ! Ça va quand même ? Hurle-t-elle depuis sa position. — et tu sais ce que je ferais sous la douche ? Demande la brunette. — j'ai encore le goût de tes lèvres sur les miennes... JE VAIS ME TOUCHER LÀ... Elle se rapproche un peu, mais de toute façon, ils sont bien éclairés par les lumières de l'hôtel. Elle glisse une main dans sa culotte. — ET PUIS LÀ... Son autre main glisse sous le haut de son maillot, pour gober son sein. — EN PENSANT À TOI ! Illustration parfaite. Voix sensuelle, aussi parfaite... — cette douche ne sera pas aussi froide parce que j'vais transpirer comme jamais... Tout ça en pensant à toi et à tes lèvres ! IDIOT ! Et non, elle ne se rapproche pas plus, elle voit bien son barrage à la con-là.

@Sana Bukovski | Décontenancé, elle le laisse seul sur cette plage. Super soirée. Mais il devait s'attendre à ce qu'elle ne tienne pas très longtemps et revienne rapidement à la charge. Incapable de rester sur sa faim ? Ou incapable de laisser tout simplement ? Quoi qu'il en soit, il essaye de l'éviter au maximum pour éviter tout autre dérapage sur le chemin du retour. Un baiser c'était déjà de trop. Et pourtant, s'il avait su ce que la russe lui préparait. Lui balançant la canette pliée en plein de la tronche, il vacilla presque. Preuve qu'il était complètement dans une autre dimension à cet instant. Mais il n'était pas le seul. Qu'est-ce qu'il n'avait pas dit... parler d'une douche à une Sana en chaleur. Il la regarde plonger une main dans son bas, une main sous son haut et lui raconter explicitement ce qu'elle ferait, elle, sous cette douche. Les yeux écarquillés, il la regarde comme scotché à sa silhouette. Si bien qu'il n'en voit pas le morceau de bois qui traine derrière lui et qu'il le heurte, se retrouvant le cul au sol comme un con. Il ne se releva pas tout de suite, essayant de se remettre les idées en place parce qu'avec ses mots à la brune, il n'avait qu'une envie : faire le job lui même sous cette douche. Mais bordel, pourquoi ça demandait tant d'efforts pour résister ? "J'suis vivant c'est bon !" qu'il l'informe en levant un bras en signe de vie. Il finit par se relever, croisant le regard de Sana de loin. Le regard rempli de questions et d'espièglerie en même temps, il a envie de tester quelque chose. "Si j'te dis que t'as gagné, que c'est bon j'ai plus envie de résister et que j'ai envie de toi.. mais que ça n'arrivera qu'une seule fois..." lui dit-il lentement.  "Tu dis quoi ?" Une fois. Il pouvait bien craquer une seule fois pour calmer le jeu et considérer que ça ne se reproduirait pas. C'était possible ? Peut être bien que oui, peut être bien que non. Stan se tenait toujours éloigné d'elle, comme s'il préférait garder cette barrière tant que sa tête ne lui disait pas clairement que oui, il avait le feu vert pour craquer.

SHE'S SWEET LIKE CANDY IN MY VEINS TW @Stan Rutherford — C'est Sana, cette fille n'a pas de filtre, elle fait ce qu'elle veut, elle dit ce qu'elle pense à la seconde où elle le pense. C'est comme ça qu'elle est, alors soit on l'apprécie, soit on la classe avec les personnes à éviter. Mais généralement, sa personnalité plaît plutôt. Et ce soir, elle vous fait une démonstration de sa folie. Sans vraiment faire attention aux possibles regards autour d'eux, elle illustre son petit programme sous la douche. Quelle illustration direz-vous ? Car même l'Australien se retrouve les fesses clouées au sol. Elle retire ses mains de ses parties intimes et hurle au loin. — ça vaaaaa ? Rien de casser ? Demande-t-elle en gardant toujours une petite distance de sécurité, sait-on jamais s'il la repousse encore une fois, même s'il vient d'envoyer valser son propre barrage lui-même. Elle fut toutefois rassurée par sa réponse, mais contre toute attente, ce dernier rajoute des propos qui laissent la Russe sans voix. — Pardon ? Oui, oui, Sana voulait être certaine d'avoir bien entendu. — Je dis que j'ai juste envie de profiter de l'instant présent, peu importe si ça n'arrive qu'une fois ou plusieurs fois. Parce qu'en vrai, même Stan ne peut rien prédire. Le futur, personne ne pourrait prétendre le connaître. Bien que ce qu'elle omit de rajouter, c'est qu'il prend un gros risque, car Sana est pire que la drogue, une fois qu'on y a goûté, on devient vite accro. Pêché mignon qu'elle est. Comme la pomme empoisonnée qu'Ève et Adam n'auraient jamais dû croquer. Elle se mord la lèvre en fixant le sable, persuadée qu'il jouait juste avec ses nerfs, qu'il n'était pas en train craquer et qu'il voulait juste rire de sa réaction. — t'as donc envie de moi ? Question beaucoup plus sérieuse malgré la présence de drogue dans le sang. Disons qu'elle n'avait pas hurlé cette fois, c'était plutôt un murmure lui étant dédié à elle, pied qui joue doucement dans le sable.

@Sana Bukovski | Nope, rien de cassé chez l'australien. Juste une remise à pied, un moyen de le secouer un peu face à la situation. Il se relève, déconcerté, à mi chemin entre ses principes et ses envies. Cette putain d'envie qui le gagne à petit feu depuis le début de la soirée. Une fois. S'il craquait, il se promettait que ce ne serait qu'une fois et une unique fois. Etait-ce si mal de craquer une putain de fois ? Non, il avait bafoué d'autres principes bien plus de fois alors pourquoi se cantonner à celui-ci ? Il n'était de toute façon pas maître de tout ses choix et ressentis ce soir et il l'avait bien cherché. Sana semble avoir du mal à le croire, à intégrer qu'il puisse réellement céder. "Peut être bien. Oui. Ça m'en a tout l'air." qu'il répond tout simplement. Il hausse les épaules. C'est une connerie... Une seule fois ça n'existe pas en amitié, une fois que la barrière est levée il n'y en a plus. Surtout pour deux accro comme eux deux. Si l'alchimie sexuelle était là une première fois, il serait bien trop difficile d'y résister après. Il se rapproche d'elle, une main dans sa poche arrière. Main qui en ressort un pesos qui trainait et qu'il saisît, s'arrêtant à quelques centimètres dans la Russe. "Pile, on en reste là..." commence-il, faisant tournoyer la pièce en l'air. "...Face, c'est jackpot." qu'il conclut, reposant la pièce contenant le résultat dans la paume de Sana sans en regarder l'issue. Le destin allait décider pour eux visiblement. Une belle manière pour Stan de se dédouaner et ne pas se remettre la responsabilité d'un possible craquage.

Spoiler:

SHE'S SWEET LIKE CANDY IN MY VEINS TW @Stan Rutherford — Alors quoi ? Il a envie d'elle, elle a envie de lui, ça sauterait aux yeux de n'importe qui et ils sont toujours là à papoter au lieu de se prouver à quel point ils se désirent. Jusqu'à ce soir, Sana n'avait jamais imaginé qu'elle serait aussi frustrée. Et lorsque Stan se rapproche d'elle, il lui émet une idée qui ne plaît guère à la Russe. — sérieux ? Tu vas laisser notre fin de soirée à cette vulgaire pièce ? Demande-t-elle en posant les mains sur ses hanches et en fronçant les sourcils. Autant rentrer maintenant, parce que Sana savait que cette méthode, c'était la définition même de se faire proprement arnaquer, car ça ne marchait jamais. Mais l'Australien avait l'air ultra sérieux à brandir sa pièce et la lancer. Elle regarde la pièce comme si elle lui envoyait des ondes super négatif limite des menaces pour qu'il retombe sur le bon choix. Mais... Comme elle s'en doutait, cela n'arriva point. La pièce retombait sur pile. — je ne suis pas surprise du résultat. Elle lui arrache la pièce et la balance sans once de regret dans la mer. Aussi loin que possible. — Satané pièce, j'espère que tu finiras dans la gueule d'un requin ! Elle pivote vers Stan. — bon, la pièce a décidé apparemment qu'on en reste là, alors je vais rentrer. Bonne fin de soirée Stan. Dit-elle grognante, le nez retroussé. Elle fait donc demi-tour d'un signe de main et finit par disparaître dans sa chambre. Il ne lui reste plus que ses doigts et l'image de ses lèvres sur les siennes pour terminer sa nuit et évacuer toute sa frustration.